L'Aigle Rupin
| L'Aigle Rupin | |
| Informations RP | |
| Nom | L'Aigle Rupin |
|---|---|
| Quartier | Ouest |
| État | Fermé |
| Parcelle | Habitation |
| Propriétaire | |
Description
Situation
Anciennement foyer d'un clan nordique, l'Aigle Rupin fut acheté par la Dame Enemÿs et complètement transformé par les talents de la Noble Dame Lorncastel. La demeure fastueuse est située sur la rue du Continent au quartier ouest, discrète et à l'ombre de la muraille de la Commanderie. Toutefois, en longeant la dite muraille, il est difficile de manquer les deux aigles d'or qui surplombent les lourdes portes gravées, mirant tel des sentinelles les personnes qui montent les marches menant à l'entrée.
Habitants
Employés
Au vu de la taille de la bâtisse et de l'entretien qu'elle requiert, la propriétaire fait appel à plusieurs personnes qu'elle paie pour s'occuper de son logement.
Les pièces
La façade
De pierre taillée avec raffinement et de bois soigneusement traité, la façade de l'Aigle Rupin s'élève fièrement en face de la muraille, tandis que la rue se couvre d'ombre par les feuilles qui s'épanouissent au-dessus des pavés. Les portes, somptueux mélange de sapin gravé de motifs géométriques et de renforts de fer, sont dominées par les deux aigles gardiens, statues d'or massif qui rappellent le blason de la famille de sang de la propriétaire.
La première pièce de vie
En entrant, vous vous sentez bercé par le crépitement de la cheminée qui réchauffe la pièce. Vous sentirez sûrement une douce odeur de viande, tandis qu'un domestique s'affaire dans la cuisine, équipée de divers fours et ustensiles de prix. Peut-être apercevrez-vous la propriétaire, assise à sa table ornée d'or et de fer, discutant avec ses associés, tandis que les tapis de laine douce à la teinte profonde caressent vos chausses. En baladant votre regard dans la pièce, vous tomberez sur un vivarium soigneusement aménagé pour accueillir des rongeurs, posé sur une bibliothèque vernie à l'allure cossue, pleine d'ouvrages, la propriétaire étant sûrement lettrée. Tandis que vous approchez de la table, vous apercevez une porte, ornée des mêmes motifs que l'entrée. Vous l'ouvrez et tombez sur un petit balcon, surélevé par rapport à la rue, couvert d'une sphère de feuilles, à l'ambiance privée et agréable. L'on entend les bruits quotidiens de la forge juste à côté, tandis que l'on s'assied sur une des deux chaises de jardin qui entourent la table de fer forgé.
La seconde pièce de vie
Après avoir visité la première pièce, vous choisissez d'emprunter les escaliers de pommier verni, afin de grimper. Vous arrivez dans une immense pièce de vie, richement et abondamment décorée, si bien que vous ne savez où placer les yeux. D'un côté, vous observez un fier bureau de bois de Daviel, orné d'or en son centre, tandis que deux sièges couverts de velours l'encadrent. De l'autre, après être passé sous une fine arche de bois, à côté d'un arbre en pot, vous tombez sur un grand salon aux deux divans de velours, confortables et travaillés avec le plus grand soin. La table basse de sapin, souvent occupée de friandises pour satisfaire les invités de la maison, est guettée par deux nouveau gros aigles d'or massif qui encadrent la porte qui mène au boudoir. Vous trouvez aussi deux aquariums dans la pièce, remplis de poissons colorés et exotiques, tandis qu'une agréable odeur d'encens infiltre vos narines.
La chambre d'ami
A côté de la cage d'escalier, vous ouvrez une porte et tombez dans une pièce en longueur, délicatement décorée de tons mauves et violets, qui semble être une chambre d'ami ou d'enfant. Tandis que les doux tapis de velours accueillent vos pieds, vous déposez votre regard sur la coiffeuse qui se tient en face de la porte. Un miroir et de l'or l'embellissent, tandis qu'un large espace est laissé libre pour poser affaires et permettre l'écriture. En avançant vers le fond de la pièce, vous découvrez une jolie armoire de chêne, caressée par une bibliothèque à la disposition des convives. Finalement, vous faites une pause, vous laissant tomber sur un lit à l'armature de sapin verni, au matelas confortable, et au linge fait de matières nobles, tandis qu'à côté de votre tête, vous trouvez un somptueux coffret à bijoux, d'or et de sapin.
Le boudoir
Que serait une gentilhommière sans son boudoir ? La pièce, située entre la pièce de vie et la chambre à coucher comme le veut la tradition, semble dédiée aux causeries des femmes. Les couleurs ici sont fraîches et l'on y retrouve de nombreuses assises de velours, tissu qui semble fortement apprécié par la maîtresse de maison. En son centre, vous découvrez une vitrine de marbre et de verre, éclairée par quelques bougies, accueillant une précieuse lance. Pendant que les rires féminins pénètrent vos oreilles, vous observez les vitraux qui donnent sur le quartier et vous baladez vos yeux sur la Commanderie d'un côté, et sur l'Ouest de l'autre, tandis que deux aigles d'or surveillent la pièce, à nouveau.
La chambre principale
Après le boudoir, vous entrez finalement dans une pièce à l'éclairage doux, tandis que vous entendez le feu crépiter. La cheminée, de pierre fastueusement ciselée et d'or toujours taillé en aigle, réchauffe la pièce et l'éclaire légèrement. Le lit, large et haut sur pieds, semble divin, tant les gravures de l'armature de sapin, qui supporte les épais baldaquins, de velours et de cachemire, hypnotisent vos yeux éblouis. Vous vous laissez tomber sur le lit et vous ne voulez guère en sortir. Les multiples oreillers, fourrés de plumes, accueillent tendrement votre crâne, tandis que les draps, couvertures et fourrures plus coûteux les uns que les autres réchauffent votre corps. Finalement, vous voyez deux armoires, de part et d'autre du lit et vous les ouvrez, laissant alors une foule d'étoffes chères, pliées avec soin, envahir votre vue.
Sous-sol
Une fois votre visite des étages supérieurs terminée, vous décidez de descendre et découvrez un nouvel escalier, qui descend vers un sous-sol. En arrivant, vous semblez tomber sur une réserve. Les caisses sont nombreuses et remplies, et il en est de même des fûts de vin. Vous apercevez un lit, sûrement celui du domestique de la bâtisse, et deux portes. L'une est à côté des escaliers et mène sur des latrines propres et embaumés d'encens, tandis que l'autre, double et ornée, vous conduit vers une vaste salle de bain aux matériaux onéreux. Vous êtes éblouis par la richesse de la pièce, tandis que deux nouveaux aigles d'or vous surveillent, surplombant l'eau du bain. Vous tournez la tête et voyez un large support de marbre, accueillant d'innombrables lotions, flacons, décoctions et autres apothicaireries ainsi qu'une bassine d'eau claire. Vous la tournez à nouveau et apercevez alors un porte-serviette, envahi par diverses tenues de bain et serviettes de cachemire brodées, avant de vous défaire de vos vêtements et de vous laisser aller dans le bain. Là, l'atmosphère est humide et chaude, tandis qu'une odeur fleurie envahit vos narines : l'eau est chauffée et parfumée. Tandis que vous vous placez sous la protection des aigles d'or, vous observez les deux grandes colonnes de marbre qui se dressent fièrement de part et d'autre des marches qui mènent à l'eau, tandis que vous vous sentez loin de la ville, grâce aux feuilles qui encadrent les murs de la baignoire.
Une peinture du Messire Deschilder
Un dessin de la Noble Dame Lorncastel
Une peinture de la Dame Alducci
Le manoir est également rythmé par les besoins des divers animaux que la propriétaire possède.
Le chat de la maison, Archibald, un Sacré Adaarion.
La lapine de la maison, Hortense, un lapin de garenne.
