Utilisateur:Maria ines : Différence entre versions

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: Maria Inès est vendue en tant qu'esclave à Dranna, pour le prix de 100 eOs.
  
 
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Version du 16 février 2014 à 02:28



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Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de la famille



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Daisyw














Description générale

Nom : Hernandez
Prénom : Maria Ines
Âge : 24 ans
Taille : 1m59

Origine : Dione

Caractère :

Honnêtement, le masque qu’elle porte est de loin le plus beau des mensonges. Même si la jeune dame est magnifique, il est évidant que cela ne l'influence pas. Autrefois, il était inconcevable que son bonheur en soit affecté, ou même qu’une simple ridule s’installait sur son doux minois. Autrefois, cette histoire n’existait pas, pas encore. Elle vieillit de tristesse et de vérité cachée. À tout pris il faut croire qu’enfin subsiste un peu de vitalité en cette désolante femme. On la décriera donc insensible voire psychopathe, remède à cette déchéance. Sur son corps est dessinée la signature de l’impuissance d’antan, mais aujourd’hui son choix est fait.


Portrait physique :

  • Beaucoup douterait quant à sa maturité puisque que son visage à la fois féminin et enfant la rajeuni au plus. Son corps est petit, mais les minces formes qu'elle possède ravit sa moyenne poitrine.
  • Elle exhale l’arôme des fleurs de Dione. Ce même endroit qui, grâce au soleil démesuré, hâle son teint.
  • Ses yeux teintés bleu ciel sont d’une telle beauté qu'il est impossible d'y refuser une approche quelconque. Sa chevelure blondine en raconte autant, par ses mèches qui dérangent son ciel regard.
  • Ces vêtements sont usés et salis, mais ils sont toutefois rares de son lieu et cache la signature de son impuissance. Ses cheveux méchés sont délavés et attachés d'un petit bijou rosé.


Origine :

  • Ses parents n'étant peu présent pour son éducation, elle a vécu dès sa puberté dans les tavernes de Gainerako. Certains racontent qu'elle serait une fille de joie. Ragot qu'elle démentie en étant marié secrètement.


Compétences

Grille Tableau.png Créativité : Le mensonge lui a valu d'être créative autant oralement que dans ses réalisations personnelles.

Grille Livre et Plume.pngAlphabétisation et Calcul : Dotée d'une éducation exemplaire, Maria reconnaît chaque syllabe des mots.

Grille Brioche.png Sens du goût  : Les années passés en taverne ne sont plus un secret pour elle.


Intérêts culturels et goûts

Historique

15/02 
Maria Inès est vendue en tant qu'esclave à Dranna, pour le prix de 100 eOs.

Les relations

Les connaissances

Dranna Lunargent : Une simple étrangère, Dranna est avant tout sa maîtresse. Elle est d'une nature mystérieuse et angoissante. Cette dame dévouée lui promet un avenir fleurit et c'est aussi la première personne que connut Maria.

Les morts / disparus

Utilisateur:Amalric : Cette homme autrefois aimé, son mari actuel de l'ancien monde. Amalric est maintenant hors de son monde et meurt loin d'elle. Ayant un amour impossible, les deux amants, cousins, ne s'échange plus de mots depuis Esperia. Même si, au fond d'elle, Maria crève de son retour.


Utilisateur:Khadidja : L'enfant n'est plus. Des saignements affectent encore la jeune dame et elle ne craint que la mort ait affecté son berceau de la vie, c'est ce qu'en témoigne la cicatrice de Maria.

Histoire

L'ancien monde

Dans la ville de Gainerako, une minuscule famille siégeait. Une petite fille était vêtue d’une grande robe en soie importée et de bijoux en or. Ses cheveux longs et blonds glissaient sur la fine toile opaque. Elle souriait de dents blanches et droites. Elle resplendissait, car toujours d’or on l’avait couvé. Beaucoup enviaient la jeune fille. Ses acquis étaient plus que désirables. En somme, c’était l’unique de sa descendance. Il ne lui restait que sa proche famille et un père auquel elle n’était pas très attachée. Parmi les gamins se trouvaient ses cousines. Maria avait lié une très forte amitié avec celles-ci et elles semblaient proches. La famille qui s’était retrouvée suite à une longue séparation n’avait pas tardé à s’attacher davantage qu’à l’époque. Les petites cousines s’adoraient, mais l’amitié occasionnée était en en particulier avec leur frère. C’était le nom qui pouvait rendre l’impossible possible.

Les cousins jouaient, alors âgés de douze ans tout au plus. Il faisait chaud, plus que d’habitude et plus encore. Le jeune garçon et la jeune demoiselle s’amusaient, ils vivaient d’amour. Ils se protégeaient mutuellement et se partageaient tous les secrets. C’était l’adorable garçon qui avait séduit la petite fille innocente par ses chamailleries et ses gâteries. L’irréparable se produisit. Ce sentiment qui pousse l’attachement de deux individus est probablement le départ d’une histoire sans fin. Pourtant à cet âge-là, il n’était que gentillesse et bonté, ne fut peu de temps pour que, plus tard, les câlins ne deviennent des baisers et que d’autres s’en suivirent. Une complicité sans comparaison s’est développée, mais peu ne connaissent le vrai visage de cette passion, voire aucun. Parce qu’il serait impossible pour eux de continuer s’ils savaient la nature de cette relation, Maria ne pourrait continuer à vivre s’il mourait.

Il s’était promis à la plus belle, princesinha Maria, et elle s’était également promise en silence. Les deux cousins ne pouvaient pas avoir une relation, parce qu'elle serait incestueuse et qu'elle compromettrait les liens d'honneurs des familles de Dione.


Maria Ines était alors âgé de vingt-deux ans, les événements cependant l’auront forcé à vieillir davantage. Lors d'une fête des plus majestueuses, à la taverne du coin, ils dansèrent de manière vive et festive. Maria ne voyait plus les gens autour d'elle, la taverne lui semblait inconnue alors qu'elle l'avait longuement fréquenté et appris les rudiments de la cuisson. Puis, la main de son cousin s’était doucement glissée d’abord sur ses hanches puis sur ses fesses. La tension avait monté lorsqu’elle avait atteint cet endroit. L’homme se précipitait doucement dans le coup de la demoiselle, pour lui chuchoter les promesses dont elle avait tant rêvé. Certes, c’était impossible de continuer cette tendre balade, mais les sentiments emportaient les deux amants. Il l’apporta également jusque dans un endroit, sombre et éloigné de tous. Il n’hésita pas dégager ses pulsions refoulées. Enfin, il pouvait s’aimer tant ils l’avaient souhaité toutes ces années.

La relation était évasive, mais s'accentuait au fil du temps et la passion devenait une dérision. La mort ne pouvait que l’attendre. Elle était désemparée par l’erreur incorrigible qu’elle avait faite. Ses émotions l’avaient préparé à un décès certain. Effectivement, c'est tous les mois qu'un bébé grandissait. Maria Ines crevait tranquillement dans une constante vrille. Elle était anéantie. Les limbes ne pouvaient qu’attendre ce brasier…


Les vagues frappaient à vive allure la coque du bateau, le vent arrachait les voiles et les marins s'étaient emportés dans une zizanie interminable. Le capitaine ne contrôlait plus les discordes entre les différents membres de l'équipage. Plusieurs priaient et souhaitaient rejoindre leurs familles sur leur terre, d'autres se contentaient de mépriser la situation. Au-delà de l'escorte qui tentait de calmer la situation, une femme se cachait dans les entrailles du bateau.

« Je savais qu'il quittait ce lendemain. J’ai apporté tout ce que je pouvais. J'ignorais néanmoins que ce bateau était rempli d'étrangers. Je me suis rapidement aperçu de la nature de ces hommes. Condamné à payer. » se rappela Maria.

La femme, aux vêtements sales de sang, caressa son ventre. Elle souriait d’une signature bien considérable. Celui du fer avec lequel elle put transpercer son bâtard, dorénavant hors de conflit.