Utilisateur:Fearghas

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     Lwisan Fearghas
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
AncetreTsuiko
Pseudo
Ancetre Tsuiko


Âge IRL
20 automnes et des feuilles mortes





Description

Fearghas est un pétio, à 20 ans! Vous vous rendez compte ? S't'homme n'a connu que le p'tit bonheur d'la forge et d'son père ! Tien et! Tan'l'qu'on y pense, y' sont pareils ses deux gôs. Tout les deux étaient des fadas et bouffeur de liv'. Mon pétio aurait fait l'même, j'vous racont'rai pô comment il aurait fini... sur'ment la gueule dan'les canniveau d'golvendaar, tien ! A quoi il r'semblait ? Ho bô, pas g'and chôse. L'est blond, les yeux clairs, un peu hôt, et sportif. Y a un truc qu'j'ai pu voar dans ses yeux, d'la détermination, et y en avait. j'vous le jure. Il aurait pû tuer môn âne s'il l'avait un jou' rega'dait dan'les yeux de s'te bête. Pôv bête, à place elle est mort' écrabouillé...Pôv bête, Elle s'app'lait Compote...

Compétences

  • Grille Plastron en Fer.png Force
  • Grille Marteau en Pierre.png Outillage
  • Comp Endurance.png Endurance
  • Grille Pépite d'or.png Orfèvrerie
  • Grille Livre et Plume.png Alphabétisation et calcul

Histoire


~L'enfance~

Tout commença par une histoire, un conte pour enfants. Une histoire Utopique, une épopée. Comme c’était un conte pour enfant, personne ne faisait réellement attention à ce livre. Pour ceux, qui l’avaient lu, elle n’en restait qu’un récit d’idiotie brumeuse, et faite de rêve… Sauf si on l’analysait. Là, le conte devenait l’un des livres plus réaliste de sa génération car il démontrait l’ambiguïté des Hommes et révélé la nature humaine. Ce conte si étrange vas fortement influencer la vie de deux hommes, celle de Aonghas Lwisan et de Fearghas Lwisan, son fils. Aonghas Lwisan est moine érudit, sage par la connaissance et l’esprit. L’extrémisme religieux le fascinait et l’étudié en est devenu son hobby. A travers le conte pour enfant, le père partageait son savoir avec son fils Fearghas pour lui faire apprendre le plutôt possible que le monde est complexe, chaque point de vue avait du bon et du mauvais que ça soit en politique, en technologie, en religion, au quotidien. Et donc pour comprendre arbitrio et le monde, il fallait être tolérant les autres. Il oblige dès l’enfance de son fils à débattre avec lui de tout et n’importe quoi jusqu’à digresser à plus ne se souvenir du début de la conversation. Fearghas voulait un métier de main, quelque chose de physique pour donner du contraste à sa réflexion abstraite, un métier très terre à terre. Le forgeage parait être une évidence pour Fearghas car il y avait la possibilité de créer, de manier, de manipuler, de modeler. Mais l'hésitation le rongeait, dominant même ses rêves et pensées quotidiennes. Mais un beau matin de thermidore, Fearghas se décida enfin. Il se rendit à la forge précipitamment, brulant de désire de devenir forgeron. Toute fois le maître des lieux n'en fût pas plus convaincu, et refusa catégoriquement de le prendre en main. Le jeune homme commença alors un dialogue désespéré pour le persuader : Le Maitre Forgeron – Non, c’est non, jeune homme ! Et…Et regarde-toi, bon sang… Tu n’as rien d’un futur forgeron. Fait comme ton père, devient un érudit brillant !


~~ Le Maitre ne s’arrêta pas de continuer de battre l’acier pendant la discussion ~~

Fearghas – Monsieur, je suis résolu. J’apprendrais, Je me musclerai, et même j’étudierai à la bibliothèque les différents volumes sur le forgeage libre, s’il le faut. Le Maitre Forgeron – C’est ça… et tu t’écrouleras au bout d’une semaine d’apprentissage, les deux bras cassés. Fearghas – Et bien je reviendrais la semaine d’après avec les deux bras cassés, et même si je ne pourrais pas aider ou porter, j’apprendrais en vous regardant. Ensuite, avec les soins prodigués, je referais exactement ce que j’ai vu. Je n’aurais pas l’expérience pour réaliser parfaitement ce que j’aurais vu mais je le ferais. Je n’ai rien d’un forgeron même pas le bon corps mais j’ai envie. A chaque fois que je passe devant chez vous, je rêve de rentrer dans la forge pour façonner une épée, une arme d’hast ou bien une hache de guerre.

~~ Le Maitre Forgeron arrête son marteau en l’air comme figé dans l’air puis le repose doucement sur l’enclume pour se retourner ~~

Le Maitre Forgeron – Et bien… Tu es déterminé, toi. En plus, d’être réaliste sur tes performances, tu possèdes déjà quelques connaissances sur le forgeage et une sacré détermination…

~~ Un moment de silence, on entend juste les braises crépitaient et le brouhaha du marché, non loin de la forge - Le Maitre Forgeron ~~

Très bien ! Reviens dans une semaine. Demain, tu iras à la bibliothèque. Tu prendras le Tome des techniques de forge pour les outils agricoles, le Tome du bon forgeron, et le Tome sur les différents matériaux forgeable ou façonnable. Si je vois qu’en revenant tu n’as rien appris, je te jette et je ne reprendrais plus jamais. Et je me réserve le droit de te jeter quand je le désire à la moindre connerie. C’est clair ? - Les yeux de Fearghas brillaient. Il avait le sourire jusqu’aux oreilles, surexcité comme une puce - Fearghas – Oui Monsieur. Et vous ne le regretterai pas ! Le Maitre Forgeron – Bien. C’est quoi ton prénom avant que tu ne partes ? Fearghas – Je me nomme Fearghas. Ça veut dire « choix de l’homme » d’après ce que m’as dit mon père. Le Maitre Forgeron – Très bien, Fearghas. A dans une semaine, soit là à l’aube. Une forge tourne dès l’aube et se termine un peu avant le crépuscule. Et appelle-moi « maitre ». Fearghas – Au revoir, maitre. Fearghas s’en alla un peu déboussoler mais heureux de pouvoir devenir forgeron. C’est alors qu’il commença, dès son jeune âge, l’enseignement de cet art par le Maitre Forgeron Moine Hercule Aboukir.


~L'adulte~

Nous étions en brumaire. Les matins à roksilde se révélaient être humide. Fearghas devait se lever à l’aurore pour son apprentissage :

  1. Aonghas est vêtu d’une longue robe bleue écarlate ample avec une longue culotte blanche. Il porte des lunettes rondes, toujours nettoyé à la perfection. Derrière ses lunettes, se cache de petit yeux cerné par la fatigue. Dès qu’il enlève ses lunettes, on peut apercevoir des rides de vieillesse provoquer par le bonheur et la joie. Homme de foi érudit, il porte toujours un collier pour prier Arbitrio.
  2. Fearghas est vétu d’un pantalon léger et ample ainsi qu’une chemise blanche légère à cause de la chaleur provoquée par le forgeage. Son Maitre tente toujours de le convaincre de se mettre torse nu. Fearghas ne cessera de lui répondre qu’il garde une chemise pour un coté chic. Mais en vérité, Fearghas a peur qu’on s’aperçoive du peu de muscle qu’il a et qu’ensuite on le prenne pour un faible, du moins c’est ce qu’il croit.

Son père, Aonghas – Debout là-dedans ! *en poussant vivement la porte* - La lumière inonda la pièce - Fearghas – Ha ! Mes yeux ! Fermez cette porte, père ! *se tortillant dans son lit telle un zombie brulant au soleil* Je vais devenir aveugle avec vos bêtises, un jour… *se frotte les yeux avec frénésie dans l’espoir de s’adapte au plus vite à la vive lumière* Son père, Aonghas – A ton age, je disais la même chose et tu vois, je suis en vie et avec deux bon yeux. *Sourit en voyant son fils faire la guerre dans son lit*

~~ les lunettes de Aonghas reflétaient quelques scintillement de lumière, il était impossible de voir ses yeux avec un si fort soleil, mais si on aurait pu. Il aurait été possible de voir deux yeux fatigués par les études de la nuit dernière. Mais aussi heureux, empli de bonheur. ~~

Fearghas – D’accord mais cela ne vous a pas arrangé en tout cas *sur un ton blagueur, toujours en se frottant les yeux*. Son père, Aonghas – Dépêche-toi, tu vas être en retard pour ta 1ere brumaire d’apprentissage…

~~ Une heure plus tard, à la forge du Maitre Forgeron Moine ~~

Hercule – Fearghas, on va commencer aujourd’hui par l’importance des saisons. Car nous, les forgerons nous vivons au gré de la météo. Ça n’a pas l’air mais par exemple, dans une forge ouverte comme la mienne, l’humidité a une emprise sur ce que l’on fait. Il est plus difficile de lancer les braises, de maintenir une forte chaleur, le métal se refroidi plus vite en dehors du feu, les outils glissent entre les mains... Bref, un vrai bordel mais le bon forgeron fera en sorte de faire toujours pencher les éléments en sa faveur. En saison brumaire, il est plus simple de faire des glaives, par exemple. Et c’est ce par quoi tu vas commencer aujourd’hui. Forge-moi une lame, long d’un demi-bras, un demi doigt d’épaisseur pour le cœur, avec un double tranchant. Sa particularité est qu’elle a la forme d’un poisson : la pointe s’épaissit autant que la garde. Ce genre d’épée est dans le but de tailler l’ennemi et même si ce n’est que de la pointe cela peut apeurer l’ennemi à cause de l’entaille très grosse. C’est ok ? Fearghas *Les yeux pétillant de joie* - Oui, maitre !

* Après avoir pris quelques minutes à relancer les braises d’hier soir, et mis une barre de fer à chauffer dans le brasier, Fearghas prit un grosse tenaille afin de récupérer son fer brulant *

Fearghas *en sueur* - Uf… c’est lourd ! C’est quoi cette barre ?... *va vers l’enclume* Hercule *d’un ton fort* - Qu’est-ce que tu fais avec une barre en acier ! Repose-la vite ! C’est trop lourd pour toi ! Fearghas tourna vers son maitre qui braillait quelque chose d’incompréhensible. Sans comprendre ce qu’il se passa, il vit le monde pivoter à la verticale. Son maitre couru vers lui, affolé comme jamais. A ce moment, Fearghas ressenti comme un poids l’empêchant de respirer, sur le torse, qui lui brulait les entrailles. Puis l’apprenti vit des flammes sortir de son thorax. La douleur était tellement forte qu’il s’évanouit, plongeant vers la mort…


~L'Destin ~

De temps en temps, Fearghas faisait une pause dans son apprentissage pour se rendre à la célèbre grande bibliothèque de Golvendaar pour perfectionner ses connaissances et en apprendre de nouvelles. C’est alors qu’il rencontra un ingénieur ambitieux travaillant sur un nouvel alliage de métaux. Ce projet aurait pu les rendre riches et célèbre mais l’associé, trop avide de gloire, décida de faire tuer Fearghas…


Dans une nuit au fond d’un hangar, Fearghas se retrouva devant deux mercenaires armé jusqu’aux dents. Il était attaché, main et pied lié à une chaise. la tête et le corps étaient ensanglantés par la torture sadique de ses assassins


Fearghas *Le visage d’un homme aux portes de la mort* – Finalement, il ne me laissera rien… même pas la vie. Juste pour le succès et la richesse. Juste pour un alliage…


* Puis le silence. Un silence bruyant. Bruyant par les rires de la mort, elle qui n’attendait que la pauvre âme damné du jeune forgeron.*

… Un des mercenaires *L’épée levé. Prêt à abattre son courroux* – Une dernière volonté avant de trépasser ? Fearghas *Les yeux aussi noir que les ténèbres* - Oui… Y a-t-il un moyen de disparaitre en restant en vie qu’Arbitrio pourrait m’offrir ?


-L’épée toujours levé. Le mercenaire fut étonné par la réponse du jeune homme. Mais on ne pouvait en rien distinguer son étonnement. Le prêtre de la mort restait le bras levé, attendant plus d’explications - Fearghas-


Celui qui vous a payé, vous a demandé de me faire disparaitre pour de bon, non ? S’il n’entend plus parler de moi, ni même ne me voit plus. Il considérera que j’ai été tué. Ce que je souhaite, c’est tout simplement rester en vie. Je lui laisse tout. La richesse, le savoir, la gloire et même ma vie, du moins mon ancienne vie. Donc me reste-t-il un moyen de disparaitre en restant en vie ?


-L’épée du mercenaire s’abattu en direction de Fearghas. Le jeune forgeron ferma les yeux pour ne pas voir sa mort en face. C’est alors que ses cordes tombèrent à ses pieds. Surpris, il leva les yeux vers les deux mercenaires, une lame sous la gorge-


Un des mercenaires – Il reste l’esclavagisme, la seul et ultimatum solution. Donc La mort ou L’escalagisme. Alors que choisi-tu, merdeux ? Fearghas – Je choisi devenir esclave, si cela me permet de vivre un peu plus longtemps… Ce que l’Histoire ne nous raconte pas. C’est que l’associé, en question, saoul dans un bar à ne plus savoir ce qu’il fait, un soir de thermidore, peu de temps après l’assassinat de son ancien équipier, raconta tout à un garde en permission. Ce garde fit une enquête qui révéla la véracité de l’histoire raconté par l’homme saoul. Ce dernier se fît enfermer dans une geôle à vie, dans les montagnes aux neiges éternelles se trouvant au nord de Golvendaar.