Utilisateur:Lucie

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     Lucie D'Arsonval
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
rosoquet
Pseudo
Lucie













Lucie D'Arsonval

Description

Lucie est une jeune femme de 23 ans qui garde l'esprit joueur, elle commence a être gêné de l'attention que l'on lui porte sur Esperia. Lucie a un corps svelte, élégant et grand pour son age, elle a le teint plutôt pâle car elle ne passait guère de son temps au soleil durant son ancienne vie...

  • Né le : 23/05/490
  • Taille : 1m74
  • Poids : 60 kg
  • Religion : Monastère adaarion

Compétences

  • Grille Livre et Plume.pngAlphabétisation et calculs :

Ayant vécu dans un monastère, elle y fut instruite par les moines.

  • Grille Laitue.pngConnaissance de la Flore :

Vivant à la campagne depuis son enfance, elle avait l’habitude de passer beaucoup de temps à se promener dans les forets alentours.

  • Minutiecompas.pngMinutie :

Instruite à travailler minutieusement, Lucie sera toujours très minutieuse lors de ses différents travaux.

  • Grille Seau d'Eau.pngAlchimie :

Pendant sa jeunesse au monastère, elle côtoyait beaucoup le moine scientifique qui lui apprit les sciences et lui donna ses secrets sur la création de remède.

  • Comp Agilite.pngAgilité :

Après avoir fugué du monastère lors de ses 17 ans, Lucie rejoint une bande d'happe-bourse de quartier qui lui apprirent donc à être agile pour ses futurs vols.

Qualités

  • Discrète
  • Joueuse
  • Meneuse
  • Ambitieuse

Défauts

  • Curieuse
  • Traitre
  • Avare
  • Méfiante

Amis déclarés


Melk Wolyn: Wolyn lui a déclaré sa flamme, elle l'aime beaucoup mais elle n'est pas encore sure de ses sentiment pour lui...


Fredrik Numminen:Fredrik est la personne qui c'est occupé le plus d'elle, elle l'apprecie beaucoup, elle renonça à son désir d'apprendre l'art du crochetage pour lui...

Ennemis déclarés

Histoire

Là ou il y a un début il y a aussi une fin...

C'était la veille de mon 9eme anniversaire, moi et ma famille étions regroupés pour le souper dans notre modeste ferme dans la campagne du royaume du centre. En cette période brumaire, il faisait froid alors ma mère nous avait préparé un potage de champignon frais. Depuis mon enfance j'avais vécu en compagnie de ces deux seules personnes, mon père était bucheron et ma mère travaillait à la ferme...

Nous vivions sur une terre appartenant à un des Bourgeois de la Dione. Chaque fin de mois, mes parents devaient se serrer les coudes pour payer le loyer imposé. Depuis quelques mois mes parents payaient le loyer avec de plus en plus de retard et le Propriétaire de la ferme menaçait de les expulser par la force.

Comme à son habitude, le Bourgeois propriétaire du terrain vint nous voir à la fin du mois pour réclamer son du. Mes parents étaient donc la à l'attendre. Contrairement à d’habitude où mes parent m'obligeait à rester dans ma chambre lors de cette rencontre peu joyeuse, j'étais parti me promener dans la forêt.

Lorsque je revins à la ferme j’aperçus le propriétaire accompagné de deux gardes en cas d'éventuel problème. Pour éviter de déranger la conversation, je rentrai en sautant la clôture derrière la maison, atteins la façade puis me faufilai jusqu'à la fenêtre de la cuisine là où l'arrangement était en train de se passer. Je tendis donc l'oreille et écoutai. Apparemment cette fois si le Bourgeois n'était pas venu réclamer le loyer. Soudain, j'entendis un cri et je me hissai sur le rebord pour observer la scène: Les deux hommes de main du Bourgeois venaient de saisir mes parents pour les emporter en prison. Je me retrouvai donc à la rue sans parent ni oncle capable de me loger.

Je marchai pendant plusieurs jours avant de trouver une demeure appartenant au Monastère Adaarion ou je puis me refugier. Les moines prirent donc en charge mon éducation ainsi que ma spiritualité, je me rapprochai aussi d'un moine plus ou moins scientifique nommé Péondir qui m'apprit les rudiments de l'Alchimie.

Cinq années passèrent, je m'étais bien intégrée dans le monastère, je connaissais presque tous les moines. Je me sentais chez moi, j'avais oublié mon passé et au mois d'avril un nouveau orphelin âgé de 11 ans arriva pour, comme moi vivre dans ce monastère. Il se nommait Walfrid, ce fut le début d'une longue amitié...

A la Taverne... De nouveau seul.

Il y a 5 ou 6 mois, j'atteins mes 17 ans. Walfrid et moi avions fugué du monastère pour trouver du travail à Andessa, Ville ou j'avais gardé certain contact. Walfrid avait maintenant 14ans, il avait bien grandi depuis notre rencontre au monastère. Les moines avaient toujours formellement refusé le fait de partager nos chambres. Le seul moment où l'on pouvait se voir était celui de la messe ainsi que celui de la promenade en forêt, ce qui ne nous empêchait pas de nous retrouver en cachette lors de la sieste des moines pour nous raconter notre journée. Apres 2 semaines de marche nous étions enfin arrivés à la ville d'Andessa. Andessa était une plaque tournante de l'esclavagisme mais cela nous importait peu, nous étions ici pour faire affaire !

Walfrid et moi, nous nous dirigions vers une taverne ou j'avais la certitude de trouver quelqu'un vers qui nous tourner Walfrid lui se contentait de suivre et d'admirer la ville. Andessa était une ville ayant fait de sa spécialisation la production d'argile et de sel des marais salins. Elle possédait une caserne de mercenaires capables de lancer des expéditions ayant pour but de ramener des esclaves vivant de l'autre coté de la frontière.

Nous nous déplacions en direction de cette taverne ayant pris place dans un ancien moulin à eau. Le bâtiment était vieux mais inspirait la bonne humeur. A peine étions nous rentrés dedans qu'un troubadour nous accueillit et nous demanda d'où nous venions. Je me contentai de lui raconter brièvement mon histoire tandis que Walfrid passa bien trois quart d'heure à raconter la sienne. Le troubadour écouta, émerveillé, son récit. Je remerciai le troubadour de sont accueil et poursuivi ma route vers le comptoir où au préalable j'avais donné rendez-vous à un homme se nommant Valter. Walfrid n'était pas au courant car à l'inverse de moi il préférait faire tout à l'improviste.

Valter arriva à l'heure fixée 5 minutes en retard mais cela importait peu: il était sensé nous aider à intégrer sa bande d'happe-bourse. Walfrid et moi ne connaissions pas grand chose dans le domaine mais Valter nous avait juré qu'après quelques semaines de pratique grâce à notre jeune âge nous serions comme des fantômes vidant les poches de toutes choses précieuses. Nous entamions donc la conversation et Valter commanda une bière avant de nous expliquer ses critères de sélection:

Il fallait être agile et débrouillard... accepter de partager sa récolte avec les autres et en cas de problème avec le gouvernement jurer de ne pas dénoncer le groupe.

Etre happe-bourse n'était pas de tout repos car lors du "travail" le risque qu'une personne remarque notre acte prématurément nous hantait, nous et le reste de la bande. Walfird se lia d'amitié avec un autre garçon âgée de 15 ans appelé Corkil. Il passait dorénavant leur temps libre et une certaine rivalité c'était installée entre eux. Je me retrouvai donc seule encore une fois comme lors de la perte de mes parents...

Moins seul mais aussi moins Libre.

Voila maintenant 6 ans que Walfrid et moi vivions dans le grenier d'une auberge d'Andessa. Nous avions grandi, j'avais maintenant 23 ans et Walfrid 20. Le grenier était aussi occupé par le reste de la bande d'happe-bourse. En réalité ce grenier n'avait rien d'un grenier avec tous les trésors entassés au fil des années. Le grenier était tapissé et du parquet avait été mis en place; Des cloisons en torchis suivaient le tracé des poutres, des chambres de 3 lits avaient été construites. Je vivais dans la mienne en compagnie de Walfrid et de son ami Corkil. Les 5 autres chambres étaient toutes pleines. Il ne restait de la place que dans seule chambre pour d’éventuels nouveaux happe-bourse. Une Cuisine rudimentaire avec un chauffaud ainsi qu'un four à bois avaient été installé, la salle à manger y était voisine. Nous y vivions comme chez nous. Le matin on se levait tôt pour aller vider les poches au marché. Ensuite, c’était le tour des poches à la sortie de la mine vers midi, puis en fin de journée celles de la taverne. Le soir tard, nous terminions par celles les plus remplies et les plus faciles quand la garde se baisse.

Un beau jour de Thermidor, je me levai plutôt fatiguée du travaille de la veille.

Il y eu une fête dont Walfrid et moi devions nous occuper. La fête ayant finie plus tard que prévu, beaucoup plus tard, alors notre travail finit également très tard, mais la récompense en valait le coup ! En effet, Walfrid était tombé sur un petit sachet rempli de pépite d'or, ce qui était jusque la notre plus belle trouvaille.

Mais il fallut retourner au travail avec les autres quand ce fut l'heure du marché. Fatiguée, je me réveillai en retard de 15 minutes et secouai dans rapidement Walfrid. Nous nous préparions pour la journée qui nous attendait. Nous courions donc au marché et commencions à faire notre travail. Exténués par la veille, nous ne nous rendîmes pas compte que nous étions en train de fouiller un même gars en même temps sans aucune précaution. Il nous surprit la main dans le sac et ne tarda pas à donner l'alerte alors deux autres gars nous sautèrent dessus. Nous fûmes coincés...

La ville ne possédant pas de prison, elle avait pour habitude de vendre aux marchands d’esclaves les délinquants, et elle ne fit pas exception pour nous. Nous fûmes donc vendus aux enchères lors de la prochaine vente. Heureusement, nous fûmes achetés par le même propriétaire. Cette personne bien quelle soit physiquement différente me faisait penser au bourgeois ayant envoyé en prison mes parents. Une fois l'enchère terminée notre propriétaire nous conduisit les yeux bandés vers un endroit fait de bois humide. Ce lieu se balançait sur lui même ce qui avait le don de me rendre folle. J'en déduis donc que j'étais sur un bateau, mais que je n'étais pas seule. En effet je sentais la présence d'autres personnes proche de moi. Mais une question me trottait dans la tête: -Venais-je de perdre ma liberté ? -Allais-je la retrouver ? -Walfrid était-il ici avec moi ?...