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Vital Pytniss4.jpg


RolePlay :



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     Pytniss Vital
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
ZELLpproduction
Pseudo
Vital
Prénom IRL
Louis
Âge IRL
14







Vital Pytniss

Description

Identité


Nom: Pytniss


Prénom: Vital


Âge:17 ans


Taille: 1c81


Poids: 61Kg


Nation:Nation Adaarionne


Rang:Esclave


Arrivée:19 Septembre 513

Vital Pytniss5.jpg

Physique

Maigrichon, une couleur de peau mâte, mais pâle due à son aspect blafard. Habitué à la solitude il est réservé, ne parle pas trop et est très timide. Il peut s'avérer très philosophe dans l'âme lors d'un jour de Thermidor où il va s'isoler sous un arbre, la plume et le parchemin à la main. Il a des cheveux bruns, recouverts aux extrémités par la crasse. Il est né lors d'un jour de Brumaire en 496.

Talents

Il est compréhensif envers les autres. Il peut se rendre très utile dans une relation amicale pour peu qu'il en ait eue et sait être doux, minutieux et sage.

Défauts

Très impulsif par moments, rempli d'un grand manque de confiance en lui, il se laisse souvent aller... et divague rapidement vers de nouveaux horizons : son propre monde. Il envisage souvent beaucoup de projets mais son manque de convictions l'empêche toujours de leurs faire voir le jour.

Intérêts culturels et goûts

Le dessin, la chasse, la nature et les animaux. Il crois en l'Arbitrio, pour sûr il respecte toutes les religions et croyances.

Compétences

Grille Boussole.pngMinutie: Il aime la perfection.


Grille Poche d'Encre.pngDessin: Pour lui, tout objet dans ce monde est digne de se faire dessiner par la main d'un artiste.
Grille Théier.pngConnaissance de la flore: La nature ? Il l'appelle Maman.
Grille Pierre Sculptée.pngSculpture: Je ne t’oublierais jamais Colin.


Grille Tableau.pngCréativité: Les maisons dans les arbres, les divers pièges construits ainsi que l'envie de réussir lors de ses moments de solitude on beaucoup développé sa créativité.

Grille Diamant.png Grille Diamant.png Grille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.png

Les rencontres...

Ses maîtres


Phoenix Skÿrn

Andrea Franzone

Elduin

Bjarndÿr l'Ours


Ses amis


Eryka Deglass

Grille Diamant.png Grille Diamant.png Grille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.pngGrille Diamant.png


Histoire

Je n'étais qu'un enfant


- J'y arriverais...

Je n'avais alors que 3 ans, je me souvient de ces vagues images qui me tourmentent la tête.

Je rentrais à la bicoque que mon père avait construit où vivaient ma mère, mes grand-parents, lui et moi. C'était une journée magnifique de Janvier. Ma grand-mère et moi étions partis ramasser deux ou trois pissenlits dans un champs voisin. Une journée qui débutait plutôt bien hormis le fait que mon grand-père était alité, légèrement malade.

-Nous arrivons, regarde la maison ! Me dit ma vieille à lunettes, avec un sourire quasiment sans dents.

Elle avait raison, sa vue n'était plus nette comme auparavant mais elle arrivait bel et bien à entrevoir dans les verres sales de ses lunettes, la silhouette de notre logis. L'odeur du bouillon habituel du Vendredi que ma mère nous préparait parvenait jusqu'à nos narines : une magnifique soupe au carotte et aux oignons. Un délice ! L'odeur s'accentuait au fil de nos pas, qui eux ralentissaient sous le poids d'une intense chaleur. Il faisait tellement chaud, longtemps qu'il n'avait plus fait tel. - Ah regarde fiston ! nous y sommes. J'aurais voulu lui dire que ces gens qui étaient là étaient des étrangers, et que les flammes qui scintillaient et reflétaient dans les verres de ses lunettes n'étaient pas artifice.

Je me souvient vaguement... ma mère qui court vers moi, qui hurle en me disant de faire demi-tour. De partir loin. Peut-être un dernier "Je t'aime" avant qu'elle ne s'écroule à son tour au sol.

Ma grand-mère me déposa dans une botte de foin qui longeait le chemin, pour me cacher. Je ne peux expliquer la suite. Je n'étais qu'un enfant.

Je fut réveillé par le hennissement d'un cheval, et ramassé par un homme âgé à priori, à en croire sa pilosité importante et sa petite bedaine. Il m'installa dans un des sacs que portait son cheval, ils étaient tous deux bourrés de magnifiques jouets en bois.

-Au galop !cria t-il. Sa voix retentissait, en un son écorché sans doute dû à l'abus de la pipe.

Le tas de cendres où j'avais été élever et éduqué malgré de faibles moyens, n'était plus. Et ma famille, sans doute perdue.

Le cheval galopait à une vitesse folle, ma petite tête dépassait d'un des sacs et le vents flirtait avec mes cheveux. Je ne m’étais jamais aventuré aussi loin auparavant, sans doute parce qu'il n'y avait que ma grand-mère pour m'accompagner lors de nos sorties et que ses sabots de bois, confectionnés par mon père, l'auraient fait souffrir.

-Hoooooooo! Du calme.... L'étalon arrêta sa course.

Le vieillard attacha son cheval à une barrière non loin d'un abreuvoir et d'un petit monceau de paille. Il me pris dans ses bras, et attacha les deux sacs dans sont dos. Il sentait le poisson ou du moins, une odeur désagréable pour mon petit nez. Il me fit entrer sous les grincements de la porte en bois dans une chaleureuse petite maison en pierre. Assis sur un canapé en piteuse état, rongé par quelques mites ou rats, il me regarda dans les yeux.

-Bienvenue chez toi, je suis Colin, Colin Pytniss. Tu ne dois pas avoir de nom et comprendre un seul mots de ce que je dis...Il riait sous sa barbe. Tu t’appelleras Vital. Sauvé de la vie. Et tu porteras mon nom.

Je riais à mon tour.

Je n'étais qu'un enfant...


Je le ferrais !


-J'y arriverais...

J'ai maintenant 12 ans, et je viens de passer mes 9 années de vie commune avec Colin en cette saison de Brumaire. Je l'aide à faire ses tâches ménagères car il n'a pas de femme, d'ailleurs il n'en à jamais eu. Je le considère comme mon père, je lui dois tout. Il m'a sauvé la vie étant enfant et je m'en souviendrais toujours. Depuis peu il m'enseigne quelques une de ses connaissances littéraires et l'alphabet, bien que je sois borné, et ne comprenne rien.

Après le soupé de ce soir, ou la lune est belle comme jamais et est visible de partout, Colin me couche, dans ma chambre: une petite pièce éclairée par le halo d'une petite lampe à pétrole, qu'il éteint après une de ses histoires. Il m'en racontait souvent, entre les vapeurs d'alcool qui flottaient dans la maison.

-Demain, j'ai besoin de ton aide fiston. C'était la première fois qu'il m’appelait fiston. Un bisous sur le front. Mes yeux se ferment.

Les oiseaux chantent, et par la même occasion me réveillent. Il fait beau aujourd'hui malgré une légère couche de brume à même le sol. Je descends au rez-de-chaussée ou m'attends un petit déjeuner digne d'une grande personne. Des œufs brouillés, du bon pain chaud et croustillant ainsi qu'une tranche de lard acheté au marché de la ville. Une longue et dure journée m'attend, je ne sais pas encore dans quel domaine je vais devoir m’exercer mais je préfère énormément les travaux manuelles, à l'apprentissage écolier.

-Tu as bien mangé ?

-Oui, suffisamment.

Je range la table en écorce de bois, puis me dirige vers une commode usée par le temps pour me changer. Une fois prêt, je sors par le jardin à l'arrière de la maison.

-C'est simple, ce que je te donne, tu le mets dans la charrue. Nous monterons à Kraanvik pour marchander.

J'étais ravis à l'idée de l'aider, tout se que nous entreprenions ensemble d'ailleurs m'excitais. Après un tas de marchandise monté dans la charrue : comme du pain, du bois et quelques jouets, il me montra comment seller son cheval, ce que je fis et appris rapidement à faire.

La journée passa très vite, et la nuit arriva à grands pas. Ma journée en ville avait été pour moi quelque chose d'enrichissant. J'ai pu discuter avec quelques nobles et j'ai rencontré quelques bourgeoises : toutes bien habillées. Je ne devais pas faire bon profil avec mes loques trouées, sales et pleines de transpiration. Je n'avais pas un sous sur moi et quand je voyais les autres enfants de mon âge courir et jouer ensemble ou même donner la main a leurs parents, j'avais une petite boule au ventre. Je ne connaitrais sans doute jamais ça. Et mis à part suivre Colin et le voir rater toute tentative de vente, je ne l'es pas plus aidé en ville.

Comme tous les soirs mon lit m'attendait, enfin ce soir là c'est plutôt moi, qui était impatient de le retrouver. J'étais bel et bien fatigué. Je ne sentais plus mes bras. Aussitôt couché, mon sommeil m'emporta.

J'ai 14 ans . Colin est malade je ne sait de quoi, je fais de mon possible pour entretenir la maison. J'ai beaucoup appris sur la confection et la sculpture de jouets en bois. J'ai même créé mes propres jouets, j'ai beaucoup mûri, j'aimerais en connaitre plus sur mon histoire avant que Colin ne parte, car un jour cela arrivera.

J'ai 17 ans . Colin est mort, bénit soit-il. Je le remercie pour tout ce qu'il a fait pour moi. Dès-lors je dois en savoir plus sur mon passé. Et,

Je le ferrais !


Nous sommes arrivés.


-J'y arriverais...

Le décès de Colin m'a bouleversé. Je veux en savoir plus sur mon passé. Il fut un temps, il m'avait raconté d’où je venais et ou il m'avait trouvé. C'était mon histoire préférée.

Je prends les provisions qu'il me faut : quelques pommes et du pain dur, en espérant trouver une étable pour la nuit. Je selle le cheval de Colin, désormais mien.

-Nous partons !

Je dois traverser la forêt en suivant les sapins, la je trouverais l'emplacement exact de mon ancienne maison et peut-être quelques explications.

Mon étalon galope à une vitesse folle, et je me revois enfant, dans le sac de jouet lors de ma première rencontre avec Colin. J'ai beaucoup grandi maintenant, j'ai pris de l'assurance et du caractère.

Dans la forêt tous les arbres se ressemblent, mais pour moi le chemin ne m'était pas inconnu, la nature me parlait ! C'est de là que je venais, j'étais passé par là, sans doute me disait-elle bonjours pour la deuxième fois, et essayait de m'indiquer mon chemin. Je décide de faire une pose à l'ombre d'un châtaigner. Je ramasse quelques fruits et bois un peu d'eau. Malheur ! Je m’étais encore égaré dans mes pensées et la nuit commence à tombée. Je n'ai pas le temps de dire "Ouf" que, je me sent à nouveau en apesanteur sur mon cheval.

Au loin, de la lumière. Sans doute une auberge frontalière. Colin me parlait souvent de ces auberges, elles étaient fréquentées par les pires bougres de nos terres. Je décide de m'y rentre, rien ne me fait plus peur. J’attache mon cheval à un pieu solidement planté dans le sol et lui donne un peu d'eau.

-Tu l'as bien mérité. Marmonnais-je.

Quand aussitôt.

-Hey toi ! Viens par là. Ou va tu comme ça ?

Je pris peur, et accouru à l'intérieur de l'auberge sans réfléchir. Une dame avec un joli jupon très court me salua à l'entrée. J'avais envie de vomir, pas a cause d'elle, non, elle, était très charmante ; mais à cause de l'odeur et l’atmosphère qui était renfermée ici. Au mur, on pouvait voir des toiles d'araignées, perchées sur un liquide verdâtre dont je n'osais même pas imaginer la composition. Au fond dans un coin des matelots piaillaient et chantaient, bras-dessus bras-dessous en buvant de la bière couleur pisse. Ici régnait une ambiance euphorique. Les vitres étaient salle, on ne pouvait voir à travers et une couche épaisse d'une aphrodisiaque poussière, recouvrait les quelques meubles rongés, sur le point de s’effondrer. Alors que mon regard était attiré par ce sol en planches humides, d’où sortaient par les joins de la mousse et des insectes, mon esprit lui était attiré pas tout autre chose. Je n'avais pas pensé à prendre une pièce. J'avais laisser toutes les économies de Colin sur un meuble et je n'y avais pas touché.

J’aperçois une petite table ronde au fond de la salle et je m'y rends, dans le but de réfléchir un peu. On vient me proposer une bière, mais je suis trop jeune pour toucher a ce genre de choses, je décline la proposition.

RhuuuumRhummmmm. Une personne entra dans la salle. L'atmosphère était comme assombrie. Les matelots ne chantaient plus et c'est comme si les insectes étaient retournés se cacher dans leur trou. Je ne voulais pas faire attention à cette homme, je ne voulais prêter attention à personne. Mais lui, me voulait-il quelques choses ? Il s'approchait de moi d'un pas lent et assourdissant. Il se posa sur le tabouret qui me faisait face, et d'une voix roque et basse.

Bonsoir, monsieur Pytniss. Ravis de faire votre connaissance. On m'a beaucoup parlé de vous. Et je suis ici en ami, pour vous aider.

-Qui êtes-vous ? Il me connaissait. Personne ne pouvait me connaitre, je n'étais quasiment jamais sorti avant. Je sais que Colin communiquait par lettres avec des gens, en secret, mais je ne vois en aucun cas pourquoi il aurait parlé de moi.

-Qu'importe, je vais te raconter... L'homme n'était autre qu'un ami, oui, un correspondant de Colin. Mon père adoptif avait pensé à tout et redoutait le jour de sa mort, le moment ou j'allais réellement me poser des questions. A vraie dire cet homme savait tout, toute mon histoire, il avait pris de l'avance sur ce que j'allais entreprendre de faire. Et il me fit part de tout.

Il s'avère que mon père était endetté, les nombreuses lettres que l'inconnu avait avec lui me le prouvaient. Notre famille était menacée par une sorte de mafia, qui n'avait pas sû attendre plus longtemps. Les malfrats avaient voulu détruire tout ce qui faisait partie de ma famille, c'est à dire mon père lui même, ma mère, mes grands-parents, la maison. Mais ils avaient oublié un détail, le nouveau né.

-Moi ?

-Oui, toi.

Colin voulait mon entière protection.

Et vous, pourquoi êtes vous ici ? Je me posais de plus en plus de questions sur mon avenir.

Je suis la pour te ramener d’où tu viens. Tu ne dois pas te faire remarquer. Montre moi ton bras gauche.

Je m’empressais de lui faire découvrir la tâche de naissance que j'avais sur le bras.

Ce n'est pas une simple tache de naissance, tout les membres de note famille en ont une.

Il était de me famille? Comment pouvais-je le croire. Tout collait parfaitement. C'était le scénario parfait.

-Le temps passe et les dettes ne sont pas payées, si l'on t’aperçois, on se ferra un plaisir de te capturer pour te mettre à mort. Le temps est compté.

L'homme se leva, retroussa ses manches et sortit de la taverne sans même un au revoir. Je voulais savoir qui il était. Je me levais à mon tour et me dirigeais vers la sortie. Le bougre ! Il avait pris mon cheval, il était parti. J'étais bel et bien cerné, et coincé ici. Sans argent je ne pouvais rester. Il me fallait un abris. Je longeais la route à pied exténué, il fallait que je dorme. Il y avait une petite prairie non loin ou l'herbe me paraissait bonne a y vivre. Je n'avais pas le choix je devais y passer la nuit.

Le lendemain matin, j'y voyais plus clair, rien que par la lumière du jour. Les frontières ? Je voulais une vengeance, savoir par qui avait tué les miens. Je devais m'y rendre, qu'avais-je à perdre. Ma dignité ?

Je marche, Je marche à n'en plus finir. Si ! A en arriver au bout de la forêt, en ville. Je m’étais trompé de chemin. Je n'avais plus aucun but. Je trainais des pieds et arpentais les ruelles... en tapant au coin de rues les quelques cailloux qui étaient sur les pavés. Avant de me faire cogner...

Je me réveille en cellule. Tout était aller très vite... L'inconnu voulait sans doute réellement m'aider... J'ai des maux de têtes à n'en plus finir j'ai une plaie ouverte derrière le coup : elle suinte.

Un garde s'approche. -Bien longtemps qu'on attendait une tel prise. Tout le monde te croyais mort et, comment aurait pu survivre un marmot dans ton genre ?! Fils de bucheron, va ! Je saurais te reconnaitre entre mille. Le même visage que ton père. Tu vas rembourser les dettes que ton père a laissé trainer durant toutes ses années. Tout le monde payerait un prix fort, pour un beau et charmant jeune esclave de 17 ans ! Dit-il d'un air moqueur.

Il se rua vers le trou de la serrure de ma cellule et l'ouvrit. Il entra, sortit son épée et me donna un petit coup sur ma caboche, bien abimée. J'étais tombé raide.


-Et puis je suis sûr que maintenant, tu te retrouves dans ce bateau avec moi ? Murmura le gringalet à côté de moi.

-Et oui, je suis ici maintenant, bien détruit par les événements.

-Ha, regarde je crois que...

Nous sommes arrivés.

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Hors RolePlay :

--Vital 21 septembre 2013 à 17:55 (BST)