Utilisateur:Nestori ohto

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

     Nestori Ohto
Informations RP
Genre
Homme
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Famille
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Compléments








Origines
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Région d'origine
Nation d'origine
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Narvi81
Pseudo
Narvi81





12.jpg

Description

Nestori est né le 18 octobre 485 dans la ville en contrebas du Mont Adaar, la magnifique Golvandaar, ce qui fait de lui et tout comme sa famille un adaarion de sang pur. Il est le fils d'Heino Ohto et de Liina Ohto, il est fils unique et représente la famille des Ohto, une famille aisée. À l'âge de 5 ans, comme la loi l'indique, Nestori se fait éduquer par le monastère jusqu'à ses dix années. Cette éducation lui a appris à écrire et calculer à peu près correctement, mais la lecture ne sera jamais son point fort, il a appris l'Adaarion et la Capitalin. Nestori devient donc un monachiste et prie Arbitrio. Il va au monastère une fois par semaine, ou plus, mais tout dépendra de sa masse de travail.

À ses 23 ans, Nestori perd sa douce mère à cause d'une maladie venant des Monts, que même les plus grands thaumaturges ne peuvent curer, la maladie la tarissait au plus haut point. Après la perte de son amène mère, Nestori devint comme son père en mal, jusqu'aux moindres détails, sauf concernant son poids (un sujet très délicat, c'est le cas de le dire) et sa gourmandise. Il est resté d'une part à l'écoute, affectueux, doux (il adore faire des câlins), serviable, agréable et accueillant avec autrui ( surtout les femmes , principalement celle qu'il aime bien), et d'une autre part, il est sérieux (toujours à l'atelier, mais après, tout dépendra de son humeur et ses tonnelets bus …), productif la plupart du temps, et minutieux, mais il a pris les défauts de son père, il est devenu de fer, grincheux, buté, acharné, cupide, têtu, rancunier, râleur, lent, coléreux et grossier (surtout dans sa façon de dîner, de souper, de déjeuner, de prendre le petit déjeuner ou encore le goûter) et avec les ennemis de la famille et donc de lui, il est froid, et extrêmement vulgaire. Nestori ne se bat qu'avec sa parole, même si son poids le favorise, il préfère éviter la violence (il ne sait pas se battre, cependant il n'hésitera pas à charger l’adversaire pour le mettre au sol). À cause de son physique, il est lent et n'est pas un bon coureur, c'est plutôt un sprinteur et il est gros. Il mesure 1m70 et pèse 84 kg. Il a les cheveux bruns légèrement bouclés et des favoris classiques bruns. Nestori souffre depuis ses 17 années d'une très mauvaise digestion, c'est pourquoi … Il parle … Comme ça … Pour cause des remontées acides … C'est très embêtant et répugnant devant une charmante demoiselle ... C'est un tailleur de pierre, tout comme son père, ou encore son grand-père, ou même le père de son grand-père, chez les Ohto, on est tailleur de pierre de père en fils, c'est un art familial, Nestori a développé en lui le goût de l'ornementation.

Aptitudes

- Choix I : Grille Pierre Taillée.png Tailleur de pierre.

- Choix II : Grille Pierre Sculptée.png Art (sculpture.

- Choix III : ‎Grille Livre et Plume.png Éducation.

Goûts

Ce qu'il aime :

- La nourriture : Depuis toujours Nestori a aimé la nourriture. Elle le rend heureux et de bonne humeur.


Un bon pain chaud!

D'la viande !

Du poulet et du canard.

J'ai soif ! !

Œufs !.

Un bon fromage entier !

Encore du gâteau !

Mais bien sûr, il mange de tout. Et même tout.

Grand choix !

Il aime tout simplement manger.

- L'or : Depuis qu'il a vu la première pépite, Nestori n'a qu'une seule chose en tête, c'est en avoir.

DE L'OR ! Elle est à MOI

- Les porcs :Depuis qu'il a rencontré Ahvo le porc laineux, Nestori porte une grande considération aux porcs en tout genre. Cependant il n'hésitera pas à les manger.


Ce qu'il déteste :

- Les légumes oranges : Nestori ne les a jamais aimé, ils sont vivants, pointus et dangereux.

De réelles armes !

Histoire


Une merveilleuse rencontre,


Grille Gâteau.png


Je me rappelle bien de ce jour, on était dans le thermidor, ô oui, c'était un bon lundi bien après que le soleil se soit levé. J'étais jeune (toujours si gros, mais c'est un sujet délicat) et ma tendre mère était près de moi, je devrais avoir entre 11 et 12 années. Nous vivions dans une maison envahis de joubarbes des toits, la Région Adaarionne en était infestée, notre maison n'était pas un bouge de la populace, ô que non, c'était le lit douillet de la famille. Il y avait également un nid de corbeaux sur le toit. Père était déjà parti à l'atelier pour façonner de la roche dure, une roche arrivée la veille, moi je m'amusais avec Ahvo, mon meilleur ami, c'était un gros porc laineux du voisin, il était exactement comme moi, pas très accueillant de l'extérieur et très bon de l'intérieur (j'affirme que je ne le l'ai pas mangé). Ce que je sais très bien, c'est que je garderai une place énorme dans mon cœur, après m'être bien amusé, la faim commençait à montrer le bout de son nez tel un mulot sentant le fromage du vieux Kustaa de Vislav, il était vieux comme un bouc. Je me suis précipité vers le bord de la fenêtre où l'on pouvait humer la délicieuse odeur d'un bon plat.

- Misa ... C'est bientôt l'heure de ... Se remplir … L'estomac ?

Ma mère s'était retournée pour me voir et me fit don de sa beauté et elle me dit :

- Ei Nestori, je n'ai rien pour toi encore, si tu continus tu vas ressembler à ton père jeune.

- Misa, ole hyvä … Ole hyvä !

- Bon prend en deux ou trois koilstkä ,mais pas plus !

- Kiitos misa.

Elle était si bonne et douce avec moi ... Je me rappelle même que j'en avais pris sept... La gourmandise me faisait faire tout … Mais ce goût si délicat et cette onctueuse mixture … On ne pouvait y résister. Ma mère ferma les huis et les fenêtres et me laissa seul dehors, je ne m'en préoccupais pas, , c'était mon estomac avant tout !Deux heures ou trois heures venaient de s'écouler enfin je crois, je ne lis pas l'heure solaire, donc j'imagine, je vis père à deux pins de la maison et je me suis précipité sur lui en ouvrant mes bras (je n'étais pas très rapide, mais c'est l'intention qui compte). Il me vit et fut plein de joie :

- Nestori ! Mon fils, toujours en train de dévorer, tu me ressembles tellement à ton âge, bon, j'ai très faim et je pense que toi aussi, allons manger.

- C'est parti isä … Le dernier de nous deux sentira le ... Vieux Kustaa !

- Tu vas voir mon bonhomme qui va gagner !

Je me souviens qu'il m'avait fait gagner. Nous entrâmes dans la maison et nous nous mîmes à table, la table était pleine de bonne nourriture, du fromage, du vin, du bœuf, du porc (pas mon ami Ahvo) nous attendîmes mère qui finissait de préparer le déjeuner, elle arriva et s'assit et nous entamâmes le merveilleux déjeuner.Mais hélas ma propreté à table n'était pas très convenable … Donc … Je me faisais souvent disputer...

- Nestori ! Mange correctement, on dirait ton père ! Mange avec urbanité sinon tu n'auras aucun dessert ! Aucun !

Si ma mère n'était pas là avec ses conseils et si elle ne m'amendait pas, je ne serai pas ce que je suis (on ne parle pas du poids!).

- Anteeksi misa …

Et mon père était extrêmement enjoué d’entendre cela ...

- Kiitos, c'est très aimable et agréable de l'entendre …

Le déjeuner finit, nous attendîmes, mon père et moi, le dessert pendant que mère rangeait la table. Et c'est là que je l'ai vu, j'ai tout de suite su que c'était lui et qu'il serait mien, il était grand, beau, délicat, magnifique, ravissant, sublime, somptueux, je venais de rencontrer le Mont Adaar. C'était une confection qui avait pris toute une matinée était une preuve d'amour de ma divine mère, c'est à elle que je dois tout.



Une journée de dur labeur,

Grille Marteau en Pierre.png


Je me rappelle bien de cette belle journée enneigée, il faisait froid (nous étions dans la Nivôse), les corbeaux s'étaient installés dans le grenier dans le fourrage. J'avais 29 ans et cela faisait hélas six ans que le doux souffle de mère et ses petits plats n'étaient plus là. Je me souviens que chaque matin, père disait après le petit déjeuner (très bon d'ailleurs) pour me réconforter (j'étais assez sensible, mais je le suis encore …), un message transmit de génération en génération concernant le physique (et oui la Famille Ohto est soudée), je recevais et je reçois encore beaucoup de moqueries liées à ma corpulence et ma gourmandise excessive. Ce qui me mettait dans une colère sans nom, mais hélas la violence ne résout rien, c'est pourquoi je remplis mon cœur de ce chagrin non effacé. Ce message montrait à quel point, aux yeux de la famille, j'étais leur bijou, leur amour :


« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants,
Quand ils sont beaux, bien faits et bien grands,
Et d'un extérieur qui brille ;
Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot,
On le méprise, on le raille, on le pille,
Quelquefois cependant c'est ce petit marmot
Qui fera le bonheur de toute la famille »


- Nestori, laisse donc, laisse tous ces gascons de campagnes dire ce qu'ils veulent! Laisse ta colère s'envoler, mais par contre, si l'un de ce groupe vient et qu'il te provoque ou qu'il mise l'honneur de la famille, il saura que quand on se bat contre un Ohto, il sortira toujours sans roubignoles !

Père avait toujours le mot pour rire, mais hélas je n'étais pas bagarreur comme lui. Après s'être vêtu de vêtement hiémal, nous partîmes à l'atelier qui était à cinq pins de la maison. C'était un atelier modeste, ni trop grand, ni trop petit, mais ici, aucune joubarbes des toits en vue. Père l'ouvrit avec son petit trousseau de clefs et nous y entrâmes. Après avoir posé nos habits, le moment de l'antienne manière de travailler (le dégrossissement des pierres) commençait. Nous avions d'ailleurs reçu ce jour-là de la pierre ferme, en outre du calcaire venant de … Je ne saurai pas vous le dire... Nous étions vêtus d'un grand tablier drôlement sale, nous portions un masque de cuir assez propre et de gants horriblement poussiéreux .L'atelier regorgeait de tout les outils que peut rêver un bon tailleur de pierre, du taillant à la sciotte passant par la boucharde, le têtu (mon préféré), la chasse, le pic et même le ciseau droit (avec un maillet en bois). Il utilisait le pic et moi j'utilisais le ciseau droit avec son maillet en bois, après des heures de dégrossissement et de polissage, un nuage de poussière s'était formé, ce qui rendait la visibilité dure et ce que nous redoutions le plus, c'était la touffeur, cette atmosphère lourde, chaude et étouffante qui nous envoyait de temps à autre amicalement à la fin de la journée, une maladie peut être mortelle. C'était un vrai émoi ! Surtout en cette dure saison ! Le soleil était au zénith, mon ventre hurlait de détresse, donc gentiment je pris la parole :

- Père ...Il est l'heure d'aller prendre le déjeuner ... Et s'emplir l'estomac... Tu viens ?

- Ei, car si nous perdons du temps, un temps précieux, les corporations nous ferons baisser le front ! C'est pourquoi je les abhorre !

- Bon, bon … Je vais rester avec toi … Et laisser mon pauvre estomac … De côté … Pauvre de lui ... Et nous reprîmes donc le travail. Il fallait tailler les blocs de pierre avec minutie et délicatesse pour sculpter des ornementations. Après avoir dépensé la journée à dégrossir et polir les pierres, nous nous mîmes à les graver et sculpter, c'était un travail d'artiste, qui donnait un résultat magnifique … Enfin pas pour tout le monde et surtout pas moi … Enfin tout dépend de la pierre … (Je suis plus habile sur la roche adaarionne). C'est pourquoi les corporations haïssaient mon père et c'est à cause d'une bonne chose que les abîmes se sont ouvertes et que le déluge d'ennuis est arrivé...



Le déclin,


Grille Chaines pour Poignets.png


Après avoir terminé ce labeur, nous nous mîmes à nettoyer l'atelier de fond en comble, non je plaisante, nous nettoyions juste grossièrement le sol (il était sale, il y avait des résidus de calcaire, des débris et encore des détritus …). Nous rangions ensuite l'immondice dans un pauvre sac fait de vielles et sales chutes et rognures de cuir et ce sac au fond de l'atelier avec les autres. Le rangement finit, nous allâmes dans l'auberge habituelle, mais je ne saurai plus vous dire son nom, elle était accueillante et drôlement chaleureuse, elle avait même un foyer qui réchauffait les voyageurs et les âmes égarées, ils venaient du Nord, du Sud … De l'Est et encore de L'Ouest, ils venaient de quelque part. Nous nous mîmes à table dans un recoin de l'auberge, puis une charmante demoiselle vint vers nous :

- Un humble bonsoir messieurs, que puis-je pour vous ?

- Pour ma part, je prendrai un tonnelet de bière, quelconque la bière, ainsi qu'un peu de gros pain.

- Pour moi … Je prendrai en plus de la première commande … Excusez-moi, c'est très … Embêtant … Un bon gros bout de … Porc … Kiitos...

La demoiselle s'éloigna.

- C'est quand même … Agréable d'être … Accueillis de la … Sorte alors que nous … Sommes arrivés … Au débotté.

- C'est tout à fait juste mon fils, cependant il faut impérativement que tu trouves d'où viennent ces maudites remontées … Et que tu laves par la même occasion tes misérables habits …

- Effectivement …

Mes habits étaient tâchés, graisseux, dégoûtants or je n'étais pas misérable, j'étais juste … Encrassé … Bien sûr à cause de la nourriture ! La servant nous amena les plats … Quelle bonne odeur … Et nous commençâmes à souper tranquillement et proprement … Ce n'est pas ironique …

- C'est … Tout à fait ... Délicieux !

(Je me fis remarquer par un groupe de gascons à l'opposé … Rien de bien cruel …)

- J'ai vu les corbeaux s'agiter ce doux matin …

- Ce n'est rien de grave, ils doivent … Avoir froid. N’amène pas la colère d'Arbitrio s'il te plaît, je suis déjà allé au monastère il y a trois jours !

- Ei ! Ei ! J'ai peur qu'un chef d'une des corporations fasse quelque chose de pas très correct … Il monte un coup pour que je sois contraint à les rejoindre ! Quelle crapule ! J'ai même reçu des menaces !

- Mais non … Père … ce n'est que folie … Je n'en crois pas un mot, les corporations … Sont certes compétitives … Mais il y a des limites … Bon je rentre, je te laisse vingts Urii pour … Que tu puisses payer.

- Si tu le dis … Kiitos.

Je me suis levé grossièrement et parti La lune illuminait notre belle ville, ô Golvandaar la belle ! Quelle vénusté qu'elle nous offrait ! J'étais bientôt arrivé à notre logis, il était à deux ou un demi-pin d'ici … Brusquement, une personne m'interpella :

- Bonsoir, êtes-vous un Ohto ?

- Oui … C'est bien cela …

- Kiitos.

Après que cette mystérieuse personne m'ait posé cette drôle de question, des gascons, des hurons (sûrement ceux de l'auberge !) sortirent et s'approchèrent …

- Le chef de la corporation n'est pas satisfait par votre réponse si … Amicale ? Et je crains qu'il ne veuille plus de vous ici...

Effrayé, je me mis à courir, mais là, ils n'eurent aucun problème à me rattraper …

- Laissez-moi donc ! Vautours ! Lâchez-moi !

- Il est têtu cet animal, qu'on l'emporte !

- Lâchez-moi, je suis … Bien plus … Fort que vous ! Bande de rats !

Ils rigolèrent aux éclats, le lâche chef des rats, des diablotins s'approcha de moi et me donna un coups de points si forts que … Cette douleur était indescriptible …

- Tais toi donc !

Aucun mot ne pouvait sortir … Ma voix était égarée … Ce n'était que des vautours, des escrocs ! Des scélérats ! Un nouvel homme arriva et leur donna une bourse pleine d'Urii … puis s'éclipsa … Ils avaient l'air heureux en voyant cette bourse …

- Il a dit qu'on fait ce qu'on veut avec la bête, mettez-le dans la charrette, dans la cage porcine, c'est sa place.

Les hommes exécutèrent son ordre. Je ne pouvais que penser à mon pauvre père, désormais seul … Quelle abomination d'être brisé ! Déchiré de son lit familial ! Je suis rompu … Le trajet fut épouvantablement long, mes vêtements étaient déchirés, sales, ils étaient emplis de boue, à cause du sol boueux et rouillé... Nous arrivâmes dans un modeste port, il y avait quelques esquifs et un bateau … Plus grand avec des plus grandes voiles.

- Chargez les tous dans la cale !

Ils m'emmenèrent dans la cale, lugubre d'ailleurs et j'entendis d'un des hommes corrompus, d'un des criminels, d'un des escrocs, bandits dire :

- On va en tirer un bon profit de ce gros … Enfin j'espère …


Relations

- Sa famille : /


- Ses proches : Il peut leur faire confiance - Et les aidera à tout prix. Des amis de la famille pour certains -


Eevert Friherten

Un vrai veli.


Ambroise de Nogaret Tu me l'as fait oublier, je serai toujours reconnaissant.Mon moine, mon père, mon ami, mon veli, mon aumônier.Ami de la famille Ohto.


Maëglyn Lisaida Underson-Calmacyl

Tu es comme la sœur que je n'ai jamais eu.Je t'aiderai quoiqu’il en soit.Tu seras le toujours bienvenue pour ma famille, les Ohto.