Utilisateur:Arkadiusz

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
yokodarking
Pseudo
Yokodarking


Âge IRL
15 ans




Description

Arkadiusz a 31 ans (16 juin 486), et une assez petite taille (1.67m en l’an 514) pour un corps svelte (54.7kg en l’an 514). Il a l’air antipathique, repoussant, avec un visage inexpressif : il a les cheveux bruns, presque noirs et frisés ; le front court ; les yeux en amandes, marrons, éteints / inexpressif ; le nez aquilin ; la bouche étroite et la barbe longue en bouc. Muni essentiellement d’un bracelet de fleur et de son simple couvre-chef, il est vêtu d’une coule abîmée, salie et de petits mocassins. C’est une personne très crédule, rancunier. Certains disaient qu’il était râleur, provocateur ou alors orgueilleux, hautain, d’autres se contentaient du fait qu’il soit extraverti, franc et qu’il ait une bonne estime de soi. C’est un bon paresseux, un fainéant, c'est aussi un dépensier mais un vrai sentimental. Il est discipliné, attentif ; il a un humour qui peut se ressentir à des kilomètres sans être excessif. Il fait preuve d’ingéniosité, ou même de créativité dans les moments opportuns et est connu par sa bienveillance dans toute l’abbaye : c’est une personne admirable. Il la manie de ses lécher les lèvres lors de discussions longues, sérieuses.

Choix

- Tailleur de pierre : Il polissait, sculptait, taillait, contribuant à la fortification de la ville de Jihnava afin de rapporter quelques sous, et aidant son père. Or, dès lors que son père avait contracté la tuberculose, il en fit son métier à plein temps.

- Education : Le petit hura acquit les bases du savoir avec les quelques enseignements acquis dans une commanderie de Jihnava et avec ceux de sa tante principalement, un serviteur laïc qui lui enseigna à bien lire, écrire et compter dès lors qu’il approchait de ses 6 ans, en l’an 492 jusqu’en l’an 502 où il tentera de devenir un moine phalangiste dans l’abbaye de Jihnava avec le noviciat. Il passa tout de même une bonne partie de sa vie après à lire des bouquins d’aventure, de contes …

- Art(loisir) : L’admiration qu’il avait avec les bâtiments, leur histoire, leur style d'architecture, était telle qu’il se passionna d'Architecture, ce qui lui permit de s'évader du monde réel, parfois injuste, cruel et ainsi de partager des merveilles à la peuplade par divers plans de constructions.

Talents

Bien souvent conformiste, brillant, il peut se montrer courtois et digne de confiance (du fait de sa bienveillance). Parfois ingénieux, créatif, il est minutieux dans ses travaux. Il parle couramment le Hura, et un peu moins le Capitalin.

Défauts

Il est, la plupart du temps, négatif, et très franc : n'hésite pas à dire du mal (ou du bien) des gens. Quelque peu insouciant, il peut être baratineur, voir manipulateur.

Intérêts culturels et goûts

Arkadiusz se passionne pour la nature, l'architecture, la vie. Il s'empresse de découvrir des endroits palpitants, étranges, merveilleux. Il aime le sucré / salée, et tout particulièrement la Tourte Piosenki.

Relations

Sehlys Nepheris : Maître d'Arkadiusz. Elle l'acheta pour 20 Espers, une petite somme, à la vente des esclaves. Attentionnée, sociable, et protectrice envers Arkadiusz qu'elle appelle plus communément "Arka".


Natanael Bellini (Plume) : Relation amicale. Appelé aussi Plume, Natanael est un esclave ayant une relation amicale avec le maître d'Arkadiusz. C'est 

quelqu'un de calme, détendu, et de sociable, mais aussi généreux.


Meren :Connaissance. Il fut réduit en esclavage et vendu, au côté d'Arkadiusz. Il est engagé, déterminé, et n'hésite pas à aider.


Bardan Aksaïnen : Mentor d'Arkadiusz. Un vieux tailleur de pierres, barbu, esclave, qui entretient un atelier de taille, le Morse du Granit.

Histoire

16 juin de l’an 486 : Naissance d’Arkadiusz Yödaj à 1h14 du 3e Demi-Cycle (Le jour du 2e Cycle) à Jihnava. Ce fut pour ses parents un moment inoubliable, un signe d’amour éternel. Première et dernière progéniture de ces derniers, la mère étant décédée deux mois plus tard : le père ne sait plus re-marier depuis (mariage devant Arbitrio). Le nouveau né fut élevé par le père, mais aussi par la tante, étant donné qui lui fallait une présence féminine (Allaitement, …) et que le père devait travailler dans la taille de pierre pour aider à la fortification de Jihnava, et ainsi ramener des vivres.

An 492 : Début de l’éducation d’Arkadiusz, il a alors 6 ans. La tante de ce dernier commença à lui conter des livres de peu de valeur : des recettes de cuisine traditionnelles, des revues de presse … pour son apprentissage de la lecture. Il ne s’y intéressa grandement aux textes eux-mêmes, mais se dispersa vers des contes, des romans à bas prix, qui sont plus en accord avec ses centres d’intérêt, ses envies. La tante l’accompagna un peu plus tard à la commanderie la plus proche (celle où elle exerçait son rôle de serviteur laïc) pour qu’il reçoive une bonne éducation et qu’il devienne croyant en Arbitrio, avec la rude autorisation du père.

An 505 : Début du Noviciat. Arkadiusz, poussé par sa tante, voulait devenir moine dans l’abbaye de Jihnava. Il en parla à son père qui, après une longue hésitation, prit sa décision : il pouvait se lancer dans un noviciat afin d’être moine. Encouragé par sa petite famille, il débuta ce sinueux périple. Malgré quelques lacunes qu’il pu avoir lors de sa jeunesse ressenties dès le départ de sa formation, ce futur moine était près à rentrer dans une société qu’il rêvait tant.

An 508 : Fin du Noviciat. Un long parcours effectué pour qu’Arkadiusz arrive ici, au bout du chemin. Une cérémonie promotionnelle fit son apparition, et ce qu’Arkadiusz rêvait arriva : il fut invité à participer à cette dernière. Entouré de tous les membres de l’abbaye de Jihnava, de sa tante, les étoiles pleins les yeux, et de son père, les larmes de joie qui serpentent ses joues, on lui voit attribuer le titre de moine dans l’abbaye de Jihnava. Il était voué à rester dans cette dernière pour longtemps, ce qui amena à la séparation du père et du fils, mais seul le saint esprit permettait de les rallier.

An 509 : Défiance de Hohenwald et Mort du père d’Arkadiusz. Le conflit entre hohenwaldiens et jihnaviens avait prit place. Beaucoup de « furets » furent engagés dans cette bataille, dont le père d’Arkadiusz, suite à la demande de revendication d’indépendance de Hohenwald par la violence. Ce fut le 12 avril, lors du premier assaut de la part des jihnaviens, qui fut un échec, qu’est décédé le père d’Arkadiusz. Il l’apprit dans la presse locale, impuissant, et tomba dans une dépression dont il se remettra quelques jours après.

Janvier de l’an 511 : Rencontre de sa « bien-aimée ». En sillonnant dans la partie extérieure de l’abbaye, il aperçut au travers des clôtures une dame mystérieuse, de taille moyenne, les yeux bleus étincelants, les cheveux d’une couleur jaunâtre qui tombaient jusqu’au sol : il l’interpela. Ils commencèrent à discuter longuement, et au bout d’une heure, ils s’envoyèrent un baiser, un seul geste. Elle disparu dans l’ombre des quartiers, ce fut pour un moine un moment d’amour qu’il ne pourra revivre en ce lieu.

An 515 : Condamnation à l’esclavage, envoie d’Arkadiusz à Lauderfelt. Le moine hura, apprit par la suite le décès de sa tante, d'empoisonnement. Cet événement le perturba grandement, il fit couler des tonnes de larmes dans le dortoir de l'abbaye, songeant au manque de liberté, à sa famille défunte, et à l’amour qu’il n’aura sans doute jamais. Il eût des envies suicidaires dues à ses émotions et à la mort du dernier membre de sa famille. Le 4 novembre de l’an 515, il tenta de mettre fin à sa vie, presque par lâcheté. Heureusement, un de ces serviteurs laïcs lui vint en « aide », en lui empêchant d’établir sa dernière action. La nouvelle remonta jusqu’à l’abbus de Jihnava : bouleversé, il ordonna à certains serviteurs laïcs de le surveiller constamment, tout en l’amenant à participer à des activités religieuses dans le but de lui redonner goût à la vie. Après trois mois de souffrances et d’efforts inutiles, n’ayant aboutis à rien de concret, ils décidèrent finalement de le réduire en esclavage pour ne pas l’assassiner : il ne pouvait pas demeurer dans ces lieux avec de telles pensées ! On l’envoya à charrette à Lauderfelt, accompagné de deux serviteurs laïcs, dans l’espoir qu’il ne revienne pas. Les moines, serviteurs laïcs, tout le monde demanda le pardon à Arbitrio pour lui avoir fait subir cela. Le trajet de Jihnava à Lauderfelt dura onze jours : du trois mai au quatorze mai de l’an cinq cent quinze. Ce fut une rude traversée, dans un Nivôse glacial : il y avait de la brume, on ne voyait pas à deux mètres, il faisait froid, la charrette glissa quelques fois, nous avions failli nous renverser, un cauchemar. Le 14 mai de l’An 515, les esclavagistes de Lauderfelt mettent aux fers Arkadiusz. Arrivé à destination, dans cette ville ou la peur et l’oppression sillonnent les quartiers à tout va, ils m’emmenèrent dans une pièce sale, mal entretenue, j’étais privé de liberté. J’avais le droit d’avoir quelques ouvrages bibliques à ma disposition, ainsi que d’un lit, qui fut mon lieu de prière pendant deux années, le temps de trouver un acheteur voulant réellement m’acheter.

An 517 : En route vers Esperia … Après des mois d’incapacité, coupé du monde, le matin d’un 31 mai 517, ils nous firent sortir des barreaux, un espoir. En fait, le bourreau nous amena à l’extérieur afin que l’on découvre ce que nous allions devenir : des esclaves d’Esperia. Nous prenions promptement le chemin menant à La Capitale, à pied (ceci dura un peu plus de 11 jours), pour ensuite nous rendre en bateau à une île surnommée Fort-Lointain (qui dura pas plus de 4 jours, tous serrés, recroqueviller, cherchant de la place et de la lumière). Nous étions nourris comme des sauvages, traités comme des animaux, dérogeant à toutes les règles humanitaires du culte d’Arbitrio. Arkadiusz ose espérer avoir une meilleure vie qu’autrefois.