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| + | ''Sa garde à [[Odense]] était loin d'être de tout repos. Même si l'ordre et le respect sont de mises, il persiste quelques bras-cassés. Les Commandants leur réservent bien souvent des tâches manuelles qui nécessitent le moins de réflexion possible. Hagen se trouvait justement dans l'une de ses sections. Ce qui le rendait différent à [[Lauderfelt]] le rend tout à fait normal ici. Il n'est qu'un garde ayant suivi un entraînement basique, incomplet et dont son seul atout était sa détermination. Les journées étaient longues, l'ennuie, la monotonie, il fut affecté à la porte du rempart Sud, rempart dont il se souviendra pour avoir passé trois années à surveiller.'' | ||
| + | ''Se ravisant sur son utilité, il se décida à franchir cette porte qu'il avait autrefois gardée. Son service pour le [[Seigneur d'Huratelon]] terminé, il mit fin à sa garde, devenant un vagabond marchant vers les terres du Sud. Sa servitude lui avait apporté ennuie, fatigue et illusion. Dans sa marche il s'arrêta dans les villages qu'il traversait et proposa ses services pour le travail aux champs. L'esprit troublé, le travail des champs lui offrait le gîtes et le couvert avant de marcher vers un autre hameau.'' | ||
| + | ''Après une rencontre fort intéressante, il se convertit à la parole du Créateur, l'[[Arbitrio]]. Convaincu que sa servitude envers ce nouveau Seigneur lui offrirait plus que n'importe quel autre servage, il se reconvertie à un nouvel ordre, une nouvelle idéologie, celle de servir un Dieu.'' | ||
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Version du 10 août 2014 à 11:52
"Vojak a Opod."
Prénom : Hagen Nom : Ehrlich, nom attribué par sa signification : Homme Honnête
Age : Vingt-sept ans
Née le : 13 Septembre 487 à Lauderfelt
Taille : Un mètre soixante-douze
Poids : Soixante-dix-sept kilogrammes
Religion : Culte de l'Arbitrio selon les rites Phalangiste
Langues parlées : Langue courante (Capitalin), l'Hura (Langue Natale)
Description
Origines : Reclus dans les quartiers pauvres de Lauderfelt, les paysans n'avaient guère d'autres choix que de cohabiter avec les esclavagistes et les autres pourritures qui vivaient du malheur des autres. Les personnes pouvant affirmer qu'ils étaient en sécurité se comptaient sur les doigts d'une main. Souillée depuis plusieurs siècles, l'ancienne prison avait laissé place à un véritable désordre. Seul la crasse, la puanteur, l'insécurité et la mort étaient réservées à ces gens de bas fond, ceux qui peinaient à se nourrir.
Derrière les taudis, derrière les remparts qui servaient de frontière, s'étendaient les demeures de nobles, véritable forteresse d'où des cris incessant d'esclaves meurtris à coup de trique s'entendaient jusqu'aux extrémités de la ville. Deux mondes bien différents qui n'étaient dirigés que par une seule chose : la corruption. À défaut d'avoir une garde ou une milice compétente, la loi du plus fort s'imprégnait dans la routine.
Loin de tout ça, perdus dans la masse, l'enfant aux cheveux de jais naissait, gémissant déjà pour avoir le sein de sa mère. Cadet d'une famille de cinq garçons, le jeune Hagen travailla avec ses frères dans les champs pour aider leur père. Fils d'un paysan et d'une mère poule, sa vie se résumait à un éternel choc entre le feu et la glace. Éduqué avec les principes et les anciennes valeurs phalangiste qui font la fierté des Hura, le jeune Hagen se voit contraint de quitter son foyer à l'âge de douze-ans afin de supprimer une bouche à nourrir dans la famille. Son enrôlement marqua un changement radical de sa personnalité, la curiosité fit place à la droiture, l'agitation à l'obéissance et l'obstination au respect, le préparant à un nouvel idéal : la justice. Il se rattacha à cette pensée, prouvant sa détermination et n'agissait plus que pour elle. Établi dans un ordre nouveau, Hagen monta lentement dans l'estime de ses supérieurs pour devenir un simple garde.
Formé depuis de longue année dans son idéal, Lauderfelt devint une ville haïssable de part les esclaves mais aussi sa puanteur, sa propreté. Il n'y a rien à espérer de la propreté d'une ancienne prison tenue par des esclavagistes. Un sol suffit amplement, les murs ne sont pas nécessaire pour les esclaves, ils n'ont rien à cacher ou tout simplement une pratique pour les humilier d'avantage en offrant leur vie pitoyable aux restes du monde. Naïvement il tenta à plusieurs reprises de rétablir un ordre et une justice en ces lieux sans résultat et sans aide. Bien que la cause défendu était louable et la difficulté à laquelle il devait faire face pour la mettre en place, aucune tentation ou hésitation, sur le fait d'abandonner, le firent se raviser à un quelconque moment. Déterminé et gardant l'espoir, Hagen continua à se battre pour son idéologie. Finalement, après de nombreuses tentatives, vaines, il se résigna à partir à Odense, ville réputée pour être le berceau de l'ordre et de la justice dont il espérait pouvoir se reposer, un peu.
Sa garde à Odense était loin d'être de tout repos. Même si l'ordre et le respect sont de mises, il persiste quelques bras-cassés. Les Commandants leur réservent bien souvent des tâches manuelles qui nécessitent le moins de réflexion possible. Hagen se trouvait justement dans l'une de ses sections. Ce qui le rendait différent à Lauderfelt le rend tout à fait normal ici. Il n'est qu'un garde ayant suivi un entraînement basique, incomplet et dont son seul atout était sa détermination. Les journées étaient longues, l'ennuie, la monotonie, il fut affecté à la porte du rempart Sud, rempart dont il se souviendra pour avoir passé trois années à surveiller.
Se ravisant sur son utilité, il se décida à franchir cette porte qu'il avait autrefois gardée. Son service pour le Seigneur d'Huratelon terminé, il mit fin à sa garde, devenant un vagabond marchant vers les terres du Sud. Sa servitude lui avait apporté ennuie, fatigue et illusion. Dans sa marche il s'arrêta dans les villages qu'il traversait et proposa ses services pour le travail aux champs. L'esprit troublé, le travail des champs lui offrait le gîtes et le couvert avant de marcher vers un autre hameau.
Après une rencontre fort intéressante, il se convertit à la parole du Créateur, l'Arbitrio. Convaincu que sa servitude envers ce nouveau Seigneur lui offrirait plus que n'importe quel autre servage, il se reconvertie à un nouvel ordre, une nouvelle idéologie, celle de servir un Dieu.
Aptitudes
Combat :
- Épée : Normal
- Dague : Inexistant
- Marteau de guerre : Inexistant
- Arc : Inexistant
- Hache de guerre : Inexistant
- Mains nues : Amateur
Alphabétisation
Possession
Le bouclier du Monastère : Renforcé par Martin avec de l'acier sur les rebords. Conçu et modifié pour mêler légèreté et résistance. Fait en bois de sapin et d'une épaisseur de deux centimètres. Du cuir épais et durci est aussi appliqué à l'intérieur du bouclier comme seconde couche d'une épaisseur d'un centimètre.
Les formes sont réfléchies pour permettre de protéger la grande majorité du corps et de pouvoir riposter tout en ce protégeant notamment avec les ouvertures en demi-lune. Ces ouvertures laissent suffisamment de place pour placer une lance tout en protégeant la personne derrière. Ainsi le porteur ne se met plus en danger lorsqu'il veut riposter. Un atout considérable car il permet une économie de mouvement et donc d'énergie.
Le bas du bouclier, en forme de pointe, assure la possibilité de pouvoir enfoncer la bouclier dans un sol terreux, permettant à son porteur de pouvoir faire barrage et d'augmenter la résistance produite lors d'une attaque frontale.
L'épée aux 5 Sangliers : Une épée courte et légère, unique, en fer forgé. En forme de pointe, elle facilite les attaques d'estocs et la perforation des cuirasses, et/ou des mailles, comparé à une pointe courbée ou large. La lame possède une gouttière qui offre une réduction du poids générale et un équilibre de la lame.
La garde est solide et légèrement recroquevillée en direction de la lame. La fusée est fait en bois de noyer, le forgeron a pris le soin de la poncer et d'y inscrire quelques ornements décoratifs. Le pommeau quant à lui est de forme triangulaire et offre à son porteur la possibilité d'assommer une personne avec la technique adéquate.
