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     Velfirin Daa Sarnattu
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Valentiniuss
Prénom IRL
Valentin
Âge IRL
22 ans




Cet article est en cours de rédaction. Il s'agit d'une ébauche


Description

Velfirin Daa Sarnattu (de son vrai nom Velfir Sarnattu) est un bâtisseur abbatial, scribe et traducteur ayant travaillé au Valtuusto dés 475 et assistant du Sovitelija de 478 à 488, né le 8 Janvier 452 à Roskilde, en Bogen.

* Profil actuel

Velfirin se présente bien, malgré ses vêtements salis par plusieurs années d'esclavage et un voyage maritime éprouvant vers Esperia. La soixantaine, avec un embonpoint plutôt important, il marche encore droit. Il est plutôt petit, et sa barbe imposante accentue cet effet de taille. Il présente un visage sage, érudit, mais ridé. Parfois, ses yeux tombent et un second menton ainsi que de grands cernes apparaissent lorsqu'il est fatigué.

* Caractéristiques

- Nom : Velfirin Daa Sarnattu
- Âge : 62 ans
- Taille : 170 cm
- Poids : 82 kg
- Croyance : Arbitrio (Monachiste)
- Nation : Adaarionne
- Rang : Esclave
- Arrivée : 20 Novembre 514
- Prix d'achat : 25 EO
- Famille propriétaire : La Flêche & Phareste

* Caractère

Issu d'une riche famille de propriétaires terriens, il a reçu une éducation qui favorise sa diction et sa tenue en société. Il reste néanmoins quelqu'un de très abordable, digne défenseur des théories du prolétariat développées par son père, Trojjynn Sarnattu, érudit et poète Adaarion. Comme ce dernier, Velfirin est un homme lettré mais aussi un scientifique. Il a toujours soif de connaissance et aime les transmettre. Son sérieux et sa lucidité lui empêche cependant toute compréhension de l'humour en général, et malgré sa gentillesse et son aura protectrice, il reste souvent froid, peu affectueux et renfermé. Il a en outre un caractère bien trempé et use toujours de la parole et de ses connaissances pour s'extirper de situations difficiles. La violence n'est pas une solution selon lui.


Compétences et valeurs

* Aptitudes

32px-Encrier001.png - Alphabétisation
Ses parents parlaient couramment le Capitalin et l'Adaarion. Ce fut donc facile pour lui d'approcher ces deux langages. L'écriture vint presque de sa propre volonté, par espoir de marcher dans les traces de son père, fortement lettré.

32px-Calcul.png - Calcul
C'est certainement sa mère, gérant alors toutes les finances de la famille ainsi que les ventes des produits issus de leurs terres, qui lui enseigna les bases des mathématiques. Mais ce ne sera que vers 19 ans qu'il ira bien plus loin dans son apprentissage, en contact avec les moines Monachistes.

32px-Grille_Livre.png - Langues
Capitalin et Adaarion étaient donc acquises. Mais de part un voyage qui le conduisit à Huratelon, où il vécu plusieurs années, il pu apprendre cette langue spécifique.

* Qualités et talents

- Dessinateur
- Maquettiste
- Ouvert d’esprit et tolérant
- Respectueux et bien éduqué
- Érudit
- Polyglotte
- Mathématicien
- Ambitieux
- Ayant toujours soif de connaissances
- Défenseur des droits

* Défauts

- Ayant un fort penchant pour l’alcool
- Peu affectueux et renfermé
- Peu d’humour
- Avare et étant particulièrement très attiré par l’argent
- Peu loyal
- Ne supporte pas d’avoir ses habitudes dérangées
- Très gourmand
- Aisément corruptible
- Curieux


Intérêts culturels et goûts

* Un penchant malsain

Velfirin a toujours eu un goût très prononcé pour la boisson, au plus grand bonheur de ses amis, adorant lui soutirer des informations délicates. Il n'a pas de réaction violente lorsqu'il a la nausée, mais il devient très fortement bavard et vulgaire, perdant ainsi toutes ses bonnes manières. Un verre, et il peut raconter sa vie. Deux verres et il commence à tituber. Trois verres, et il répond à toutes les questions. Quatre verres, et c'est la débandade. Grossièretés et révélations au programme. Le Rhum et le Vin constituent ces deux boissons préférées.

* Sensible à l'Art culinaire

La boisson est une chose, mais la nourriture en est une autre. Gourmand, Velfirin aime les plats soignés. Il préfère néanmoins que son assiette soit goûteuse plutôt que débordante. La qualité doit toujours primer sur la quantité ! Il goûte généralement à tout, mais reste un féru de desserts, et notamment des pâtisseries.

* Musique et Arts de scène

Amoureux de l'harmonie, Velfirin est sensible à la musique. Il possède quelques connaissances rudimentaires en la matière puisque son moine protecteur était passionné de Lutherie. Il eu quelques occasions de toucher à un Luth ou à un Santoor, mais ce ne fut que des expériences amateurs. Néanmoins, sa logique mathématique l'a déjà poussé à s'intéresser à la notation de la musique. Il a également travaillé de nombreuses fois avec des facteurs d'Orgue lors de l'élaboration de ses plans de lieux de culte. En effet, ces derniers prévoyaient l'emplacement de l'instrument dans l'édifice. Sa connaissance en la matière est relativement importante. En outre, le théâtre reste l'un de ses divertissements favoris, accompagné également du théâtre chanté, ou Opérette.


Histoire

* Une famille en décadence

Ses parents étaient issue d’une famille de montagnards, très pieuse, et descendante d’une riche lignée de propriétaires terriens de la région au nord de Golvandaar, néanmoins affaiblie sur plusieurs générations par des hivers longs successifs.

L’abandon de leurs terres fut inéluctable : elles étaient devenues stériles et sans valeur. Tous leurs esclaves furent vendus pour une bouchée de pain, et la famille s’en alla vers le sud, loin des montagnes, dans l’espoir d’y trouver une nouvelle vie, plus saine et plus facile.

La route fut si longue et si laborieuse que la mère de Velfir, alors enceinte de jumeaux, n’eut plus aucune force pour continuer. Elle due accoucher dans le froid glacial de l’hiver, sous quelques branchages. Un seul des jumeaux survécu, ce fut Velfir. Dans la montagne, il est souvent dit que la mort d’un des jumeaux est forcément causée par la négligence du second, et qu’elle entraîne alors une malédiction de celui-ci… Ce drame familial restera à jamais ancré dans l’esprit de Trojjynn, le patriarche, qui voyait alors d’un mauvaise œil sont fils, désormais unique. Heureusement proche de la ville, c’est donc à Roskilde que la naissance du petit Velfir fut attribuée. Ses parents avaient pu racheter un vieux commerce délabré en centre-ville afin d’y monter une petite Auberge chaleureuse. En quelques semaines, un malaise s’installa dans la famille, qui avait alors tout quitté pour si peu. S’en était finit des esclaves, des terres à perte de vue, le grand manoir et autres éléments de confort ! La vie en ville était bien plus chère !

La mère, Anita, débuta une grave dépression et se mit alors à consommer les produits qu’elle vendait, davantage que ses clients les plus fidèles ! Trojjynn voyait en cela le signe d’une décadence totale. Très pieux, il perçu en elle un démon naissant, habité par l’âme de son fils défunt jamais sortie de son être. Sa dépression n’était pas toujours que tristesse, sur d’autres sujets elle dérivait complètement d’un extrême à l’autre. Passant violemment au dessus de son mari lors de leurs ébats sexuels, posture très peu commune en Adaarion et plutôt considérée comme barbare. Pour d’autres choses elle était complètement perdue, ailleurs. Elle se disputait avec le premier venu et en venait parfois aux mains, toujours de plus en plus violente et incontrôlable. Trojjynn décida alors de mettre fin aux jours de sa femme lors d’une nuit calme, sur l’avis d’un moine Monachiste avec qui il avait fraternisé. Velfir n’avait alors que 10 ans, et le départ de sa mère lui fut justifié par « son appel auprès de Dieu ».

Trojjynn commença alors lui aussi une phase difficile, mais plus maîtrisée cette fois, où il décida de s’enfermer dans un Monastère, accompagné de son fils. Il entama des initiations ésotériques et se détacha petit à petit de Velfir, le laissant aux mains des moines. Deux ans après le décès de sa mère, Velfir perdit son père dans une rafle Phalangiste violente. Dans l’urgence, les moines qui protégeaient Velfir entamèrent un voyage vers le nord, afin de fuir les événements, qui au passage, furent très vite étouffés par la monarchie.

* Sa vie politique et religieuse

Velfir quitta alors Roskilde pour arriver à Golvandaar, siège religieux monachiste, où il pu se sentir en sécurité. La brise fraîche qui effleurait ses joues entre ces montagnes lui rappelait un vague souvenir d’un voyage lointain qu’il n’avait réalisé que par l’esprit, mais qui le rassurait…

Un moine l’ayant déjà pris sous sa protection à Roskilde, décida d’ajouter un suffixe à son nom afin qu’il oublie ses origines et le désastre de sa famille, ainsi il devint Velfirin. Il l'initia alors à toutes les facettes de l'Arbitrio, afin qu'il en sache le plus possible. Dans le monastère, il apprit énormément, engrangeant sans cesse de nombreuses connaissances. L’Adaarion fut appris en quelques mois seulement ! Lire et écrire vinrent également très rapidement. Jusque là, ses parents ne lui avaient rien enseigné… A l’aube de ses 19 ans, en 471, il était déjà très bon mathématicien, maîtrisait le Capitalin et l’Adaarion, concevait des maquettes, dessinait beaucoup en perspective… Bref, il avait tout d’un bon scientifique de l’époque !

Religion.png
Gravure représentant le moine Monachiste qui pris Velfir sous sa protection. Daté vers 465. Salle des Arts du Palais de Golvandaar



Le décès prématuré de son protecteur religieux lui porta un coup dur en plein cœur, bien plus que la mort de ses parents. Il avait beaucoup d’affection pour lui. Ce décès fut celui de trop. Sa foi fut quelque peu perturbée, mais jamais oubliée. Il ne concevait pas qu’il puisse perdre autant d’être cher dans sa vie. Comment Arbitrio pouvait-il admettre toutes ces atrocités… ?

Malgré cela, et de par son réseau monachiste et ses capacités littéraires indéniables, il fut envoyer au conseil des sages, le Valtuusto, afin d’y devenir scribe et traducteur. Il resta alors 10 ans au service du Sovitelija, ce qui lui permit de s’éloigner quelque peu de la religion monachiste et d’entrer dans le monde politique. Sa vie professionnelle pouvait alors commencer. Il côtoyait ainsi la haute société de Golvandaar et pu se faire de nombreux alliés qui le prenaient à tour de rôle sous leur coupe afin de lui apporter une éducation toujours plus fournie.

Administration.png
Gravure anonyme réalisée vers 476, représentant (de gauche à droite), un membre du conseil des sages, le Sovitelija, et Velfirin



Ses nobles services auprès du conseil lui valurent l’ajout de la particule « Daa » devant son nom de famille. Ainsi devint Velfirin Daa Sarnattu. Apprécié par le Sovitelija, il eu l’occasion de lui parler de ses projets de constructions de Monastères. Velfirin avait en effet développé une adoration pour l’architecture religieuse sudiste, très différentes de celles du nord, et avait conçu de nombreuses maquettes de lieux de cultes, plutôt novatrices. Le Sovitelija lui commanda alors des plans pour son prochain monastère des montagnes, au nord de la Capitale.

Monastere.png
Dessin réalisé par Velfirin lui même. Extrait de son "Traité d'Architecture". Ouvrage aujourd'hui consultable à la bibliothèque de Golvandaar.



Alors âgé de 29 ans, il arrivait à terme de la construction de son premier monastère. Hélas, des dissensions politiques ralentirent considérablement la fin du chantier qui opposait alors l’ordre monachiste Adaarion et la Corporation des architectes dans laquelle il espérait entrer. Servant alors l’ordre religieux à cette époque, il fut refusé et son initiation auprès de la Corporation des architectes fut stoppée nette. Le chantier fut ainsi bloqué plusieurs années et n’abouti jamais. Dans la foulé, un nouvel Sovitelija prit la place de l’ancien. Ce dernier n’aimait guère la personnalité de cet érudit constructeur qu’était Velfirin. Leurs relations, qui étaient indispensables pour terminer le projet, se détériorèrent peu à peu obligeant Velfirin à se retirer doucement du milieu politique et à retourner à la vie religieuse, caché dans un monastère. Il passa alors de nombreuses années de nouveau dans les ouvrages anciens des bibliothèques sombres des églises de la région.

Déçu et blessé par l’indifférence grandissante du milieu politique à son égard en Adaarion, Velfirin entama un nouveau voyage vers le sud, qu’il espérai ressourçant. Ce sera alors à Huratelon qu’il posera son baluchon de nombreuses années. Malgré lui, on avait déjà entendu parler de son chantier imposant en Golvandaar qui suscitait à la fois l’admiration et la jalousie. Dès que les phalangistes purent le rencontrer ils n’hésitèrent pas à commander ses services pour l’érection d’un édifice religieux. D’abord sceptique, Velfirin ne voulait pas trahir l’ordre qui lui avait tant apporté, mais rapidement amadoué par l’appât du gain il accepta la proposition et se lança dans son deuxième chantier, bien plus ambitieux que le premier. Auprès des Huras il se fit facilement des amis, et appris ainsi leur langage traditionnel.

Alors qu’il commençait à construire quelques belles phrases et âgé de 56 ans, il arrivait à la fin de son second et immense chantier. Mais une terrible catastrophe vint encore compromettre ses plans ! La tuberculose débarqua sans crier gare ! Il fut alors obligé de quitter la région pour éviter d’être contaminé et de mourir dans d’atroces souffrances… Il eu de nombreuses difficultés à quitter Huratelon à cause de la quarantaine mise en place par les autorités. Les gardes ne laissaient sortir quiconque de la Cité. Il du alors repenser le problème dans tous les sens afin de s'enfuir. Après avoir longuement prié son Dieu, il rencontra un inventeur rusé avec lequel il se lança dans l'élaboration d'une petite machine mécanique destinée à distraire la garde. Et à l'aide d'un troisième ami Huras ils ajoutèrent de la poudre noire dans l'antre de l'automate... Le moment venu, un jour où la pluie tombait à grand flots, ils lancèrent l’automate dans les rues de la ville, qu'ils dirigèrent directement vers une porte gardée que l'on pourrait qualifier de porte dérobée, déjà peu surveillée d'ordinaire. Les gardes entendirent l'automate avant de le voir sortir de la brume. Et lorsqu'il apparu ils furent bien entendu extrêmement surpris ! Ne sachant que faire, ils laissèrent l'objet s'approcher doucement, le dévisageant du regard. L'automate vint alors se placer contre la herse et s'arrêta net. Le mécanisme continuait à faire "tic tac, tic tac tic". Les gardes curieux s'en rapprochèrent et tendirent l'oreille. Le tic tac ralentissait, jusqu'à disparaître totalement. Et au moment où les gardes se regardèrent dans les yeux, l'engin explosa ! La porte fut littéralement broyée par l'explosion ! Ainsi, Velfirin et d'autres survivants à l'épidémie, purent s'enfuir par la brèche avant que des renforts de la garde n'arrivent...

* La recherche d'une retraite paisible

Plus aussi vif qu’auparavant, il entame malgré tout un nouveau voyage difficile vers l’Ouest, espérant rejoindre la Capitale du Royaume Central dont il avait tellement entendu parler. Après de nombreux jours, il découvrit enfin la majestueuse citée. Il s’y installa, désireux d’y finir ses jours. Rapidement remarqué de par ses compétences, il devint traducteur et conseiller d’un grand marchand célèbre durant plusieurs années.

Hélas, enfin âgé de 59 ans, son passé le rattrapa brutalement… Des Monachistes extrémistes envoyées par le Sovitelija le capturèrent dans l’optique de lui faire avouer son attachement aux phalangistes, suite à la construction d’un lieu de culte pour leur divinité. Il nia avec conviction mais fut tout de même radié de l’ordre des Monachistes pour cette dissension.

Velfirin fut ensuite dépossédé de tous ses biens. Des Monachistes au service du Sovitelija qui ne l’aimait guère, le torturèrent toute une année avant de le vendre à des marchands d’esclaves.

Lors d'un marché dans la Capitale, sur une petite place pavée, ornée de quelques cyprès, s'érige une structure de bois, dans le but d'accueillir une importante vente d'esclave, placée sous l'égide des Monachistes. Les 28 autres esclaves furent vendu, dont un à prix d'or ! Mais Velfirin était toujours là, dans une cage sur l'estrade. Il valait mieux qu'il soit vendu plutôt qu'il reste entre les mains de ces extrémistes religieux, d'autant plus qu'il n'était pas apprécié par le dernier Sovitelija. Et fort heureusement, un marchand d'esclave passait par là... Curieux. Il demanda davantage d'informations au sujet de l'homme grisonnant dans cette petite cage. Le Monachiste chargé de la vente lui garanti qu'il s'agissait d'un grand intellectuel. Qu'il savait lire, écrire, parler plusieurs langues, et même concevoir des bâtiments ! Très intéressé, l'acheteur potentiel s'approcha de lui, et lui demanda quel était son nom... Aucune réponse ne sortie de la bouche de Velfirin, qui avait alors un regard complètement vide et sans âme avec une bouche grande ouverte et baveuse sous une barbe grisonnante et salie. L'acheteur était sceptique et négocia son prix. Vieux et fatigué par ces dernières années de souffrance, les monachistes n’urent pas un bon prix de lui...

* Une nouvelle vie en Esperia

Après avoir été vendu sur le port d'Esperia par Gwylonna, Velfirin entame un travail d'esclave auprès des familles Phareste et La Flêche. Acheté environs 25 EO par un certain Shahab, il reste à leur entière disposition.


Chronologie

452 (8 Janvier) : Naissance à Roskilde
462 : Décès d'Anita, la mère de Velfirin
464 : Décès de Trojjinn, le père de Velfirin, dans une rafle Phalangiste
464 (Décembre) : Voyage vers Golvandaar sous protection d'un moine monachiste
465 : Modification de son prénom à la demande de son protecteur : Velfir devient Velfirin
475 : Scribe et traducteur au Conseil des sages du Valtuusto
478 : Assistant du Sovitelija
481 : Premier chantier important, arrêté par la crise politico-religieuse de 488
487 : Anobli par le Sovitelija. Ajout de la particule "Daa" devant son nom.
488 : Intégration annulée dans la Corporation des Architectes pour dissensions politiques
489 : Quitte la vie politique et entame un voyage vers le Sud et l'Hura
508 : Second chantier important, arrêté par l'épidémie de Tuberculose. Il entame alors un voyage vers l'Ouest et la Capitale
507 : Conseiller et traducteur d'un marchand célèbre de la Capitale
511 : Rattrapé par son passé, la conspiration des Monachistes et du Sovitelija le mène vers l'esclavage
514 : Arrivée sur Esperia


Ecrits

Vers 500 : Traité d'Architecture - Relatant des techniques d'érection d'édifices religieux. Ouvrage introuvable censé être à la bibliothèque de Golvandaar