Utilisateur:Oenomaus

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Escaliius
Pseudo
Escaliius
Prénom IRL
Rémi
Âge IRL
23 ans





Nom

VARRO Oenomaus

Ancien soldat de la capitale, l’armée découvrit très vite chez lui des compétences naturelles pour torturer et faire parler les plus solides des hommes. A démissionné de son poste après avoir était obligé de torturer un enfant.


Description physique et morale :

Oenomaus a une apparence imposante, il est grand, sa corpulence est moyenne et son corps est recouvert de cicatrices. Cause de son métier, Oenomaus est le plus souvent vêtu d’un tablier. Dessous, il a une simple toge. Il ne porte aucun bijou. Sur son torse, du côté droit, il y a la marque de son ancien régiment. Durant la guerre, Oenomaus était un soldat bourreau comme on les appelait. Leurs missions étaient de ce battre comme les autres soldats, mais ils étaient chargés de faire des prisonniers dans les lignes adverse afin de les faire parler. Leurs but étaient de récolter le plus d’informations possibles.

Oenomaus est un homme loyal envers ses amis et sa famille. Il est prêt à mourir pour eux. Il est intelligent et discret.La guerre est son travail ont laissé beaucoup de marque psychologique. Mais il continue à faire ce qu’il sait faire le mieux. Tuer à petit feu.


Compétence :

Avant, Oenomaus était soldat, il avait les compétences combat, force, agilité, survie et outillage.
- hache à deux mains normal
- épée à deux mains en normal
- épée une main mateur
- le reste inexistant

L'histoire d'Oenomaus:

Oenomaus est le premier fils d’un couple de pauvre marchand vendant des babioles dans les basses rues de la Capitale. A l’âge de quatre ans, Oenomaus assista à la naissance de son petit frère, Ashur. Ils grandirent tous les deux dans la rue. Pour survivre, ils étaient obligés de voler les passants et les marchands. Ils se retrouvaient souvent dans des situations plus qu’inconfortable. Mais ils s’en sortaient à chaque fois indemne. Oenomaus et Ashur avaient chacun leurs caractères. Le plus jeune était plus négociateur. Il parlait beaucoup et savait manipuler les gens.Alors que Oenomaus était plus discret et très patient. Mais le commerce ne l’intéressait pas et il préférait des métiers où il n’avait pas besoin de parler. Avec l’âge le chemin de Oenomaus se sépara de celui de son frère. En effet, Ashur était parti avec trois autres jeunes hommes qu’il avait rencontrés dans les rues. Ils voulaient monter un commerce pour vendre des esclaves. Se retrouvant seul, Oenomaus ne savait plus quoi faire. Il avait toujours été là pour protéger son frère. Mais aller de ville en ville pour négocier et vendre des marchandises ne le passionnait pas. Il voulait plus d’aventure, moins de palabre et plus d’actions.

Après plusieurs semaines de réflexion, Oenomaus était allé à la caserne de la ville afin de s’y engager en tant que mercenaire. Une vie de militaire lui correspondait bien.

Durant les semaines qui suivirent, Oenomaus s’entraina à manier différentes armes tels que l’épée et la double hache. Il apprit aussi à utiliser l’art de la torture afin de faire craquer tous les hommes. Après son entrainement, il intégra le 3ème régiment d’infanterie de choc. Il était composé essentiellement de mercenaires. Seuls les officiers étaient des soldats conscrits. Le régiment resta dans la capitale quelques temps. Les hommes restaient à la casernes pour s’entrainer ou allaient dans les bordels pour dépenser leurs soldes qu’ils étaient censés envoyer à leurs femmes. Deux mois après son enrôlement, une lettre arriva. Quelques minutes après que l’officier l’est lu, les cloches de la caserne sonnèrent afin de rappeler les hommes. Il était temps pour le troisième régiment de partir vers la frontière afin de rejoindre l’armée du roi. Il comptait lancer une grosse offensive contre le royaume voisin. L’objectif de la marche fit très vite le tour des troupes. Certains râlaient, d’autres avaient peur. La longue colonne commença à avancer à travers la ville, le bruit des tambours résonné afin de motiver les hommes. Les gens s’écartaient afin de laisser passer l’armée. Certaines femmes donnaient des fleurs aux soldats afin de leurs porter chance. Les enfants s’amusaient à marcher au pas aux cotés des guerriers. Après quelques heures, l’intégralité du régiment avait quitté la cité. La caserne était déserte seul quelques recrues et de vieux vétérans étaient restés afin de la garder.

Après avoir marché durant une semaine, l’armée arriva prêt d’une forêt qui bordait la frontière. Elle était réputée pour les monstres et les brigands qui l’habitaient. La section d'Oenomaus partit en éclaireur afin qu’elle puisse accomplir son travail. Trouver l’ennemis et faire des prisonniers. Durant les premiers jours, le groupe ne perdit que quelques hommes. La plupart avait été tué par des monstres durant la nuit car le garde qui devait faire la ronde s’était endormi. Le septième jour, la troupe tomba sur les restes d’un charriot de marchand. Les chevaux avaient été mangés par les charognards de la forêt. Il restait quelques morceaux de corps humains. Les hommes commencèrent à fouiller le charriot. Un des soldats s’adressa au chef de section : « Chef, on a trouvé des flèches qui ne ressemble pas à celle des monstre. Il s’agit surement de brigands. Restez sur vos gar… » Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une flèche se planta dans l’œil de ce dernier. Des bandits sautèrent des arbres, d’autres s’étaient caché dans les hautes herbes. Beaucoup de soldats tombèrent durant les premières minutes. Le second du chef commença à donner des ordres. Les hommes se mirent en formation de combat. L’effet de surprise terminé, le combat allait pouvoir vraiment commencer. Les brigands commencèrent à avoir des pertes. Oenomaus était armé de sa lourde hache. Il fracassait les cranes avec facilité. Les corps commençaient à joncher le sol. C’est alors qu’une deuxième vague de bandit sortit des bois. Submergé par le nombre, les soldats commençaient à se faire déborder. « En carré cria le second du chef ». Les hommes tentèrent de respecter l’ordre mais l’ennemi était trop nombreux. Il ne restait qu’une dizaine d’homme quand le sol commença à trembler légèrement. Une vingtaines de cavalier chargèrent les brigands. Ils étaient un à un renverser par la charge. La bataille dura encore une vingtaines de minutes.

La nuit venant, l’armé installa son campement non loin du champ de bataille. Le second du chef, Oenomaus et le reste des hommes se présentèrent devant leurs supérieurs. « Au rapport » Dit-il. « Nous avons perdu vingt hommes chef ! » répondit le second. « Et combien de mort en face ? » « Nous avons compté cinquante-cinq morts et trois blessés dont un des chefs de ces brigands. Le soldat bourreau Oenomaus l’a torturé pour le faire parler et il nous a révéler des informations plus qu’intéressantes. » « Dites-moi tout » dit le supérieur. Le second fit un signe à Oenomaus. Ce dernier s’avança. « Après l’avoir cuisiné pendant quelques heures, il dit avoir été payé par le royaume du nord afin de ralentir notre progression. Il a aussi dit qu’il y avait d’autre groupe de brigands qui nous attendent si on continue sur cette route. » « Bravo soldat. Je vais dire tout ça à mes supérieurs. A partir d’aujourd’hui, tu seras chargé de faire parler les prisonniers que le régiment capturera. Bon vous pouvez disposer ! » Dit l’officier. « Bien chef ! » répondirent Oenomaus et le second.


L’armée se remit en marche. Grace aux informations qu’avait pu recueillir Oenomaus, peu d’hommes furent tuer le reste du voyage. Après trois jours de marche, le régiment arriva dans le campement du roi. Ils attendirent le long de la frontière durant plusieurs jours. Il n’eut que quelques écho-fourré entre les armées du roi et celle de l’ennemie. Peu d’homme moururent. Chacun restaient sur ses positions car ils ne savaient pas vraiment ce qu’ils les attendaient en face. Des expéditions étaient lancées régulièrement afin d’obtenir des informations. Cela faisait quelques semaines que la section d’Oenomaus restait là à rien faire. Alors que les hommes jouaient aux dés, un courrier arriva pour le nouveau chef de section. Après avoir lu le document, il rassembla ses hommes et leurs annonça qu’ils allaient devoir partir derrière les lignes ennemies pour faire des prisonniers afin d’obtenir des informations sur l’armée adverse. Oenomaus venait juste de finir de préparer ses affaires quand le petit groupe se mit en marche. Après avoir franchi les lignes ennemies, la section marcha quelques jours pour enfin arriver dans une ferme qui était encore habité. Le chef donna l’ordre de l’attaquer et de faire des prisonniers. A l’approche des soldats, les quelques paysans prirent leurs haches et leurs fourches pour se défendre, mais ils furent vite tués ou désarmés. Après l’attaque, Oenomaus commença à interroger le reste des paysans jusqu’au moment où un soldat lui emmena une enfant. Oenomaus lâcha son instrument de torture et se retourna vers son chef. « Je ne peux pas » dit-il. « Applique les ordres. Il sait peut-être certaine choses sur nos ennemies. Après tout, il est du même peuple que ces chiens. » Répondit le chef. « Mais ce n’est qu’un enfant chef ! » « Fait le ou je vous tue tous les deux » ! dit le chef. Le chef commença à sortir son arme. Oenomaus attrapa le jeune garçon et commença à faire son travail. L’enfant succomba très vite au supplice. Dégouté par son action, Oenomaus commença à s’isoler du reste des troupes. Alors qu’il était assis dans un champ non loin de la ferme, il entendit des bruits de combat. Il se leva discrètement et vit que la section était en train de se faire massacrer par des cavaliers ennemis. Voyant que ces compagnons étaient presque tous mort, il partit discrètement afin de repasser la frontière.

Après avoir marchait durant de longues semaines, Oenomaus arriva enfin dans sa ville natale. Rongeait par les remords d’avoir torturé un enfant, il passa ses journées à boire dans la taverne du « Tord Boyau », jusqu’au jour où il vit son frère rentrer dans la taverne. Il se dirigea vers lui discrètement et il posa sa main sur l’épaule d’Ashur. Ce dernier se tourna lentement la tête, longeant du regard les ongles noircis d’Oenomaus, puis son poignée jusqu'à arriver à son épaule. Ashur éclata de rire en reconnaissant le crâne chauve d'Oenomaus, les deux frères se serrèrent la main puis allèrent s'assoir au fond de la taverne, se racontant l'un après l'autre leurs tours de mains. Le marchand était ravi d'apprendre que son frère avait depuis quelques temps quitté la cohorte dont il faisait partie, ainsi il pouvait pleinement se consacrer à la nouvelle expédition. Le négociant lui expliqua ses nouvelles activités et lui proposa de participer à son voyage, Oenomaus n'hésita pas un instant et serra la main de son frère sourire aux lèvres. Après avoir rassemblait la troupe, Ashur monta dans le chariot de tête au côté de Vanar tandis que Oenomaus s'installait dans le second chariot négocié quelques heures avant le départ par Hargan.

L'esclavagiste passa sa main dans ses cheveux et siffla, sans attendre le Carrogien fit tourner son fouet en l'air et l'abattit sur le dos des chevaux. L'expédition commençait et pas moins de trois semaines de voyages les attendaient pour rejoindre les terres de Steiertal. La pluie ne cessait de tomber sur les cinq hommes, Kirin n'en finissait pas de tousser et d'éternuer puis vint la fièvre... Le Nordique n'avait pas supporté le changement radical de température entre la Capitale et Lauderfelt et c'est ainsi qu'Ashur ,Hargan ,Vanar et Oenomaus enterrèrent l'immense homme qui succomba de sa maladie en un peu plus de deux semaines dans une bourgade prés de la ville-prison de l'ancienne Empire. Le moral était au plus bas, en bon leader, l'esclavagiste restait fixé sur l'objectif. Le groupe voyait se dresser les tours de la cité derrière les quelques valons face à eux et ils arrivèrent juste avant la tombée de la nuit. Sans Kirin, seul Oenomaus était un véritable homme d'arme dans cette ville où le danger et la loi du plus fort régnaient en maître. Ashur n'était pas rassuré et commençait sérieusement à se remettre en question. Soudain un groupe d'une dizaine d'hommes s'approcha épée en main et leur fit comprendre de les suivre vers la place forte de la cité là où résidait le baron de l'esclavagisme, Salickar. Les quatre compagnons se retrouvèrent ainsi face à lui, l'homme était assis, ses jambes posées sur la table et ses bras croisés. Ses cheveux long étaient attachés en chignon et son visage semblait comme figé. Brusquement il tourna son regard vers les visages du groupe et avant de prendre une bonne gorgée dans son Graal dorée demanda qui était l'instigateur de cette expédition. Ashur fit un pas malgré lui, poussé par Vanar et Hargan. Salickar passa sa main droite sur son visage d'un air fatigué, frappa lourdement la table de son poing gauche et pointa une petite porte sur sa droite. Les hommes de mains du baron attrapèrent les quatre hommes , passèrent la porte puis les jetèrent dans des cellules. L'un des gardes resta face aux grilles et observa les quatre hommes et arrêta son regard sur Oenomaus. Le mercenaire fit un large sourire en reconnaissant le bourreau, son ancien compagnon de bataillon. L'homme fit comprendre aux deux frères qu'en ces terres il ne pouvait plus rien pour eux et que leur seule chance était de se rendre sur une ile. Là-bas pourrait alors commencer une nouvelle vie sans avoir à ce soucier de Salickar et de ses hommes. Dans la plus grande discrétion, il sortit Oenomaus et Ashur de leur geôle pour les amener aux écuries. Les deux frères purent ainsi quitter Lauderfelt, laissant derrière eux Hargan et Vanar pour sauver leurs vies. Ils chevauchèrent jusqu'à l'ile de Iona où ils embarquèrent sur le bateau de Gwylonna l’esclavagiste, la seule porte vers Esperia.