Utilisateur:Vatari

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Vatarie
Pseudo
Webt
Prénom IRL
Théo
Âge IRL
14





Description

Vatari est originaire d'Haizeberoa, en Dione, né en 495 C'est un puissant jeune homme aux yeux bleus et aux cheveux blonds dont le corps a été forgé par la mine. Il est bienveillant, chaleureux, aimable et charitable, en revanche il peut être blessant (involontairement la plupart du temps), il est également orgueilleux et fier. Il est extrêmement attentif avec ses proches. (Amis, famille)

Toute la famille de Vatari (qui se résume a son père et sa mère) est morte en l'an 510 lors d'une épidémie d'une maladie inconnu. Vatari a une blessure au genou qu'il n'a jamais pu soigner. Celle-ci laisse une large cicatrice au niveau de sa rotule. Cette blessure l'empêche de maintenir une course plus de 10 minutes, et l'empêche aussi de s'appuyer trop lourdement sur son genou, malgré sa forme physique exemplaire.

Choix

Choix I : Ouvrier (Mineur)

Le métier d'Ouvrier, plus particulièrement de Mineur, à été transmis à Vatari par ses parents qui exerçaient eux aussi le métier.

Choix II : /

Choix III : Education (Alphabétisation + calculs)

Vatari étant fils unique, ses parents ont décidé de lui apprendre à écrire et à lire, afin qu'il puisse assurer l'héritage. Cependant, il écrit plutôt mal, lit de façon saccadé et compte avec ses doigts.

Choix IV : Connaissance (Minéralogie)

Vatari exerce le métier depuis qu'il est suffisamment costaud pour lever une pioche, et avec le temps il a acquit une certaine expérience en minéralogie bien qu'il n'égale par les Maîtres dans la matière.

Qualités

-Bienveillant

-Aimable

-Attentif

Défauts

-Blessant (Involontairement)

-Impatient

-Orgeuilleux


Historique

27/10/515 -> J'arrive en Esperia, vendu 30 eO à la famille d'Ocolide.

04/11/515 -> Je participe au mariage de la Souveraine Victoria et du Capitaine Maximilien

12/11/515 -> Maître Burg me libère de mes chaines, liberté !

Carnet d'adresses

Burg → Mon ancien Maître, je lui dois la vie et je lui rendrai la pareille un jour !


Devynnier Lorac → Un bon ami, vendu le même jour que moi. Un bon gars.

Utilisateur:Enric Valentí → Un Caroggian, amical et charitable. On a des projets futurs en commun, et on les réaliseras !

Extension:DynamicPageList (DPL), version 3.3.2: AVERTISSEMENT : Aucun résultat !

Utilisateur:Selena → Une jeune fille timide, renfermée sur elle même, mais agréable une fois la conversation lancée.

Histoire

Chapitre I :


Tout allait bien dans la vie de Vatari, 15 ans, fort jeune homme, prêt à assurer l'héritage de ses géniteurs. Sa ville natale, Haizeberoa, était plus calme que jamais, les nobles n'étaient pas trop hargneux. De plus, Vatari avait des amis sur qui compter, et pour tout être humain, c'est quelque chose de très important.

La petite famille vivait correctement, et il était prévu que Vatari prenne les rennes familiales d'ici 5 ans. Il fallait juste terminer son apprentissage des lettres et des Mathématiques, du moins le minimum : il fallait bien payer les taxes, lire les documents officiels, écrire aux Nobles si besoins. Ces parents lui vouaient une confiance sans faille, et ils étaient fiers de leurs progéniture. Vatari n'avait jamais été un enfant a problème, et il serait un parfait héritier. Heureusement d'ailleurs, car il était fils unique.

Malgré tout, un mal terrible s'abattit sur la paisible vie de Vatari. Lui, ses parents, et même ses plus proches amis furent tous cloués au lit par un terrible mal dont personne ne connaissait l'origine, ni même le nom. Les symptômes étaient divers : fièvre aigu, sueurs froides, vomissements, quintes de toux anormalement violentes... Comme si la mort planait au-dessus d'Haizeberoa.

Les parents de Vatari, vieux et faible n'étaient plus en état de se débattre contre ce mal invisible qui allait jusqu'à provoquer un désespoir si profond que leur santé mentale vacillait. Vatari décida d'ignorer la maladie bien que cela fut difficile et douloureux, mais il le fallait, et de sortir du logis pour contacter un médecin... qui demanda une somme exorbitante en échange d'une consultation et de soins. Malgré le coût, la question ne se posait pas pour Vatari : il était prêt à donner sa vie pour ses géniteurs, eux qui avaient tout fait pour lui. Vatari dû mettre toutes les économies de la famille pour payer ce médecin, ce qui promettait un avenir des plus noirs.

Après consultation, celui ci diagnostiqua une terrible maladie dont il voulait garder le nom secret. Peut-être était-ce un de ces médecins qui n'avouaient pas ne pas savoir quelque chose, peut-être était-ce un escroc. Cependant, il fallait tout tenter. Il promit une semaine de soins gratuits. Au bout d'une semaine le mal continuait, déjà quelques amis de Vatari qui n'avaient pas pu prendre des soins étaient morts, et ses parents, eux, étaient à l'article de la mort. Le médecin demanda une autre somme pour continuer les soins, et Vatari n'eut d'autres choix que de contracter un emprunt.

Plusieurs semaines après, une partie de la population d'Haizeberoa était décédé, la mort se respirait dans la ville dès qu'on sortait. Après un rude combat contre les griffes de la mort, Vatari réussit à s'en sortir... mais ce combat avait été vain pour ses parents. L'avenir était sombre, il ne savait pas s’il pourrait s'en sortir. Il avait gagné un combat, et il en avait perdu un, il fallait gagner le dernier, il serait un tournant définitif dans sa vie.

Chapitre II :


Dans la taverne, Vatari a désormais 20 ans

Il était là, dans cette taverne d'Haizeberoa, assis a cette table avec ses amis. L'ambiance était festive, la mort avait quitté le village. De joyeux larrons étaient en train de fêter un anniversaire. La taverne quant à elle, était charmante, le mobilier agréable, et surtout, l'Hydromel bon ! Cependant, dans un coin sombre de l'auberge régnait une toute autre ambiance. Vatari était déprimé, il ne s'était toujours pas remis de la mort de ses parents, et l'énorme poids de ses emprunts et des taxes qui ne cessaient de grossir l'écrasait. Et pour ne rien arranger, il noyait ses problèmes dans l'alcool, ce qui déjà ne servait à rien, mais noyait autre chose : l'argent qu'il gagnait pour rembourser ses dettes (car il s'était surendetter)

Vatari, qui tenait mal l'alcool, commença à faire beaucoup de bruit, de vacarme. Il commandait des amphores d'Hydromel, jusqu'à ne plus avoir un sou. Malgré les protestations de ses amis, il continuait de se saouler, lui qui tenait mal l'alcool. Finalement il fit tomber une choppe d'Hydromel, et en renversa sur un client de la table d'à côté, qui était fort bien vêtu : Tunique de soie, ornée de dorures en fils d'or, bottes renforcées en cuir, des bijoux qui devaient valoir à eux seuls dix fois la petite demeure de Vatari. Seulement, le cerveau ramolli par l'alcool, Vatari ne faisait pas attention à ces détails qui allaient jouer sa vie. Lui et le voisin de table souillé, commencèrent à hausser le ton, voisin de table le premier : "Sombre crétin, tu viens de salir mes vêtements neufs ! Ils coutent certainement plus cheres que ta petite demeure de larve que tu es ! - Comment tu oses me parler sur ce ton, ducon ! Tu vas tâter de mon poing, ça va te passer le goût de me parler comme ça !"

Les amis de Vatari, qui en avaient assez d'essayer de le raisonner voulaient le laisser se prendre une raclée histoire qu'il se calme. Seulement, ils identifièrent très vite son opposant : il s'agissait d'un des Nobles les plus influents de la ville ! Ils tentèrent de retenir Vatari, mais c'était déjà trop tard, Vatari avait complétement défigurer le Noble....

Tous les regards s'étaient tournés sur Vatari, qui était en train de se débattre. Tous étaient choqués : un ivrogne tapait sur un noble au pouvoir immense ! Le tavernier sauta sur l'occasion : il appela la garde, et aurait une récompense digne de ce nom pour avoir sauvé un noble de la mort ! Les gardes arrivèrent très vite, et Vatari fut emmené dans les geôles.

Chapitre III :


Vatari était dans cette sordide prison depuis maintenant une semaine. Pourquoi était-il là ? Il ne s'en souvenait que vaguement. Apparemment, sous le coup de l'alcool et de la colère il avait frappé, violemment, un des Nobles les plus importants d'Haizeberoa, et il s'était attirer de gros ennuis.

La prison était lubrique. La seule fenêtre était à 5 m de hauteur et Vatari n'avait aucun moyen d'y accéder pour sortir. Des rats cohabitaient avec lui, et il enviait ces créatures pour leurs libertés. En effet il prenait vaguement conscience de l'importance qu'avait cette liberté. Il était tard, il pouvait voir la lumière lunaire passer par la fenêtre.

Finalement, après une attente qui lui avait semblé interminable, un garde ouvrit la porte : "Amène-toi, vermine, ton jugement va être proclamé" Le garde attrapa Vatari par la nuque, et l'amena dans la grande salle de Justice.

La salle était imposante : énorme, d'immenses meubles de bois massif, et des administratifs inquiétants qui siégeaient devant lui. Le juge avait une face impartiale, un homme certainement incorruptible. Se trouvait également un greffier et le Noble que Vatari avait agressé. En le voyant, il eut un souvenir plutôt clair de ce qu'il s'était passer. Désormais, il le savait, il était coupable, et il allait être exécuté.

"Vatari Limuo, pour avoir défiguré un Noble de la ville, pour avoir un retard considérable dans le paiement de tes taxes, ainsi que dans le remboursement de tes dettes, nous proclamons cette sentence : tous tes biens sont vendus, et les profits qu'ils génèreront reviendrons intégralement à la ville qui se chargera te redistribuer l'argent de manière équitable. Egalement, tu perds ta Citoyenneté dans le Royaume Centrale, et tu seras vendu comme esclave à Fort-Lointaint. Ce jugement est définitif et sans appel, il prend vigueur dès maintenant"

Vatari avait beau plaider qu'il était ivre qu'il ne souvenait de rien, il fut vite bâillonner et attacher. Face à la cruauté de la vie, ne put s'empêcher de laisser couler ses larmes, tout en tentant de retenir ses sanglots. En quelques petites années, sa vie était détruite...

Il embarqua dans un bateau, et il savait que c'était un voyage sans retour. Il ne put même pas voir ses amis une dernière fois, ni même son petit foyer. Lorsqu'il réalisa qu'il n'avait pas pu déposer ses fleurs sur la tombe de ses parents, (qu'il avait payé une fortune), il eut comme un déchirement au coeur. Finalement, il ne put qu'observer les flots, et la lune qui se reflétait dessus. C'était la fin, il en était sûr.

Chapitre IV :

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