Utilisateur:Wulfadorn

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher

La vie, Qu'est ce que la vie.

Border2px.png


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     200.png
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Lynx297
Prénom IRL
Tristan




Personnage wulf.jpeg

Caractère:

Wulfadorn est un homme heureux mais toujours marquait pas la mort de son frère.Il est calculateur, il n'ira pas au combats sans avoir une chance de gagner. Wulfadorn cherche des amis sur qui comptait en toute occasion.

Physique:

Wulfadorn est grand pour son âge, bâti comme un guerrier, il fait souvent peur au gens qu'il croise. Il a des courts cheveux noires et des yeux gris-bleu. Il s'est infliger une cicatrice en souvenir de son frère sur son épaule gauche. C'est pour cela qu'il ne tient sa pioche que de sa main droite. Il peut porter de lourde charge. Mais Wulfadorn s'emporte rapidement lorsqu'il rate quelques choses ou que quelqu'un l'embête.

Qualités:

  • Curieux: Wulfadorn cherche à découvrir de nouvelles choses.
  • Sérieux: lorsqu'il commence un travail, il le finit.
  • Courageux: Par moment.

Défauts:

  • Dévoué: Wulfadorn est dévoué à sa religion et n'hésite pas à interrompre une conversation ou un travail pour prier.
  • Maladroit: le matin, quand il est mal réveillé tombe souvent du lit.
  • Rancunier: si quelqu'un lui manque de respect, il n'hésite pas à lui crier dessus.
  • Calculateur: Il ne ment que pour se couvrir lorsqu'il a fait quelque chose de grave.
  • Curieux: Lorsqu'il cherche à apprendre, il se met souvent dans le pétrin.
  • Boudeur: Parfois il s'enfuit longtemps sans donner de nouvelles.
  • Gourmand: Il adore les plats fait maison.





Mes compétences :

-Force: Il a travaillé dans la mine de fer de son père pendant plus d'un an ce qui a accroît sa force.

-Survie: Ayant passait plusieurs mois à traquer l'assassin de sa famille, il a développé ce sens .

-Endurance: Wulfadorn a réussit quand il avait 18 ans à miner pendant 7 heures ce qui est un exploit pur lui.

-Minéralogie: Il l'a travaillé en minant pour son père.

-Alphabétisation et calcul: Wulfadorn a étudié pendant 10 ans dans l'Abbaye D'odense.



I.Le commencement

Border2px.png

Par le passé, mon père était à la cour d'Huratelon. Il était le conseiller personnel du Seigneur d'Huratelon mais il dut quitter son poste haut placé en épousant ma mère, qui était une Ostatnise et il partit fonder une petite ville minière près de Luthe, et c'est grâce à l'argent qu'il avait gagné en étant conseiller qu'il put acheter la mine de fer qui nous rendit si riche. C'est en l'an 494 que je suis né dans la ville de Luthe qui se trouve dans la région de Steirtal. Je me prénomme Wulfadorn. Mon frère naquit en l'an 502. On l'appela Artos. Nous avions la plus grande maison de notre ville. Elle était toute en pierre taillée faite par les meilleurs architectes Huras. En hiver, je me rappelle encore de cette magnifique couleur bleuâtre que prenaient les murs de notre maison quand je jouais avec mon frère dans la neige. Et les repas chez moi étaient un vrai régal. Le plat le plus savoureux qu'elle faisait était le poulet rôti aux patates, je prenais toujours une cuisse de poulet. Pour les deux ans de mon frère, je lui ai offert un collier qui était fait en or et en fer mais ce collier représentait pour nous deux notre fraternité .Mon père voulait me montrer ce qu'était la vie et décida de m'envoyer à l'Abbaye d'Odense alors que je n'avais que 6 ans. Après trois jours d'attente un convoi arriva pour me chercher. Le convoi était composé de 6 moines-chevaliers et ils m'emmenèrent jusqu'à l'abbaye d'Odense. L'Abbaye était magnifique, un bijou architectural créé par les plus grands architectes de tout l'Ancien monde. Un des moines chevaliers me montra ma chambre : c'était une chambre qui avait pour seul mobilier une armoire en chêne brut et un simple lit. Pendant 5 ans, j'étudiais ,m'entraînant chaque après-midi au combat à main nu et à l'épée mais je préférais lire les récits chevaleresques des Huras qui racontaient leur périple. Lors de ma 2ème année à l'Abbaye, je me suis lié d'amitié avec Miralor,qui était une personne de confiance mais lorsque nos dix années d'apprentissage se terminèrent, nous nous jurâmes amitié et nous partîmes chacun dans notre famille. Mon chemin de retour dura 3 mois au cours desquels je ne pouvais pas m'arrêter tellement j'avais hâte de retrouver ma famille, ne m'arrêtant que pour manger ou boire. Je suis arrivé chez moi fatigué et heureux de retrouver ma famille. Je serrais mon frère dans mes bras, fou de joie de le revoir, ainsi que mon père, et j'appris que ma mère était morte 3 ans plus tôt. En apprenant ça, je m'enfuis et je ne revins que 2 jours plus tard. « Maintenant tu es prêt, » me dit mon père en me voyant revenir. Après mon retour de l'Abbaye, il décida de m'envoyer travailler chaque jour dans la mine de fer. Le matin j'allais couper du bois dans les forêt qui bordait notre ville et l'après-midi, je minais. J'aurais très bien pu refusé de miner mais d'un coté je me disais que ça m'occupait et au fur et à mesure je sentais mes muscles s'épaissirent et ma force s'accroître. Au bout de 1 ans de minage, je pouvais miner pendant 7 heures d'affilée tellement mon endurance avait augmenté. Puis un jour un homme arriva. Il était grand avec des yeux verts et des cheveux bruns souillés et dit à mon père de vendre sa mine. Mais mon père refusa alors l'homme dit à mon père qu'il aurait des nouvelles des esclavagistes et cet homme partit avec son cheval noir. Je me rappellerai toujours son visage avec son expression de colère. Mon père me dit que tout allait bien se passer mais un an plus tard mon père et mon frère furent assassinés et j'eus juste le temps de voir le visage de l'assassin avant qu'il ne s'enfuit à travers champs (mais ce visage je le vois encore dans mes rêves ). Je pris dans mes bras mon père et mon frère criant leur nom et maudissant les esclavagistes. J'étais fou de rage en rentrant dans la maison qui avait abrité ma famille. La rage était mon seul sentiment, je cassais les tables, explosais les chaises, je pensais même à en finir avec la vie, qu'est ce que j'avais à y perdre? Rien me disais-je mais tout à coup je vis le collier de mon frère qui dépassait de sa chemise, je m'approchais calmement de son corps et je lui enlevais alors le collier avec tendresse de son cou. Ce collier me donna alors un but : tuer l'assassin de mon père et de mon frère. En embrassant ces derniers , je donnais un nom à ce collier : «Blutirache »(qui signifie dans une langue très ancienne : « La vengeance sanglante »). Je payai alors un messager pour qu'il dise à Miralor d'aller à Luthe, le plus rapidement possible. Ensuite je rentrai dans la maison pour remplir ma bourse d'or et je trouvai dans le coffre de mon père une douzaine de lingots d'or qui pourraient me servir dans la traque de l 'assassin. Je les rangeai dans mon sac en y ajoutant des vêtements de voyage. Une fois après avoir rempli mon sac, je déposai le tout devant ma maison et je commençai à emmener les cadavres de mon père et de mon frère dans le tombeau familiale où reposait déjà ma mère. Une fois ce macabre travail terminé, je partis pour Luthe. Dans l'après-midi, j'arrivai à Luthe où je convainquais un éleveur de me vendre son plus puissant destrier. Il me montra un cheval avec une robe blanche et une petite étoile noire sur le front, qu'il me vendit pour 5 lingots d'or. Content de cette achat, je partis heureux. Puis voyant sur ma droite une armurerie, je décidai donc d'y entrer .En entrant dans l'armurerie, je vis une magnifique hache en fer. En la soupesant, je remarquai alors qu'elle était parfaitement bien équilibrée et bien tranchante; ensuite, je pris une dague à manche long qui se trouvait en haut d'une étagère poussièreuse. Ensuite je m'approchai du vendeur et lui payai les armes achetées. Il me renseigna en me disant que la hache avait été appelée « Melox » par son ancien propriétaire. Je lui donnai 3 lingots et le remerciai pour ces précieuses informations. En sortant de l'armurerie, je vis Milanor. Nous nous saluâmes,(depuis la fin de nos études, sa barbe avait poussé et il me semblait plus grand. A son coté droit battait une épée faite de fer et d'un alliage qui m'était inconnu) et je lui expliquais pourquoi je lui avais demandé de me rejoindre à Luthe .Comme il était d'accord de venger ma famille, nous partîmes donc pour Lauderfelt au galop. Nous galopâmes pendant 5 jours ne nous arrêtant que pour manger , boire ou dormir. Lorsque nous dormions les nuits étaient glaciales. Le seul souci majeur que nous ayons eu pendant ce voyage fut une attaque de deux misérables brigands qui ne firent pas le poids face à moi et Miralor. Une fois arrivé à Lauderfelt, je m'approchai d'un vendeur et je lui demandai s'il avait vu l'homme que je lui montrais sur une feuille qu'un peintre m'avait peinte à partir d'une description que je lui avait faite. Le vendeur me dit qu'il lui faudrait au maximum 3 jours pour trouver mon homme.

II.La vengeance

Border2px.png

Lors de mon deuxième jour d'attente, mon informateur me rejoignit. Il avait beaucoup d'informations sur le mystérieux assassin. Il m'apprit le lieu où je pourrais le trouver, une taverne mal fréquentée qui se trouvait près de la prison de Lauderfelt. Il me dit que l 'assassin y allait chaque jour. Comprenant que l'assassin ne s'enfuirait pas, je payais mon informateur et je partis avec Milanor dans l'auberge la plus proche. Ne perdant pas de temps, nous nous dirigeâmes directement vers l'aubergiste : - « Avez-vous une chambre à louer pour la nuit, aubergiste? »lui demandais-je -Oui,monseigneur mais la nuit coûte 7 pièces d'or »,me dit-il Je lui donnai tout de suite l'argent demandé. « Merci », me répondit-il et il m'emmena vers la chambre, où moi et Milanor dormirions. La chambre était composée de deux lits et d'une armoire. Après avoir déposé nos sacs et nos armes, nous descendîmes boire un vin au miel. C'était la première fois que nous en buvions. L'aubergiste avait dû l'acheter au marché noir mais je n'osais pas le lui demander par peur de provoquer des soupçons. Le vin avait un goût doux et frais mais il ne me semblait pas que ce vin soit pur car il avait un goût d'hydromel. Une fois que chacun eut terminé sa chope, Milanor paya le vin et nous partîmes nous coucher. Le lendemain, nous étions prêt à venger ma famille. Je payai le patron de l'auberge et nous partîmes pour la taverne. Le plan était simple, Milanor bloquerait la porte pendant que moi je m'occuperais de l'assassin. En approchant de la taverne je fus pris de vomissement car la puanteur que je sentais était horrible. Je levai la tête, et je vis une gigantesque forteresse qui semblait être une ancienne prison impériale mais elle était laide et sale. Miralor et moi entendîmes alors ce que nous redoutions,des cris de souffrances et de terreur venant de cette forteresse. Ne faisant pas attention, nous nous dirigeâmes vers la taverne. Une fois dedans, tout alla bien mais nous avions un but à accomplir. En attendant que l'assassin vienne, nous mangions du pain blanc avec de la bouillie de fèves de légumes. Le fameux assassin arriva dans la soirée, il était vêtu d'une cape de voyage noire et d'un pantalon marron avec un gilet rouge bordeaux mais son visage lui n'avait pas changé : toujours sombre et sans émotion. Dès que l'assassin était entré, Milanor s'était dirigé vers la porte et s'était placé de façon à bloquer toute tentative de fuite. Moi, je me dirigeai d'un pas sûr vers l'assassin, lorsque que je ne fus plus qu'à trois pas de lui, je dégainai ma dague et la lui enfonçai dans le ventre en le regardant dans les yeux et je lui dis : « Dis Bonjour à tes ancêtres ! » et il mourut mais ses yeux, quand je le regardais à ce moment-là, étaient remplis de peur. Une fois ma vengeance terminée, j'offris une Bière Noire à Miralor et je le remerciai de m'avoir aidé.

III.La mort d'un ami

Border2px.png

Nous n'eûmes pas le temps de terminer notre bière que des esclavagistes et des gardes arrivaient. Mais comment avaient-ils été avertis si vite? Dans la taverne, il n'y avait personne à part un ivrogne, l'assassin qui était maintenant mort, moi, Miralor et le tavernier. La dernière fois que j'avais vu le tavernier, il se tenait au comptoir mais il n'y étais plus. J'avertis Miralor que c'était le tavernier qui avait averti les esclavagistes. Sachant que nous ne pourrions pas sortir vivant de cette taverne, il me confia un secret qu'il gardait depuis longtemps. Il me dit donc : « Wulfa, j'ai quelque chose à t'avouer. -Oui, qu'as-tu à me dire mon ami ? -Quelque chose que je t'ai cachée depuis que nous étions à l'Abbaye d'Odense, ça concerne ma famille. -Oui. Qu'a ta famille? Elle est en danger ? -Toute ma famille est morte, il y a de cela 15 ans. J'avais 2 ans lorsque c'est arrivé .Je ne me rappelle plus de certains détails mais ce que je sais,c'est que tout mon village natal a brûlé à cause de ces misérables esclavagistes . -Mais alors où es-tu allé après l'Abbaye ? -J'ai réussi à me faire adopter par une famille de nobles qui voulait un enfant. -Mes sincères condoléances pour ta famille mon ami . -Merci, et donc en ce jour, je te demande de venger nos deux familles en tuant ces esclavagistes !! -Vengeons nos familles et si nous mourrons autant mourir les armes à la main ! -Préparons nous !! » Nous commencions à nous préparer. Je rengainai ma dague et je sortai ma hache de son étui pendant que Miralor barricadait la porte et dégainait son épée . Les esclavagistes étaient là. Ils commençaient déjà à enfoncer la porte, elle ne tiendrait pas très longtemps. Nous étions prêt au combats. Dès que la porte craqua, les esclavagistes se ruèrent sur nous. Nous tranchions, tuions mais nous ne tenions pas longtemps car ils nous surpassaient en nombre. Ils nous capturèrent et nous emmenèrent devant leur chef. Surprenant nos adversaires, je donnai à Milanor ma dague et il poignarda le chef des esclavagistes avec elle. Fou de rage, ils tuèrent Milanor et me gardèrent prisonnier. Je pleurais pendant 5 jours sans m'arrêter, pleurant mon ami disparu qui était à mes yeux mon frère.Ils m'avaient tous pris même le collier de mon frère. Ils m'emmenèrent jusqu'à un endroit les yeux bandé puis avant que je ne m’évanouisse, je sentis l'air marin.