Utilisateur:Yoannorum

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
yoannorum
Pseudo
Yoannorum
Prénom IRL
Yoann
Âge IRL
16 ans





Description

Physique:
Yoannorum mesure 1m 70 et pèse 80kg. Il est bien bâti et a les yeux noirs ainsi que les cheveux bruns. Il est facilement reconnaissable car il a une balafre sur tout le flanc gauche.

Morale:
Yoannorum n'est pas une personne de confiance. Il fait tout dans son propre intérêt et n'hésitera pas à trahir des amis pour sa cause. C'est quelqu'un de malin et de cruel. C'est un manipulateur qui sait très bien comment pousser les gens à faire ce qu'il veut.

Origine:
Yoannorum vient d'une famille peu recommandable. Fils d'un gérant de la mafia locale (Alfonso) et d'une mère esclave, il a vécu toute sa vie d'escroqueries. Il est, tout comme son père, un disciple du Kaaosisme.

Compétences

Connaissance de la faune: Connaissance surtout de la faune aquatique lui avant été enseignée par un pirate au cours d'un de ses voyages en mer.

Navigation: Lui a été apprise par un capitaine durant son premier voyage en mer.

Survie: A force de vivre parmi les voleurs et les truands il a acquis un instinct de survie

Créativité: Il faut toujours trouver de nouvelles manières d'escroquer les victimes. Au fil des années la créativité se développe et les escroqueries deviennent toujours plus complexes et variées

Intérêts culturels et goûts

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Introduction:

Et bien me voilà en direction d’Esperia. Moi, moi qui ai si longtemps vendu des esclaves depuis Fort Lointain me voilà maintenant parmi des illettrés, des paysans ne savant ni l’art de la manipulation ni naviguer pour la plupart. Moi qui ai pendant si longtemps servi Guinnessa. Mais pour comprendre mon histoire il faut retourner à mon enfance…

Ma famille vient de Iona plus précisément du quartier de Nautvilat. Mon père, Alfonso, était un membre de la mafia local. Ma mère était une esclave qu’il avait choisie pour femme. Mon père me fit vite prendre des cours de rhétorique, de vol, de comptabilité et d’alchimie auprès de ses amis mafieux. Il était très croyant. Grand fervent du Kaaosisme il était sûr que quand le Chaos sera roi le bien ne sera plus récompensé mais que les plus grands fourbes, les bourreaux, les voleurs et les mafieux seront maîtres de ce monde.

À l’âge de 10 ans mon père m’apprit l’art de la manipulation. En contrepartie je devais m’occuper d’une partie de son trafic d’esclaves. Je faisais boire les esclavagistes, je les droguais avec du muctus et je leur faisais me vendre leurs “marchandises“ pour un écu. Puis j’en manipulais d’autres pour leur revendre des esclaves au prix de 20 écus chacun. Les affaires marchaient bien et j’aimais mon travail. Mais un jour mon père voulut arnaquer quelqu’un de bien plus cruel que lui, de bien plus influent, quelqu’un qui ne se contentait pas de manipuler mais qui était capable de tuer pour arriver à son but. Cette personne n’était ni plus ni moins que Guinnessa. Elle était venue avec des pirates et des mercenaires à Iona dans le but de faire des affaires avec mon père.

Ma carrière:


À son arrivée, mon père et elle s’enfermèrent dans un buro pour parler de la transaction. Après de longues heures de discussions elle sortit du buro, seule. J’attendais devant la porte et la regardait. Elle me sourit et me demanda qui j’étais et passant sa main dans mes cheveux. Je lui répondis : “Yoannorum fils d'Alfonso“. Elle me remit une lettre, une lettre de mon père. Dans celle-ci mon père m’expliquait que je devais partir pour Fort Lointain et que je devais à présent servir Guinnessa et ne jamais vouloir revenir à Iona.

Ne voulant pas décevoir mon père, je partis donc avec ma nouvelle maîtresse en direction d’un avenir qui ne pouvait qu’être plus sombre que celui que j’avais connu. Le voyage fut long. Pendant le voyage je ne devais m’occuper de rien. Je passais mes journées à faire les cent pas sur le pont du navire. Les bandits me racontaient leurs méthodes de pillage et moi je leur disais comment j’avais coutume d’escroquer les esclavagistes et je fut ainsi bientôt considéré comme l’un des leurs. Un des pirates m’appris à pêcher, tuer, vider et cuisiner les poissons. Un autre m’apprit à me battre et à faire des poisons. Le capitaine m’appris à naviguer en échange de poissons. J’étais la seule autre personne à savoir naviguer.

Ma soif de pouvoir n’était pourtant pas comblée. J’avais l’habitude d’être utile à mon père et je m’ennuyais du fait que je ne manipulais plus personne. Il fallait que je change cette situation. Je ne pouvais pas rester toute ma vie un simple pirate au service de Guinnessa. Je farcis donc une morue au mercure et la donna, comme chaque jour, au capitaine. J’ai répété cette action pendant une semaine. Le capitaine tomba bien vite malade et personne ne pouvait ni ne savait comment le sauver. À sa mort je fus désigné comme capitaine. Ma soif de pouvoir était à nouveau assouvie.

Nous arrivons après deux semaines de navigation à Fort Lointain. Guinnessa avait une confiance en moi, du moins c’est ce que je pensais. Je fus vite désigné pour l’un ses esclavagistes et j’étais envoyé dans la plupart des villes pour faire du trafic d’esclaves. J’étais connu sous le nom du malin à Andessa, Lauderfelt et bien d’autres régions grâce à ma ruse. Les gens n’osaient rien me refuser et les plus tenaces étaient torturés. J’étais convoqué aux conseils des esclavagistes et à la plus grande partie des réunions de brigands et de mafieux.

Mise en esclavage:


Un jour, à l’âge de 16 ans, un chef esclavagiste de Lauderfelt nous invita, moi Guinnessa et d’autres esclavagistes, à une grande fête. C’était une occasion de faire des affaires avec les plus grandes esclavagistes du continent. La fête était magnifique il y avait un grand banquet des femmes et du rhum. Que demander de plus ? J’avais déjà pu faire conclure plusieurs contrats quand Guinnessa vint me voir. Elle me demanda si je lui étais complètement dévoué. Je dis : “Oui“. Elle m’ordonna donc d’aller faire signer un contrat qui stipulait que la personne en question donnait tous ses esclaves à Guinnessa. L’homme était barbu et vêtu de noir. Il était seul assis près du bar et il avait un verre de cidre dans chaque main. Je m’approchais de lui et il me dit : “Et bien fils longtemps plus vu !“ J’étais si heureux et à la fois si triste de le revoir. Il avait tellement changé avec les années que je ne l’avais pas reconnu. Que devais-je faire ? Devais-je lui faire signer ce contrat ou bien lui dire ce que Guinnessa voulait que je fasse. Il me tendit un verre de cidre et nous nous miment à parler d’Iona, de ma vie et de ma mère. Mais il fallait que je lui dise ce qui se préparait. Ce que je fis. Après avoir entendu cela il me regarda d’un air triste. Il regarda Guinnessa qui était de l’autre côté du banquet et lui montra un pouce tourné vers le bas. Tout à coup deux gardes coururent vers moi et me mirent des menottes. Guinnessa arriva vers moi et me dit : “Cet homme que tu as devant tes yeux n’est pas ton père. C’est un simple marin auquel j’ai demandé de te parler et de te dire qu’il l’était. Et bien Yoannorum je pensais pouvoir te faire confiance. Mais bon, je vois que tu as encore l’espoir de revoir ton père et que tu n’es pas quelqu’un de confiance. Alors laisse-moi te dire qu’il est mort le jour oú nous sommes parti d’Iona. Je pourrais et devrais te tuer. Mais tu m’as tout de même bien servi toutes ces années et mort ta ville ne voudrais plus rien. Je t’envoie comme esclave à Esperia ! Au moins tu me rapporteras quelques écus.“

Je fus enfermé jusqu’à Fort Lointain. Les personnes qui autrefois me respecté me crachaient dessus et m’insultaient. L'un d'entre eux me fouetta à plusieurs reprises, j'en garde depuis cette balafre sur tout le flanc gauche. J’espère qu’elle s’en ira…

Je ne sais pas à quoi ressemble Esperia ni à quoi je dois m’attendre. Mais je sais déjà qu’il me faudra usé d’huile de coude pour acheter ma liberté et que je devrais faire le lèche-botte aux citoyens et aux nobles pour avoir quelques esper. La route jusqu’à Esperia est encore longue et la forte houle ne présage pas de beaux jours…