Utilisateur:Médéryc

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
_rex90_
Pseudo
thurex
Prénom IRL
Benoit
Âge IRL
13 ans





Description

RolePlay :


je suis un pauvre mineur de Ness. J'ai 33 ans, et je ne sais ni lire, ni écrire. Je suis plutôt grand et assez maigre, 1m70 pour 60 kilos. J'ai des cheveux très noirs, en broussaille et décoiffés, une barbe de trois jours. J'ai un nez avec une bosse, trois dents qui manquent (2 incisives en bas et une canine en haut) Mes dents sont jaunes-brunes. J'ai de petits yeux gris et des sourcils épais, un visage brut, avec une altitude toujours grimaçante. Je suis violent quand j'ai bu ou qu'on me cherche.je serais prêt a voler mon voisin, même si il est plus pauvre que moi. Mais je reste lache quand la situation s'aggrave.

Compétences

Minéralogie : Une connaissance des minerais lui a été transmise lors de sa formation par son mentor.
Force : Il a développé de la force avec les années de minage.
Endurance : Il est capable de travailler longtemps dans des conditions difficiles.
Crochetage : Compétence qu'il a appris de lui même quand il a besoin d'argent.
Outillage : Une connaissance de ses outils est la base qu'a appris Médéric de son mentor.
Survie : La mine est un endroit dangereux, et il sait s'y débrouiller.

Talents

Bagarre de rue, vol, minage, realiste, tres croyant.

Défauts

Lache, egoiste, voleur, grossier, renfermé, alcoolique, violent, lache.

Intérêts culturels et goûts

Biere, pierres precieuses.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

RolePlay :



Mykkel: Il m'a traité de tete de gland et m'a humilié, des que j'ai une occasion, j'le bute le grand brulé. 


Malfur Apres mon probleme a la taverne, je jure que je m'occuperais de son cas.

Histoire

RolePlay :


Médéryc naquit dans une famille de Ness. Très pauvres, le père était mineur et la femme au foyer. Quand Médéryc eut trois ans, son père mourut d'un éboulement dans la mine. N'ayant personne pour ramener de l'or a la famille, sa mère du elle aussi, descendre a la mine. Dès ses 8 ans, il put remplacer sa mère a la mine, son mentor, nommé amicalement "Le gros Binard", le prix son son aile. Avec lui, Médéryc appris tout le métier de mineur. C'est dans les galeries qu'il découvrit comment sélectionner le meilleur charbon, comment bien tenir sa pioche... Malheureusement, à l'age de 16 ans, un autre éboulement eut lieu, et "Le gros Binard" lui non plus, ne survécut pas a l'accident. Médéryc du se débrouiller seul, par la même occasion en volant à chaque fois un peu de charbon, puis en volant quelques pièces dans les vestiaires et ensuite en crochetant les portes de ses voisins pour leurs dérober leurs argent. Mais, la vie était dure. L'endettement, de plus en plus conséquent, le mêla a des agressions en plein village, et il s'y forgeât une réputation. Puis il grandit, dans le quotidien et la routine la plus banale, chaque jours jusqu’à ses trente-trois ans. Un matin comme les autres, la routine. Voila ce qui ronge la vie. Comme la plupart des autres matins, le ciel est gris et le brouillard étouffant. C'est l'heure d'aller a la mine, la cloche sonne. Ce n'est pas un son désagréable en soi, mais tout ce qui y est rattaché fait que les mineurs le déteste. Comme tout les matins, on aimerais que la nuit soit plus longue, mais il faut bien retourner a la mine. Un vingtaine d'hommes marchent, sans un mot, sans se retourner vers leurs modestes maisons.

On arrive enfin aux vestiaires, chaque mineurs commencent à parler avec leurs voisins et entre eux, on fait des blagues, on se rassure. On prend l’équipement, dans une bonne humeur superficielle. Un homme, parle peu. Il a un visage renfrogné et des cheveux noirs comme le charbon le plus sombre. Cet homme s'appelle Médéryc, et n'a rien de spécial, il est presque comme les autres. On descend chacun par l'échelle en fer. La descente parait interminable. On retrouve l'homme au visage renfrogné, tout devant. Sa pioche a la main, comme un automate, il exécute les consignes du jour. Les autres se plaignent, se taquinent entre eux. Lui non, il se contente de miner le charbon et de remplir les sacs.

La pause du midi arrive, et les mineurs s'accorde une pause. On sort de quoi manger, un repas frugal. Tout le monde a le même, et personne n'en laisse ou n'en donne au voisin. "-Eh Médéryc, t'va chez l'Gregoyr ce soir?! -Ouais. -C'est jeudi, va y avoir une cuvée d'la Capitale qu'arrive. -Bah c'bien on va pouvoir se saouler . -M'ouais, t'veut qu'on se parie la paie aux osselets ce soir? J'ai envie de la récupérer pour l'aut'jour. -Bah ce s'ra pour une aut' fois, j'compte la boire. -'spece de soulard!" Une conversation des plus banale accompagna la fin de la pause et on se remit a travailler. Malheureusement, les installations sont risquées, et on est pas a l'abris d'un accident. Un était est fragilisé, et c'est toute un pan de la galerie qui s'effondre. "-Bordel! -Il manque qui? -Ch'ai pas! -J'crois qu'jretrouve plus Vyncent! -Et le Geror! -Bah merde alors, Geror, Vyncent, c'est la merde! -Bordel, c'pas la première fois, faut s'ressaisir, c'est qu'un p'tit éboulement! -C'est bons les gars, prenez les pelles, c'est tout c'quon peut faire. Si on fait vite, on pourra sortir dans une heure ou deux." dit Médéryc. "-Ouais bien dit! -J'deteste les jours comme ca! " Après de longs efforts, il arrivent a déboucher un chemin. Ensuite, on cherche les corps sous les décombres. Mais tout les mineurs sont exténués. Plus personne ne parle, et chacun remontent les corps de leurs camarades et les sacs de charbons avec la corde. Ensuite, on escalade l’échelle. Si un mineur glisse et tombe d'en haut, c'est la catastrophe assurée. Surtout que l'humidité rend l’échelle de fer glissante. Finalement, tout le monde arrive à remonter. On se rend vers le comptoir pour chercher la paie. Médéryc, aussi le premier, viens chercher sa paie et signe d'une croix la fiche. -"Voila, bonne soirée," dit mécaniquement un homme, visiblement peu sincère. Il pose une petite pile de pièces d'or, et un bout de papier sale. "Vous donnez ça à mon collègue là bas pour le charbon." dit-il en montrant le bout de papier. Médéryc pris les pièces et la feuille et laissa la place au suivant, puis il se dirigeât vers un homme au visage grave, il était chauve, gros. Médéric s’avança et réclamât son du. L'homme lui donna un sac. Visiblement, Médéric n'était pas content. Il lui dit en crachant des postillons: "-C'tout c'qu'on a? -Ouais, si tes pas content, c'est pareil. -Tes sérieux?! On a moitié moins! -C'est l'Ordonnance qui veut plus de charbon, alors vous en avez moins, c'est comme ça. -J'arrive déjà pas a chauffer chez moi correctement, et tu veut m'en enlever!" L'homme le regarda droit dans les yeux et lui dit: "Prend ça et casse toi si tu en veut, sinon, moi j'le garde! " Médéryc était prêt a se battre quand un mineur le retins: -"Laisse, on va a la taverne, on y peut rien. " Médéryc laissât tomber la dispute et se dirigeât vers la sortie.Un soir de Nivose, a la sortie de la Taverne. La porte de "Chez l'Gregoyr" s'ouvre brutalement. Médéric, visiblement saoul, sort, une choppe en terre a la main. -Comment ça plus d'Pognon?! J'vais t'en donner moi d'Pognon! -Oh Médéryc, ta assez bu, ça fait trois "Capitales" que tu t'fait couler dans l'Gosier. -Vas-y fait moi a crédit! -Non, aller va décuver dehors! Dit un homme, visiblement l'aubergiste. Et ce dernier le jette sur le sol dur et froid du chemin qui traverse Ness. Médéryc marmonne : Mmm, M'faut des sous, J'vais les prendre à la source, ce sont des voleurs, faut prendre les sous dans le bureau de la mine. Médéryc se releva en chancelant et se dirigeât vers la mine. Personne n'était la ce soir, et il fut plus ou moins aisé d'accéder a la porte. Déjà, saoul, il eut réellement du mal à crocheter la porte, et c'est plus par un coup de chance qu'il réussit a l'ouvrir. A l’intérieur, dans le bureau du directeur de la mine, il chercha de l'argent. Et il en trouva. Une grosse bourse de pièces d'or se trouvait dans le tiroir du bureau. Ni une, ni deux, il s'en empara, et couru vers la taverne pour tout dépenser.

Au petit matin, Médéric était endormis sur le comptoir. Grégoyr, lui, l'avait laissé là, de toute façons, Médéryc avait bu tout ce qu'il lui restait de bière. Dès que l'aubergiste rouvrit la boutique, il voulut réveiller Médéryc. Visiblement, il avait le sommeil profond... Une heure après, le directeur de la mine débarqua dans l'auberge, accompagné du colosse. -"Grégoyr, il a bu combien de bières hier?" En désignant Médéryc du doigt, d'un air grave. -"Je me rappelle plus, tellement il en a pris, il m'a dévalisé! " Dit Grégoyr en plaisantant. -"Et tu sait, d'ou il tenait tout cet argent? -Aucune idée m'sieur. Il était a sec puis il est revenue avec une bourse pleine. -Tu t'es pas posé de questions? C'est mon or qu'il a volé, le salaud! -Vous êtes sur? -Tout ses collègues l'ont dénoncé. Apparemment, eux aussi perdaient régulièrement de l'argent mais ils était sur de rien avant ce soir. Mais on a une preuve. Tient, montre moi ses bottes. L'aubergiste s’exécuta, retirant une botte du pied de Médéryc. Puis, il la montra au directeur. -C'est sur, voila la même trace de boue que dans mon bureau. -Comment il va vous rembourser? -Il est déjà fauché cet ivrogne, même si il travaillait un ans pour moi sans être payé il me rembourserait pas, avec toutes ses dettes. -Vous allez faire comment, moi je vous le laisse. -On va le vendre aux esclavagistes de la Capitale, il partira avec la prochaine livraison de charbon, ce soir.