Utilisateur:Thorek

De Wiki'speria
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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
ElJojo__
Pseudo
Thorek
Prénom IRL
Jordan
Âge IRL
16 ans





Description

Thorek à 38 ans. Il est taille moyenne (1m75) et mince. Il a des cheveux courts de couleur poivre et sel avec des yeux marrons. Son visage est marqué par des cicatrices.

Compétences

Il a des compétences pour devenir un boulanger de renommé.

-Créativité:Voir son père derrière ses fourneaux et le voir crée ses propres pâtisseries l'a énormément aidé à développer son potentiel créatif.

-Minutieux:Les réflexions de son père sur la précision l'ont amené à faire des gâteaux d'une extrême beauté.

-Alphabétisation et calcul:Aider son père à faire les comptes l'ont aidés à aimer les nombres.

-Sens du goût:Manger les pâtisseries de son père l'a forcé à avoir des papilles hors du commun.

Talents

Thorek est d'un naturel calme et patient. C'est aussi une personne de confiance et il est prêt à aider les personnes dans le besoin.

Défauts

Il ne supporte pas les choses mal faites. Il n'aime pas la violence ce qui le rend mauvais en combat.

Intérêts culturels et goûts

Il croit en Arbitrio et fait des rituels quotidiens. Il amie bien aussi les petites reliques et autres babioles.

Amis déclarés

Leoplodine: Dés qu'il l'a vu, Thorek à su qu'il avait de la chance de tomber sur une maîtresse aussi gentille.

Igvaar: Thorek a été vendu avec lui et l'apprécie malgré qu'il ne le voit pas beaucoup.

Hablar: Thorek lui a rarement parlé mais est certain qu'il pourrait bien s'entendre avec lui et qui c'est, ils travailleront peut être ensemble.

AerisHikari: Une femme qu'il a rencontré à coté de la banque et avec qui il a parlé. Cette femme avait l'air triste. Mais pourquoi...Tout ce qu'il sait, c'est que cette femme la particulièrement touché.

Ennemis déclarés

Histoire

                                         Le bateau de l'enfer

Nous étions dans un bateau, enfermés en groupe de cinq dans des petites cages. L'endroit était étroit, sombre et presque irrespirable. Des gémissements de douleur et des pleurs de désespoir se faisaient entendre. Impuissant, je ne savais quoi faire. Un esclave tenta de m'adresser la parole. Abasourdi, je n'ai pas réagit tout de suite à ses questions. -"Hé ! Toi ! Qui es-tu ? Et d'où viens-tu ?" Ne lui répondant pas il me secoua l'épaule. -"Je suis désolé. Je suis assez perdu. Tout c'est passé si vite que je n'ai pas eu le temps de réaliser ce qui m'arrivait." -"Moi aussi" dit-il tristement." Ils m'ont tout pris. Ma famille, ma maison Tout ! Sans exception ! Et toi, qu'est ce qu'ils t'ont fait ?" -"Ils ont mis la boulangerie de mon père en feu. Ils m'ont battus d'où mon Œil gauche en moins et les cicatrices sur mon visage. Sais-tu où nous allons ?" -"Je les ai entendus dire qu'ils se rendaient à Esperia." -"Esperia dis-tu ? quel est cet endroit ?" -"C'est une très grande ville où tous les esclaves capturés vont êtres revendus sur le marché noir." -"Et pourquoi nous ont-ils choisis ? " -"Nous sommes sur des listes car ils sont déjà venus dans mon village et capturent tous ceux qui possèdent un don. Tu m'as bien dit que ton père possède une boulangerie ? C'est pour cela qu'ils ont tout détruit. Ils t'ont capturé parce que tu dois avoir un bon potentiel de créativité. Ils vont t'utiliser pour la prospérité de leur monde." -"Ces lâches, s'attaquer à des personnes sans défense ! Ce sont des êtres sans âmes et sans pitié !" Je n'étais pas rassuré du sort qu'ils nous réservaient. Je resta un long moment prostré devant lui sans pouvoir parler. Il me regarda fixement comme si il savait exactement à quoi je pensais. Je ressentais des sensations indescriptibles qui m'étaient encore inconnus depuis ce jour. A ce moment-là, je repensa à mon père. C'est grâce à lui que je suis devenu le pâtissier que je suis aujourd'hui. Il m'a apprit les ficelles du métier. J'était très proche de lui. Il m'a élevé seul car ma mère est morte au moment de l'accouchement. Je demandais souvent à mon père comment elle était et il me répondait " Ta mère était une femme exceptionnelle ".J'aurais aimé la connaître. J'étais perdu dans mes pensées, j'oubliais tout ce qui était autour de moi au point de ne plus entendre les autres esclaves à côté de moi en train de gémir de faim et de fatigue. Lorsque je releva la tête, un garde me lança un petit morceau de pain au visage. c'était l'homme qui avait mit le feu à la boulangerie de mon père. Je m'en souviens comme si c'était hier.



                                              Le dernier jour

Nous nous levons, mon père et moi, vers cinq heure du matin, pour préparer le pain et les viennoiseries. Mais, je ne c'est pourquoi, ce jour là, je ressenti un mauvais pressentiment. Chaque matin, c'est moi qui livre les petits déjeuners à la taverne du village. J'aime beaucoup cet endroit car l'ambiance est conviviale et festive. Le tavernier est un bon ami de mon père. Assis à une table, un homme habillé d'une cotte de maille me regardait du coin de son oeil, un oeil noir et mauvais. Ce regard me glaça le sang. Encore ce mauvais pressentiment !! Il me fit un signe de tête en direction de la chaise en face de lui. Hésitant un moment, je me suis assis à sa table. - "Tu es bien le fils JORN ?" - "Ou... oui, pourquoi ?" - "Tu le sauras bien assez tôt !" Que voulait-il dire par là ? J'avais besoin de plus de détails, mais il avait déjà disparu. Je demanda au tavernier s'il le connaissait mais c'était la première fois qu'il le voyait. Comment connaissait-il mon nom ? Cet étranger ne m'inspirait pas confiance. J'interrogea d'autres clients pour me renseigner sur cet homme mystérieux. Mounrak, un vieil habitué des lieux, en a déjà entendu parler. Apparemment, on le surnomme "le diable" car c'est un être démoniaque, il ne recule devant rien pour parvenir à ces fins. Ne me voyant pas revenir, mon père pris une pause et me rejoignis à la taverne. -"Alors Thorek, je ne te paie pas pour te reposer à la taverne." Ne me voyant pas réagir il vint vers moi et me mit une claque derrière la tête. -"Tu vas bien ? On dirait que tu as vu un fantôme." -"Non non. Tout va bien. Pourquoi es-tu là ?" -"Bhin ! Je suis venu te chercher car je ne te voyais pas revenir." Le vieux Mounrak appela mon père. Ils se retirèrent dans la pièce d'à côté. Ils entretenaient une longue conversation. A quel propos ? Je n'en avait pas la moindre idée. Au bout d'une bonne demi-heure mon père revînt en me disant: -"C'est trop tard." Que voulait t-il dire par là ? -" La boulangerie... la boulangerie est en feu !" Ne voulant pas y croire, je courus en direction de la boulangerie. Mon père avait raison. Les flammes l'avaient entièrement embrasées. Je tomba sur mes genoux et versa toute les larmes de mon corps. C'étaient tous les souvenirs que j'avais avec mon père qui s'envolaient devant mes yeux. En relevant ma tête, j'aperçus l'homme mystérieux de la taverne. Tout s'écroula sous mes pieds, mes projets de reprendre la boulangerie, de devenir quelqu'un... Pas le temps de souffler, que mon père me cria de partir et vite. Des hommes surgirent de nulle-part. Je compris que je devais m'enfuir. Alors je me mis à courir sans savoir où je me dirigeait, sans me retourner. J'ai très peur, pourquoi me traquent-ils ? Qu'est-ce qu'ils veulent de moi ? Me capturer, me tuer ? En tout cas il faut que je me cache car je veux retrouver mon père et reconstruire notre boulangerie. La nuit commença à tomber. Il fallait que je trouve un abri pour essayer de me reposer. A force d'avancer dans cette épaisse forêt je trouva un arbre avec un énorme tronc creux où je pu m'y réfugier pour me protéger du froid et de mes ennemis. A l'aube je repris ma fuite... Mais pendant combien de temps. Encore un nouvelle nuit passée dans cette immense forêt. Puis deux, puis trois... Au bout du 4ème jour, mes forces s'amenuisent et je ne pris même pas le temps de chercher un endroit pour dormir. Je m'écroula au sol. 5ème journée, je crois que je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps, le manque de nourriture et la fatigue se font sentir. 6ème jour, je peux de moins en moins résister. Je me sens très faible. Mes jambes ne me portent presque plus et la tête me tourne. J'essaie d'être vaillant. Je prends sur moi et je continue. Il ne faut pas qu'ils me retrouvent... Ils finiront bien par abandonner ! Encore une nouvelle journée, je suis rempli d'espoir, et je reprends le chemin de mon village. Mais à bout de force, la forêt se mit à tourner tout autour de moi, mes jambes tremblèrent, ma vue se brouilla, je crus voir une ombre et.... le trou noir...



                                              La traque

Tout s'écroula sous mes pieds, mes projets de reprendre la boulangerie, de devenir quelqu'un... Pas le temps de souffler, que mon père me cria de partir et vite. Des hommes surgirent de nulle-part. Je compris que je devais m'enfuir. Alors je me mis à courir sans savoir où je me dirigeait, sans me retourner. J'ai très peur, pourquoi me traquent-ils ? Qu'est-ce qu'ils veulent de moi ? Me capturer, me tuer ? En tout cas il faut que je me cache car je veux retrouver mon père et reconstruire notre boulangerie. La nuit commença à tomber. Il fallait que je trouve un abri pour essayer de me reposer. A force d'avancer dans cette épaisse forêt je trouva un arbre avec un énorme tronc creux où je pu m'y réfugier pour me protéger du froid et de mes ennemis. A l'aube je repris ma fuite... Mais pendant combien de temps. Encore un nouvelle nuit passée dans cette immense forêt. Puis deux, puis trois... Au bout du 4ème jour, mes forces s'amenuisent et je ne pris même pas le temps de chercher un endroit pour dormir. Je m'écroula au sol. 5ème journée, je crois que je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps, le manque de nourriture et la fatigue se font sentir. 6ème jour, je peux de moins en moins résister. Je me sens très faible. Mes jambes ne me portent presque plus et la tête me tourne. J'essaie d'être vaillant. Je prends sur moi et je continue. Il ne faut pas qu'ils me retrouvent... Ils finiront bien par abandonner ! Encore une nouvelle journée, je suis rempli d'espoir, et je reprends le chemin de mon village. Mais à bout de force, la forêt se mit à tourner tout autour de moi, mes jambes tremblèrent, ma vue se brouilla, je crus voir une ombre et.... le trou noir...