Utilisateur:Irris

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Irris
Pseudo
Irris
Prénom IRL
Irène
Âge IRL
13 ans



Informations Diverses
Je me co tard le soir, comme je vis en nouvelle calédonie :)



Caractéristiques

Description

Irris est assez grande (1 m 70 de hauteur !), et a 17 ans. Elle a de longs cheveux bruns et des yeux de même couleur, mais un peu plus doré. Son regard est calme, et doux: certains profitent d'ailleurs de sa gentillesse excessive. Elle est frêle, mais le contact avec les plantes, encore plus fragiles qu'elle, lui donne de la force.

Représentation d'Irris

Talents

  • agricultrice : Rien de quoi se venter, elle est agricultrice tout comme ses parents et ses grands parents l'étaient avant elle.
  • gentille : En tout cas, elle est pas cruelle.
  • souriante : "irris sourit" "irris sourit gentiment" "irris sourit d'un air encouragent" "irris sourit d'un air contri" "irris sourit aimablement", etc, tout une variétée de sourire qu'elle a tendance à servir à tout le monde.
  • un brin écrivaine : elle aimerait bien s'acheter de quoi écrire, un de ces jours, en passant à la librairie.

Défauts

  • généreuse : cela parle de soi, et si c'est placé dans les défauts, c'est que s'en devient presque maladif.
  • timide : Irris va en effet difficilement vers les gens, préférant se faire aborder elle même.
  • sensible : un rien la choque, même si elle essaye toujours de faire preuve de courage.
  • faible : rien dans les bras, rien dans les jambes... du moins pour se battre. Cultiver un champ est autre chose.
  • maladroite : tant avec les mots qu'avec les objets.
  • Nule de chez nul en commerce : Irris est ainsi plutôt heureuse d'être en quelque sorte guidée par Matthiew.
  • Un peu lunatique : elle s'est découvert ce trai récemment, sans doute à cause du stress. Ainsi, elle pourra être très énervée un instant, puis discuter comme si (presque) rien n'était avec quelqu'un d'autre plus tard... elle se dit que c'est parce qu'elle veut profiter de la vie, et que se morfondre ne sert à rien.

Compétences

Irris maîtrise les compétences :

  • Une soupe.Outillage : Irris travail exclusivement avec une bêche en fer et un baton, dans les champs.


  • Une soupe.Connaissance de la flore : Irris peut effectivement cultiver du blé, des raisins et des tomates, bien qu'elle n'ai jamais exploiter ce dernier élement, à cause de son intolérance à ce fruit.


  • Une soupe.Endurance : A force de traverser en long, en large et en travers, tout en restant toujours penchée, le moulin de l'esperance, Irris à finit par apprendre à maitriser son souffle.


  • Une soupe.Sens du gout : Elle cultive différente sorte de raisin, et cette compétence lui permet de détecter immédiatement à quelle type de fruit elle a affaire.


  • Une soupe.Alphabétisation et calcul : Elle adore écrire, et s'en fait même un certain talent !


  • Une soupe.Créativité : faut bien, si elle veut écrire des trucs.

Intérêts culturels/goûts

En vrac :
  • Une soupe. Irris est avant tout une amoureuse de la nature : tout ce qui s'y rapproche de prés ou de loin lui fera sans doute plaisir.


  • Une soupe. Elle est aussi pieuse, et croit en l'arbitrio. L'abbaye est un lieu qui la fascine.


  • Une soupe. Les tableaux de dâme Lynni la captive, mais on ne peut pas dire qu'Irris soit plus mordue de peinture que n'importe qui.


  • Une soupe. Elle adore aussi l'hydromel, en particulier l'hydromel du crépuscule.


  • Une soupe. Elle peut manger n'importe quelle plat, excepté ce qui contient de la tomate... Irris tient ce fruit en horreur.


  • Une soupe. Comme je l'ai, je crois, dit plus haut, elle est fascinée par les livres. Elle est récemment allé à la librairie du Coeur Lunnaire en apprenant que celle-ci était ouverte au public et y a dévoré le Creeper d'or, et maintenant Lléanie et gardienne (son histoire préférée). Irris compte bien retourné a ce magnifique endroit "tapissé de bibliothèques".

Relations

Personnes en qui elle tient/elle a confiance

Arcas (PARTI): C'est trop dur, trop déchirant pour Irris de décrire le deuille dans lequel elle est... ce qu'elle sait, et qui s'impose comme une évidence jour après jour dans son esprit est qu'elle l'aimera toujours.
  • David: David... il était le compagnon d'Irris. Cela fait très longtemps que David est parti, et Irris se sentait délaissée. Elle ne l'aime plus.

Mathiew : Il est Agriculteur, comme elle, et Irris a beaucoup d'admiration pour lui. 

Lily : Irris la considère comme une personne de confiance, et aime beaucoup discuté avec la jeune femme.

Lorsio: peut être pas vraiment un ami, mais quelqu'un en qui elle doit avoir confiance en vu de la crétion de la guilde.


Connaissances

Erik : Elle a discuté quelques fois avec lui, elle trouve qu'ils s'entendent assez bien. 

Mikamus: c'est son ancien maître, elle l'a toujours trouvé un peu bizarre, mais au final il était sympas.

Abisse : Irris ne la connais pas vraiment, mais l'admire beaucoup et à de la compassion pour elle, depuis que sa taverne a brulé. 

Ennemis

L'aveugle et Willou : les ayant déjà vu à l'oeuvre au quartier sans-fond, elle les déteste pas principe.

Les antracides en général : non seulement ils ont blessés Lily et Arcas, mais en plus ils ont déclanchés une guerre à Esperia.

Histoire

Avant Esperia

Hors RolePlay :

Copié-collé de la candidature Whitelist.


Lecture :

La lumière filtre à travers les rideaux, et tombe doucement sur le lit aux draps rouges, seul meuble de la pièce. Irris se réveil. Aujourd’hui : dimanche, jour de repos. Aussitôt, la jeune fille se lève et s’habille : elle se souvient du rendez-vous.

Après avoir descendu un escalier aux marches branlantes, elle se retrouve dans la salle à manger. Dans l’armoire, il n’y a qu’une miche de pain et deux pommes. Irris en croque une tout en enfilant ses sabots grossièrement taillés. Ses parents sont paysans : ils n’ont pas assez d’argent pour acheter de vrais souliers. Et puis, pourquoi le feraient-ils, déjà qu’ils se soucient peu de leur fille… Bref, elle sort de chez elle. Il est à peine sept heures et demie. Elle sera en avance; Tant mieux. Depuis la veille, il y a dans sa poche un papier et un crayon gras, et Irris a compté les secondes la séparant du matin. L’excitation lui fait gravir la pente plus vite, car c’est en haut qu’elle doit se rendre. Une fois arrivée au sommet de la colline herbeuse dominant le village Huratelon, essoufflée, elle observe le paysage. Il n’est toujours pas là. Le sommet d’une abbaye et la plus haute pale du moulin dépasse des toits rouges de tuile, et des bruits commencent à monter de de la ville : l’activité habituelle du hameau commence à peine à s’éveiller. L’herbe est humide de rosée, Irris s’allonge donc pour attendre. Il ne tarde pas.

-Bonjour, fit une voix rieuse derrière laquelle on devine un visage souriant. Tu es déjà là ! Et moi qui croyais être en avance…

Irris sourit en guise de réponse. Le garçon s’assoit à côté d’elle, et sort de sa besace… un livre. Un objet… très étrange, des pages fines, couvertent de lettres, et couvrant derrières elles encore du texte, une couverture en carton dur, rassurante, ornée de dessins… La paysanne n’a que rarement vu ces objets. Ils sont pour elle un mystère, contrairement à son ami, un fils de riche, qui va à l’école depuis l’âge de trois ans. Celui-ci sourit, hausse les sourcils en montrant le livre. -Alors… tu veux que je t’apprenne à lire ?

-Oui, souffla-t-elle.

Fils d’illustres marchands, le garçon était le seul ami de l’adolescente, personne bizarrement à l'opposée d'elle même, mais avec qui elle se sentait en confiance. Il ouvrit finalement le livre, et lui indiqua les lettres : le L qui coule quand on le prononce, le A qui fait ouvrir grand la bouche, le R que l’on roule, le P qui est court, le O qui se dessine sur les lèvres quand on le prononce, le E coiffé de nombreux accents, le J qui vient de la gorge, le M doux comme un fredonnement, le Z si rare,…et cetera pendant tout une journée. C’est ainsi, qu’Irris apprit à lire.

L’enlèvement :

A présent, le soleil décline. Le vert de l’herbe devient roux, les nuages se colorent comme des taches d’encre rouge. Irris marche seule dans la rue. Elle n’a pas envie de rentrer : il fait encore bon, et elle ne veut pas que ses parents lui demandent ce qu’elle a fait pendant la journée. Il lui est agréable de marcher sans but, de déambuler, frêle silhouette au milieu des longues ombres. Mais elle a faim : la pomme de ce matin n’était pas grosse. Alors, comme la porte d’une taverne lui tend les bras, elle rentre.

Fière de son nouveau talent, la nouvelle venue déchiffre la carte. Elle sait déjà compter, et elle est sur que les quatre pièces qui trainent dans sa poche ne suffiront pas à payer une Bi…è…re N…o…i…oi…re (bière noire), coutant plus de huit EF. Elle ne peut que s’acheter une Ca…ap…capita…ita…lo…non, le ! Une Capitale, c’est ça. La jeune fille décide de mettre sa maladresse sur le compte de l'obscurité ambiante. Finalement, elle tend ses trois pièces à un barman plutôt, euh… imposant. Elle s’assoit dans un coin, les yeux avides. Toutes les écritures qu’elle voit, elle veut déchiffrer. Sur une table non loin de la, il y a une grosse bouteille, au milieu de cinq hommes qui discutent avec véhémence. Sur l’étiquette, il y a écrit deux mots qui se ressemblent un peu. Aussitôt, elle commence à les déchiffrer et avale une gorgée de sa bierre. Beurk ! Alors, première syllabe : R… oui, un R, c’est ça… ensuite un… un K, oui… ou bien… non, c’est peut être un H ? Mais un gros bras poilu appartenant à l’un des convives de la table passe devant la bouteille. Rhoo, zut ! Il peut pas enlever son bras, lui ? Mais non, la main au bout du bras empoigne le col d’un des attablé et le tire vers lui, sur la table. La bouteille tombe du support, et miraculeusement, ne se brise pas en touchant le sol. Irris recommence le plus vite possible : c’est ça, Rh… ensuite un U… et puis… celui qui a deux ponts, c’est le M ou le N ? Mais les hommes se sont levés, et commencent à se battre. Entre les jambes et les pieds, Irris aperçoit la bouteille, avale une gorgée du liquide infecte et continu : Rhum, oui ! C’est ça ! Après le deuxième mot : Ro…u… ça veut rien dire, « rohu » ! Ah oui, ça se prononce « ou », c’est ça … Mais le récipient est renversé au milieu de la bagarre, cependant Irris aperçoit la dernière lettre…

-RHUM ROUX ! s’écrit-elle au milieu du bar, toute joyeuse d’avoir trouvé.

Elle s’est levée par enthousiasme. Le capharnaüm entrainer par la baston cesse aussitôt, et les cinq fauteurs de troubles arrêtent de se battre, dans des positions saugrenus : un pied en l’air, une poignée de cheveux dans le point,… la majorité de la clientèle c’est déjà éclipsée discrètement. -Elle à un problème la petite ? commence le chef de la bagarre.

-Euh… c'est-à-dire que… murmure-t-elle.

-ELLE A UN PROBLEME LA PETITE ? répète l’autre qui hurle, à présent (il semble trrrrès susceptible).

Et aussitôt, ils se ruèrent sur elle.

Premier Jour

Départ vers Esperia
-Et merde…grommela Irris.
Ce n’était pas dans ses habitudes de dire des « mots d’oiseaux » mais là, il fallait que ça sorte. Elle venait de se réveiller. Tout ce dont elle se souvenait, c’était des cinq hommes qui s’étaient rués sur elle, et là, pouf ! plus rien. Mais elle avait maintenant un affreux mal de tête et la gorge très sèche ; la bière de la veille, sans doute.

Il y avait en guise de sol un lino glacé, et le mur de métal sombre conduisait des sons étranges, comme des frottements d’air. Sur le sol, quelques personnes étaient allongées, d’âges variables. Dans un coin, il y avait une porte, et aussi, dispersés dans la salle, des tonneaux, des cordes,… Le parterre était très sal : du vomi, des traces de sangs, parfois, ou bien de nourriture… et d’autres empreintes divers, témoignant du passage de nombreuses personnes, pas au meilleur de leur forme. Certain des gens avachis ici et là dormaient, d’autres avaient les yeux ouverts, l’air hagard. Irris tenta maladroitement de se redresser, mais son pied nu heurta le sol, qui avait une résonance… bizarre. Un peu comme sur un bateau. Mais l’air était gelé. En effet, les prisonniers qui avaient des bras découverts frissonnaient. D’autres étaient au contraire vêtu de lourdes peaux qui devaient tenir chauds. Désespérée, la fillette leva les yeux et vit un trou, dans le mur, qui avait été rafistolé avec du carton, et du quel s’echappait un sifflement. Elle se leva pour de bon, la démarche incertaine et le pas bruyant. Personne ne fit attention à elle. En écartant un pan du faux mur, elle jeta un regard au dehors et eu le souffle coupé.

La mer. A droite, à gauche, presque partout devant sauf… un gros point qui se rapprochait rapidement. Et en bas… ils étaient à des milliers de mètres au dessus de l’eau. En haut, le ventre rebondi d’un dirigeable se dressait vers l’avenir. L’atmosphère était froid, Irris rentra bien vite sa tête, sonnée par ce qu’elle venait de voir. Des pas résonnèrent au loin, et elle se recoucha bien vite. Des voix accompagnèrent bientôt la marche, et tout le monde put entendre :

-Cap’taine LedGris, j’espère que vous vous êtes bien reposé, en tout cas.

-Oui, je te remercie, Natan, répondit une voix dur et rocailleuse.

-Les prisonniers, continua la voix, Cap’taine, sont au nombre de sept ou huit. Comme vous étiez occupez par vos préparatifs, je me suis chargé de payer Darius et sa bande pour la dernière venue.

-Darius, ce rat ! Qui est-ce ?

-Et bien… c’est un homme violent qui se promène toujours avec ses quatre accolites et qui nous à déjà fournit en esclave et…

-Pas Darius, abruti ! L’esclave !

-Ah, euh… oui, pardon ! Apparemment elle vient de Huratelon. Elle sait lire, d’après ce que nous à dit Darius, et même très fort, et… expliqua Natan, hésitant visiblement à poursuivre.

-Quoi ? grogna l’autre, menaçant, se doutant qu’il y avait anguille sous roche.

-Elle… euh… elle… elle à… seize ans, Capt’aine LedGris…

-QUOI ?

Les pas c’étaient de plus en plus rapprochés, mais ils cessèrent à cet instant précis. LedGris semblait prendre sa respiration, comme pour se calmer. Ou pour crier plus fort.

-Tu veux dire que TU as ACCEPTE une gamine de SEIZE ANS et tu as PAYÉ Darius pour ÇA sans me demander L’AUTORISATION ??

Une gifle semblait sur Natan chaque fois que le « Cap’taine » haussait la voix sur un mot. Tous les esclaves étaient réveillés, maintenant. LedGris s’en alla et Natan entra dans la pièce. Il se retrouva face à une demi-douzaine de visages pâles tournés vers lui.

-On… ON ARRIVE ! fit l’homme d’une voix forte pour cacher la rougeur de ses joues qui ne l’étaient pas seulement de honte.

Et quelques instant plus tard, tout le monde descendait, pieds et mains liés, vers la terre d’Esperia, inconnue d’elle… pour le moment.


A son arrivée à Espéria, elle fut vendu à Mikamus le Tarkan.

A espéria

Petit (ou pas) résumé des évenements, à ne pas lire si vous faites du méta :

Une fois achetée par son maître, Mikamus, Irris se perd et ne le retrouve que quelques jours plus tard. C'est une des seules personnes à qui elle parle au début, n'ayant aucun ami... enfin, lui parler est un bien grand mot. Il lui demande d'aller cultiver des raisins, ce qu'elle fait. De temps en temps, des garçons lui adressent la parôle. Assez naïve, en ce temps là, la jeune fille discute, mais ne s'engage jamais dans une relation... les sacs de raisins qu'elle cultive disparaissent au fur et à mesure que son maître les vend, et elle doit survivre avec deux eo en poche pendant quelques jours, voir quelques semaines, pour se nourir. Elle va souvent prier à l'abbaye.

Quelque moi plus tard (Irris est toujours esclave), un jour qu'elle va au champ, elle croise un dénommé David, qui semble prendre beaucoup de décisions pour elle sans même qu'elle comprenne tout; Il lui offre notamment une biére et un eo. Puis, Irris est enfin affranchie ! C'est un soulagement, de ne plus avoir à aller au sans fond et s'y perdre, et de pouvoir profiter de ses récoltes... mais la nivose arrive biêntôt, lui compliquant la tache. Un jour, elle rencontre Galaad, et au bout de plusieurs discutions durant les quels ils sympatisent, elle se doute qu'il est amoureux d'elle. Malheuresement, elle ne l'est pas, même si elle l'aprécie. Il vient la regarder au champ quand elle travaille, et la jeune fille se sent un peu génée. Elle prévoit d'accepter quand il lui propose de l'héberger. Cependant, avant qu'elle n'ait finit de réflechir, elle recroise David, et doit faire un choix. Son coeur la dirige vers ce dernier, mais quelque temps plus tard, elle n'a plus aucune nouvelle de lui. Tout d'abord inquiéte, elle devient un peu braquée contre lui. Pendant longtemps, elle méne sa vie simplement, habitant dans la maison où il l'a accueilli, vendant principalement du blé.

Puis elle reçoit une lettre d'un certains Matthiew, qui l'invite à la voir pour discuter "affaire". Elle accepte, et il lui donne de nombreux conseil dans son magasin "les trois épis". Irris est assez contente, car elle ne se sentait pas trop fixé pour travaillé, et est passablement nule en affaire. Quelques jours plus tard, il l'invite à travailler dans son magasin, ce qu'elle accepte à condition qu'elle lui verse 25% de la somme du blé qu'elle y vent pour se dédommager.

Quelques temps plus tard, elle rencontre Arcas, tout d'abord quand elle l'a aidé à trouver la place Antracide pour secourir Dame Lynni et Lily qui s'y étaient fait agressé. Puis quand quelqu'un appelle au secour, au bastion, et qu'elle y va pour aider Arcas avec qui elle discutait. Ils parlent souvent, dans les jardins de l'abbaye, et Irris ne voit pas ses défauts. Un jour où ils parlaient, elle fait aussi la connaissance de Lily, (qu'Irris appelle tout d'abord Liry) et se soulent tous les trois grâce -ou à cause- d'une bouteille de vin qu'avait Arcas. Lily finit par sortir, et quelques instants plus tard elle échange son premier baiser avec Arcas.

Arcas vient donc habiter à la maison où Irris habitait avec David, et la jeune fille se sent extrémement coupable vis à vis de son ancien compagnon. Au fur et à mesure, elle se rend compte qu'Arcas à le chic pour s'attirer des ennuis (il est garde, en même temps...). Grâce à Matthiew, elle peut mettre de l'argent de coté. Arcas, lui, ne semble plus tout à fait le même au fil des semaines.

Plus récemment, Matthiew ayant besoin d'argent pour s'acheter une maison, Irris l'aide avec joie (même si elle ne s'attendait pas à ce qu'il ai besoin d'autant d'argent), comme ça elle a l'impression de remplir sa déte envers lui. Le temps passe, Arcas tue quelqu'un, à peur de se faire renvoyer de la garde... la jeune fille ne le comprend plus. Il l'invite finalement à ouvrir une deuxième échoppe au sans fond pour y vendre du blé, et mener un autre projet plus... mystérieux. Irris se sent coincée, elle accepte mais n'est pas sur d'elle.