Utilisateur:Svengal
Sommaire
WIP
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Description
Compétences
Force: Lorsqu'il était garde, Svengal s'entrainait rigoureusement matin et soir pour avoir une forme exemplaire il a aussi développé une importante masse musculaire avec le temps. Avec sa grande force il peut soulever des objets beaucoup plus lourds que ce qu’un homme normal peut soulever.
Minutie:
Créativité:
Alphabétisation et calcul:
Sens du goût:
Œnologie:
Talents
Défauts
Intérêts culturels et goûts
-L'alcool: Quand c'est le bon moment, Svengal dit rarement non à une chope bien remplie.
-La musique: Svengal est quelqu'un qui aime la musique, peut importe de quel instrument elle est jouée.
-Le combat: Malgré le fait qu'il n'est plus en mesure de combattre, Svengal apprécie les combats entre guerriers.
Amis déclarés
Ennemis déclarés
Histoire
Enfance
Enfance
Svengal Ladirus est né dans le Royaume central, il est un Albunois originaire de la ville de Banneran. Depuis toujours il vit aisément dans cette ville, car ses parents avaient de bons emplois. Son père travaillait pour l'ordonnance d'Albunae et sa mère mère possédait une auberge locale bien populaire des nobles de la ville. Ayant assez de moyens financiers, se parents lui offrirent des cours pour apprendre à lire, à écrire et à compter. Pendant que les enfants de paysans travaillaient, il apprenait, mais il éprouvait de la compassion pour eux, car il trouvait cela très injuste que certains étaient plus riches que d'autres, parfois il lui arrivait même de les envier, car il était quelqu'un qui n'aimait pas rester à l'intérieur. Durant ses leçons, son enseignant, un vieil homme presque avaeugle, ainsi que ses parents exigeaient toujours de sa part un précision quasi-parfaite pour ses travaux, ce qui lui a permis de devenir plutôt minutieux au fil du temps. On le formait ainsi, car ses parents voulaient faire de lui un membre de l'ordonnance comme son père, mais lui il avait toujours rêvé d'être garde, afin de défendre les paysans qui étaient soumis à beaucoup d'injustices. Il allait souvent en cachette dans la forêt ou il brandissait un bâton et s’imaginait combattant une horde de brigands avec ses confrères chevalier. Il était donc quelqu’un qui détestait rester à l’intérieur, surtout pendant ses cours, qui étaient longs et qui semblaient parfois interminables. Il savait parfaitement que ses parents voulaient qu’il prenne la place de son paternel lorsque celui-ci céderait son poste, mais il ne voulait pas d’une vie comme celle-là. Après avoir pensé longuement à ceci, il alla voir son père afin de lui en faire part. Il savait que ses parents allaient probablement être déçus, mais c’était son choix. En entrant dans le vaste bureau, qui contenait beaucoup de livres et de documents, il salua son père et s’adressa à lui:
-Père? Dit-il
-Oui mon fils?
-Puis-je vous parler?
-Bien sur, que veux-tu?
-En fait, j'aimerais vous parler de mon avenir.
-Oui? Répondit le vieil homme en haussant un sourcil.
-Et bien...c'est difficile à dire, je sais que vous et mère avez l'intention de me faire membre de l'ordonnance et que c’est un très grand privilège d’en faire parti, mais…
-Mais…?
-Je ne veux pas travailler dans ce domaine.
-Et que ferais-tu comme travail? Répondit le père d'un un peu désespéré.
-J'aimerais travailler dans la garde, père, pour pouvoir protéger les faibles des mécréants et leur pour pouvoir leur faire justice.
-Svengal, être garde est une voie très noble, mais pourquoi t'abaisserais-tu à ça? En travaillant à l'ordonnance tu pourrais avoir une vie bien meilleure et ce serait préférable pour ta future famille.
-Je sais père, mais ce genre d'emploi ne m'intéresse pas, je préférerait un métier où je n'aurai pas à rester toute la journée dans un bureau.
Le père regarda son fils, soupira légerement et dit:
-On en reparlera demain, je dois en discuter avec ta mère.
-D'accord, merci à vous.
Svengal sortit du bureau de son père et alla dans sa chambre pour dormir. Le père de Svengal descendit au rez-de-chaussé pour discuter avec sa femme de la conversation qu'il a eu avec son fils.
-Chérie, je dois te parler
-Qu'y a-t-il?
-C'est au sujet de l'avenir de notre fils.
-Quelque chose d'important?
-Svengal est venu me voir et m'a dit qu'il ne veut pas travailler à l'ordonnance et qu'il veut devenir garde.
-Je m'en doutais un peu, je le voyais chaque matin manier le bâton comme s’il s’agissait d’une épée.
-Ça ne te dérange pas qu'il se rabaisse ainsi?
-Tu sais les gardes sont importants et sont admirés de tous et puis c'est notre fils on doit accepter ses choix.
-Oui,je crois que tu as raison, je vais aller lui en parler.
Le lendemain, l’homme convoqua son fils dans son bureau pour lui faire part de la décision qu’il avait prise avec son épouse la veille.
-Mon fils?
-Oui père?
-J'ai étudié ta requête avec ta mère et c'est d'accord, nous t'aimons et nous acceptons ton choix de carrière peu importe quel qu'il soit.
-Merci père, j'en suis très heureux
-Remercie plutôt ta mère elle m'a aidé à prendre cette décision.
-Je vais aller la voir.
Svengal sortit du bureau de son paternel le sourire aux lèvres.Il se dirigea vers la cuisine où sa mère préparait le repas.
-Mère?
-Oui mon fils?
-Je voulais vous remercier d’avoir convaincu père.
-Ce n'est rien, les enfants sont ce que nous avons de plus précieux, il faut les laisser faire ce qu'ils aiment. Dit-elle en déposant un baiser sur le front de son enfant, qui était maintenant âgé de 10 ans
Après cette journée, il poursuivit ses cours avec son enseignant et attendait avec impatience le jour ou il pourrait s’enrôler dans la garde de la ville.
15 ans plus tard
15 ans plus tard
Svengal était maintenant âgé de 25 ans, il avait accomplit son rêve de petit garçon, devenir membre de la garde de Banneran, mais malheureusement ses parents ne pouvaient plus le voir, car ils étaient partis dans une autre région du Royaume-central pour le travail du père de Svengal. Il passait maintenant son temps à faire ce qu’il avait toujours voulu, protéger les faibles. Depuis ses débuts dans ce domaine, il s’entraine chaque jour de la semaine, matin et soir, pour garder une forme physique exemplaire, tous ses efforts lui ont permis de développer une grande force ainsi qu'une grande masse musculaire. C’était quelqu’un qui était bon et juste avec tout le monde et les brigands avaient peur de se frotter à quelqu’un d’aussi costaud, qui n’aurait pas besoin de beaucoup de temps pour foutre une raclé à tous les malfrats. Un soir à la taverne avec son ami Mhykel il sirotait une bière aissis tranquillement, quand un autre garde entra pour lui dire quelque chose. - Svengal le capitaine Mehros vous cherche.Dit le soldat
Le capitaine Mehros était le nouveau dirigeant du groupe de gardes dont Svengal faisait partie, bien des gens affirmait de lui qu’il était un homme cruel et qu’il avait commis toutes sortes d’actes inacceptables pour régler des problèmes, mais ce n’était que des rumeurs.
-Bien, j’y vais de ce pas. Répondit Svengal
Le grand homme se dirigea vers la caserne pour parler au capitaine Mehros, en entrant il vit le capitaine à son bureau.
-Tiens, Svengal, enfin arrivé! Je commençait à perdre patience.
-Vous vouliez me voir?
-Oui en effet, j’ai une tâche importante à te confier.
-Laquelle?
-Un voleur, vole de la nourriture, il a déjà été averti par la garde, mais il continue toujours ses délits.
-Vous voulez que je l’emmène dans une cellule?
-Non, j’aimerais que tu mettes fin à ses jours, qu’il sache que les criminels ne sont pas la bienvenue ici. Dit-il d’un air un peu sadique
-Ne serait-il pas plus approprié de le faire enfermer, après tout ce n’est qu’un simple voleur?
-Non, les ordres sont les ordres soldat! Dit-il d’un ton autoritaire
-Une description?
-Il se nomme Wharen, il est petit et a les cheveux blond. Ses vêtements sont sales et déchirés. Tu le trouveras sans doute sous le pont.
-Bien, j’y vais de ce pas.
Svengal, n’avait jamais aimé faire ce genre de travail, tuer des gens qui tentaient de se nourrir lui semblait beaucoup trop exagéré, mais les ordres étaient les ordres. Il sortit de la caserne et se mit en route vers le pont, quelques minutes de marche lui suffirent pour l’atteindre. Il prit l’escalier qui menait sous le pont et vit un abrit de fortune ainsi qu’un petit feu de camp. Il appeût ensuite jeune orphelin, probablement âgé de huit ans, blond, portant des vêtements sales et déchirés. En voyant le jeune homme il fut perplexe, ce bambin était la description exacte de ce que Mehros lui avait dit. Svengal se dit par la suite à lui même:
-C’est pas vrai, ce fou veut que je tue un enfant! Avant de sauter aux conclusions, il alla voir le jeune garçon pour lui poser une question.
-Excuse moi jeune homme? Dit Svengal en s’adressant au jeune garçon.
-Je n’ai rien fais de mal, laissez-moi tranquille!
-Je ne te veux pas de mal
-Qu’est-ce que vous voulez alors?
-J’aimerais savoir ton nom
-Je me nomme Wharen. Dit le petit garçcon qui était appeuré
-C’est tout ce que je voulais savoir ...et petit, si jamais tu devais voler pour obtenir à manger, sois plus discret.
Le jeune homme se demandait pourquoi un membre de la garde venait pour lui dire de mieux se préparer lorsqu’il allait voler de quoi se nourrir, c’était plutôt inhabituel que quelqu’un responsable de la loi encourage le crime ainsi. Svengal quitta la demeure du petit garçon, si on pouvait appeler ça comme ça, et retourna à la caserne pour obtenir des explications auprès de Mehros. Il était hors de question qu’un enfant soit tué par sa main. En entrant dans la caserne, il se dirigea vers le bureau du capitaine et lorsqu’il fut rendu, il dit à voix haute:
-Capitaine Mehros, mais qu’est-ce que ça signifie!
-Quoi donc?
-Un enfant! Vous vouliez que j’exécute un enfant!
-Oui, vous ne l’avez pas fais?
-Non, il est hors de question que j’accomplisse un acte aussi horrible.
-C’est un ordre Svengal! Répondit le capitaine en criant
-Mettez-les ou je penses vos ordres, un fou comme vous ne mérite pas d’être capitaine de la garde.
Le capitaine Mehros regarda Svengal droit dans les yeux d’un air méprisant et appela ses gardes personnels et dit:
-Messieurs, montrez à cet homme comment être respectueux.
Les deux hommes masqués attrapèrent Svengal par les bras et l’emmenèrent dans le sous-sol de la caserne, dans une pièce ou personne n’osait y mettre les pieds, la salle de torture. Les hommes plaquèrent Svengal à plat ventre sur une table en bois et l’attachèrent solidement.
-Tu vas apprendre ce qu’est le respect !
-Vous serez jugés pour ce crime bande de lèches bottes!
Un des hommes prit un grand gourdin et lorsque Svengal se calma un peu, il le fracassa sur l’épaule de leur prisonnier, ce qui la cassa violement. Svengal cria tellement fort qu’il était possible qu’une bonne partie de la ville l'ai entendu. Il s’évanouit peu de temps après cet acte cruel, presque instantananément, et s’éveilla dans sa chambre à la caserne et vit le capitaine qui était assis au pied de son lit. Celui-ci dit : Voilà ce que je fais des gens qui ne connaissent pas le respect, je ne te veux plus dans la garde et si tu oses ouvrir ta grande gueule, tu peux être sur que je ferai de toi un homme mort. Celui-ci appuya fermement sur l’épaule de Svengal, qui n’avait pas été soignée, avant de partir. Svengal s’évanouit de nouveau pour s’éveiller à l’infirmerie de la ville.
-Hein? Ou suis-je? Dit-il
-Vous êtes à l’infirmerie monsieur, quelqu’un vous a emmené et vous aviez l’épaule en compote, je l’ai soignée, mais j’ai bien peur que vous ne puissiez plus utiliser votre épée, votre épaule a été bien endommagée, faire des mouvements brusques comme vous faites normalement ne sera plus possible, sinon votre épaule se finie pour de bon. Dit-elle en se fiant à l’uniforme de garde que portait Svengal.
Svengal remercia la charmante dame, mais était profondément atristé, plus jamais il ne pourrait brandir son épée pour combattre des malfaiteurs ou pour guerroyer. Des semaines passèrent, avant que Svengal réussit à se reprendre en mains. Depuis son plus jeune âge il voulait être chevalier, il n’arriverait jamais à trouver un métier qu’il aimerait autant que celui-ci, mais une autre chose qu’il adorait depuis qu’il était petit était de manger. Il n’avait jamais été en surpoids, mais il adorait le fait qu’il y avait autant de variétés à ce niveau. Peut-être le métier de cuisinier allait-il le satisfaire? Il alla voir un grand chef cuisinier réputé dans la ville, le chef Vhatfeïr khuyr-Uhneuph, mais les gens avaient l’habitude de simplement l’appeler Chef. C’était un vieil homme qui devait se situé en cinquante et soixante ans, il avait les cheveux gris, de gros sourcils touffus et une petite barbe. Comme tous les gens de cet âge, il avait le visage ridé, ses yeux étaient bruns et il avait un gros nez. Lorsque Svengal entra dans la pièce, Chef lui fit signe et dit:
-Bonjour! Que puis-je faire pour vous jeune homme?Dit le maitre cuisinier
-Et bien, j’aimerais apprendre à cuisiner.
-Tu aimerais apprendre à cuisiner. Pourquoi veux-tu cuisiner et pourquoi à cet âge, les jeunes hommes de ton âge ont un emploi normalement?
-Je travaillais dans la garde jusqu’à récemment, mais j’ai été blessé à l’épaule et je ne peux plus combattre, mais j’aime la nourriture depuis que je suis petit, j’adore les arômes et toutes les variétés qu’il peut y avoir.
-Hummm...J’imagine que je peux faire quelque chose pour toi, tu commences demain.
-Merci à vous, je ne vous déceverai pas.
Svengal allait maintenant commencer en tant qu’apprenti cuisinier, il aurait préféré rester dans la garde, mais ce n’était plus possible, mais ce poste lui conférait une certaine joie. À partir de ce jour, il alla chaque jour travailler avec son maître, qui lui apprenait sans cesse de nouvelles techniques et de nouvelles recettes. Svengal avait un grand avenir devant lui, celui d’un grand chef!
5 ans plus tard
5 ans plus tard
Cinq années s’étaient écoulées depuis que Svengal avait été pris sous l’aile de Chef. Depuis tout ce temps, il avait appris de nombreuses recettes et sa réputation était presque aussi bonne que celle de Chef. Chef n’avait jamais eu d’enfants, mais ces cinq dernières années l’avaient rapprochées de Svengal, qu’il considérait maintenant comme un fils. Chef avait appris à Svengal tout ce qu’il savait, pour lui, Svengal avait dépassé le maitre et il était fier de son apprenti, qui avait tant progressé depuis son arrivé. Dans quelques années, il allait pouvoir prendre sa retraite paisiblement en étant assuré d’avoir une relève pour l’auberge, Svengal en deviendrait le propriétaire. Depuis ces quelques années Svengal avait eu la chance de faire la connaissance de plusieurs personnes influentes dans la ville, mais un jour le capitaine Mehros en eu vent. Se souvenant de ce qu’il avait fait subir à ce jeune homme, il était inquiet, et si Svengal allait tout bavassé à quelqu’un. Il perdrait son poste assurément et probablement sa tête. Svengal était maintenant entouré de beaucoup de gens importants, qui avaient tous une grande influence dans la ville, il était maintenant devenu une menace, il fallait s’en débarasser.
-Svengal! Fais cuire un poulet, c’est le dernier de la soirée. Dit Chef
-Bien Chef. Répondit-il avec le le sourire.
Lorsque la cuisson et assaisonnement furent terminés, il prit le plat et alla le servir à la personne qui l’avait commandé, un homme vêtu de vêtements sombres et qui portait une capuche qui dissimulait son visage. Lorsqu’il arriva à la table, il déposa le plat sur la table et souhaita un bon appétit au client, mais avant que Svengal n’eut le temps de se retourner, l’homme lui saisit le bras et retira sa capuche. En voyant le visage de celui-ci Svengal le reconnu immédiatement.
-Mehros! Dit Svengal avec haine
-Tu t’es ennuyé de moi à ce que je vois.
-Qu’est-ce que vous voulez?
-Rien de plus que toi, tu es devenu une menace pour moi avec tous ces nobles que tu côtois, je vais me débarasser une bonne fois pour toute.
Svengal n’eut même pas le temps de répliquer, qu’il sentit un choc derrière sa tête et tout devint qu’obscurité. Le capitaine de la garde, accompagné de ses hommes, emmena Svengal à la caserne afin de le dépouiller de ses biens. Chef, qui venait de revenir vit la salle à manger sans dessus dessous et aucune trace de Svengal. En fouillant Svengal, les kidnappeurs trouvèrent sa bourse, qui contenait l’argent qu’il avait gagné cette semaine, un bon petit butin. Après avoir terminé ce travail, le capitaine regarda ses hommes et dit:
-C’est maintenant le8 grand jour, envoyez-le au marchand d’esclaves et qu’il aille à Esperia.
-Bien. Répondirent les hommes.
Ils s’exécutèrent et emmenèrent Svengal à un homme qui avait fait fortune grâce au trafic humain. L’endroit était sombre, grouillant de vermine. En voyant arriver des gardes il dit:
-Que faites-vous ici?
-Nous vous apportons de la marchandise fraiche.
-Ah, bien, bien, un spécimen bien costaud, il fera un très bon esclave. Combien en demandez-vous?
-C’est un cadeau de la part du capitaine Mehros.
-Ah! Quel bonheur! Transmettez-lui mes hommages et s’il en a d’autres comme celui-ci, qu’il me les envoie.
-Cependant le capitaine a spécifié que ce salopard doit aller à Esperia.
-Ce sera fait, il y a justement un navire qui partira demain. Dans quelques jours, il sera loin de chez lui et de son ancienne vie .
-Bien, nous transmettrons ceci au capitaine, bon commerce.
-Je vous remercie.
Les gardes quittèrent l’endroit et le trafiquant mit des vêtements sales à Svengal, qui n’avait toujours pas repris conscience, et l’enferma dans une cage qui fut chargé dans le bateau peu après. Plusieurs heures passèrent et il se réveilla en entendant le bruit de la mer. Lorsqu’il fut réveillé correctement, il sut tout de suite ce qui se passait, une cage, un lit de paille, des vêtements crasseux, il avait été vendu comme esclave, c’était certain. En y repensant bien fort, peut-être aurait-il dû travailler dans l’ordonnance comme ses parents l’avaient voulu. En regardant autour de lui, il vit d’autres gens, qui étaient dans la même situation que lui. Il dit:
-Quelqu’un sait ou nous allons?
-Nous nous dirigeons vers Esperia, mais avant nous feront escale à Fort lointain, une île ou les esclavagistes entreposent leurs esclaves. Répondit un vieil homme avant que le navire parte. L’ancre était maintenant levée et le navire faisait maintenant cap vers la tant redouté Esperia. Tous ces gens allaient maintenant être au service des nobles gens vivant sur ces terres méconnues probablement ou bien simplement employés comme travailleurs. Certes, ils ne savaient pas qu’est-ce qui les attendait, mais ils pouvaient s’attendre au pire.
