Utilisateur:Louqui

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
engel5
Pseudo
Louqui Dravarol
Prénom IRL
Octave
Âge IRL
17





Description

Physique: De taille moyenne (1M70), mince, un peu musclé, cheveux châtains clair, yeux bleu. Il a une cicatrice sur le torse et a l'épaule. A toujours sur lui un pendentif en bois en forme de plume.

Plume en bois


Morale: Malgré sa bonne humeur et son aspect joueur, il a du mal a ce faire des amis et il lui arrive souvent de se battre même s'il perd à chaque fois.


Competences

Competence- connaissances météorologique.pngConnaissances météorologique: Durant ses années au village, il a travaillé dans les champs avec son père et il lui a appris beaucoup de choses

Comp Endurance.pngEndurances: Il travaillait beaucoup dans les champs et les nuits au village étaient fraîches. Il s'est souvent battue à la milice et cela pouvait durer pendant des dizaines de minutes.

Survie.pngSurvie: Durant ses années dans la milice il a pu profiter d'un bon entrainement pour survivre en milieu hostile.

Combat.pngCombat: Que ce soit contre des humains ou contre des animaux sauvages, il sait ce defendre.

Connaissance de la faune.pngConnaissances de la faune: Il a beaucoup appris de ces année de dressage sur les loups et sur les comportement qu'ont les animaux lorsqu'il ce sente en danger


Talents

Il n'a aucun talents particulier, mais il reste assez vif d'esprits et sait comment se sortir d'une situation désavantageuse grâce aux connaissances qu'il a acquises. Ces années d'entrainement à la milice lui permet de prévoir les mouvements des adversaires les plus stupides et les plus bestiales. Il sait se servir d'un arc et d'une épée mais ne les maîtrises pas totalement.


Défauts

Il est très têtue et cela provoque souvent des bagarres ou il s'en sort perdant, mais indemne. Il est également très maladroit et se sous-estime continuellement sauf lorsqu'il chasse.


Intérêts culturels et goûts

Il apprécie beaucoup passer des moments avec ses amis autour d'une table bien garnie et de verre remplies. Il aime les cotes de sanglier au châtaigne, mais ce qu'il préfère par-dessus et le potage au champignon et au miel que lui préparer sa mère à chaque fois qu'il rentrait d'une journée aux champs.


Histoire

Départ pour la milice:

Aujourd’hui c'est le grand jour. Comme chaque année, une grande fête allait se déroulait au village. Nous allons célébrer le départ des aînés pour la milice, ils partent lorsqu'ils ont atteint les 10 thermidors et cette année je faisais partie du convoi. De ma fenêtre je voyais déjà la famille bœuf-gris installer les grandes tables pendant que les Aigrois planifiaient le buffet et la scène pour les musiciens. J'entendais ma mère dans le salon en train de faire les cent pas tandis que mon père tentait de la rassurer. Ma sœur étant partie s'instruire dans la capitale grâce à l'aide de notre oncle Génois, je ne savais pas si je la verrai avant mon départ.

Arriver à la soirée, le village entier était rassemblé devant les rôtis en train de griller. J'y ai retrouvé mon ami billon skov qui était parti travaillais dans la brasserie de la bière noire. Il m'expliqua beaucoup de choses dont le seul mot que j'ai compris était "pieds", "tonneau" et "chêne". Les festivités continuaient alors que les charrettes arrivaient, beaucoup de personnes venaient pour le départ, certaines personnes que je n'avais jamais vues. Il venait surement des villages voisins. Ma surprise fut grande lorsque j'eus vu mon oncle Génois et ma sœur descendre d'un énorme carrosse accompagné d'une femme habillée d'une magnifique robe. Plus tard on m'expliqua que c'était une personne importante dans la capitale. Toutes les tables étaient bondées, certaines personnes manger debout. Sur les tables il y avait des morceaux de porc d’élevage aux oignons, du sanglier rôti aux marrons de la bouillie de fèves et légumes et même de la bière noire. Tout le monde discuté, les nobles avec les paysans, les voleurs et les gardes, les chasseurs et les éleveurs. Je voyais ma sœur discutait avec un grand cartographe. Mon père et ma mère parlaient avec les voisins. J'ai même distingué le seignerat entouré de ses mercenaires et ses chevaliers.

Quand le moment fatidique arriva. Il était l'heure de dire au revoir, nous étions une centaine à partir cette année. Alors que je montais dans la charrette, mon père m'attrapa le bras et me donna un pendentif en forme de plume taillée dans de l’érable, tout en me disant "il m'a été donnée par mon père lorsque moi aussi j’étais parti à la milice, cette plume te représente. Comme elle soit libre comme le vent, léger et doux et pouvant piquer. Je compte sur toi pour en prendre bien soin". Je m’étais assis à côté de billon en la vingtaine de charrette avancer tandis que nous nous éloignons d'Huratelon. Petit à petit je voyais la foule rétrécir au loin et nous passâmes à côté de la brasserie de la bière noire.


Louqui à la milice:

Je n'avais jamais touché d'arme avant mon arrivée ici, j’étais le larbin dans le camp. Toujours à faire la lessive et ont récuré les bottes des supérieures. Mon ami Billon lui c'était parfaitement intégré au sein du camp. Le plus gradé était le général Aperi qui supervise le camp depuis plus de vingt ans. Ses seconds étaient Billon et une femme de la quarantaine qui avait donné sa vie à la milice. Je faisais partie des truffes, c’est comme ça qu'on appelé l’escouade Canine, notre travail consistait à élever et dresser des animaux pour la milice. Cela faisait des années que nous n'avons plus d'animaux à dresser, alors nous nous rabaissions aux tâches que personne ne voulait faire. Dans l'escouade nous étions 5, moi, les jumeaux Siphro et Gal, un Nordique à qui il manquait un bras et notre commandante qui s'appelait Lumia. Je n'avais pas la moindre idée comment j'avais réussi à avoir sa sympathie alors j'avais la chance de pouvoir quelquefois m’entraîner à l'arc durant la nuit. Avant de tirer chaque flèche je touchais mon pendentif en bois pour me concentrer et me donner ma chance. Souvent mon ami Billon venait me rejoindre pour me donner quelque conseil ou tirer quelques flèches. Les miennes étaient en bois taillé avec une simple plume au bout, alors que les siennes étaient parfaitement équilibrées avec une pointe en fer et des plumes rouges et bleus au bout. Il me disait que c'était le seul au camp à avoir des flèches pareilles.

Un jour un arrivage de loup arriva d'on ne sait où. Nous pouvions enfin faire partie intégrante du camp grâce à ceux-ci. Il y en avait une vingtaine mais à cause de notre manque d’expérience nous avons dû en garder qu’un chacun. Le mien était surement le plus paresseux, toujours à dormir et à chaque fois que je lui donne un ordre il me baillait au nez. Pour nous entraîner on nous envoyait chasser de quoi nous nourrir. Les jumeaux avaient deux loups totalement différents, l'un était rapide et vaillant alors que l'autre passer son temps à couiner en avançant lentement. Le nordique lui avait un loup féroce qui attaquait tout le monde a vu. Lumia elle avait une Louve travailleuse et Sérieuse.

L'année suivante toute l'escouade était prête pour n'importe quelle mission. Nous n’étions plus que quatre, car le Nordique s'était fait attaquer par son propre loup après une dispute violente à propos d'un morceau de sanglier. Les jumeaux me cherchaient tout le temps et on se bagarrait souvent pour des broutilles. Lumia elle s'esclaffait en me regardant perdre à chaque fois. Durant l'année j'avais reçu de nombreuses lettres en provenance de ma famille et celle qui m'avait le plus marquer était celle disant que ma sœur était devenue apprentie cartographe grâce à notre oncle. Chaque fois que je serrais mon collier entre mes mains, je pensais au village et à ma famille que j'avais laissée. Malgré notre intégration dans le camp nous étions toujours les chats noirs. Tout le camp voulait que nous redevenions des hommes à tous faire.


Raison du départ de l'ancien monde:

Une nuit de brumaire alors que je m'entraînais à l'arc, deux personnes de l'escouade mobile étaient rentrées dans notre tente, certainement pour discutais avec Lumia sur notre prochaine mission. Quand ils sont ressortis cinq minutes plus tard, ils ont commencé à chercher quelqu'un, ils se sont séparés, l'un est parti vers la cabane à loup tandis que l'autre est venu vers moi. J'entendis des cris provenant de la niche, celui qui se dirigeait vers moi me plaqua au sol. Je vis Lumia en sang sortir de la tente. Mon agresseur sortit une dague et me l'enfonça dans le torse. Lumia sortit son épée et lui tranchât la tête. Les jumeaux sortirent de la cabane au loup avec les animaux et amenèrent le mien et celui de Lumia. "Il nous a attaqués, on a dû se défendre" répliquèrent les jumeaux. En retirent la dague de mon ventre Lumia nous expliqua que le camp voulait éliminer les loups pour que l'on redevient des larbins et qu'elle avait tenté de les en empêcher avant qu'il ne s'acharne sur elle à coup de dague. Elle nous dit que nous devions partir du camp. Les jumeaux me soulevèrent et Lumia m'attrapa le bras et me dis "écoute moi, vous devez vous diriger vers les Marches et rejoindre un petit village du nom de Feilard, là-bas allez dans la taverne et demander Borde, il vous aidera. Prends bien soin de ma louve". Elle s'écroula et dans son dernier souffle elle me caressa la joue et fit un regard à sa louve.

Au loin nous aperçûmes des lumières de torches s’approcher rapidement de nous. Nous courûmes vers la forêt, les loups ouvraient la marche tandis que les jumeaux me portaient. Au loin, les chevaux aux Gallos s’approcher de notre position. On avançait aussi vite que l'on pouvait, Gal disait qu'il fallait me cacher et continuer sans moi alors que Gal disait le contraire. Un des loups des jumeaux s’écroula, touchait par une flèche. Siphro me lâcha pour secourir son loup et Gal continua d'avancer pour éviter d'autres flèches. Les loups s'en fuirent tandis que les chevaux les poursuivaient, Siphro attrapa son épée et commença à se défendre, il réussit à mettre un ennemi à terre en laissant ainsi sa jument libre. Gal m'empoigna et me faisait monter dessus tout en envoyant le cheval au trot. Je vis Gal se faire empaler par des lances et Siphro me suivre sur un autre cheval. Les flèches sifflaient vers notre direction pour se planter violemment sur le sol. Une main sur ma plaît, l'autre sur la lanière du cheval et mon regard en direction de Siphro en pleure, nous nous dirigeâmes vers Feilard.

Après une demi-journée de galop nous dûmes abandonner les chevaux et reprendre à pied, il nous restait encore trois jours de marche pour nous rendre aux Marches. Reprenant notre route Siphro m'appela en me montrant nos loups apparaître de la forêt. En larmes il me disait que c’était un miracle et qu'il fallait remercier Dieu pour ce cadeau. La louve de Lumia rapportait la dépouille du loup de Gal. Je retirai la flèche pour l'examinait. C'était celle de Billon. De peur qu'il nous rattrape nous reprîmes tout de suite notre route. Arrivés sur l'Heimild nous dûmes traverser à la nage. Le courant était fort, mais les loups nageaient rapidement. Siphro lui nageait en me portant. Ma blessure mal désinfectée commençait à enflait et l'eau n’arrangeait rien. Une fois la rivière traversée, les chevaux du camp apparurent de l'autre coter. Billon cria l'ordre aux autres de traverser tandis que nous partîmes aussi vite que possible.

Nous avons couru jusqu'au village et nous sommes rentrés en trombe dans la taverne. Siphro a demandé Borde et il est apparu devant nous. Voyant ma blessure il m'installa dans un lit à l’étage et commença à me mettre des points de suture. Mes cris alertés tout le voisinage et le sang n’arrêter pas de couler, j’étais très pale et Siphro est descendu me chercher de l'alcool pour la blessure. De l’étage nous avons entendu les loups grognaient et la porte s'ouvrir. Siphro cria et il y eut un grand fracas. Moi et Borde sommes restés silencieux à l’étage alors que les escaliers grinçaient, les loups s'étaient arrêtés de grogner et Borde commença à paniquer, je me relevais puis je suis partie me cacher à côté des marches d'escalier. Ce n’était ni Siphro ni Billon. Il avait un marteau ensanglanté dans les mains. Une fois les escaliers montés je le poussai pour qu'il redescende. Il tomba jusqu'en bas des marches et billon est apparu en bas de celle-ci. J'avais brisé la nuque de son compagnon et il me regardait avec un regard noir. Je me précipitais vers la fenêtre pour m’enfuir et lui monter rapidement les escaliers. Ma blessure me ralentissait énormément et il me rattrapa rapidement en nous projetant par la fenêtre. Nous nous écrasâmes sur le sol et j'aperçus derrière moi les loups massacrer. Je serrais les dents et je dégainais mon épée, Billon avait la jambe cassée et ne pouvait plus bouger. Alors que j'avançais avec difficulté, une flèche venait de se planter dans mon épaule et je m’écroulais. Billon se releva puis se dirigea vers moi en boitant avec son espadon. Il s'apprêtait à me poignarder quand mon loup lui arracha la gorge. Les autres miliciens ébahis reculèrent d'un pas et mon loup s'effondra sur le corps de Billon, pendant que je sentais que mes forces commencées à m'abandonner. Quand je me suis réveillé j’étais au milieu de la milice et le général était bouleversé, il se sentait gêné. "On va devoir se débarrasser de lui" disait-il d'un ton stressé, "non" s'exclamait sa seconde. Un débat débutât devant moi tandis que je m’écroulais de nouveau. Ils m'ont réveillé avec un seau d'eau et quelques miliciens m'ont expliqué qu'ils allaient devoir me vendre comme esclave et que c'était le seul moyen pour moi de rester en vie. Ils m'ont attaché et mon placer dans une cale au fond d'un bateau. Alors que je savais que ça n’était pas terminé je pris mon collier et le serra très fort.