Utilisateur:Logan transi

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NOM DE VOTRE PERSONNAGE

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Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
LoganTransi
Âge IRL
20













Description

jeune femme aux cheveux roux d’une taille moyen, environ 1,70m, elle a de très beaux yeux d’un vert éclatant et un teint de peau pêche. c'est cheveux sont long et légèrement ondulé. Son moral est, pour l'instant, assez bas et elle n'aime pas le contacte avec les gens. Ceci s’explique quand on sait ce qu'elle a vécu.

Compétences

étant fille d’un marchant, elle sait, donc, calculé et écrire. Car, oui ! Un marchant ne sachant pas calculé ou écrire n’est pas un marchant ! Dirait son père.

Sa mère lui appris la connaissance de la flore et l’alchimie. La pauvre défunte aurait aimé que sa fille devienne une épouse exemplaire qu’elle puisse soigner toute sa futur famille et époux.


Talents

Défauts

Intérêts culturels et goûts

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

RolePlay :


[Le Début]


Etait-ce obligatoire que cela arrive à ma famille ? Qu’avions-nous fait à Arbitrio pour mériter une telle chose ? Mon père… Ma mère… et pourquoi suis-je la seule à avoir survécu ? Je suis consciente… j’entend le bruit de l’eau et je sens le mouvement que fait un bateau sur la mer. Et pourtant je n’ai pas envie d’ouvrir les yeux… je sens qu’il y a d’autre personne autour de moi. Certaine pleur d’autre murmure… il y a une atmosphère lourde. Pensent-ils que je suis morte ?

Je suis là… sans bouger repensant au « comment je suis arrivé ici ?» essayant de trouvé explication à toute cette histoire.

[FLASH BACK]


- Mère ! Mère j’ai un cadeau pour vous !

J’étais rentré, en fanfare, au stand les mains occupées par un petit chiot noir et blanc que j’avais trouvé, par hasard, dans la ville ou l’on s’était arrêté pour vendre. Mais, bizarrement, personne n’était au stand.

- mère ?

Je fis le tour de notre place pour voir si elle n’était pas derrière mais rien ni personne ne s’y trouvé. Où pouvait-elle bien se trouver ?

Je ne m’inquiétais pas pour mon père pour la simple et bonne raison que je savais qu’il avait tendance à « faire une analyse des compétences de vente des autres marchands » comme il aimait à dire. Si l’on devait traduire, cela se ferait d’un simple mot… « Espionnage ». Mais, que mes parents laisse le stand sans surveillance avec tout nos article dessus… La j’avais du soucie à me faire.

J’ai, donc, rebroussé chemin dans la ville pour essayer de voir si je repérais l’un de mes parents. Je traversais les rues regardant à gauche et à droite voir même essayant de sauter pour voir par dessus les épaules de certain géant.

Et puis…

[FIN FLASH BACK]


Et puis plus rien, je n’arrivais encore pas à me rappeler de ce qui c’était passé. Et pourtant, une larme coula sur mon visage. Comme si mon inconscient, lui, se souvenait de ce qui c’était passé.

- Petite, tu t’es, enfin, réveillé ?

Je n’ouvris pas les yeux mais lui fit, discrètement, un signe de la tête pour lui répondre.

- pendant un moment j’ai crue que tu étais morte… Une si jolie fille… c’est dommage que tu en sois arrivé la…

à ses mots, tout mon être se mit à trembler et mon esprit fut assaillit d’images de phrases les unes plus malsaines que les autres.

Je me suis mis à sangloter, puis à pleurer plus fort jusqu'à hurler… j’étais en état de choque. N’auraient-ils pas pu, simplement, me tuer comme pour mes parents ? Pourquoi m’avoir fait subir cette torture ? Ces sévices corporels purement… Je n’ai pas même les mots pour décrire ces actes tant ils sont horribles.

Je continuais à hurler… à passée de l’état de pur colère à celle de dépression intensive et vis versa. Les gens, autour de moi, me sommaient d’arrêter de me calmer mais je ni arrivais pas tant j’étais sous le choque de ce que je venais de me souvenir.

C’est la, que J’aurais préfère tout oublier même jusqu'à mon nom.

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RolePlay : [Un Marché empoisonné]

- Mère ! Mère j’ai un cadeau pour vous !

J’étais rentré, en fanfare, au stand les mains occupées par un petit chiot noir et blanc que j’avais trouvé, par hasard, dans la ville ou l’on s’était arrêté pour vendre. Mais, bizarrement, personne n’était au stand.

- mère ?

Je fis le tour de notre place pour voir si elle n’était pas derrière mais rien ni personne ne s’y trouvé. Où pouvait-elle bien se trouver ?

Je ne m’inquiétais pas pour mon père pour la simple et bonne raison que je savais qu’il avait tendance à faire « une analyse des compétences de vente des autres marchands » comme il aimait à dire. Mais, que mes parents laisse le stand sans surveillance… La j’avais du soucie à me faire.

J’ai, donc, rebroussé pour essayer de voir si je les repérais. Je traversais les rues regardant à gauche et à droite voir même essayant de sauter pour voir par dessus les épaules de certain géant.

- mais ou sont-ils passé ?

Le petit chien que je portais, de puis tout ce temps, commencer à se débattre. Evidemment, se faire secouer dans tout les sens, n’est pas agréable et cela pour tout le monde.

Je le pose par terre et continue ma route et passant dans chaque rue du marché. Mais, toujours rien. Mon stresse monte et je commence à paniquer.

Oui, nous n’avions pas beaucoup d’ennemie mais cela suffisait à me faire imaginer le pire. Soudain, j’ai crue entre apercevoir ma mère. Je rejoins ce que j’avais vue et en lui touchant l’épaule, je me rend compte qu’ils ne agissait pas d’elle.

- pardon…

Ou étaient-ils passés ? La question restait sans réponse. Je fis, alors, demis tour pour retourner au stand.

Une chose me marqua, bizarrement, inconsciemment. Plus j’arrivais à notre baraquement, plus les rues étaient vides.

C’est alors que j’aperçu trois hommes, d’une grande taille, portant des vêtements sombres. L’un d’eux, avait une bague en or sertie d’une émeraude tailler en une étoile à huit branches.

Ils me regardèrent et s’approchèrent de moi d’un pas assuré ce qui m’effraya intérieurement. Je recule doucement voyant que le porteur de la bague souriait de manière peut accueillante. Et de la c’est la page noir.

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RolePlay : [Aujourd’hui]


Une course poursuite, une chute dans la boue… on m’attrape par les cheveux et je tente de me débattre de toutes mes forces mais on m’assène un coup puissant à la tête.

Je reprend conscience quelque temps après… mais combien de temps c’était-il écoulé ?

Je n’ose pas ouvrir les yeux... j’ai peur de ce que je pourrais voir, de ce que l’on pourrait m’infliger. Une larme coule sur ma joue. Puis une autre la suis et ainsi de suite. J’avais froid et la pièce, ou l’on m’avais mise, était humide et la pierre froide. J’entendais que le vent pouvait traverser par une fenêtre et qu’à l’extérieur il pleuvait à grosse goute.

J’entends une personne rire. Elle a la voix grave et qui porte loin. Malgré tout, je ne discerne pas ce qu’elle dit. Et puis, vient le bruit de pas assuré et puissant accompagné par un son qui venait d’un trousseau de clés.

Puis, se que je craignais arriva. Le cliquetis sinistre de la clé dans le verrou, le grincement de la porte qui s’ouvre en grand et ça voix… grave qui, bizarrement, était douce quand il murmurait. Sa main caressa ma joue et passa sur mon coup descendant toujours plus bas. Je me suis crispée pleurant encore plus. Je savais ce qui allait m’arriver… Mais, je ne pouvais plus bouger tant la peur m’avait paralysé.

Il commença à déchirer mes vêtements tendit que j’essayais de disparaître, le plus profondément possible, dans mon être pour ne pas sentir, ni vivre ces horreurs. Je devins alors comme une marionnette… Une marionnette liégeoise qui aurait été confier à un fou au mental débraillé. Et puis la page se teinta en noir avec des goutes de sang et mon esprit s’évanouie.

Je ne sais pas combien de temps cela aura duré… mais je sais, qu’a mon réveil, j’étais dans ce bateau à la destination qui m’est inconnue.