Utilisateur:Ransom

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
BleedMC
Pseudo
Ransom


Âge IRL
15 ans





Description

Peau saine grâce à ces potions, mais ses mains sont très souvent parsemées de coupures

Compétences

  • Connaissance de la flore
  • Alchimie
  • Connaissances scientifiques : science appris " anatomie et chimie "
  • Minutie
  • Alphabétisation et calcul

Talents

[En construction]

Défauts

[En construction

Intérêts culturels et goûts

[En construction]

Amis déclarés

[En construction]

Ennemis déclarés

[En construction]

Histoire

Un soir, un enfant courant dans la rue il rentra dans une maison qui semblait être la sienne, il s'approcha d'un homme assis sur une chaise en osier et il dit :
«Bonjour père, je me demandais si vous pourriez me raconter une histoire ?»
«Viens t’asseoir, j'ai récemment emprunté un livre à la librairie de Guevrac, la libraire m'a dit que c'était l'histoire d'un homme venant d'ici, d'ailleurs elle vient tout juste d'être écrite elle vient de Esperia ! C'est pour cela que je l'ai pris, si tu veut je peut te le lire»
L'enfant s'approcha de son père, il le pris par la taille et le posa sur ses genoux, puis il commença à lui conter.

Quand j'étais jeune j'habitais avec mes parents à Guevrac, elle se situe au royaume central non loin de la capitale. Mon père lui, était précepteur il m'a beaucoup aidé dans mes études et ma mère elle, tenait une petite librairie qui marchait étonnamment bien. Et moi, de mon côté, j’étudiais beaucoup la médecine générale. A l’époque j'avais un rêve, celui d'ouvrir mon cabinet à la Capitale. Mes parents m’encourageaient beaucoup dans cette voie.
Malheureusement je me rendis compte que si je restait à Guevrac mes chances de devenir un grand médecin de grandiraient pas. A l'âge de mes 16 ans je me mis donc à créer mon itinéraire tout était prévu.
«Je remonterais dans le nord pour rejoindre Roskilde et par la suite atteindre Golvandaar, plus exactement au Monastère Adaarion. Ce sera ici que j’étudierais réellement la médecine.»
Jusqu’à mes 22 ans, je resta à Guevrac avec mes parents, puis un midi, je fis part à mes parents de mes plans à venir. Je leurs montrèrent l'itinéraire, je leurs parla de ce que j'avais entendu parler du Monastère Adaarion et de l'avenir que j'avais là bas. En premier lieu ma mère refusait, j'étais leur fils unique, elle ne voulait pas que je parte. Mon père lui avait aussi l'air de refuser mais au fond je sentais bien qu'il était d'accord. Dés que le repas fut terminé ma mère alla se coucher et mon père le demanda de le retrouver dehors. Je le rejoignais et il me dit :
«Ta mère aura du mal de se séparer de toi tu sais. Mais ne t’inquiète pas je veut de tout cœur que tu réussisse dans cette voie là et je lui parlerais; tu verras elle finira par comprendre. Dés quelle donnera son accord je mettrais tout en place pour que tu puisse rejoindre le Monastère Adaarion.»
Je le remercia d'un hochement de tête avec un sourire en lui disant :
«Merci, merci pour tout ce que tu fais pour moi»
Puis je repartis dans ma chambre pour aller me coucher.

L'enfant lui coupa la parole poliment.
«Excuse moi mais j'ai très faim»
dit-il avec un petit sourire. Le père leva la tête et il regarda le soleil, il pris sont fils et l'enleva de ses genoux et il lui dit :
«Va mettre la table, je vais nous acheter à manger en plus aujourd'hui c'est le marché tu va te régaler !»
Ce qu'il fit de ce pas, son père lui, pris son sac et sa bourse et alla acheter ce dont il avait besoin.
De retour à la maison, le sac remplit de nourriture. Il déballa le tout sur la table et il dit :
«Exceptionnellement je suis aller voir le nouveau cuisinier qui vient de s'installer dans la rue voisine, il m'a dit que la cuisson était à point, tu m'en diras des nouvelles».
Puis ils se mirent à manger, et l'enfant demanda :
«Peut-tu me raconter la suite de ton histoire ?»
«Bien sûr, alors attends voir, où en étais-je ?»
L'homme repris le livre et feuilleta les pages jusqu’à retrouver où il s'était arrêté.
«Ah oui, c'est vrai ! Alors...»

Deux jours plus tard ma mère fut convaincue, très heureux de cette nouvelle je retrouva mon père pour lui demander si il avait trouvé quelque chose pour pouvoir voyager jusqu'au Monastère. Il me répondit :
«Et bien, dans quelques jours je vais aider un jeune à étudier puisque son père devait mener une cargaison marchande jusqu'à Nuratelon, tu pourras donc te séparer d'eux à partir du lac de la Ciefersee, ils m'a même garantit que si j'aiderais bien son fils il te donnerais un cheval pour rejoindre Roskilde et par la suite Golvandaar»
Fou de joie je le remercia et je retourna à la maison pour commencer à faire mon sac.
4 jours plus tard le jour tant attendu arriva, la cargaison était prête à partir. Mes parents étaient à la sortie de la ville pour me souhaiter bonne chance dans mon voyage. Je dis au revoir à mes parents et au moment de partir je me sentis mal, je voyais devant moi la ville où j'avais grandit disparaître petit à petit. Je leurs fis signe de la main pour leur dire un dernier adieu, au moment où je commençai à ne plus les voir je vis ma mère tomber en larmes dans les bras de mon père. Mais je repris confiance en moi en repensant à tout ce que j’allai apprendre au Monastère pour ensuite réaliser ce qui n'était au départ, qu'un rêve d'enfant.

Au bout de très longs jours de marche aux côtés des marchands, nous commencions à voir le lac de la Ciefersee. Un des marchands dit à un autre :
«Le Lac est étonnamment désert aujourd'hui d'habitude c'est un véritable marché !»
«Oui, tout cela ne me dit rien qui vaille, j'ai entendu dire qu'il y avait des voleurs ces temps-ci»
Rien qu'a entendre ces paroles j'en ai eu froid dans le dos. Alors que nous arrivions dans une route longée par de grands arbres épais. Pleins de voleurs sortirent des arbres en nous demandant de ne pas bouger. Puis ils demandèrent de gentiment leur donner la cargaison. Bien sûr le chef refusa catégoriquement, le voleur n'apprécia pas et il le...

L'homme s'arrêta brusquement et perplexe il réfléchissait à quelque chose. Puis son fils lui dit «Il le quoi ? Que lui fait-il ?» Il continua :

Alors, le voleur n'apprécia pas et il le fit prisonnier moi y compris. Un des leurs arriva vers moi et il me dit sur un ton imposant.
«Toi ! Que fait-tu ici ? Tu n'a pas l'air d'être un marchand, je me trompe ?»
«Non vous avez raison, je suis venu avec ce convoi pour rejoindre Golvandaar»
«Ah oui ? Et que voulait-tu faire à Golvandaar ?»
«Si je veut y aller c'est pour y étudier la médecine au Monastère»
«Tiens, tiens un médecin ! On va te garder on aurait besoin de toi dans un de nos campements» Puis ils m'attachèrent avec des codes sur un arbre. Pendant toute une journée ensoleillée en période de Thermidor et sans eau, j'attendis donc la nuit pour élaborer un plan de fuite. En quelques minutes je trouva quelque chose. Il y avait des chevaux à seulement quelques mètres de moi et si je parviens à me détacher je pourrais aller vers eux sans qu'ils me voient grâce à la nuit. Le problème c'est comment faire pour couper la corde sans couteau ? Puis je me rappela que j'avais quelques fioles contenant des préparations, j'en pris une sans trop de mal vu que ma sacoche était située à quelques centimètres de mes mains attachées. Je la cassa contre l'arbre et j'en récupère le plus gros morceau, et je commença à couper, ça me faisait très mal car je devait le tenir très fort et appuyer pour pouvoir faire en sorte que la corde cède. Et après 10 minutes je réussi enfin à me libérer, je me leva puis accroupis j’avançai jusqu'aux chevaux et je grimpas dessus puis je réussi à m'enfuir. Pendant plusieurs jours je continua mon périple je passa à Roskilde où je m'arrêta à une taverne puis je finis par arriver à Golvandaar.
Le jour de mon arrivée, j'étais surpris d'une chose : l'architecture de la ville, elle était principalement constituée de pierre il n'y avait pas beaucoup de verdure mais ça ne me dérangeait pas. Puis je le suis mis à chercher le Monastère. Finalement il n'était pas si difficile à trouver puisqu'il était en hauteur, je m'y rendis et je rencontra les moines et je leur expliqua ce que je venais faire ici. Ils étaient très sympathiques et ils furent tout de suite d'accord pour les rejoindre.
Pendant plusieurs années j'étudiais la médecine puis arrivé à mes 27 ans je quitta le Monastère pour rejoindre la Capitale. Et ouvrir mon cabinet. Le voyage se passa bien, le jour où je suis arrivé je sentis en moi un sentiment d'accomplissement j'avais enfin réalisé mon rêve. Un an plus tard je finissais par trouver l'argent nécessaire pour monter mon affaire et grâce à mes parents qui m'envoyaient régulièrement de l'argent tout cela se passa rapidement. En seulement quelques années je fut un des médecins les plus réputés de la Capitale je gagnais beaucoup d'argent ce qui me permettra de rembourser mes parents.