Utilisateur:Zeri
Zeri
Aptitudes
- Arbalètes (régulier)
- Armes d'hast courtes (régulier)
- Mains nues (amateur)
• 
Orfèvre
• 
Sminker
Description
Zeri ((ˈʒɛri) ou (seɾi)) est un jeune homme sorti depuis quelques années déjà des grandes métamorphoses de la puberté, quoiqu’il ne montre toujours pas le moindre signe de pilosité virile sur le visage, ses sourcils bien fournis (mais soignés) mis à part. Il ressemble, presqu’à la perfection, tatouages exclus, au Rais du clan Cirkla installé aux abords d’Esperia : un regard doux et chaste, quoiqu’affermi par les années de discipline, contraste étrangement d’entre les arêtes précises et définies de son visage. C’est le même nez qui scinde en deux parties quasi-égales la face quasi-commune des deux hommes.
Il entretient, alerte et délicat, une longue et épaisse chevelure, aussi sombre que le plumage d’un corbeau, avec des huiles et des onguents, qu’il noue souvent dans un chignon broché quand il ne les laisse pas sécher librement ou qu’il ne les tresse pas. Aussi, à la manière de ces belles gens des beaux quartiers acquises aux exotismes les plus fringants, sinon les plus futiles, il prend grand soin de se poudrer très méticuleusement le visage ; il donne en même temps, d’un trait de crayon sûr et expert, une forme féline à son regard cyan. Il lui arrive, en de grandes occasions, de magnifier ses lèvres.
En somme, Zeri a tous les traits d’un corps racé pour la parure, le défilé et l’attraction des corps et des coups d’œil : il n’en demeure pas moins, du haut de son mètre septante [70], marqué, musclé, par l’entraînement phalangiste qu’exige son statut de zvoniku. Ce n’est d’ailleurs pas sans considération pour celui-ci qu’il entretient avec autant d’assiduité ses qualités corporelles.
Histoire
En 523, suite à un appel de la part d'Arbitrio-Capiti auquel il répond positivement, Zeri quitte la Grande Huratelon pour rejoindre la Sublime : c’est la première fois de sa vie qu’il quitte le territoire hura.
Ablutions
Pain
Vieilles, la même histoire, et la même chanson
comme le pain au banquet de l'éternité.
Allons têtes vacantes,
les gorges coassantes
à l'heure des ablutions
— entrez vos thermes sales,
ô fort de la douleur, ô cité du délit !
Trivia
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Poème traduit de l'arabe par daretelayam, d'après le poème de Samīħ al-Qāsim.
