Utilisateur:Odym

Informations RP

Nom

Odym Ratalon

Genre

Année de naissance

Rang

Esclave

Esclave de

Métier

Métier

Peintre

Compléments

Origines

Ville d'origine

La Capitale

Nation d'origine

Royaume Central

Informations HRP

Login Minecraft

Ss_Noobz258

Pseudo

Ss-Nobz

Prénom IRL

Léo

Âge IRL

13 ans

Compétences

Créativité: Odym a un imagination extrêmement développé

Dessin: Odym adore dessiner depuis son plus jeune âge, il a perfectionné sa technique jusqu'à en avoir une digne d'un professionnel

Outillage: rien de spécial

Minutie: étant assez perfectionniste, la minutie est très présente chez Odym

Alchimie: sa mère lui a tout appris dans le domaine, même si il est en train de l'oublier

Alphabétisation et calcul: venant d'une famille de riche, Odym a eu une éducation privilégié

Talents

Odym a un excellent talent de peintre et d'écrivain. Il est aussi un très bon conteur. Mais son plus gros talent est celui de s'attirer des ennuies

Qualité

-Aime aider les autres

-Sympathique

-Sociable

Défauts

-Paranoïaque

-Trop curieux

-Naïf

-Indiscret

-Vantard

-Faible

-Orgueilleux

Amis déclarés

Lyor: Lyor a pris Odym sous son aile dès le premier jour

Fardop Reeves: Fardop a fait faire un tour de la ville à Odym, il l'a aussi beaucoup aidé pendant qu'il a eu des problèmes avec Sheol

Horphelia: Il en est amoureux, et ça se voit. Heureusement pour lui, c'est réciproque. Il l'a aidé pendant une émeute sur un bateau, ce qui fait que Horphelia a confiance en lui. Même si elle n'a aucun sens de l'orientation, il ne voit que des qualités chez elle.

Ennemis déclarés

Sheolh: Odym a eu de petit... problème avec lui. Odym ne l'aime pas mais ce sens obligé de faire cette peinture pour lui

Histoire

Chapitre 1: L'épreuve

Odym n'en revient pas, pourquoi ? Pourquoi ? Les pas du jeune garçon de 6 ans qui claquent sur les dalles fraîchement lavées par Rose résonnent dans la couloir. Pourquoi ? Pourquoi est-il si cruel ? Les larmes roulent sur ses joues. Ce hamster était si beau. Odym le hait, ce stupide grand frère. Le petit l'imagine mort, les deux yeux crevés, les membres disloqués, tout comme le pauvre petit hamster. Odym ne sait pas pourquoi il court. Surement pour s'enfuir du frère assassin. Pourquoi Ismol a-t-il tué Rogi? Il était pourtant si mignon. Odym lui en veut à mort, toutes les atrocités que son frère a commis vaut au moins la peine capitale, enfin d'après lui. Odym ne remarqua pas qu'il courait sans réfléchir, et surtout ne vit pas Gurdin, le jardinier du manoir. Odym fonça dedans de plein fouet, le jardinier tomba et mourra suite à une hémorragie causé par des cisailles qui sont tombé de sa poche, quand son crâne à touché les cisailles, les lames était encore pointé vers le haut. Le sang du jardinier se répandait sur le sol de pierre, les dalles devenait rouge une à une. Le corps s’arrêta de bouger après quelque instant, à part quelque spasme qui se faisaient de temps en temps. Odym stressait, il était tétanisé par ce qui venait de se passer. Après quelque seconde, il reprit ses esprits, il devait faire quelque chose, et vite. Odym pensa le cacher, mais où ? La chambre de son frère mais bien sûr, si on trouvait le cadavre, on pensera que se sera Ismol. Non, impossible, ce serait impossible de le traîner jusqu'à cet endroit. Odym pensa donc qu'il fallait apporter un objet de la chambre d'Ismol jusqu'ici. Odym couru aussi vite qu'il pouvait, il rentra dans la chambre sans même regarder si il y avait quelqu'un, vu le pendentif de son frère, qui voulait dire qu'il avait passé ses 10 ans. Le prit et partit, arriva au cadavre et posa le pendentif à coté du corps gisant sur le sol. Tout ça en l'espace d'une minute seulement.

4 ans plus tard,

Odym se sentait plus vieux, plus mature. Il avait 10 ans, il devait passer le test qui définirait s'il serait un vrai Ratalon. Il est stressé mais il a quand même hâte. Sa mère remarquant sa nervosité lui dit:

Mère : Ne t'en fais pas, tu réussira le test.

Odym : Je ne m'en fais pas

Mère : Alors pourquoi es-tu blanc comme linge? Pourquoi tremble-tu?

Odym :Je ne m'en fais pas.

Mère : Comme tu veux, mais le mensonge, ça ne fera pas de toi un homme heureux. Regarde ton père, il est riche en argent, mais pauvre en cœur.

Odym : Maman, je n'ai pas besoin de tes propos philosophiques.

Mère : Alors reste dans l'ignorance c'est ton choix.

Molia était sur le point d'éclater de rire. Odym pouvait tellement être têtu parfois, mais c'était le seul qui la comprenait. L'heure était venue, le test était sur le point de débuter. Cette fois, il fallait qu'Odym lève un sac de 40 kg sans broncher. Odym n'avait jamais été un as dans le domaine de l'haltérophilie. Odym s'avançait, tout la famille directe d'Odym et tout les employés de la famille Ratalon étaient présent, sauf le jardinier. Ce dernier avait été enterrer dans son jardin, à coté de son buisson préféré. Celui des orchidée. Le poids avait été placé dans l’allée. Odym marchait lentement, après ce qui lui paru une éternité, il arriva à l'objectif. Plaça ses mains en dessous de l'objet et le souleva de tout ses forces. Le poids ne bougea pas d'un pouce, le sac ne pesait pas 40 kg mais facilement une centaine. Odym était furieux, il venait de rater le test, donc de se faire renvoyer de la famille à l'âge de ses 15 ans. C'était la tradition, chez les Ratalon. Chacun devait passé une épreuve à l'âge de 10 ans et un jour. Odym comprit ce qui venait de se passer, Ismol avait truqué l'épreuve. Pour confirmer, quand tout le monde s'était dispersé en disant, "Quel nul" ou "Bon débarras, il était tellement pénible" pendant que la moitié d'eux disait "Pauvre lui, on ne le verra plus jamais" ou même "C'est trop triste, se faire renvoyer de sa famille, quel tragédie", il voulu regarder à l'intérieur. En pleurant, Odym ouvrit le sac et regarda le contenue, ce n'était pas de la farine ou de l'orge, C'était des pierres grosses comme des pastèques. Odym voulait tuer ce frère qui l'avait fait renvoyer de sa famille bien aimée. La nuit tombée, Odym s'avançait avec son couteau que son grand-père lui avait légué à sa mort. Il était sculpté dans du bois de bouleau et un dessin représentant un bateau était gravé dans le bois poli à la perfection. La lame était en fer, elle était aussi coupante que l'épée d'un soldat. Odym rentra dans la chambre et vit son grand frère qui dormait, Odym leva la lame de son couteau et l’abattit profondément dans la chair encore beige et foncée. Le sang coulait à flot, le ventre de son frère était perforé par une entaille profonde comme une crevasse. Odym retira la lame et pour être sûr, il la replanta, la sang giclait à chaque fois. Odym recommença l'opération 9 fois, l'adrénaline était à son apothéose. Odym s'éloigna du corps inanimé et pris son son sac et sa besace pour partir le plus tôt possible, ce qui veut dire... maintenant.

Chapitre 2: La taverne

13 ans plus tard

Odym regarde dans son verre, l'alcool jaunâtre se promène dans le conteneur. Odym se sent dans un bonheur qui ne finira jamais, ce n'est pourtant pas vrai... l'effet du muctus est presque immédiat..

Odym se leva et dit "Quand Odym boit, tout le monde boit!", les cris de joie se firent entendre dans toute la taverne. La bière coula à flot, les gens aimaient bien ce nouveau client. Odym se rendant compte qu'il n'avait pas assez d'argent pour payer cette tournée, il dit "Quand Odym paye, tout le monde paye!". Des soupirs et des murmures de déception emplirent la pièce. Le tavernier cria "Allez donnez l'argent" et il fit un clin d'œil à Odym. Un client, pas très content de s'être fait piégé, se leva et dit:

Client mécontent: Hey, l'étranger, on aime pas les casses-pieds alors dégage tout de suite de cette taverne.

Odym: Désolé, mon gars j'avais pas vu mon port'feuille.

Client mécontent: J'aime pas les maladroits non plus.

Odym: Alors, qu'on s'batte.

Le client se leva, chancela, et mis ses poings devant son corps, à la manière des boxeurs. Le "boxeurs" s'avança et envoya sa mains en plein dans la figure d'Odym. Des "Bagarre, bagarre, bagarre!" fusèrent ici et là. Odym répondit à son adversaires avec un beau coup dans le menton, adroit. Les gens tapaient du pied et frappaient sur la table. Le client tomba en arrière, se souleva rapidement, et fit un coup bien envoyé sur le nez. Odym qui n'était pas très bon bagarreur, et qui au final se débrouillait plutôt mal, même, rata la tête du client de 10 cm. Pour compenser le coup raté, Odym sorti son couteau en bois et fit une coupure au torse de son adversaire. L'autre surpris écrasa un bouteille vide sur le crâne d'Odym. Odym, à son tour pris son couteau et lui coupa le doigts. Le sang gicla et arrosa la figure d'Odym. L'autre client cria et se pris la main en se laissant tomber par terre. Odym serra son couteau dans sa main et l'écrasa sur la nuque de son ennemi qui était à genoux. Il tomba par terre en lâchant un cri déchirant. Les autres clients étaient terrifiés. Le stress était palpable. Un client cria "GARDE GARDE!!! CET PERSONNE À TUÉ UN HOMME!!!". Deux gardes rentrèrent dans la taverne en trombe, un des deux dit "QUI QUI!!!", les gardes n'eurent pas besoin de chercher très longtemps. Odym avait un couteau ensanglanté à la main et un homme était à ses pieds. Les gardes le prirent et sortirent de la taverne. Odym se débattait, il se demandait pourquoi il avait fait cela. Il se trouva tout de suite stupide, TROIS, trois meurtres en une vie. Il arrêta de se démener et se laissa faire. Il voulait aller derrière les barreaux, il trouvait qu'il le méritait amplement. Arrivé au cachot un homme dit "Un bateau pars à deux heures pour Fort-Lointain, que cette personne rentre dedans, il pourra être utile pour servir les nobles du Nouveau Monde".

Chapitre 3: Le Nouveau Monde

1 jours plus tard

La tête d'Odym lui faisait mal. Les mouettes criaient et riaient à l'extérieur. La cellule était petite et sale. Odym se souvenait vaguement de la veille, une tourné d'alcool, une bagarre, des gardes et plus rien... Odym se souvenait parfaitement que d'une seule chose, la lame de son couteau qui écartait la chair d'un homme. L'estomac d'Odym était à l'envers, il avait envie de vomir. Quelle douleur, son nez et sa joue étaient endoloris, surement la bagarre. Un garde rentra dans la cellule, il cria:

Garde:TOI!

Odym:Oui monsieur...

Garde:Ferme-là et suis moi!

Odym:Oui monsieur.

Garde:J'ai dis ferme-là.

Odym se leva sans rouspéter, il espérait mourir, rejoindre tous ceux qu'il avait tué. Il suivi le garde, les murs de pierre avaient l'air moites. Odym perdait l'équilibre à chaque pas, le garde était dans une cotte de maille et dans des vêtements de tissu rouge. Quand Odym traînait le pas, le garde criait "Tu te dépêches ou tu vas voir le gars que t'as tué hier" Odym avait envie de dire "Alors tues moi, c'est tout ce que j'attends", mais il avait peur de se faire tuer lentement et douloureusement. Il redoutait le pieux qui rentrait doucement, petit à petit, pas à pas dans sa chair encore vivante, brûlante. Donc il se tut. Odym avait peur, qu'est ce que ce mystérieux garde voulait de lui. Une rançon, non, une poignée de pièce d'or ne suffisaient pas pour compenser un cadavre dans une taverne en pleine Capitale. Alors Odym arrêta de réfléchir à ce qui l'attendait, il avait peur non-pas pour sa vie, mais pour comment il allait être tué. Après une marche longue et pénible dans cette prison humide. Odym atterri dans une salle où étaient entassés des centaines de prisonniers. Presque tous avaient l'air de durs à cuire, les autres semblaient innocents et dépaysés, ces derniers n'avaient surement rien fait. Leurs mines défaites en disaient long sur ce qu'ils ressentaient. Odym remarqua que tout le monde était en file, et au bout de chaque rang, un soldat faisait quelque chose qui ressemblait à "trier" des gens. Odym attenda, quand ce fut à son tour. Un femme aux yeux bleus et au cheveux bleus était à coté. Le soldat dit:

Soldat: Nom?

Odym: Odym Ratalon.

Soldat: Parfait... Âge?

Odym: 23 ans.

Soldat: Ratalon vous dîtes?

Odym: Oui. Pourquoi?

Soldat: C'est bon tu peux passer, on connaît ta famille, tu es maintenant mort compris? Pour le monde, tu n'existes plus. Tu vas dans un monde meilleur.

Odym: Où?

Soldat: Au Nouveau monde, à Esperia.

Esperia, Odym n'avait jamais entendu parler de cet endroit. Surement un camps de travail, ce qui n'était pas tant que ça un monde meilleur. Pendant quelques instants, Odym avait eu espoir, un monde meilleur, surement la mort. Odym était déçu mais soulagé à la fois. Il continu d'avancer où le garde lui avait dit d'aller. Il arriva dans un couloir, et au bout il y avait une salle. Odym avançait prudemment, il ouvrit la porte, à l'intérieur il n'y avait pas de fenêtre. Il entendu quelques instants et un sac se mit sur sa tête, un objet métallique s'abattit sur sa tête. Odym chancela et tomba dans un profond sommeil.

Le roulement du bateau berçait Odym. Il avait un de ces mal de têtes. Il n'était pas mort, dommage. Odym ne voyait rien, à part de la lumière qui passait à travers le tissu. Odym distinguait seulement quelques formes. Il entendit des pas, des ordres comme "Je veux voir celui-là" ou "S'il ne me satisfait pas, qu'on le jette à l'eau". C'était une voix féminine. Odym vit à travers son masque une forme s'approcher de lui. La forme qui était un garde enleva le sac sur la tête d'Odym. Odym eu besoin de temps pour s'habituer à la lumière, une femme se tenait devant lui, la même qu'il avait vue plus tôt dans la "salle de tri". "Parfait, il fera l'affaire", dit la femme, elle s'éloignant en crachant sur le plancher en bois. Elle dit: "Qu'il soit vendue en esclavage sur le Nouveau Monde". Les gardes lui remirent le sac sur la tête. Il laissèrent Odym dans l'obscurité. Sa mort était pas pour bientôt, en pensant à ceci, il eu envie de rester vivant: personne ne le connaissait sur le nouveaux monde autant se refaire une vie. Il voulait rester vivant en pensant à tout ce qu'il allait vivre sur cet terre nouvelle. Il avait le pressentiment que c'était un île magnifique où il n'y avait aucune loi. Plus que jamais, il voulait rester vivant. Il se laissa bercer et s'endormit, flottant dans un bonheur réparateur.