Utilisateur:Averilldu59

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
Averilldu59
Pseudo
Averilldu59
Prénom IRL
Clément
Âge IRL
21 ans




Caractéristiques

  • Age : 26 ans
  • Taille : 1m79
  • Poids : 80kg
  • Croyance : Croit en l'Arbitrio comme la plupart des Huras.
  • Maîtrise des armes : A été un ancien garde mais ne maîtrise plus le combat.

Description

A l'époque où il était à Esperia, il avait les cheveux bruns après s'être fait une teinture mais celle-ci est partie et il a les cheveux roux à nouveau, yeux noirs, teint plutôt clair, visage ovale. A un corps plutôt musclé car il était garde par le passé mais a pris un peu de ventre.

Qualités

  • Loyal. Au temps où il était garde il avait acquis une certaine loyauté envers ses camarades et ses supérieurs qu'il a conservé.
  • Courageux. Même s'il n'est plus garde, il est resté courageux même dans les pires situations.
  • Très poli. Il ne supporte pas l'impolitesse.
  • Ponctuel. Lorsqu'il a un travail à effectuer, il le fait en temps et en heure ! Il a horreur du retard.

Défauts

  • Rancunier. Il est très rancunier et sait se souvenir d'une personne qui lui a nuit ou qui veut lui nuire.
  • Méfiant. Comme beaucoup d'Huras, il est méfiant, même si au fil des années, cette méfiance s'estompe.
  • Ne s’y connais pas en sciences. Il n'a jamais appris les sciences et cela ne l'intéresse pas.
  • Ancien alcoolique donc peut sombrer dans l’alcool

Histoire

Avant Esperia

Après une dure bataille, Averill rentrait chez lui. En chemin il passa devant la taverne, alors il ne put s’empêcher d’y aller. Il entra dans la taverne, lorsqu’il franchit la porte, le carillon sonna et tout le monde se tourna vers lui. Des clients se mirent à chuchoter tout en l’observant.
« Ne serait-ce pas le Chevalier Averill ?
_Si c’est lui.
_Il vient encore picoler !
_Chut, pas si fort il va t’entendre. »
Averill avança jusqu’au comptoir.
« Bonjour Tavernier.
_Bonjour Chevalier Averill. Une bière comme d’habitude ?
_Oui, s’il te plaît. »
Le tavernier servi une pinte de bière au chevalier. Ce dernier en recommanda plusieurs, ainsi après six bières, le chevalier n’avait plus les idées très claires. Le tavernier demanda au chevalier de ne plus boire et de partir mais celui-ci refusa.
« Averill, tu n’es plus en état de tenir debout, tu devrais rentrer.
_Fermes-la ! Je fais ce que je veux ! »
C’est alors qu’entra un autre chevalier du nom d’Igor.
« Tiens, ne serait-ce pas Averill ? S’exclama Igor. »
Il s’approche du chevalier ivre.
« Mais si c’est bien toi ! Et comme d’habitude tu es ivres ! Tu fais honte à la chevalerie !
_Fermes-là Igor, je suis bien meilleur que toi !
_Allons, Averill, l’alcool te fais dire des bêtises, ressaisis-toi.
_Tu me cherches ? Tu veux te battre ?
_Averill, arrêtes ! »
Le chevalier ivre, s’avance vers Igor et tente de le frapper, ce dernier esquive et donne un coup de genou dans l’estomac d’Averill.
« Désolé mais c’est pour ton bien. Ton comportement n’est digne d’un chevalier et ce n’est pas la première fois que ça t’arrives.
_Tu vas me le payer ! »
Averill fonce sur Igor et le plaque au sol et commence à le frapper. Igor reçois quelques coups mais parvient à se libérer et se défendre.
« Gardes ! Gardes ! Hurle Igor qui continue d’encaisser les coups. »
Trois gardes qui patrouillaient dans la rue entendirent les cris du chevalier Igor et débarquèrent dans la taverne.
« Embarquez-moi ce chevalier et mettez-lui les fers. »
Les gardes s’exécutent, maîtrisent Averill et le menottent tandis qu’il se débat.
« Lâchez-moi ! Criait Averill.
_Désolé Averill mais c’est pour ton bien. Dis Igor en souriant. Je vais demander au roi de te défaire du titre de chevalier car tu n’es pas digne de le porter. »
Averill était traîné par les gardes mais il continuait de se débattre. Alors Igor pris son épée et frappa Averill à la tête avec la poignée. Le chevalier perdit connaissance... Quelques heures plus tard, Averill se réveilla dans les cachots de la ville, il s’approcha des barreaux.
« Garde, pourquoi m’avez-vous enfermé ? Cria le chevalier au gardien.
_Tais-toi ! Tu n’as pas à me parler.
_Je suis chevalier, alors réponds-moi.
_Vous ne l’êtes plus pour très longtemps. Le chevalier Igor a adressé une lettre au Seigneur lui demanda de vous retirer votre titre de chevalier pour vos nombreux manquements.
_Quoi ?! J’ai donc été jeté au cahot et je vais perdre mon titre de chevalier.
_Le Seigneur a même ordonné que vous soyez jeté hors de la ville.
_Où vais-je donc pouvoir aller alors ?
_Je ne sais pas, Esperia peut-être ?
_Esperia ? Quelle est cette ville ?
_Je ne connais pas, j’en ai juste entendu parler…
_Merci de l’info. Quand serai-je libéré ?
_Demain matin. »
Averill décida donc de se reposer et t’attendre jusqu’au lendemain. Et donc le lendemain, il est réveillé par le garde.
« Monsieur, réveillez-vous !
_Quoi, qu’est-ce qu’il y a ?
_Vous êtes libre.
_Déjà ?
_Oui, je vais vous emmener au bateau qui vous conduira à Esperia. »
Averill se leva, s’habilla et suivit le garde qui l’emmena jusqu’au bateau. Arrivé devant le navire, le soldat discuta avec le capitaine… Après une longue discussion, le capitaine du navire emmène Averill et l’enferme dans l’une des cellules. Après quelques minutes et l’embarquement de d’autres personnes, le bateau partit pour Esperia tandis que l’ex-chevalier s’était endormi. Il se réveilla quelques heures plus tard, regarda ses vêtements et vit qu’il n’était plus vêtu que de ses vêtements déchirés. Il leva la tête et vit des personnes en face de lui, il réalisa qu’il était sur une estrade enchaîné à un poteau. Il regarda à côté de lui et vit d’autres hommes. Dont un homme qui criait des sommes à d’autres personnes qui semblaient être des clients dans la foule. Averill réalisa qu’il était sur un marché d’esclaves et qu’il était l’un d’eux. Il essaya donc de se débattre mais un gardien qui l’avait vu lui asséna un violent coup de garde sur la tête. L’ex-chevalier perdit connaissance à nouveau, la tête en sang.
Après quelques heures de coma, il se réveilla dans une chambre et regarda autour de lui. Il ne vit personne, il se leva et tenta de quitter la pièce avant de tomber nez à nez avec un homme plutôt corpulent qui avait l’air riche.
« Où vas-tu esclave !?
_Esclave ?
_Oui, que fais-tu ?
_Je ne suis pas un esclave mais un chevalier et où je suis d’ailleurs ?
_Tu es mon esclave, je t’ai acheté sur un marché et nous sommes à Esperia. Et tu te trouves dans ma demeure.
_Je ne suis pas votre esclave ! »
Averill bouscule l’homme et tente de s’enfuir mais reçoit un coup violent d’un garde qui se patrouillait dans la rue et passa devant la maison. L’ex-chevalier s’évanouit à nouveau.

Esperia

Lors de la vente d'esclaves dans laquelle se trouvait Averill, il fut réquisitionné par la garde. Après une semaine et quelques jours d'entraînement et de duels à l'arène, il finit par intégrer les rangs de la garde qui manquait de personnel. Durant sa carrière il a notamment participé à l'arrestation d'Eltator après l'agression du noble Hérodion par ce dernier. Mais après plusieurs semaines, il doit rentrer voir sa famille pour des raisons personnelles et s'absente plusieurs mois...

Nouveau départ pour Esperia

Un jour, alors qu’il travaillait avec son assistant dans son atelier, son village est attaqué par des barbares que l'armée de son village avait déjà combattus par le passé. L'armée avait subit de nombreuses pertes durant la dernière bataille et du coup il ne restait que très peu d’hommes pour défendre le village. Après plusieurs heures de lutte acharnée mais vaine, les barbares avaient brûlé la majeur partie du village et la seule bâtisse encore debout était celle d’Averill. Les barbares se dirigèrent vers celle-ci et tuèrent les deux soldats qui la gardaient sans difficulté, ils entrèrent et se ruèrent sur Averill. Ce dernier pensait que sa dernière heure était arrivée mais avant d’être tué par l’un des barbares, celui qui semblait être leur chef ordonna de le capturer au lieu de le tuer car il savait qu’il valait son pesant d’or vu qu'il était le maire et le protégé du gouverneur de la région. Les barbares lui essayèrent de le ligoter mais Averill se débattait, alors le chef s’avança vers lui et lui donna un violent coup de poing dans le visage. Averill se mit à saigner de la bouche, il regarda le chef et cracha à ses pieds, ce dernier prit de rage pris son épée en main et assomma Averill avec le pommeau de son épée. Les barbares ligotèrent Averill et l’emmenèrent avec eux. Avant de quitter le village, ils mirent le feu à la maison du maire, Averill, puis partirent.
Après plusieurs jours de voyage, les barbares arrivèrent à ce qui semblait être un petit village. Les barbares déposèrent Averill dans une tente et se placèrent devant celle-ci afin de monter la garde. Averill revint rapidement à lui, il ouvrit les yeux difficilement, sa tête était lourde et lui faisait mal. Il parvint finalement à se relever, il porta a main gauche à sa tête là d’où venait la douleur et au moment de poser sa main sur sa tête il sentit du liquide sous sa main. Il retira sa main de la blessure et vit que sa main était rouge.
_Où suis-je ? Se demandait Averill.
Il regarda autour de lui et comprit qu’il était dans un tente, il vit la sortie de la tente, s’en approcha doucement et lentement. Une fois à proximité de la sortie il put entrevoir deux paires de jambes de chaque côté. Il en déduisit que la tente était gardée et qu’il ne pourrait pas tenter de s’échapper. Il décida donc de s’allonger en attendant de savoir le sort qui allait lui être réservé.
Soudain, on s’agite autour de sa tente, il entend des chevaux et ce qui semble être le bruit d’un chariot. Il s’approche à nouveau de la sortie de sa tente pour observer à l’extérieur. Il parvient à distinguer un chariot avec des chevaux ainsi que des hommes qui discutent avec le conducteur du chariot. Il s’aperçoit à un moment que l’un des hommes appartenant au village se tourne vers la tente et se met à crier.
_Ammenez-moi le prisonnier !
Les deux paires de jambes à côté de la tente se tournent vers l’entrée. Averill recule rapidement vers le fond de la tente et s’allonge feignant d’être encore inconscient. Les deux hommes qui se trouvaient dans la tente entrèrent et se dirigèrent vers Averill, ils se penchèrent pour l’attraper mais celui-ci se faufila entre les deux hommes tandis que la tête de chacun se cogna contre la tête de l’autre. Le maire du village brûlé par ces barbares se précipita hors de la tente. Le chef des barbares le vit et hurla des ordres à ses hommes. _Le prisonnier ! Il s’échappe ! Attrapez-le !
Les barbares qui étaient tous occupés cessèrent leur activité et se ruèrent sur le fugitif. Averill courut vers la sortie qu’il aperçut dans sa fuite poursuivit par les barbares. Il atteignit la sortie plutôt rapidement mais il était toujours poursuivit par les barbares. Il arriva rapidement à un fleuve, il ne réfléchit pas en le voyant et plongea. Les hommes qui le poursuivaient le virent plonger et contrairement à ce à quoi pensait Averill, ils ne plongèrent pas pour le poursuivre. Le fugitif ne mit pas longtemps à comprendre pourquoi, sans même nager, son corps se déplacer le long du fleuve et gagnait en vitesse. Le courant s’intensifiait de plus en plus, Averill tentait désespérément de nager mais le courant était bien trop fort. Après quelques minutes de dérive dans le fleuve, maltraité par le courant, il finit par entendre un bruit sourd. Il se tourne en direction du bruit et pu s’apercevoir qu’une chute d’eau l’attendait. Il se mit à nager de toutes ses forces à contre courant mais le courant était trop intense. Il arriva rapidement à la cascade, il ferma les yeux puis se mit à prier l’Arbitrio. Il fit une chute de plusieurs dizaines de mètres de haut et atterrit dans son un lac dans lequel coulait la cascade. Averill avait perdu connaissance lors de la chute, lorsqu’il revint à lui, il vit la source d’eau en face de lui.
_J’ai survécu ! Merci Arbitrio !
_Oui vous avez survécu… lui dit une voix derrière lui.
Averill se retourna et vit un homme.
_Qui êtes-vous ? Demanda l’ancien prisonnier.
_Je suis un pêcheur et vous avez fait fuir mes proies !
_Désolé !
_Ce n’est pas grave… Mais dîtes-moi, c’est une sacré chute que vous avez faite !
_Euh… Oui…
_Que faisiez-vous là-haut ?
_Eh bien, ce serait trop long à expliquer.
_Vous avez raison, cela ne me regarde pas…
_Où suis-je ?
_Nous sommes à côté de Caroggia.
_Carrogia !? Demanda Averill étonné.
_Oui, Caroggia, une ville côtière.
_Comment me suis-je retrouvé ici ? Que vais-je faire maintenant ?
_Je ne sais pas…
_Heureusement pour moi, mon peuple et les Caroggians nous entendons bien, je vais peut-être trouver un moyen pour rentrer chez moi.
_Je peux vous emmener chez moi à Caroggia…
_Sauf que je ne pourrai pas rentrer chez moi, mon village a été entièrement brûlé…
_Allons chez moi, vous devez avoir froid après cette chute dans l’eau du lac qui n’est pas chaude.
_Vous avez raison.
Le pêcheur emmena Averill chez lui à Caroggia. Une fois arrivés chez le pêcheur, ce dernier invite Averill à s’installer à table puis il va dans une autre pièce. Tandis que le pêcheur préparait un repas pour son invité dans l’autre pièce. Averill vit un livre qur une étagère qui l’interpella. Il se leva, avança jusqu’au meuble où se trouvait le livre, il le prit et observa la couverture. Sur le livre, on pouvait lire Esperia. Intrigué, Averill ouvrit le livre et le feuilleta rapidement, il semblait avoir été rédigé par quelqu’un mais avait été à peine rédigé. Ce nom rappela des souvenirs à Averill, il reposa le livre et sortit dans la ville. Il ne savait pas où il était dans la ville, il vit un homme et l’accosta.
_Excusez-moi, pourriez-vous me dire où se trouve le port de la ville ?
Le Caroggain se demandait qui était cet homme. Voyant que l’homme n’allait pas lui répondre, Averill lui reposa la question.
_Je suis d’Huratelon et je suis perdu. Pourriez-vous m’indiquer la direction du port ?
_Ah ! Un Hura ! Fallait le dire plus tôt ! Suivez-moi, je vais vous y amener !
L’homme conduisit Averill jusqu’au port.
_Vous y êtes !
_Merci mille fois monsieur !
L’homme partit et laissa Averill au port. Ce dernier vit un bateau et des esclaves qui embarquaient à l’intérieur et un garde de la ville en armure qui les surveillait. Averill n’avait pas mangé et la faim le tenaillait. Il vit une étale avec de belles pommes rouges. Mais il n’avait pas de pièces sur lui pour payer le vendeur. Heureusement pour lui, ce dernier était occupé avec un client un peu plus loin. Averill regarda autour de lui et pris une pomme discrètement puis s’éloignait de l’étale.
_Halte ! On ne bouge plus !
Averill se retourna et vit un garde derrière lui pointant son épée vers lui. Averill lâcha la pomme qui roula aux pieds du garde.
_Alors comme ça, tu crois que tu peux t’échapper et voler de la nourriture !?
_Je ne me suis pas échappé !
_Silence esclave ! Vu l’état de tes vêtements tu es bien un de ces esclaves ! Tu oses me mentir ?
_Mais…
Alors qu’il s’apprêtait à s’expliquer le garde donnant un violent coup de pied au visage d’Averill. Celui-ci tomba au sol.
_Ferme-la, esclave ! Gardes, emmenez cet esclave dans la cellule du bateau !
Ces camarades s’exécutent et transporte l’homme jusque dans la cale du bateau et le jettent dans la cellule avec d’autres esclaves. Averill proteste mais les gardes ne l’écoutent pas. Finalement, il va s’asseoir dans un coin du bateau tandis que les autres prisonniers le regardent.
_Où va ce bateau ? Demanda Averill.
_À Esperia...

Amis déclarés

Regdard

Regdard


Adabroux

Adabroux


Octyso

Octyso


Slight Dunmerh Zerua

Slight Dunmerh Zerua

Ennemis déclarés

Aucun pour le moment...