Utilisateur:Faradron
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Description
Faradron est un jeune homme qui aime rendre service, qui est sociable, maladroit sauf en cuisine. Timide et très malheureux. Sérieux et constamment en manque de confiance en soi. Il est de grande taille, ce garçon croit au culte de l'Arbitrio mais aussi au fragment monachisme : la Lukemise. Sa mère lui a enseigné quand il était plus jeune. Faradron est né dans le petit village de Monalf, situé à quelques lieux de Guevrac, dans la région de Galdyr. Il déteste ses parents, et cette situation l'a toujours rendu seul. Faradron s'est beaucoup attaché au boulanger du village, Gundac. Il lui raconter souvent des histoires, il était surtout son seul ami, et un père pour lui.
Il n'y a que quelques jours seulement que Faradron tua son père accidentellement alors que celui-ci avait battu sa propre femme. Faradron, complètement bouleversé et affaibli parce qu'il venait d'accomplir, ne croît plus en son avenir plein d'aventure et de découverte qu'il avait temps rêver alors qu'il avait préparé sa fugue. Et alors qu'il se considère comme un monstre, il est emmené par des gardes qui le jettent sur un bateau. Plusieurs personnes le traînent jusque dans la cale, terrifié et gelé, il pensait à ce qui allait lui arriver.
Aptitudes
- Alphabétisation : Faradron adore la lecture, sa mère lui racontait la genèse du culte d'Arbitrio plus jeune, se fut le seul ouvrage à sa disposition puisque ses parents n'acceptaient aucun livre chez eux. Faradron a lu la genèse 258 fois depuis aujourd'hui.
- Art (chant) : Faradron grimpait souvent sur le toit de sa maison. Il lisait dans les étoiles, en espérant trouvé quelques lignes sur son avenir. Alors, Faradron chantait, lorsqu’il voyait une comète parmi les étoiles.
- Calcul (gratuit) : Le meilleur ami à Faradron, Gundac le boulanger de son village natal, lui apprit les techniques et le savoir des mathématiques pour l'aider dans son futur métier.
Histoire
Avant Esperia
A 14 ans Faradron Roqueblume, fils de Ganor Roqueblume, chasseur hors pair, et de Diana Marendès, mère au foyer, est comme à son habitude en train d'aider sa mère à faire la cuisine pendant que son père est à la chasse. Faradron aime la cuisine, ce n'est pas un travail comme les autres pour lui. Son père lui a toujours dit que dans quelques années il deviendra chasseur, comme lui, mais cela lui faisait peur, il n'aimait pas chasser. Une fois qu'il eut fini toutes les tâches ménagères de la maison que sa mère lui avait ordonné de faire, il put sortir acheter du pain, pour le dîner. Fada travaillait tous les jours, toute la journée. Il n'avait pas le temps de sortir jouer avec les autres enfants et il n'avait pas le temps d'y penser, il trouvait cela absurde de se courir après pour s'attraper, il n'y voyait aucun but. C'est ainsi que Fada se rendit à la boulangerie, comme à son habitude, il fit bercé par les histoires de Gundac. Il adore écouter les histoires et Gundac aime en raconter. Mais ce jour là, après qu'il eut fini son récit, Gundac regarda autour de lui comme si il s’apprêtait à lui confier un secret : "- Tiens Fada, je te le donne, il est à toi." Fada reçu un livre, il s'avait déjà lire, mais il n'avait jamais reçu un ouvrage comme celui-ci. "- Mais qu'est ce que... - Je l'ai écrit pour toi, je sais que tu ne le refuseras pas maintenant que je te l'ai dit. Attends une minute tu es mon meilleur ami et tu aimes mes histoires, tu ne crois tout de même pas que je n'allais pas utilisé mon talent d'écrivain pour rien." Faradron contempla sa lecture comme un objet de valeur, après tout, ce n'était juste qu'un livre. Mais il n'allait pas le montrer à ses parents, qui sait ce qu'ils penseraient de lui. Il n'en avait rien à faire mais ces parents pourraient se mettre en colère et ils redonneront le livre à Gundac. Il le cacha et sans se faire voir, il rentra chez lui et monta dans ça chambre, le grenier. Il consacra le peu de son temps libre à lire. Depuis ce jour, Fada réalisait les tâches ménagères à très grande vitesse et il n'avait plus le temps d'écouter les histoires de Gundac. Pour être plus tranquille, Fada lisait sur le toit de la maison, il empruntait souvent ce chemin pour contempler la constellation. Il l'empruntait a vrai dire depuis que sa mère lui raconta le récit de la création quand il été tout petit, elle lui raconta aussi un fragment monachisme, la Lukemise. Il s'imaginait à cette âge pouvoir voyager dans le ciel, devenir lui même une comête, une des larmes d'Arbitrio. Maintenant, Fada s'imagine voyager dans un tout autre univers, un univers déjà tracé par son père, un univers qu'il déteste. Son seul moyen de rêver maintenant, c'est de lire.
Ce soir Faradron venait d'avoir 15 ans, ce jour là son père était fier, si fier qu'il lui dit : "- Tu as 15 ans maintenant, tu deviendras comme ton père, l'année prochaine, un terrible chasseur ! - Euh, papa je ne suis pas sûr... - Bien sûr que tu veux faire ça, c'est ce que tu seras et nul ne l'empêchera, c'est un cadeau de génération, ton grand père était chasseur, ton arrière grand père était chasseur... - Non, je ne veux pas devenir chasseur, je veux devenir cuisinier ! Rétorqua enfin Fada. - Aha, c'est une blague ? Se moqua son père Ganor. Je n'accepterai jamais un tel comportement dans cette maison ! Cuisinier est un travail pour les faibles ou les femmes. - Mais bien sûr que non !" La mère intervint : "- Nous reparlerons de cela plus tard, chéri ? Il n'a pas les idées claires, il est sans aucun doute en plein délire, puis s'adressant à son fils elle continua, toi monte dans ta chambre, privé de dîner ! Non d'Arbitrio" Faradron énervé, tournait en rond sans cesse dans sa "chambre" puis sur le ton de la colère, il réfléchit : "- Il faut que je trouve un moyen de m'enfuir, je ne peux plus continuer de vivre avec eux, il faut que j'en parle à Gundac, j'ai besoin d'aide." Il attendit quelques heures, puis il sortit par la petite fenêtre à côté de son lit, et il grimpa sur le pommier du voisin. D'habitude, il empruntait le chemin qui accéder sur le toit, mais cette fois ci, il descendit du pommier et courut en direction de la boulangerie. La boulangerie qui servait aussi d'habitation pour Gundac était fermée, Fada frappa à la porte, et il dit : "- Ouvre Gundac, c'est important, s'il te plaît, je dois te parler." La porte s'ouvrit en grinçant et un homme imposant se trouva derrière elle, Gundac était posté là, prêt à écouté Fada. "- Entre mon petit, j'ai fait une cheminée, il fait froid dehors, entre vite." Fada s'installa près du feu, Gundac lui donna à manger et une couverture puis il lui demanda ce qu'il n'allait pas, Faradron commença à lui expliqué mais trop fatigué pour continuer à ouvrir les yeux il s'assoupit, Gundac sourit. Faradron se réveilla dans son propre lit, il pensait que c'était un rêve, il voulait se rendormir parce qu'il ne voulait pas affronter le regard de ces parents un étage plus bas. Puis il eut comme soudain une illumination et sortit une deuxième fois par sa fenêtre en direction de la boulangerie. La boulangerie était fermée mais il y avait un mot sur la porte : "Je suis dans la forêt aujourd'hui, tu peux me rejoindre si tu en as envie." Sans plus attendre, Fada rejoint la forêt : "- Bonjour Fada. - Bonjour Gundac, tu ne travailles pas aujourd'hui ? - Toi aussi ?" Fada baissa les yeux. Gundac brandit une épée en bois. "- Je vais t'apprendre à te battre, dit Gundac - Mais je ne veux pas me battre, répondit simplement Faradron - Tu le devras de toute manière, d'une façon ou d'une autre. - Très bien mais pas de cette façon, je ne veux pas être une brute, puis à voix basse il continua, pas comme mon père... - Hmm hmm, que veux-tu faire alors ? - Cuisinier, un peu comme toi, j'aime la cuisine ! - Tu ne l'avais jamais évoqué. - Tu te serais moqué de moi. - Mais... pourquoi est-ce que je me serais moqué de toi ?" Faradron leva la tête, il se sentait un peu bête. "- Je vais m'enfuir d'ici, je ne suis pas venu pour savoir ce que tu en penses, je veux que tu m'aides. - Très bien, il te faudra de la préparation et un peu de temps. Fada lança un regard interrogateur. - Tu ne m'en empêche pas ? - Si c'est ce que tu souhaites, alors je le veux aussi."
Six mois plus tard, Faradron allait partir le lendemain, il avait été retardé car il voulait finir son livre avant. Il avait aussi appris à compter et à faire des calculs, c'est Gundac avait insisté, après tout, s'il voulait devenir cuisinier, il se devait de savoir rendre la monnaie. Fada avait pris plus de responsabilités et il était de moins en moins chez lui. Il allait passer la journée avec Gundac, il voulait garder avec lui de bons souvenirs pour son voyage. Gundac le vit arriver et dit : "- Alors c'est le grand jour demain ? - Oui, on peut dire ça. - Aha, cette odeur de l'aventure qui se dégage en toi me rappelle des souvenirs. - Tu va me manquer Gundac." Gundac le regarda droit dans les yeux, très sérieux il répondit : "- Toi aussi." Fada se jeta dans les bras de Gundac et ainsi, comme il l'avait prévu, il passa toute la journée avec lui, juste avant de partir, ils se redirent au revoir et se firent un serrement de main qui cachait une très grande amitié. Faradron repartit en direction de sa maison pour y passer sa dernière nuit mais quand il rentra chez lui, ses parents se disputaient, ils ne remarquèrent même pas leurs fils. "- Quand j'arrive ici, rien n'est prêt, la table n'est même pas mise, mais qu'est-ce que tu as foutu de la journée, idiote ? - Je suis désolée, je suis une bonne à rien, depuis que notre fils ne m'aide plus à la cuisine, je n'ai plus le temps de tout faire. - A j'ai compris ! Tu veux qu'il devienne cuisinier c'est ça ? Tu veux qu'il détruise sa vie entière pour aider une bonne à rien ?! HEIN ?? - Non, non, ce n'est pas ce que je voulais dire. - J'en ai assez de toi." Ganor se mit à frapper la mère de Faradron devant ces yeux, il n'avait jamais vu une telle dispute et pour lui s'en était trop. Il donna un coup de toutes ces forces avec le premier objet qu'il trouva sur la nuque de son père et la masse se mit à tomber sur le coup. Faradron se demanda ce qu'il venait à l'instant de se passer, et quand il regarda la fissure sur la nuque de la personne qui frappait sa mère un peu plus tôt, il se rendit compte qu'il aurait dù avancer la date de sa fugue pour sa survie, mais tétanisé il n'arrivait plus à bouger, même pas à tourner la tête, il croit que sa mère est tombé dans les pommes, il n'en est même pas sûr. On entendait les voisins criant garde, garde depuis a peu près 5 bonnes minutes et Fada s'évanouit et au même moment, la porte fut projetée par les gardes. Il sentit qu'on le transportait, mais il ne s'avait pas où il serait emmené. Dans une prison peut être ? Songea t-il. Mais avec le peu de force qui lui restait, il se demandait ce qu'il venait de faire. - Non de l'Arbitrio, plus jamais je ne frapperai quelqu'un, bredouilla t-il, plus, plus ja... Il sentit qu'on le projetait dans un bateau, il fut placé dans une cale, et... terrifié et gelé, il pensait à ce qui allait lui arriver.
Premier Jour
Lors de son arrivée, il a été vendu comme Esclave à Solypso Alducci.
