Utilisateur:Théophile
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Sommaire
Description
Théophile Pointrile est une jeune adulte Hura de condition modeste. il vit avec ses parents et ses 5 frères dans la maison familiale près d'un village reculé, en plein cœur de la campagne. Ses parents l'ont instruit très légèrement ce qu'il fait qu'il peut correctement lire mais écrit difficilement et dans un vocabulaire très limité. Son père est tailleur de pierre et a passé beaucoup de temps à apprendre ce métier à Théophile qui est sont fils ainé. Théophile est de taille moyenne mais avec un haut du corps trapu, il a les yeux marron, les cheveux marron court. En dehors de vêtements assez banals il porte toujours des gants et un outil en pierre sur lui.
Compétences
l'outillage, la sculpture, la minéralogie et la force
Talents
Il sait tailler la pierre et a beaucoup de force dans les bras. Il est d'un naturel patient, calme et déterminé
Défauts
Il est naïf sauf avec les étrangers pour qui il a toujours un peu de méfiance, il s’émerveille facilement, est peu instruit, parfois solitaire.
Intérêts culturels et goûts
Il apprécie tout particulièrement les fêtes. Il aime aussi le combat et adore y parier son argent, quand aux filles … ha les filles Théophile est fasciné par leur beauté et les respecte énormément, il lui arrive de courtiser mais il ne se sens pas près a s’engager, sait ton jamais, cela peut changer Son rêve est de devenir le meilleur tailleur de pierre et d’être connue dans le monde entier. Mais c’est un rêve ! Les matériaux qu’adore travaillé Théophile sont la brique et la pierre et il adore faire des outils.
Comme beaucoup de personnes Théophile n’aime pas la pluie et l’hiver il préfère le soleil et l’été même si le travail est plus dur durant cette période.
Théophile est d’ailleurs très sportif, il aime la sensation de se dépasser physiquement et il a toujours été partisan du moindre effort.
La paresse, il ne connait pas.
Les loisirs de Théophile sont bien sur la taille de pierre mais aussi le combat de rue avec des paris ou bien les jeux comme le tark 4 et le nam nam, la cuisine également même si il n’y connait presque rien à part ce que lui a enseigné sa mère, il reste un grand admirateur des cuisiniers professionnels et de leurs capacités à transformé des aliments basiques en mets délicieux.
Il est d'un naturel patient, calme et déterminé. Il croit en Arbitrio de par ses parents mais n'est pas vraiment pratiquant.
Il n'est d'ailleurs pas attiré par toutes les questions ou branches religieuses et a une vision très simpliste de la croyance
Amis déclarés
Ennemis déclarés
Histoire
CHAPITRE 1: LE VOYAGE
Un jour qu'il était en forêt il croisa un loup solitaire, ils échangèrent un regard pendant quelques minutes puis le loup découvrit ses crocs, la bête avait surement en tête de le manger. Lui n’avait qu’un couteau en pierre aiguisé pour se défendre et portait des vêtements épais qui le protégeait assez bien des griffures, mais il ne se faisait pas d’illusions : contre un loup affamé et assez désespéré pour s’attaquer seul à un homme, il n’avait aucune chance de s’en sortir sans de graves blessures. Il lui lança donc une côte de porc qu'il s'était gardé pour le soir. L’animal couru vers cette nourriture facile qui ne risquait pas du lui opposer une résistance et laissa un peu d'avance au jeune homme. Celui-ci se lança alors dans une course effrénée, il n’était pas habitué à courir et n’avait jamais développé ses capacités à la course. Il était bien plus lent que le loup et savait que celui-ci le retrouverait à l’odeur et le rattraperait en peu de temps. Certes il était endurant, mais pas assez rapide. Quand il tomba sur une espèce d’étang embourbé de boue et de végétaux il saisi l’occasion et se jeta dedans. Cela perturberait son odeur et du même coup obligerait le prédateur à ralentir sa course. Avec cette ruse, il réussi à rejoindre deux de ses frères qui étaient dans les environs juste à temps et leur nombre dissuada le loup de les attaquer. Il rebroussa chemin dépité. Tout content de cette victoire mais un peu sous le choc les trois frères décidèrent de rentrer chez eux.
Une semaine plus tard alors qu'il racontait encore cette histoire à la taverne pendant un combat organisé, il entendit une discussion à propos d'un esclavagiste qui payait une forte somme pour une mise en esclavage vers un pays lointains. La situation financière de la famille Pointrile était justement désastreuse à cause des impôts demandés et Théophile se pressa de glaner quelques informations supplémentaires en quête d’argent pour soutenir sa famille. Ensuite il observa la fin du match qui ne se termina pas par k.o. mais les trois jurés (un épicier, un chef-mineur et l’ancien lutteur devenu boucher) accordèrent la victoire à l’outsider, ce qui fit perdre une petite somme à Théophile. Il continua ensuite à prendre des bières autour d’une table en jouant aux cartes avec deux paysans. Sa patience et son impassibilité l’aidait beaucoup à gagner les manches tandis que les paysans un peu vieux râlaient et lâchaient des jurons sur la malchance et une façon de tricher qu'il prétendait avoir vu sans pouvoir vraiment la décrire, bref des mauvais perdants. Les sommes en jeu étaient en vérité assez ridicules car la période des moissons n'avait pas encore commencé. Les paysans se refusaient donc à miser des fortunes de peur de ne pouvoir rembourser leurs dettes. Il recommanda ensuite le commerce de son cousin ébéniste au gérant qui souhaitait rénover certains de ses meubles en bois.
De retour à la maison et après avoir longuement discuté avec son père il prit sa résolution. C’est à contre cœur que son père dû accepter cette décision. Sa formation de tailleur de pierre était déjà avancé, la somme qu'il pourrait tirer de sa mise en esclavage sortirait pendant un bon moment sa famille nombreuse de la misère et l'homme en question lui garantissait que les esclaves gagnaient assez rapidement leur liberté pour pouvoir gagner leur vie en tant qu’homme libre. Après avoir pris quelques engagements à propos de sa famille et fait jurer sur l'honneur que le marchand disait la vérité, il se prépara au départ vers cette contrée dont il ignorait même le nom…
Il prit de l’eau, des provisions quelques un des outils de son père et partie au lieu ou l’intermédiaire de la région employé par l’esclavagiste lui avait donné rendez-vous. Ses parents l’accompagnèrent pour récupérer l’argent promis. Une fois arrivé, l’intermédiaire, pressé donna l’agent au parent de Théophile. Eux tristes et au contraire peu pressé de voir partir leur fils échangèrent des pleurs et prirent l’agent sans grand plaisir.
L’intermédiaire demanda alors à Théophile de monter dans une roulotte, il obéit et eu la surprise de trouvée à l’intérieur une quinzaine d’autres esclaves. Ils en firent monter deux autres et partirent pour la Capitale. Théodore qui n’avait jamais voyagé était émerveillé par la beauté des paysages qu’il voyait tout le long du trajet. Il était assis près de l’ouverture de la bâche et son voisin se prétendait grand voyageur, il n’arrêtait pas de dire « c’était le seul moyens pour y aller hein ? Au-delà de la mer, un grand voyage… mais bien sur… le seul moyen, Haha ! L’esclavage c’est le prix à payer pour Esperia ! Aujourd’hui je suis le voyageur qui traverse l’étendue pour Esperia! »… Esperia, un drôle de nom qui raisonnait dans l’esprit de Théophile, mais la plupart des passagers ne faisaient pas attention à ce perturbateur et aucun ne semblait prêter l’oreille à ce mot… Esperia. Était-ce vraiment là bas qu’ils allaient ? Théophile ne savait que penser et préfèrerais se changer les idées en pensant à la sculpture ou en regardant les paysages. Il avait sur lui aussi un stock de caillou qu’il se mettait à sculpter de temps en temps. Théodore vue donc des lieux célèbres comme la cierfessee, de grandes montagnes et découvrit un peu le peuple des Aons lors des pauses du voyage. Aucuns des esclaves n’avait l’idée de s’échapper, ils savaient que les esclavagiste n’hésiterais pas à les châtier voir à reprendre leur argent s’il y avait une révolte. Et puis Théophile se tenant tranquille, il n’était jusqu’ici pas maltraité. Les marchands prenaient soins de la marchandise avant de la vendre. Enfin ils arrivèrent à la capitale, pendant le trajet menant aux quais il s’émerveillait à voir autant de gens et autant de grand bâtiment. Cette expérience de la grande ville fut une première pour beaucoup, tant de commerces et d’activités, parfois le calme de la forêt ou de la campagne manquait à Théophile. Puis ils arrivèrent au quai là les attendaient l’esclavagiste et une centaine d’autres esclaves. Tous étaient en train d’embarquer dans le bateau et se faisaient répertoriés par leur intermédiaire respectif. Quand se fut le tour de Théophile il déclina son identité et embarqua, il fut conduit a la cale sur une couche très sommaire avec tous les autres esclaves et ici commença son long périple jusqu’à sa vie nouvelle.
