Utilisatrice:Krystal

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Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

     Krystal Sombre-Coeur
Informations RP
Genre
Femme
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Métier
Métier
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Origines
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Région d'origine
Nation d'origine
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Caractéristiques

Information

Nom et Prénom: Krystal "Sombre-Coeur"

Age: 17 ans

Lieu de naissance: Golvandaar

Taille: 1,70m

Poids: 50Kg

Date de naissance: Imprécise

Compétences

Survie.jpgSurvie: Avoir chassée seule pendant toute son enfance et son adolescence lui a permis d'acquérir un très fort instinct de survie.

Faune.pngConnaissance de la faune: À force de tuer une proie en la suivant, elle a finit par apprendre à quoi ressemblait les empreintes laissé sur le sol.

Endurance.jpgEndurance: De longue journée à marcher seule dans la forêt, pour suivre une proie trop rapide, jusqu'à ce qu'elle s'endorme.

Combat.jpgCombat: Elle n'est pas un as du combat comme les combattants de métier, mais il lui est très utile de savoir manier un arme, pour sa propre protection au cours de ses chasses périlleuse. Elle maîtrise:

  • L'arc à flèches: Apprennant très vite à se servir d'un arc pour abattre les animaux qu'elle poucahssait, il lui fallu tout de même un long moment avant de pouvoir la manier avec une extrême précision.
  • Le couteau de chasse: Le couteau de chasse, aussi grand qu'une dague, lui fut très utile lorsqu'il lui fallu achevé les animaux une fois tombés au sol, pour ensuite le dépesser.

Elle manie un arme pas plus gros qu'une dague au corps à corps et elle se défends bien lorsqu'elle est attaquée de loin. Ceci dit elle ne peut tuer un humain qui sait comment se défendre et se battre (combattant).

Alphabétisation.gifAlphabétisation et Calcul: Malgré le fait qu'elle n'en ait pas vraiment besoin pour son métier ses parents l'on obligée à aller l'école au cas ou elle aurait besoin de gérer une boutique.

Description

Caractère

Krystal est une personne connue pour son très grand cœur, mais aussi parce qu'elle très difficile à démystifier. Sa confiance ne peu être acquise par n'importe qui, mais une fois ses défenses percées à jour, on peut remarquer une très grande ampathie evers les autres. De plus elle est très impulsive, et elle parle de son père et de sa mort.

Physique

Son visage est parsemé de tache de rousseurs très petites, elle a de grand yeux bleus azurs, les lèvres charnues et d'un rose foncé, désirable. Elle arbore fièrement la natte, qui lui tombe parfois dans le dos, mais qui retombe souvent sur le côté gauche, ses cheveux sont brun chocolat et souvent en bataille. Elle mesure près d'un mètre soixante-dix, son corps est assez bien défini pour une jeune femmes de dix-sept ans. Dotée de forme très généreuse, elle pourrait être califiée de bourreaux des coeurs.

Talents

Pendant de longues chasses, Krystal a acquérit la talent pour manier les armes, soit les arcs et les épées en acier. De plus, elle sait se servir d'une canne à pêche, sans en être experte elle s'en sert très bien.

Connaissance

Arsenius: Arsenius fut le premier amour véritable de Krystal. Elle se sentait attirée par lui, d'une manière ou d'une autre elle s'avait que son destin était d'être avec lui, malgré les épreuves. Le jour de son retour lorsqu'elle appris qu'Arsenius avait fait des choses horribles, son amour fut mis à rude épreuve, justement. Pendant quelques temps sa relation avec Ars' se détériora, mais Krystal décida qu'elle ne pouvait pas rester loin de lui et qu'il lui fallait pardonner à Arsenius ses agissements, comme le reste d'Esperia. Mais malgré ses douces paroles et ses résolutions, le couple que formait le Dominaen et Krystal s'est rompu. Comme tout ce qui est beau et fort... Ayant perdu confiance en Arsenius son couple se détériora causant sa perte. Le chagrin que vit maintenant Krystal est immense. Mais peut-être reviendront-ils ensemble par le plus grand des miracles...

"Une vie vécu dans l'excès, se retrouve gachée à jamais..." Krystal -Citation de son journal


Sven: :  Sven, est un ami de confiance comme il s'en fait peu de nos jours. Elle le rencontra par l'entre-mise d'Arsenius, bien sûr. Il fut un pilier dans le bon rétablissement psycologique de Krystal, il fut très présent poûr elle lorsqu'elle en eu besoin, il lui offrit un toit lorsqu'elle se retrouva à la rue et lui offrit son amitié lorsqu'elle se sentait seule. Krystal sais très bien qu'elle a une dette envers cet homme et qu'elle lui sera toujours redevable.   


Necko:


Marcus Loinvoyant:  Marcus, fut tout d'abord le Maître de Krystal, puis il fut avec le temps un peu plus que ça il s'avera être un ami. Un allié dans l'adversité.


Myyrh Frae Kemaltar: 


Neiyel:

Histoires

Ses écrits, récits et souvenirs

JournalOuvert.jpgJournal d'une "Sombre-Coeur"

L'Avant Esperia

L'histoire de son nom

Provenant du nom de "scène" de sa mère, une "gitane". Elle voyageait de long en large de l'ancien monde passant d'un petit village à une grande ville. Le surnom, "Sombre-Coeur", fut adoptée par Krystal, quand elle découvrit pendant son adolescence une affiche comportant le nom de sa mère et ce saubriquet pour le moins funestre. Les parents de Krystal furent d'abord en désaccord avec sa désicion;celle-ci fut de porter le nom de "scène" maternel, ils furent obliger de changer d'avis quand le surnom pris en ampleur et que Krystal se mit à faire des malheureux à travers la ville, grâce à ses yeux doux et à ses charmes typiquement féminins...

Son Histoire

Pendant une chaude journée de mai, j’étais toujours dans les bois à la recherche de petit gibier, malgré le fait que l’aube avait déjà point à l’horizon il y avait quelques heures. D’habitude je ne m’autorisais jamais le luxe de rester dans les bois quand il y avait déjà du soleil. J’étais donc accroupie, sur un rocher tapis de moisissure verte, lichen, à penser à ce que je pourrais bien faire avec mon père lors de son marchandage habituel avec les gens les plus louches de la ville, quand j’entendis à travers les bois des cris déchirant. Je me levai donc prestement et partis à la course en direction des cris. Je venais d’arriver devant la source des cris quand je réalisai que j’étais devant ma petite maison, si durement gagné par mon père. Je me précipitai à l’intérieur pour y trouver ma mère et ma petite sœur de 13 ans en pleurs. Frénétiquement je cherchai mon père du regard. Quand ma sœur leva un bras et pointa la porte arrière de la maison, j’accouru prête à tout sauf à ce que je vu ce matin-là. Mon père était assis sur une chaise cham branlante. Il était mort. Je m’appuyai contre le mur pour reprendre mon souffle et mes esprits je ne comprenais pas pourquoi on l’avait assassiné. Plus tard dans la journée, j’ouvris l’échoppe où nous vendions de la viande bon marché pour les moins riches, parfois même nous faisions du troc contre des marchandises dont nous avions éperdument besoin. J’allai dans le fond de l’échoppe pour y vider les deux lapins que j’avais tué au matin, puis j’accrochai les deux carcasses sur des crochets pour qu’ils soient à la vue de tous. Dans la soirée, je m’apprêtais à fermer quand deux hommes assez étranges, plus que d’habitude, s’approchèrent et me lancèrent quand ils furent assez proches pour que je sois seule à entendre : « Combien pour ton corps ma mignonne? » J’affichai aussitôt un air déconcerté, puis je leur crachai à la figure : « Trop cher pour que l’un de vous deux, messieurs, puisse l’acheter. » Sur ce je fermai l’échoppe et je retournai chez moi.


Cela fait presqu’une semaine que mon père est décédé. Je crois dur comme fer que c’est à cause de ce qui est arrivé la veille de sa mort. Je me rappelle clairement que deux hommes étaient entrés dans l’échoppe et que mon père m’avait demandé de garder l’avant pendant qu’il s’entretenait avec les messieurs. Je l’entendis à plusieurs reprises crier, mais comme il n’était pas un homme à blasphémer aucun juron ne sortit de sa bouche. Je crois bien que tout cela à un lien, mais je n’ai aucune idée de quelle manière. Cette après-midi ce tien un mémorial en l’honneur de mon père, pour sur je n'y serai pas je vais laisser ma mère y aller avec ma soeur. Je ne suis vraiment pas d'humeur à aller parler de qui était mon père.Je vais probablement, aller à la taverne à la place, regarder des lourdeaux se tomber dessus et se frapper pour des conneries. Une fois à la taverne, je commandai un verre d'hydromel et j'attendis que les trois heures d'éloges funèbres soient terminées. Je remarquai du coin de l'oeil que deux hommes entrèrent dans la taverne au moment même où je terminais mon verre. Je me levai et m'en allai quand l'un d'eux me plaqua contre le mur près de la porte, celui qui n'était pas écrasé sur ma poitrine dit: « COmme on se retrouve, belle demoiselle... » Je ne pus répondre à cette remarque, il fut encore bien beau si j'arrivais à inspirer de temps en temps. Je tentai de repousser le lourdeau appuyé contre moi, quand le deuxième me pris par l'avant bras et me susura: « Viens on va parler. » Par obligation je le suivi au comptoir. Je dû parler longuement avec ces deux hommes, il était très tard quand je demandai à prendre congé de ces messieurs. Je rentrai chez moi à pieds, loin de me douter que cette soirée-là, puisqu’il était bien tard quand je me rendis compte de l’heure, aurait été pour moi la dernière en ville et que le petit déjeuner que j’ai pris ce matin avec ma famille serait le dernier. Parce que sans m’en apercevoir j’étais suivie. Quand je m’en rendis compte il était trop tard tout était déjà fait, la machine était lancée. Un des hommes m’assomma par derrière avec je ne sais trop quel objet et l’autre se plaça devant moi ce qui lui assurait que la dernière image que j’aurais serait celle de son visage, un visage dont le pu s'écoulait par des blessures non traitées, dont il manquait un oeil, le droit, et dont on pouvait sentir l'haleine de chair en putréfaction à des kilomètre à la ronde. Et avant que je n’aie pu fermer les yeux et perdre connaissance, les deux hommes me dirent :« Finalement ton corps n’aura pas été trop cher, puisque tu nous appartiens désormais. » Sur ces paroles je m'endormie avec un affreux mal de crâne...


Lorsque je fus réveillée par un faisceau de lumière aveuglant, je pris conscience que je n’étais plus chez moi et que c’était pour de bon. Je tentai de me lever et je remarquai que j’avais les pieds et poings liés, je pris donc le temps de regarder autour de moi, j’y vis des centaines de personnes assise dans la même position inconfortable. Je tendis l’oreille pour voir et tout ce que j’entendais furent des gémissements et des pleurs saccadé. Je me retournai du mieux que je le pus et je tentai de parler à la femme qui se tenait à côté de moi. -Chère dame, que faisons-nous ici? J’ai une famille à retrouver, ils doivent s’inquiéter pour moi. Elle me regarda, avec un regard affreux avant de me cracher au visage : -Mais vois-tu pas que ta famille, t’en a plus désormais! T’es rien qu’une bonne à rien d’esclave à présent! Prestement, je compris pourquoi mon père avait été assassiné. C’était par ma faute, les hommes voulaient probablement m’acheter à bas prix et mon père avait refusé et maintenant qu’il était mort les hommes avaient pu m’enlever en toute tranquillité. Je tentai une approche plus sympathique, malgré le fait que je déteste parler, avec un petit garçon d’à peine 10 ans qui pleurnichait. Je tendis les bras, malgré mes entraves aux poignets pour l’en envelopper. Aussitôt il leva la tête en criant : « Maman! C’est toi! » Et son sourire revint, mais quand il me vit à la place de sa mère chérie son sourire disparu. Un peu déçu je lui répondis : -Désolé, mon trésor je ne suis pas ta mère, mais pourrais-tu me dire où ils comptent nous emmener? Il secoua la tête et se remit à pleurer. Je n’avais pas vraiment avancé dans mes recherches en tout cas… Je tentai tant bien que mal de m’endormir un peu jusqu’à ce que j’y renonce définitivement pour manque de place et de confort. Le lendemain matin, un des hommes qui m’avait agressé annonça que Ledgris viendrait nous chercher dans moins d’une heure pour partir à Esperia. J’en étais tout à fait déconcerté. Esperia, mais c’est loin, c’est le nouveau monde, je crois… Je me mis à trembler de terreur à l’annonce de cette nouvelle. Un peu plus tard dans la journée, deux gardes et Ledgris, l’homme dont on nous avait parlé tout à l’heure, se pointèrent avec les genres de lances –Je ne peux pas dire que je suis doué dans ce qui attraient aux armes corps à corps- ils aidèrent certaines personnes à se relever et les poussaient dans le dos pour qu’ils avancent plus vite. En fin d’après-midi, nous étions tous montés dans le dirigeable de Ledgris de gré ou de force pour certains et nous étions prêts à partir.

Même sur le dirigeable, tout le monde pleurnichait, pour si ou pour cela. Je n’en pouvais tout simplement plus, j’aurais préféré qu’on m’abatte tout de suite que d’avoir à endurer, ces mous du ventre. Moi contrairement aux autres, malgré la faim, la peur et le désespoir, je ne laissai aller aucune larme visible, bien sûr que j’avais le cœur brisé de devoir quitter ma famille sans même leur dire au revoir ou encore qu’elles aies toutes deux pu se remettre de la perte de père, mais on ne m’a pas laissé ce petit luxe. Je laissai, donc de côté mes émotions pour laisser paraître la femme endurcie que je suis. Plusieurs fois pendant la traversée, j’entendis des gardes qui passaient près de moi murmurer : « Tu crois qu’elle va pleurer un jour? » ou encore « Elle fera une magnifique esclave! Tu sais? ». Par contre je ne revis pas Ledgris de toute la traversée excepté au moment de l’embarcation. Plusieurs jours avaient passés et je n’avais toujours rien avalé, excepté de l’eau de temps à autre que l’on nous envoyait au visage pour nous garder éveillés. Peut-être croyez-vous que nous étions sous le soleil à nous faire griller, bien détrompez-vous! Nous étions attachés aux chevilles et aux poignets dans plusieurs cages communes, dans une salle sous les salles où ils conservaient la nourriture, nous baignions dans les excréments de ceux qui étaient à nos côtés et plusieurs d’entre nous sont morts de maladies dues à cette insalubrité. Par contre, je tins le coup, pour ma sœur, Rubis, et pour ma mère. Pendant toute la traversée, je priai mon dieu, Arbitrio, pour qu’Il me sorte d’ici saine et sauve. Non, Il ne me fit pas sortir littéralement pour que je retrouve ma famille, mais Il m’aida à sortir indemne de ce voyage d’enfer. Le voyage en tout, dura à peu près un mois, je crois, disons que je ne comptais pas vraiment les jours. Mais quand les gardes crièrent à travers une porte épaisse, puisqu’ils n’osaient même plus mettre les pieds dans toutes ces crottes, que nous étions au-dessus du lieu d’atterrissage, j’implorai le ciel pour m’avoir aidé à survivre et du même fait j’adressai quelques mots pour ma famille et je pris une grande inspiration. Dès que les gardes ouvrirent la porte et celle de la cage pour nous aider à sortir je courus à l’extérieur, malgré les entraves que j'avais aux poignets j'avais réussi à défaire les cordes qui me liaient les chevilles et j’inspirai, cette fois l’air ne sentait pas la décomposition, nous volions au-dessus d’une magnifique forêt. Quand je m’évadai, les gardes ne tentèrent même pas de m’empêcher de sortir. L’un d’eux même cria aux autres : « Laissez-la, elle ne s’enfuira pas! Elle a fait trop d’effort pour survivre jusqu’ici! » Et il avait raison, je n’avais pas fait tout ça pour me faire transpercer par une lance une fois arrivée…

Premier Jour

Lors de son arrivée, elle a été vendue comme Esclave à Marcus Loinvoyant.