Utilisateur:Omenassai

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Omenassai
Pseudo
Omenassai
Prénom IRL
Simon
Âge IRL
14 ans





RolePlay :


Description

Physique

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Omenassai est un jeune homme robuste de 24 ans. Il mesure plus de 2 mètres, pour 94 kg. C'est surtout 94 kg de muscles, en réalité, développés par des années passées à couper du bois dans les forêts adaarionnes. Sa tête est recouverte d'une épaisse tignasse châtain auburn, qui lui tombe régulièrement sur les yeux verts. Sur sa mâchoire carrée pousse un début de barbe, de la même couleur que ses cheveux. Sa peau pâle, assez commune dans la région de Golvandaar, contraste furieusement avec ses vêtements, généralement assez sombres. Du moins, lorsqu'il porte autre chose que de simples loques d'esclave. Il n'a pas de reliques ou de bijoux particuliers.

Mental

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Le bûcheron à une certaine tendance à vouloir nager à contre-courant. Il n'aime pas être ou faire comme tout le monde. C'est notamment pour ça qu'il ne supportait pas de faire le même métier que tous les hommes de sa famille. Dans un certain un sens, il est un peu rebelle. Mais juste un peu.

Omenassai est assez maladroit. Il manque de tact, et est généralement bien trop direct avec les personnes à qui il s'adresse. "Très franchement, ce dessins est moche !";"J'aime pas du tout le style d'écriture, c'est trop enfantin !"; ce sont des phrases de ce genre qu'on peut entendre sortir de sa bouche. Cela lui vaut, très souvent, de se retrouver dans des situations assez périlleuses, dont il arrive bien moins souvent à se sortir.

Lorsque Omé' est concentré sur quelque chose, rien ne peut le déstabiliser. Autant essayer de faire réagir un bloc de marbre. D'ailleurs, il est assez calme, la plupart du temps. Cependant, il n'est pas toujours comme ça ! Omé' peut-être très drôle quand il le veut !'


Compétences

Grille Pousse de Sapin.png Connaissance de la flore: Il est toujours utile de savoir différencier un sapin d'un pommier, quand on est bûcheron.
Grille Hache en Fer.png Outillage: Que ferait un coupeur de bois sans sa hache ?
Grille Marteau de Guerre en Fer.png Force: Transporter des troncs d'arbre à longueur de temps, ça fait travailler les biceps.
Grille Fiole d'Eau.png Endurance: Il est plus facile de donner des centaines de coups de hache par jour quand on est un minimum endurant.
Grille Boussole.png Survie: Ses longues journées dans les forêts des montagnes lui ont appris à ne plus se perdre... Et à se faire un feu de camp et trouver de la nourriture quand il se paumait quand même !

Grille Livre et Plume.png Alphabétisation et calcul: Il suivait attentivement les leçons qu'on lui a donné de 5 à 10 ans.


Qualités et Défauts

Ses qualités

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Franchise: Au moins, avec lui, vous pouvez être sûr de connaître la vérité tout de suite !
Indépendance: Omenassai est indépendant, dans le sens où il ne suivra pas tout un groupe comme un mouton s'il n'y a pas une bonne raison. En gros, il se forge sa propre opinion, et ne suit qu'elle.
Humour: Parfois, le jeune homme en sort de bien bonnes ! Mieux vaut être là pour se taper une bonne tranche de rigolade !
Concentration sans faille: Lorsqu'il travaille sur quelque chose, on peut être sûr que le résultat final sera excellent. Ou tout du moins le mieux fait possible.
Calme et réfléchi: Certes, Omenassai préfère largement agir que réfléchir longuement à une stratégie. Mais quand c'est nécessaire ou préférable, il peut se poser quelques instants pour établir une réfléxion organisée.

Créateur de citations: Omenassai a toujours aimé lire, et adorerait pouvoir être un grand écrivain. Toutefois, il ne se trouve pas assez doué pour rédiger une livre, alors il se contente de créer de petites phrases de temps en temps.

Ses défauts

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Parfois un peu froid: Notamment quand il est concentré. Il n'est pas rare de se voir envoyer bouler quand on le dérange alors qu'il est en plein travail.
Maladroit: Il manque de tact, et a toujours du mal à dire les choses avec délicatesse.
Fêtard: Les beuveries et autres soirées en tout genre ont tendance à l'attirer... Difficile de savoir où on le retrouvera le lendemain.
Têtu: C'est trèèèèèèès difficile de le faire changer d'avis à propos de quelque chose...

Ensommeillé: Omenassai dort très peu la nuit. Difficile de savoir ce qui provoque ça. Mais l'important, c'est qu'il ne faut pas le déranger après son réveil. Il est assez grognon dans ces moments-là.


Ses intérêts et ses goûts

Ses intérêts

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Lecture: Omenassai adore lire. C'est l'une des choses qui occupe le plus ses journées, depuis qu'on lui a apprit à lire.

Légendes et contes: Il est passionné par tous les mythes qui se transmettent autour de lui. Il fait parfois des recherches pour en apprendre plus.

UNE POMME !

Ses goûts

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Sport: Omé' adore faire du sport. Que ce soit simplement courir un peu après le boulot, ou soulever du poids, il essaie d'en faire au moins une fois par jour.

Pomme: Le jeune homme aime les pommes. Mais vraiment, il les vénère. Que ce soit des tartes au pommes, des compotes de pommes, des jus de pommes, il en prend à toutes les sauces.
Koiltskä: Il est très friand de la petite pâtisserie adaarionne.

Bière Noire: Son alcool préféré. Il ne boit que ça dans les tavernes.


Liens familiaux et amicaux

Sa famille

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Greviir Deltaagar ( 463 - Aujourd'hui ): Père d'Omenassai. Un homme sympathique et chaleureux, mais très à cheval sur la tradition familiale.
Reiya Deltaagar ( 464 - Aujourd'hui ): Mère d'Omenassai. Une femme discrète, très protectrice envers ses fils et son mari.
Rekviir "Rek'" Deltaagar ( 486 - Aujourd'hui ): Frère aîné d'Omenassai. Un garçon qui ne prend jamais réellement conscience des responsabilités qui pèsent sur ses épaules. On se demande toujours si ça a été une bonne idée de le laisser s'occuper du magasin de la famille.
Albrian "Al'" Deltaagar ( 483 - 513 ): Aîné de la fratrie. Un homme débrouillard, assez amical et très investi dans son travail, néanmoins ayant un trop gros penchant pour l'alcool et les femmes. Il meurt, poignardé, alors qu'il essaie de protéger, complètement saoul, Omé'.

Ses amis, connaissances et ennemis

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~ Amis ~

Piokatra: L'un des compagnons de galère d'Omenassai. Lui aussi a été acheté par Hiiagara. C'est l'une des premières personnes avec qui Omenassai s'est bien entendu ; Piokatra est toujours très poli, ce qui entraîne chez Omé' une sorte d'admiration. Lui serait incapable de se comporter comme ça.

~ Connaissances amicales ~

Ickaboth: Ickaboth a lui aussi été acheté par Hiiagara. Si Omenassai le prenait au début pour un simple noble un peu hautain, il a vite comprit qu'il n'était pas QUE ça. Omé' lui a aussi raconté une partie de son histoire, mais rien de plus. Icka' est un noble, le bûcheron fait partie de la plèbe. Même si il est reconnaissant envers Ickaboth de lui avoir dit pourquoi il était sur Esperia, Omenassai n'est pas encore prêt à tout lui avouer.


Hiiagara S'Jet: La seule personne ayant accepté d'acheter Omenassai à la vente d'esclaves. Et donc, son maître. Omé' trouve le personnage assez étrange par moment, mais se dit qu'il aurait pu tomber sur des maîtres bien moins sympathiques.


Alric Brume: Brume est l'un des esclaves qu'a acheté Hiiagara, en même temps qu'Omenassai. Le bûcheron n'a que rarement croisé Brume, et du peu qu'ils se sont dit, il avait l'air d'être quelqu'un de bien. Omé' aimerait mieux le connaître.

Histoire

Hors RolePlay :

Les chapitres qui vont suivre sont extraits de ma candidature White-list. Des modifications pour l'approfondissement de l'histoire d'Omenassai pourrait apparaître.

Le Jour J

Destin

"Le destin est une chaîne immuable, immobile, indestructible. Le vrai but de l'homme est de briser cette chaîne.
Omenassai

-Timbeeeeeer !

L'arbre tomba dans un fracas digne du plus puissant des orages. Lorsqu'il s'abattit sur la terre pentue, une vingtaine de volatiles et de petits animaux en tout genre prirent la fuite. Un grand homme, armé d'une hache usée par le temps s'approcha d'Omenassai en poussant un sifflement impressionné.
- Hé ben dis donc Omé' ! Tu bosses bien aujourd'hui !
L'intéressé essuya un peu de sueur sur son front et posa son outil de bûcheron en travers de son épaule. - Ça change de d'habitude ? répondit-il en riant.
- Ei, mon fils, ei ! renchérit l'autre, tout sourire, C'est le dernier arbre que l'on coupe pour aujourd'hui. Besoin d'aide pour le porter ?
- Ouaip ! Prend ce côté-là, je prends l'autre.
Le père et le fils saisir chacun un bout du tronc et le soulevèrent en douceur, comme s'il avait été aussi léger qu'une plume. Rien d'étonnant, vu les muscles saillants qu'on pouvait apercevoir sous leur veste en peau. Ils commencèrent à avancer prudemment sur le sol en pente. Ils faisaient très attention à chaque pas, pour éviter de glisser et de s'étaler face contre terre. Le silence troublant qui les entourait finit par perturber Omenassai, qui prit la parole, sans vraiment réfléchir :
- Papa, pourquoi t'es devenu bûcheron, déjà ?
- Pour la même raison que toi et tes frères : la tradition familiale. On est coupeur de bois depuis des générations, dans notre famille. Je ne fais pas exception !
- Mais, tu n'as jamais voulu faire autre chose ? l'interrogea Omenassai, troublé, J'veux dire, il y a quand même des métiers bien plus attrayants que bûcheron !
Sans qu'il n'ait à se retourner, le jeune homme put deviner l'air sévère qui s'affichait sur le visage de son paternel. Une vraie boulette de sa part d'avoir commencer à parler de ça...
- Mon métier te fait honte ? cracha le père d'Omenassai.
- Ei ei ei ! C'est juste qu'il y a des boulots qui payent un peu mieux et..., fit le fils pour s'en sortir.
- Des boulots qui payent mieux ? Avec tout le bois qu'on a coupé, on va pouvoir se faire une tonne d'argent à la boutique ! Tu oublies que nous sommes sur les terres adaarionnes, et que...
- ... Ici, le bois se vend à prix d'or parce qu'il y en a peu, termina Omenassai. Je sais mais avec tes compétences, tu pourrais sûrement...
- Hiljaisuus ! Nous sommes bûcherons, et nous resterons bûcherons. Cette affaire est close. Maintenant, avance.
Le jeune coupeur de bois fulminait. Parce qu'il était persuadé d'avoir raison. Aussi parce qu'il savait très bien que ce genre de situations lui étaient familières : il parlait ou agissait trop vite, manquant de tact, et se retrouvait empêtré jusqu'au cou dans les ennuis, sans parvenir à s'en sortir. Pourtant, il faisait tout pour bien faire...
Les deux hommes marchèrent un moment, deux silhouettes dans le crépuscule, avant d'atteindre la ville de Golvandaar. Ils passèrent les portes de la cité. Les passants les observait d'un oeil ébahi. Les bûcherons étaient rares dans cette région, autant que les arbres qu'il y avait à couper. C'était un peu une marque d'honneur - parmi le peuple, en tout cas - d'exercer ce métier.
Toutefois, tandis qu'ils reposaient délicatement l'immense rondin de bois dans le hangar familiale, Omenassai ne pensa qu'une seule chose.


Il ne voulait pas finir comme son père.


Derniers moments de joie

- La joie ? C'est quoi ?
- C'est vous, nous, toi et moi.
Omenassai

Le soir, dans une taverne...

- Alors, comment s'est passée la journée pour vous deux ?
- C'était génial Papa ! On a réussi à récupérer assez d'argent pour tenir pendant une semaine ! Une trentaine de clients sont venus au magasin aujourd'hui, s'exclama Rekviir, une nouvelle gorgée de bière coulant dans sa gorge la seconde d'après.
Son frère aîné, Albrian confirma d'un grand cri, qui se propagea dans toute la salle, comme si tout le monde, même les inconnus, approuvait.
- Je n'ai pas arrêté de tailler des planches de toutes la journée ! Un vrai miracle !
Omenassai observa ses deux frères avec un air gêné. Sa pauvre choppe se retrouvait étroitement serrée entre ses doigts. Est-ce qu'il devait leur annoncer qu'il comptait ne pas suivre le troupeau, briser une tradition de famille qui se passait depuis des années - en gros, qu'il comptait ne pas devenir bûcheron ? Pour une fois - cas unique - Omenassai réfléchit. Non, mieux valait ne rien dire. Soit sa famille en serait effondrée, soit elle le haïrait. Dans les deux cas, ce n'était pas bon pour lui.
- Rekviir, Albrian, vous savez ce qu'à fait Omenassai cet après-midi ?
Le sang du concerné ne fit qu'un tour. Evidemment, si son père déclarait haut et fort qu'il "avait honte de son métier", ce ne serait plus un secret pour personne ! Une solution ! Il lui fallait une solution au plus vite ! Comme à son habitude, Omé' agit sans réfléchir :
- Hé ! Vous voulez qu'on célèbre nos ventes incroyables ce soir ? C'est moi qui paye !
L'idée était bonne, si on mettait de côté le fait qu'il ressortirait de la taverne sans un sou en poche. Le père et les deux frères d'Omenassai le regardèrent comme un seul homme, de toute évidence avides d'alcool.
- Frérot, tu es l'homme le plus généreux et le plus bon de toute cette contrée, dit Albrian d'un ton solennel.
- Arrête, c'est normal ! Vous avez travaillé comme des dingues !
Cela ne dérangeait pas tellement Omenassai de dépenser toutes ces économies. Sa générosité était assez connu en ville, et après tout, Rekviir et Albrian méritait vraiment une petite soirée de beuverie.

- Eh bien ! Serveur ! appela le père des 3 hommes, Amenez-nous 4 chopes pleines de votre meilleure bière ! Ce soir, c'est la fête !


Fin d'histoire ; début de vie

Chaque chose a un début, chaque chose a une fin. Certaines choses commencent par la fin.
Omenassai

Quelques heures plus tard...

- Hé Omé' ! Hic ! C'est normal que... hips ! La lune soit si proche ?
- Non Al'... Mais je suis sûr que ça ira mieux demain, hein !
Omenassai soutenait, non sans difficultés, son frère aîné, qui était tellement ivre qu'il avait fallu s'y reprendre à 4 fois avant qu'il parvienne à passer la porte de la taverne.
Voyant toute sa famille saoul après la petite fête qu'il avait lui-même organisée, Omenassai s'était senti obligé de raccompagner le moins "frais" de ses frangins. Le problème étant qu'il avait un peu bu lui aussi, et qu'il portait un homme de bientôt 30 ans, pesant près de 100 kilos de muscles. Autant dire qu'ils se trouvaient en équilibre précaire.
Mais un problème se présenta rapidement, se résumant en une seule phrase :
- Oulah... Burp ! Oh bah la bière veut pas rester dans mon ventre... Ha ha ha hic !
Omenassai devait ramener Albrian chez lui avant que ce dernier ne vide le contenu de son estomac sur les pavés. Le jeune homme chercha des yeux un chemin rapide jusqu'à chez eux. Il reconnut une ruelle qui serpentait jusqu'à une rue non loin de la maison. Il s'y précipita le plus rapidement possible - tout du moins, aussi rapidement qu'il le pouvait avec son frère sur le dos.
La sombre allée, lugubre à souhait et vide de vie, si ce n'est Omé' et son frère, n'inspirait pas vraiment les deux hommes - celui étant ivre y comprit.
- Dis-moi frérot... Hic ! Faudrait pas rester ici... Hips ! Trop longtemps, hein ? fit remarquer l'ivrogne en question.
- Ouais, je suis assez d'accord avec toi, approuva Omenassai.
Le bûcheron, encore moins rassuré maintenant que son frère avait fait sa constatation, pressa un peu le pas. Il se surprit à compter les virages qu'ils empruntaient.
"1 virage..."
"2 virages..."
Il crut entendre des bruits de pas tout près de lui. Il n'y prêta pas attention.
"3 virages... 4 virages..."
Son coeur battait trop fort dans sa poitrine. Sa vue commença à devenir trouble.
"5 virages... Là !"
Le bout du tunnel, la fin du chemin ! Une rue plus grande et plus passante se montrait à Omenassai, tout au bout de la ruelle. Il traîna son frère, prenant même le risque de le faire chuter sur les flaques croupies entre les pavés. Alors qu'une vingtaine de mètres le séparait de la rue, un poing surgit de derrière des caisses de bois. Un poing hostile, qui percuta de plein fouet le nez du jeune homme. Tombant à la renverse, il dut lâcher son frère qui commença à piquer une "petite" colère.
- Hééé ! Touchez pas mon frère ! cria Albrian, ses poings tentant vainement de toucher leurs agresseurs.
Omenassai était au sol, et la scène lui parut flou et passé au ralenti, juste pour lui, juste pour qu'il souffre. Un couteau. S'enfonçant lentement dans la poitrine d'Albrian comme dans du beurre. Puis la lame, rouge de sang, qui quittait la chair du pauvre homme. Et enfin, ce dernier qui s'effondrait, face contre terre.
- Paska ! jura un des deux inconnus, Je me suis sali.
- Celui-là était irrécupérable, grogna son compère en désignant le défunt frère d'Omenassai, Mais lui... Il vint s'accroupir devant le jeune homme, qui n'avait toujours pas réagi depuis que son frère avait cessé de respirer.
- Bonne constitution physique. Joli visage. Hmm... Un super esclave, à mon avis.

Ironie du sort, Omenassai avait commencé par porter son frère, et maintenant, c'est lui qui se faisait trimbaler. Les deux hommes le placèrent dans une caisse en bois. Le couvercle de la boîte reposée, le peu de lucidité qu'il restait à Omenassai lui permit de se promettre une chose : vivre pour son frère. Il aurait sûrement pu s'acharner, gigoter pour tenter de s'en sortir, de ne pas devenir un esclave. Non. C'était bien trop fatigant. Une simple promesse, voilà tout ce qu'il se sentait capable de faire. La promesse de vivre pour son frère. La promesse de devenir bûcheron.