Utilisateur:Malbjorn

Informations RP

Nom

Signus Malbjörn

Genre

Année de naissance

Rang

Esclave

Esclave de

Métier

Métier

Éleveur

Compléments

Origines

Ville d'origine

Golvandaar

Nation d'origine

Nation Adaarionne

Informations HRP

Login Minecraft

lestilercraft

Pseudo

Malbjörn

Prénom IRL

Florian

RolePlay :

Description

Général

• Nom : Signus Malbjörn
• Surnom : Auparavant "AnonymAce"
• Âge : 28 ans
• Dâte de naissance : 15/10/481
• Taille : 1m79
• Poids : 71 kilos
• Nation : Adaarionne
• Ville d'origine : Golvandaar
• Religion : Croyant d'Arbitrio, pratiquant
• Arrivée en Esperia : Le 23 juillet 513.
• Rang Social : Esclave

Traits physiques

Il est de taille moyenne et plutôt musclé sans avoir une carrure imposante ce qui lui permet d'être très souple et silencieux, très bon en escalade. Ses cheveux sont bruns et épais il possède une barbe qu'il laisse pousser ou qu'il fait raser à ras, cela dépend de son envie et de la saison. Ses yeux sont vert olive et sa couleur de peau est mitigée entre le clair et le foncé il tien ça de sa mère qui elle vient du sud et de son père qui lui vient du nord. Il possède un tatouage en haut à droite de son dos, c'est un As de Pique, il fait en sorte de le cacher, ce tatouage est "rayé" avec une cicatrice.

Traits psychologiques

Auparavant il ne vivait que pour une chose, l'argent. La mise en esclavage lui à fait oublié cette tendance, désormais ça ne lui importe peu. Il a toujours aimé être en compagnie de ses amis, l'inconnu ne lui fait pas peur, ce qui fait qu'il tombe souvent dans dans galères impensables, malgré cela il possède une chance qui la suit très souvent. Il n'apprécie gère les nobles et les haut placés. Il aime beaucoup discuter avec les moines ainsi que les Apothis. Il sait se rendre utile, dés qu'il le peu il essaye d'aider son prochain, en particulier ses amis. La lecture et l'écriture n'a plus de secrets pour lui. Malbjorn sais bien se tenir, mais manque de respect de tant à autres, mais avec la chance qui le suit, il n'a jamais eu de gros problèmes. La compagnie des animaux le rend heureux, il se rend très souvent aux enclos pour les observer longtemps. Il aime beaucoup manger et boire, sans tomber dans l’excès.

Intérêts culturels et goûts

La politique n'est pas son fort, pour lui, beaucoup de monde s'en occupe déjà il à autre chose à penser. Il est pratiquant d'Arbitrio, le monastère est pour lui un lieu qu'il rejoint régulièrement, afin de prier, méditer et s'évader.

Compétences

• Connaissance de la faune : Durant sa jeunesse l'expérience de la ferme où il travaillait lui a permis de connaître toutes sortes d'animaux

• Connaissance météorologique : Il a vécu dans 2 régions différentes et un voyage le menant dans les plus hauts pics enneigés jusqu’aux paisibles et chaudes plaines

• Dressage : Tout comme sa connaissance dans la faune, il l’acquis étant jeune en travaillant dans une ferme

• 
  - Agilité : Pendant ses années à Uuroggia, il à pu perfectionner cette compétence, grâce à celle ci il sait incroyablement bien manier la dague

Relations

Amis déclarés

Mewenn

Thaizan Hun

Philip Androix

Sauviage

Fredrik Numminen

Ennemis déclarés

Aucun

Histoire

Chapitre 1 - Le calme avant la tempête

Ce soir en rentrant de la ferme où moi et mon veli travaillons un peu pour nous faire de l'argent de poche, il pleuvait, et cela depuis quelques jours déjà, ce qui était normal puisque nous étions en période Brumaire. Nous étions en train de rentrer chez nous en longeant l'Heimild qui étit en train de déborder, à un moment nous commencions à apercevoir le jardin du Monastère Adaarion et nous le rejoignons pour rendre visite à l'Apothi ainsi que pour prier Arbitrio, dans notre famille nous étions souvent appelés comme des «Hyvin lähellä Arbitrio» ce qui était normal puisque nous étions très pratiquants. Après la prière nous rejoignons Golvandaar. Arrivés en ville, nous gagnons le magasin de notre mère qui commençai à fermer la boutique. Lorsque nous entrions elle nous appela : «Malbjörn, Dervin! Venez nous aider à ranger la boutique !» Nous nous précipitions donc à l'arrière boutique pour voir ce qu'il y avait à ranger. Saliah notre sœur était en train de terminer une bague, une pierre verte et translucide l'ornait, et avec le doigté sublime de Saliah, la pierre était finement polie et s'harmonisait tellement bien avec l'anneau en argent que la bague semblait être une seule et unique pierre. Je vis des outils inutilisés et je commença à les ranger puis mon frère pris un balai et nettoya le sol. Lorsque tout était rangé, notre mère ferma la boutique puis nous prenions le chemin de notre maison. Au bout de 5 minutes de marche nous arrivions chez nous, c'était une maison qui était au bout d'une rue et un peu en hauteur ce qui nous donnait une magnifique vue de la ville ainsi que sur le Monastère Adaarion. Elle comptait trois chambres : une pour nos parents, une autre pour mon frère et moi ainsi que la dernière pour Saliah. Ce qui n'était pas très répandu puisque la plupart des maisons de comportait que deux chambres. Alors que j’allai me laver, mon père arriva, je me rhabillait donc pour aller le voir et lui dire boncyclame, puisqu'il partait très tôt le matin et il ne rentrait pas le midi. Comme à son habitude, il rentrait sale, on ne voyait presque plus son visage il était recouvert de charbon. Je retourna donc me laver rapidement pour pouvoir laisser place à mon père. Puis je mis la table pour le dîner. Le lendemain, moi et mon frère allions jouer près du Monastère Adaarion. Plus tard dans l'après midi, Saliah courait affolée et en pleurs vers nous et elle nous dit en larmes : «C'est Papa ! Il est mort ! Il y a eu un éboulement dans la mine» Sur le coup mon Veli tomba dans les bras de ma sœur en pleurant, mais moi je restait là le regard vide et sans bouger. Sur le coup j'ai cru que tout s'était arrêté, mon cœur était serré puis je laissa couler une larme et je couru voir ma mère.

Chapitre 2 - Un voyage inattendu

Arrivé à mes 27 ans, je quitta la maison. Ma mère était décédée suite à une maladie incurable, ma sœur à repris l'entreprise de notre mère et mon frère lui avait disparu. Je décida donc de refaire ma vie, loin de chez moi je songeas à descendre vers le sud pour rejoindre la capitale puis je finis par choisir d'aller à Uuroggia, je ne savais pas pourquoi il fallait que j'aille là bas, mais au fond de moi ma conscience me disait d'y aller. Ce soir là je pris la carte de ma mère, puis je me dirigea vers la cheminée pour prendre un bout de charbon. Je m'installa sur mon bureau et je dessina mon trajet.

Je choisis donc de passer par la chaîne de montagne au nord de Golvandaar pour rejoindre Krelm et par la suite aller vers l'ouest pour aller à Uuroggia. Je débuta donc ce long voyage pour recommencer ma vie.

Chapitre 3 - Le renouveau

Enfin, j’avais trouvé un travail. Ma nouvelle vie pouvait enfin commencer. Un matin de Thermidor où en l’occurrence il ne faisait pas très chaud (Ce dont je devait m'habituer, maintenant que je suis dans le nord), je me leva pour mon premier cyclame de travail en tant que gérant des importations du port. Je m'y rendis et je vis pour la première fois la Sinine l'eau était trouble et on n'y voyait qu'a seulement quelques centimètres de profond malgré cela une multitude d'auréoles dans l'eau se formait lorsque les poissons remontaient à la surface, puis je leva la tête et je vis un spectacle que je n'avais jamais vu, un amas de bateaux de pêche et de transport sillonnaient l'eau, désormais la Sinine était habitée, je n'avait qu'un mot en tête : Loistava !. Je restait immobile pendant quelques minutes devant cela, puis je repris mes esprits je me dirigea vers l’accueil du port, je vis une personne qui portait un bandana ainsi qu'une ou deux cicatrices, c'était exactement comment j'imaginais les marins. Je m'approcha de lui et il me dit : «C'est pour quoi ?» je lui répondit «Je viens pour le poste de gérant des importations», «Attends une minute» me dit-il, dans sa phrase il y a quelque chose que je ne voyait pas avant il était très familier avec moi alors que nous nous sommes jamais rencontrés ce qui me mit tout de suite à l'aise. Il se retourna puis pris une très vieille enveloppe déjà ouverte et il y sorti la lettre l'a contenant. Il l'a lit avec un peut de mal, je le voyait car il plissait les yeux et il n'y avait seulement quelques mots écrits puis il fini par me dire : «Signus Malbjörn, c'est vous ?» je lui répondit sur un ton certain «C'est bien ça». Il pointa du doigt un homme au bord du port assis sur un vieux tabouret écrivant sur des feuilles avec comme support un tonneau et il me dit : «Va voir cet homme présente toi et il te dira quoi faire», je partis en lui remerciant d'un signe de la main. Je m'approcha de l'homme, il portait sur lui un manteau long et des bottes usées ainsi qu'une sacoche qui apparemment servirait à ranger sa plume, son encre et ses feuilles. Il avait une barbe noire et épaisse mais il avait un air sérieux, à première vue il ne semblait pas très chaleureux mais son visage m'était un peut familier ce qui m’intriguait beaucoup. Et je pris son attention et je lui dit : «Boncyclame, je suis Signus Malbjörn, je viens pour le poste de gérant des importations, on m'a conseillé de venir vous voir». Il me regarda et je vis un sourire se former sur son visage et il me dit d'un air sympathique : «Signus Malbjörn ! Que tu ressemble à Denguir !», «Vous, vous connaissez mon père ?» lui dit-je d'un air surpris, «Bien sûr que oui ! Très bien même car je suis ton oncle !» me répondit-il. Sur le coup je me rappela de toutes ces histoires que mon père me racontait à propos de son frère marin. Et je lui répondit : «Bryling ! Mon père m'a tant parlé de vous !», «C'était un sacré personnage celui là ! Mais, j'imagine que si tu est là c'est qu'il est partit rejoindre les anciens, c'est bien ça ?» Me dit-il d'un air inquiet. Et je répondis d'un air las : «Oui, hélas oui c'est bien ça...». Bryling se retourna vers la mer et dit : «Que sont âme soit en paix et qu'il rejoigne son père, Kuunia». Et à ce moment là je me rappela qu'il n'était pas le veli de sang de mon père mais il a été adopté, malgré cela il se sont toujours considères comme des veliye. Après cela il me montra où je devais travailler, c'était un tout petit bureau avec un comptoir en bois d'Akseli. Puis il m’emmena en ville pour me montrer mon logement. Par la suite il me montra du doigt une petite maison mitoyenne, elle était très vieille et délabrée mais après des jours entiers de marche je ne voulait qu'une chose, avoir un «Chez moi». A ce moment là je pensa à quelque chose, je me retourna vers Bryling et je lui demanda : «Mais je n'ai pas l'argent pour m'acheter cette maison», il laissa un sourire discret sous sa barbe et me dit : «Tu ne pensait tout de même pas que ton père ne t'aurait envoyé ici sans de quoi payer ton logement ? Tiens, voici une bourse contenant assez d'argent pour te l'acheter», sur le coup j'était très heureux de recevoir cette bourse de la part de mon père mais je lui demanda : «Comment ça il m'a envoyé ici ? Je ne comprends pas», «Tu sais quand tu était petit il t'a toujours raconté des histoires de cet endroit ainsi que de moi, j'ai tord ?», me dit-il. Et je lui répondit «Ei, tu a raison», «Si il t'a raconté tout ça c'est pour qu’instinctivement tu viennes ici si les choses tournaient mal à Golvandaar, pour que je puisse veiller sur toi, puisque je ne suis pas seulement ton oncle mais ton parrain, et cette bourse contenant cet argent il me l'a donné lors de notre dernière rencontre il y a 22 ans de cela». Sur le coup je me sentais bouleversé mais j'avais envie de revoir mon père pour le remercier pour ce qu'il a fait pour moi. Par la suite je pris la bourse ainsi que les clés de la maison et j’allai ouvrir la porte, juste avant d'entrer je me tourna vers Bryling et je lui dis : «Merci beaucoup pour ce que tu a fait et à bientôt, parrain» Je lui fis un clin d’œil et je rentra dans la maison. Dés que je suis rentré je n'observa aucun détail, rien du tout, mais je ne cherchait qu'une chose, le lit. Dés que je le trouva je m’empressai de jeter mon sac sale et troué ainsi que mon vieux manteau pour me coucher, puis, au bout de quelques minutes je m'endormis.

Chapitre 4 - La chute

Pendant 7 mois environ tout allait bien à Uuroggia, je gagnais ma vie et je réussi même à faire quelques rénovations sur ma maison. Mais en fin d'une journée de travail alors que je me dirigea vers la taverne où j'avais l'habitude de manger tous les midis. Un homme mal vêtu et dégageant une odeur que je n'avais sentis que dans certaines ruelles non fréquentables. Il me dit : «Tu sais, ton poste nous intéresse beaucoup, grâce à toi nous pourrions faire rentrer des armes, ainsi que des substances comment dire... Illégales, tu nous serait très utile» Je lui fis comprendre que je ne voulait pas du tout me lancer là dedans puis il fini par me dire : «Ça pourrait te rapporter gros, et grâce à ça tu touchera même une petite partie des importations et tu deviendras rapidement riche», dans l'instant je me surpris d'y repenser. Et l'homme partit dans les quartiers sombres, puis je continua mon chemin vers la taverne. Et là Bryling semblait m'attendre à l'entrée, dés qu'il m'a vu il s'empressa de courir vers moi tout affolé et il me dit : «Une lettre vient d'arriver, ta sœur est malade et elle n'a pas les moyens de se payer des soins ! Désolé de te dire ça mais, elle est vouée à une mort certaine !». Sur le coup je repensa directement à l'offre de l'homme puis je me dis que la vie de ma sœur était bien plus important que tout, car vu que mon frère a disparu Saliah est pour dire la seule qui reste de ma famille à part Bryling. Je décida donc de retourner voir la personne qui m'a parlé de cette offre. Le lendemain je ne travaillait pas, je pris donc l'initiative d'aller dans les quartiers sombres retrouver l'homme. A partir du moment où je suis rentré dans ce quartier l'atmosphère changea, les ruelles étaient étroites, les gens qui les sillonnaient titubaient et portaient des cernes, le sol était sale, parfois des taches de sang y coulait, les maisons étaient tellement serrés que les toits se touchaient ce qui fait qu'il y fait nuit même la journée, mais je garda mon sang froid et au bout de quelques minutes de marche je vis une taverne toute délabrée et qui portait le nom de «La taverne des frayeurs». Je regarda par la fenêtre et je vis beaucoup de gens buvant, criant des jurons et il y avait même une bagarre, puis je vis l'homme du jour précédent je décidas donc de venir le voir. Dés que je suis rentré il me vis et il fit un sourire dérangeant et je pensait qu'il avait compris la raison pour la quelle j'étais là. Il se leva et me demanda de le suivre. Il m’emmena dans une trappe cachée par des tonneaux de bière. Puis nous décendîmes à l'aide d'une échelle pendant plusieurs minutes, nous décendions de plus en plus jusqu’à ce que le peu de lumière s'éclipsa. Il faisait noir, je ne voyait rien et je n'arrivait plus à voir les barreaux de l'échelle, à un moment mon pied glissa et je tomba dans le vide. Et heureusement, le fond n'était enfaîte pas loin, je me releva avec un mal de tête et l'esprit tout embrouillé, puis j'ouvris les yeux et là je vis une grande salle voûtée avec pleins de tables, de chaises avec des personnes les occupants, c'était une sorte de taverne souterraine. L'homme me dit : «Voilà, nous y sommes, voici la cachette des frayeurs». Nous nous asseyons à une table et il m'expliqua ce que je devait faire, c'était simple il suffisait de faire passer en douce les marchandises dont ils avaient besoin par exemple des armes, des substances illégales et parfois des messages importants puis il finis par me donner son nom, qui est Roryk. Pendant plusieurs mois je fis ce qu'il me demandait de faire, personne n'était au courant à par Roryk, ses acolytes et moi, je n'ai jamais eu affaire à la garde et mon parrain n'était pas au courant non plus. J'envoyais de l'argent à ma sœur puis elle finissa par se remettre de sa maladie. Mais moi, j'y avait pris goût, je gagnais beaucoup et c'est ce qui d'ailleurs était devenu ma nouvelle obsession : l'argent. Puis je me suis mis à commettre des vols ainsi que...

...des meurtres. On m’appelait «AnonymAce», ce qui signifiait dans une langue très ancienne et désormais morte «L'as anonyme». Si je portais ce nom ce n'était pas pour rien, l'as, car je possédait une chance incroyable puisque je tombais toujours sur des affaires ou des conversations très intéressante mais aussi car j'excellait dans tout ce que j'entreprenais par exemple le vol ou l'assassina. Anonyme, pour la simple et bonne raison que personne ne savait qui faisait ces délits et que la garde elle même me surnommait ainsi. Pendant plusieurs années je continuais à m'enrichir dans cette voie sans jamais me faire attraper.

La mise en esclavage

Alors que je venais d'avoir mes 28 ans, un soir je buvais une chope de bière à la cachette des frayeurs, Roryk vint me voir, et il me parla d'un coup énorme, peut être le meilleur jamais vu. Il m'expliqua qu'un convoi d'armes et d'argent considérables aurait été envoyé depuis la capitale en destination de notre ville, ce convoi à pour but de réarmer la garde et aussi en même temps de remplir les fonds de la banque. Il m'expliqua le plan, lui et tous ces acolytes attaquerons tous les gardes en leur tendant une embuscade, il me montra un plan qu'il avait dessiné puis il appela tous ses acolytes pour le briefing, l'entretien avait duré presque toute la nuit, puisque grâce à l'argent et les armes que nous allions nous procurer nous aurions le pouvoir de rendre riche et puissant chaque homme habitant dans le quartier sombre voire la ville entière.

C'était le jour-j, nous étions tous en place c'était plutôt excitant je dois dire. Puis au bout de longues heures d'attentes nous voyons le convoi arriver, à un moment précis Roryk m'avait demander d'utiliser la corne de guerre qu'il m'avait donné. C'était le moment, le son de ma corne de guerre retentissait tout comme le bruit des lames sortant de leur fourreau ainsi que les cris des soldat. En quelques secondes ils étaient tous au sol, du sang jonchait la terre puis Roryk me fis signe de tuer la dernière personne restante c'est à dire le conducteur du chariot. Je lui enfonça la dague dans le cou puis je le poussa à l'aide de mon pied pour prendre sa place. Au moment où j'étais aux commandes je pensa à tout ce que je pouvait faire avec cet or, grâce à ça je pourrait repartir de nouveau et refaire ma vie pour de bon, arrêter le vol les crimes et devenir une personne honnête. Puis je me rappela d'un nouveau monde où personne ne pouvait me connaître, c'était un endroit que Bryling m'avait parlé, je parle bien sur d'Esperia. En quelques secondes j'imagina un plan, pas très futé serte mais qui devrait marcher. Il suffisait de m'enfuir avec ce chariot et par la suite disparaître, et dés que l'occasion de montrera je monterais dans le premier bateau de transport. Certes, le voyage à Esperia en bateau de transport était très cher mais j'avais largement d'argent avec ce que j'allais voler. En peut de temps je me retira du groupe mais ils n'ont pas mis beaucoup de temps à comprendre que je voulait garder le butin pour moi et moi seul. Je les entendait crier puis je m'éclipsa dans la nuit. Je posa le chariot dans une vieille ferme, et je repris la route vers chez moi histoire de récupérer quelques affaires. Au moment où je suis arrivé en ville je vis des gardes partout dans les rues, des avis de recherches en mon nom jonchaient les murs, je m'approcha de l'une d'elles et je lisait ceci : «Signus Malbjörn dit AnonymAce est recherché pour meurtres, vols...» J’étais sous le choc je compris bien assez tôt que Bryling m'avait dénoncé, je m'en voulait de ne pas y avoir pensé, c'était pourtant quelque chose d'évident mais c'était trop tard. Je me dirigea discrètement chez moi et dés que je suis rentré Bryling m'attendait. Ils m'avaient tout pris. Il me dit : «Alors comme ça on voulait me duper ? On t'a tout pris, et nous savons où tu as caché le chariot, tu est fait, mais ! Nous n'allons pas t'emmener au poste, non, non, ils t’exécuteraient ce serait trop rapide. Je veut te faire souffrir, nous allons t'emmener à la capitale voir une personne très aimable, elle répond au nom de Gwylonna, c'est une esclavagiste». A ce moment là je compris que je ne pouvait rien faire, j'étais pris au piège, finalement je me rendis puisqu'il n'y avait plus que ça à faire. «Aufaite j'ai vu ton parrain, il avait l'air très fier de toi quand il t'a vu sur les avis de recherches !», dit Bryling avec un rire sournois. Comme promis ils m'emmenèrent à la capitale au près de Gwylonna. Elle m'envoie dans un bateau avec d'autres esclaves puis nous partions avec comme destination Esperia. Nous étions serrés et mes chaines me torturaient, certains d'entres nous se lamentaient, d'autres semblaient se connaître, certains dormaient ou plutôt je dirait qu'ils ont étés assomés, quelques uns écrivaient et le reste étaient choqués. Pendant tout le voyage, esclaves que nous étions devenus chantèrent une chanson.

Sa vie en Esperia

23/07/513 - Arrivée en Esperia en esclave, il est r'acheté par une personne dont il n'a jamais su l'identité.

23/07/513 > 05/08/513 - Il vit sans maître, mais s'en sort bien 05/08/513 - Il appartient au Frère Fredrik