Iona

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Iona
Administration
Région Galdyr
Nation République Marchande de Caroggia
Gentilé Ionian, ionianne
Édifices
Démographie
Population totale 12 000

Iona est une île urbanisée et fortifiée située au large des côte de Galdyr. Après avoir été une des principales bases stratégiques de l’Empire qadjaride dans la période pré-impériale, l’île fut conquise par l’Empire Central en 54 et transformée en île fortifiée en 196 afin de servir de base à la Flotte Impériale contre les pirates ocolidiens et accueillit même une abbaye de l’Ordre phalangiste dotée de sa seule phalange navale au cours de l'Entreprise de Gastaphedes.
Avec le déclin de l’Empire Central et le désordre du Royaume Central, l’île d’Iona a perdu de sa superbe et a sombré.
Au cours du cinquième siècle, la République vellabriaise s’intéressa de plus en plus à la cité. En 427, elle parvint à y placer un caroggian comme gouverneur-amiral via un accord avec le Roi. La République marchande de Caroggia finit par racheter la ville au Royaume Central en 464.

Iona est aujourd'hui un important port de commerce et l'une des trois colonies caroggiannes avec Indubal et Uuroggia mais où la pègre règne, notamment sous l'influence du puissant garantier du commerce Quentyn Iertefroy. C'est une ville que les gens ne comprennent pas, ce qui fait que seuls les locaux comprennent ce qu'il s'y passe.

La ville

Quartiers

L'île est extrêmement sale et mal famée. Elle s'articule autour de la forteresse du Gouverneur-Amiral. Les quartiers de Nautvilat, de la Belle-Iona, de la caserne et de l'abbaye l'entourent. Ceci constitue la partie Nord de l'île, située sur des hauteurs et des falaises ne laissant presque aucun accès à la mer. Toute la partie sud est composé du port fortifié qui occupe toute la côte sans discontinuer et du gigantesque quartier pauvre de Marvalat partiellement situé sur une falaise à son extrémité nord-est..

Nautvilat

Le quartier de Nautvilat, lieu de vie des vieilles familles ioniannes, reste un bastion contre tout ce qui est caroggian. On y capitalin ou ionian et on y entretient l'illusion d'une importance au sein de l'île. Le quartier est tenu propre mais l'âge de ses bâtiments font que l'ambiance générale reste celle de la décrépitude.

Belle-Iona

Les colons caroggians vivent dans des bâtisses nouvellement bâtie sur les falaises du Nord de l'île, en contrebas de la forteresse du Gouverneur-Amiral, qui constituent le quartier de Belle-Iona (un bien mauvais nom car le Nord de l'île subit souvent le crachin apporté par les vents du Nord). Le quartier fut détruit par un incendie en 411 et ne connut une renaissance seulement en 473 par les caroggians fatigués de devoir vivre dans l’enceinte de la forteresse, les autres quartiers ou sur leurs navires. Les manoirs y sont grands et de style caroggian. Des mercenaires caroggians y maintiennent une bonne sécurité.

De plus, les égouts y sont larges et construits pour que les esclaves y circulent plutôt qu'en surface, ce que les mercenaires s'efforcent de faire mettre en pratique.

Abbaye d'Iona

L'abbaye locale, située à l'entrée du quartier de Nautvilat, est en piteux état malgré divers travaux récents. Fortifiée, l’abbaye fut conçue pour servir de second donjon à la ville avec la forteresse du gouverneur-amiral et présente de nombreux éléments architecturaux des châteaux huras. Il s’agit d’une grande bâtisse avec de nombreuses ailes et dépendances conçues pour accueillir un nombre bien plus importante de moine qu’elle n’en accueille aujourd’hui. De nombreuses pièces n’y ont plus de toit et sont laissées à l’abandon. En outre, elle possède de multiples petites tourelles de guet à ses étages supérieurs d’où l’on possède une vue magnifique sur le port. Certains moines excentriques y ont d’ailleurs à plusieurs reprises installés leur cellule.

Elle demeure importante et possède ses propres quais peu usité depuis l'échec de l'Entreprise de Gastaphedes et tout ce qui peut constituer un petit port privé. L'abbaye ne dispense plus depuis longtemps ses oeuvres de charité à l'exception d'une soupe populaire basique parfois transportée sur les quais d’Iona et des activités à très petite échelle de l’aumônier Miquel Campoma. Son abbus, une femme d'âge mûr du nom de Ann Ovlaggenau, est connue pour ses prises de position radicale et son refus de traiter avec les caroggians ou les chefs de la pègre.

Sous la direction d'Ann, de nombreux moines soupçonnés de préverienisme ont trouvé refuge à Iona, un mouroir où l'Ordre Phalangiste et la Phalange Pourpre sont bien heureux de les laisser pourrir. Cela ne les empêche pas de mener la vie parfois dure aux criminels lorsqu'ils le peuvent. Les monachistes sont très discret dans l’abbaye d’Iona et leur aumônier séjourne la plupart du temps dans le quartier de Marvalat.

Forteresse du Gouverneur-Amiral

La Forteresse du Gouverneur-Amiral (le nom royal est resté même si plus aucun gouverneur-amiral n'existe) est le siège des autorités coloniales de l'île. Il fut réaménagé à la mode caroggianne mais demeure une bâtisse froide et militaire. Tout le savoir-faire de décorateurs caroggians fut requis pour la rendre habitable mais le résultat en est aussi une demeure totalement surchargé de faux-murs en bois et tapisseries, ce qui lui donne un aspect de lupanar de luxe. Certaines mauvaises langues diront que l'occupante des lieux, la préteur général Sofia Prolvo, en est dés lors la digne résidente. La jeune femme possède en effet une réputation sulfureuse d'hédoniste et tout le palais empeste des drogues et encens sophistiqués qu'elle fait brûler dans toutes les pièces.

L'accès à la forteresse est extrêmement restreint, l'intendant de la maison Prolvo, Kelzio Lotta, y jouant les gardiens zélés.

Marvalat

Le quartier de Marvalat est composé pour l'essentiel de taudis laissant seulement quelques grands axes reliant les entrepôts, le port et les quartiers nord libres et vaguement propres. Les bâtiments sont entassés de façon anarchiques, laissant parfois des rues se transformer en souterrains et des toits se transformer en rues. On y trouve mille boutiques et bouges mal famés et la petite enclave du Clan du Rat.

Cette "ville" à plusieurs niveaux sur les différents plateaux qui mène aux hauteurs de la ville est un royaume de criminels, de débardeurs et d'ocolidiens clandestins et la pègre y fait la loi. On y trouve également toute une clique d'entremetteurs et de personnages sachant jouer de leur contact dans cette ville très ouverte sur le monde comme Guillem Moscaw, important lien entre République marchande de Caroggia et locaux jusque récemment. C'est le domaine où un individu du nom de Quentyn Iertefroy, pourtant garantier du commerce, maintient son pouvoir de façon aussi terrible que généreuse. Si les étrangers ignorent tout de lui, les locaux se disent qu'il possède suffisamment d'influence pour également faire plier les caroggians à son bon vouloir. Il n'hésite pas non plus à s'en prendre aux plus petits comme il s'en prit à la bande de Bill Moscaw en 510, détruisant sa bande un peu trop ambitieuse pour l'exemple, ou à celle d’Elfrom le Chauve en 507.

Au sein de Marvalat, le personnage de Miquel Campoma, l’aumônier d’Iona est devenue une figure bien connue du peuple. L’individu y organise souvent des actions charitables à destination des marins pauvres mais est surtout célèbre pour se laisser couramment emmener en taverne et y faire la fête avec le peuple, monachiste ou phalangiste. Amateur de rhum, il cause de fréquents scandale à cause de ses ivresses.

Port d’Iona

Le port d’Iona est un imposant réseau de quais maçonnés datant de l’Empire Central protégées par de puissantes jetées et articulés en bordure d’une large promenade. Autrefois vierge, la promenade du port qui court sous les remparts séparant le port de Marvalat a vu fleurir de plus ou moins grandes bâtisses aux rôles nombreux mais surtout de petites tavernes où l’on conclut des affaires sur le pouce. C’est dans ces lieux que traînent une large part des entremetteurs de la ville. On y trouve aussi parfois l’abbus Ann Ovlaggenau en train de prêcher et toute une clique d'individus plus ou moins originaux comme Léon du Port, une petite frappe connue pour son incompétence et qui s'est attiré la bienveillance moqueuse de toute la pègre ionianne.

On y trouve une grande bâtisse fort bien tenue: la capitainerie du port. Outre son rôle stratégique, elle sert de logement de fonction au capitaine du port et de ses aides. L’actuel capitaine est Galieno de Guevrac.

Politique locale

Iona constitue une colonie de la République marchande de Caroggia et en tant que telle est dirigée par une Préture coloniale. Cependant, ce pouvoir importé n’a jamais été efficace à Iona car les caroggians s’y sont moins conduits en colons qu’en propriétaires, à la différence d’Indubal. Les garantiers de commerce y ont toujours eu beaucoup plus de pouvoir auprès de l’autorité coloniale qu’ils n’en ont ailleurs. L’abbaye, fortement autonome par rapport à l’Ordre phalangiste, joue également un rôle puissant d’influence auprès de la population et a souvent été favorisée par la préture coloniale de fait de la corruption et de la criminalité rampante de la cité portuaire. La colonisation caroggianne a même profité à l’abbaye bien qu’elle demeure toujours l’ombre de ce qu’elle fut lors de son installation à Iona. La preuve de cette influence fut le cas de Sixte d'Albonde, un moine phalangiste d’origine phalangiste devenu préteur à l’intérieur et ayant laissé une forte marque. Ceci explique aussi qu’une personnalité aussi radicale et agressive envers la pègre qu’Ann Ovlaggenau est encore vivante à ce jour.

Aujourd’hui, nul ne sait vraiment qui dirige Iona. Les Prolvo, tout particulièrement Sofia Prolvo, qui maintiennent leur emprise sur la préture générale d’Iona ont un pouvoir assez obscur. De même, Ann Ovlaggenau répand dans la ville des sermons toujours plus matamoresques envers la pègre mais ne semble pas avoir de prise réelle sur la gestion de la ville. Cependant, pas un ionian n’ignore qui contrôle la pègre d’Iona: le garantier du commerce Quentyn Iertefroy. Et à Iona, qui contrôle la pègre contrôle la ville...

Pègre locale

Iona est une ville ravagée par un crime endémique et une misère rampante. Les petites bandes criminelles y prolifèrent comme la peste. Une criminalité contre laquelle les élites locales ont répondus par le retranchement dans les hauts quartiers du nord de l’île et le maintien de ces bandes dans le quartier de Marvalat et le port. Cependant, la pègre de la cité n’est pas aussi désordonnée que l’on pourrait le croire. Toute la racaille de la ville s’est plus ou moins soumise au contrôle et à la domination de Quentyn Iertefroy, le garantier de commerce local et à ses lieutenants comme le capitaine du port Galieno de Guevrac. C'est par exemple le cas du Clan du Rat.
Outre la criminalité locale, Iona constitue une plaque tournante de la contrebande ocolidienne et voit fréquemment des contrebandiers, mercenaires et receleurs ocolidiens faire escale en s'infiltrant ou sous une bannière respectable d’un marchand caroggian ou capitalin les employant. Ceux-ci demeurent cependant très peu appréciés dans la ville par une bonne partie de ses élites (celles qui ne trempent dans les affaires douteuses) et de sa population. Après tout, Iona fut fortifiée pour lutter contre ces mêmes ocolidiens.

  • La bande de Bill: dirigée par Bill Moscaw, cette petite bande ambitieuse était composée de gamins des rues ayant grandi ensemble avant de s’étendre en recrutant d’autres enfants des rues. Active de façon sérieuse à partir de 502 jusqu’en 510, la bande était connue pour servir de nettoyeurs. Leur haut fait fut un jour de se débarrasser d’un cadavre en jetant plusieurs de ses morceaux à divers endroits des falaises de Marvalat. Basée dans une petite taverne de la pointe sud de Marvalat, la bande fut détruite pour l’exemple après qu’elle fusse piégée dans un cambriolage de l’abbaye. Bill parvint à s’enfuir mais fut réduit en esclavage en 513.

Économie locale

Iona est une cité entièrement fondée sur le commerce naval et l’esclavagisme, constituant une plaque tournante dans les deux cas. On y trouve bien quelques pêcheurs et artisans mais les premiers ne sont pas capables de nourrir l'entièreté de la ville et les seconds se reposent sur des matériaux et produits importés.

La cité se situe sur la grande route commerciale reliant la région des Grands Fleuves, la Capitale et la colonie d’Uuroggia d’une part et Indubal et Caroggia d’autre part. En marge de cette route commerciale essentielle, on trouve également le commerce avec Cossaverdos sur la côte de Galdyr qui permet à Iona d’acquérir la nourriture sans laquelle elle mourrait de faim. Enfin, il existe un commerce, principalement de contrebande et de recel, très confidentiel et très illégal avec certains ocolidiens. Cette contrebande ocolidienne est extrêmement importante et la plupart des ionians ne sont plus choqués de son existence et cherchent même à en profiter autant que possible.

De par ce rôle commercial, la cité d’Iona voit une véritable foule d’individus prenant la profession d’entremetteurs, des personnages sociables disposant d’un bon - selon eux du moins - réseau de relations. De par la diversité de la société ionianne, il en existe de tous genre. Beaucoup se spécialisent dans certains commerces ou certains types de contact. Par exemple, on peut y trouver Guillem Moscaw, un entremetteur spécialisé dans les mises en relations de caroggians et de locaux.

Enfin, outre le commerce, Iona est un très haut lieu de l’économie noire. On peut y trouver virtuellement tout ce qui peut se trouver par la contrebande et le recel. Par ailleurs, on y trouve plus d’un faussaire de qualité en biens ou en écrits.

Marchés

  • La Marea: la marea est le nom général donné au commerce qui prend place sur la promenade du port. Il s’agit surtout du marché alimentaire de la ville mais on y trouve toute sorte de chose en fonction des navire de passage. Le Clan du Rat y organise parfois sa foire qadjaride.
  • La Cridada: principal marché au centre de Marvalat, la Cridada s’ouvre tous les vendredi, samedi et dimanche. C’est un marché d’artisans, de receleurs, de contrebandiers et de faussaires. Il a mauvaise réputation et les honnêtes gens préfèrent descendre au port pour profiter de la Marea et tenter leur chance auprès des commerçants de passage.

Commerces

  • Banque Lancatren: banque locale installée dans le quartier de la Belle-Iona et tenue par la préteur trésorier d’Iona, Gemma Lancatren. La banque est spécialisée dans les assurances et, outre ses activités bancaires, fournit des services juridiques pour la validation des contrats. Basée sur une politique de discrétion totale, elle dispose d’un relatif succès. Elle est très fréquentée par les entremetteurs.

Hôtellerie

Société locale

La société ionianne s’organise autour de trois pôles: les colons caroggians, les patriciens locaux et moines et l’Iona populaire.

Les colons vivent principalement au sein du quartier de la Belle-Iona. Vivant avec leur propre garde engagée (et importée), ils se mélangent peu et s’impliquent peu à Caroggia. Les colons ionians sont généralement des agents ou des membres secondaires de familles d’oligarques présents pour surveiller les escales des navires de leur famille ou conclure des affaires de passage. Peu de caroggians viennent vivre à Iona pour y élever leur famille ou vivre leurs vieux jours.

Les patriciens locaux vivent au sein du quartier de Nautvilat. Il s’agit des vieilles familles capitalines, d’anciens petits nobles et fonctionnaires et des ionians un peu aisés. Eux aussi vivent fortement reclus, descendant peu à Marvalat et se mélangeant peu aux colons caroggians. Ils possèdent de forts liens avec l’abbaye et sont généralement très croyants.

L’Iona populaire est quant à elle composée d’un vaste ensemble extrêmement cosmopolite, pauvre, mal éduqué et vivant constamment dans un environnement tenu par les criminels et la pègre locale. On y trouve notamment une importante part d'immigrés galdyris et caroggians, un petit nombre de clans qadjarides mineurs, des ribadans et même quelques rares réfugiés mésigues.


Culture locale

Iona n’est pas une cité cultivée. Il n’y a que peu de divertissement et les artistes sont presque absents de la ville à l'exception du Clan du Rat qui propose des services festifs plus ou moins malfamés. La ville est surtout rythmée par les fêtes arrosées de marins faisant escale là et des fêtes privées des bandes. Les patriciens locaux et les colons ont une petite vie mondaine mais celle-ci se résume.

Iona est surtout à l'affût constant d’escales de navire tenant des gens capable de la divertir et ceux-ci sont toujours très bien reçus par la population et les élites. Il existe même une entente au sein de la pègre de ne jamais toucher aux artistes et amuseurs de passage.

Monuments

  • Fronton de la capitainerie du port: la façade de la capitainerie du port est un petit bijou d’architecture impériale. Avec un rez-de-chaussée lourdement protégée par de solides portes et des murs abruptes, le premier étage est équipe d’un grand balcon doté de fortifications savamment conçues pour combiner esthétique et protection efficace. Les étages supérieurs sont dotés de multiples décorations, de colonnes intégrées à la façade et de gargouilles en forme d'hippocampes.
  • Tourelles de l’abbaye d’Iona: élément rare d’architecture hura, les tourelles sont surtout réputées pour la ville merveilleuse dont on peut y jouir.

Gastronomie locale

La cuisine ionianne est principalement basée sur le poisson et les produits importés de Cossaverdos. Les céréales y sont rares et la viande presque inconnue. Le poisson est l’aliment de base.

Boissons

  • Brinhol: liqueur fortement alcoolisée fabriquée à base de fruits galdyris et d’algues. La boisson est réputée saouler rapidement mais aussi de bien réchauffer le buveur. Elle est souvent utilisée pour faire flamber des préparations.

Plats

  • La bolhabaissa: soupe de poisson généralement consommée avec des croûtons de pain. C’est un des repas de base d’Iona.
  • La carassole: préparation de congre mijoté au Pyyrhec galdyri et aux légumes importés. Il s’agit d’un met de luxe pour les ionians.
  • Les redoladas: considérées comme des friandises destiné à ouvrir l’appétit ou à accompagner la consommation d’alcool avant un bon repas, les redoladas sont des roulades de diverses fines tranches de poisson cru et salé le tout ficelé avec des algues parfumées. Il en existe de nombreuses variantes. Si le met est populaire, beaucoup de vendeurs à la sauvette en préparant les préparent mal et bien des ionians souffrent d’infestations de ver à cause de redoladas avariées.

Autres produits

  • Algues parfumées: mélanges d’algues destiné à épicer ou agrémenter les plats.
  • Huile d’huître: huile préparée à partir d’huîtres, d’algues et autres mollusques. Réputé être un puissant aphrodisiaque, on lui prêtre aussi de guérir de l’impuissance, rendre les menstruations moins douloureuses et beaucoup d’autres choses. Un bon médicastre vous conseillera généralement de ne jamais consommer ce liquide visqueux.

Religion locale

Iona est historiquement une cité de religion phalangiste et possède une abbaye dirigée par l’abbus Ann Ovlaggenau. Cependant, la grande ouverture de la ville fait qu’on y trouve d’autres cultes. Le culte d’Arbitrio de rite monachiste y est fortement répandu et la cité dispose d’un aumônier (actuellement Miquel Campoma). On trouve aussi quelques rares libre-arbitrés au sein des quelques oliguarques locaux.

Établissements/institutions religieux

  • Abbaye d’Iona: voir sous-section “Abbaye d’Iona” de la section quartier.

Habitants

Esperiens originaires d'Iona

 


Anciens Esperiens originaires d'Iona


PNJ liés à Iona

PNJ résidents à Iona


PNJ originaires d'Iona


Trivia

  • Le nom "Iona" est un hommage à la série Summoner de Volition. A la différence de celle de notre univers, l'île Iona y abrite un gigantesque monastère de moine-magiciens.
  • Les noms "Nautvilat" et "Marvalat" sont très librement traduits de l'occitan: "Ville haute" et "Fossé de mer".