Utilisateur:Matalino : Différence entre versions
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*'''Dague :''' Inexistant | *'''Dague :''' Inexistant |
Version du 22 mai 2014 à 10:38
RolePlay :
Sommaire
Matalino, le Qadjaride
Description
Matalino Raab est un jeune Qadjaride avec un beau visage, des yeux marron-vert, les cheveux châtain foncé. Il n'est ni maigre ni musclé. Il a une corpulence "normale". Il mesure 1m71 et pèse 64Kg. Vivant dans le Sans-Fond ce n'est pas le plus propre des habitant loin de là... Il prend un bain par mois dans la mer à côté du Sans-Fond.
Tatouage
Matalino possède quatres tatouages, un à la nuque avec marqué le prénom de quelqu'un, Asawa. C'est le prénom de sa mère dont il était extrêmement proche, c'est un moyen de la sentir toujours à côté de lui, sans toutefois la voir. Le second est au bras droit, c'est un style tribal et assez typique de ce que porte des Qadjarides. Le troisième est au poignet droit, le symbole de La Flèche, signe qu'il fait parti et oeuvre pour cette famille. Le quatrième est au poignet gauche, du côté du cœur. C'est un corbeau au dessus d'arabesques, symbole de son ancien clan. Signe qu'il tient toujours à celui-ci malgré la distance et le fait qu'il ne souhaite plus les retrouver.
Description mentale
Bien que Matalino soit quelqu'un de gentil, attentionné et calme il peut lui arriver de s'énerver. Il n'a rien contre les Khâredjis en règle général, à part si ils montrent de la haine envers son peuple. Il n'aime pas que ceux-ci s'invitent chez lui, au sans-fond, comme si c'était chez eux. Mais si vous demandez l'autorisation alors il sera aimable. Sa relation avec une Khâredjis lui a permis d'apprendre des choses sur eux et d'être plus tolérant que ces phrals, à une certaine limite.
Compétences
Durant sa vie, Matalino à acquis des compétences, les voici énumérées :
Agilité : Sa petite taille lui confère une agilité surprenante. Mais dans son métier cela ne lui servira pas vraiment à quelque chose .
- Fichier:Flaure.png Connaissance de la flore : Savoir chaque nom de chaque plante, son utilité. C'est tous ce qu'aime apprendre Matalino.
Alchimie : Matalino est intelligent sans aucun doute, sa connaissance en Alchimie est impressionnante.
- Epée/Cimeterre : Normal
- Bouclier : Amateur
- Dague : Inexistant
- Hache/Hallebarde : Inexistant
- Arc : Inexistant
Talents
- Rusé. Il sait jouer de la parole pour influencer quelqu'un et n'hésite pas à s'en servir.
- Intelligent. Il est intelligent et à une assez bonne culture.
- Calme. Il ne s'énerve que très rarement et assez neutre dans son expression, il est très calme.
- Ouvert d'esprit. Même si cette qualité diminue au fur et à mesure du temps passé à Esperia.
- Fidèle. Matalino est un homme fidèle que ce soit avec les femmes ou les membres de son clan. Il sera toujours là pour eux. Il est très loyal.
Défauts
Matalino à beaucoup évolué et à perdu nombres de défauts mais en récolté d'autres :
- Arrogant. Très bon soignant, il aime se vanter de ses qualités de soignant notamment pour tout ce qui est du domaine de la psychologie. Ce qu'il soigne le mieux, ce sont les maux de l'esprit.
- Gourmand. Un vrai estomac sur pattes, il à tout le temps faim ce qui a le don d'agacer les cuisiniers du Sans-fond. Il faut toujours qu'il ai quelque chose à grignoter.
- Trop gros buveur. Matalino aime boire et parfois trop, il se jette sur l'alcool dès qu'il peut et ne se prive pas de tout boire trop rapidement. Il n'était pas comme ça avant Esperia. Il n'est pas alcoolique mais si il continue il va le devenir.
- Confiance aveugle. Il vout une confiance aveugle au personne qu'il apprécie. Les Qadjaride ne sont pas des problème mais les Khâredji pourrait en être si Matalino leur fait trop confiance.
- Têtu. Dès qu'il a une idée dans la tête, vous pouvez toujours vous accrocher pour le faire changer d'avis.
- Chauvinisme. Matalino fait preuve de chauvinisme, son peuple, sa culture et ce qui s'en suit, il en est très fier. Et quiconque insulte ces derniers, recevra les foudres de Matalino. Il n'a pas peur de montrer à tout le monde de quel peuple il vient et si ça ne plait pas, alors Matalino en viendra aux insultes voir aux mains. Vous n'avez jamais vu plus fier.
Intérêt culturels et goûts
Le culte Qadjaride est une chose très importante dans la vie de Matalino, il est extrêmement croyant.
- Il aime prier et être seul lorsqu'il le fait.
- Il aime boire et faire les diverses fêtes Qadjaride.
- Il aime parler avec ses phrals de leurs maux et résoudre les problèmes.
- Sa couleur préférée : le noir.
- Sa boisson préférée : le madyam.
- Sa plante préférée : le théier.
- Il déteste les Khâredjis qui méprisent son peuple.
- Il a peur des Khâredjis plus qu'il ne veut l'admettre.
- Il n'apprécie pas le mode de vie Sédentaire.
- Il déteste les formule de politesse (Messer, Ser, Mon Seigneur...)
L'avant Esperia
Sa vie au clan Raab
Le clan Raab est un clan Qadjaride nomade voyageant uniquement en Medeva. Matalino était très proche de chacun de ses membres. Des plus jeunes au plus âgés, il adorait converser et s'amuser avec eux. A la mort de Guro, le soignant du clan, Matalino prend sa place et à moins le temps pour lui de faire les choses qu'il aime. Son père était Rais et son Grand-père Telesmob. Les membres du clan l'appréciait beaucoup.
L'arbre généalogique de sa famille :
Sa relation avec Taskille
Matalino était amoureux d'une femme qu'il n'aurait jamais dû aimer, une magnifique femme, mais dépourvu de Souffle. Une Khâredji, fille d'un marchand d'esclave Caroggian. Une histoire secrète avec Taskille la très jolie jeune femme. Lorsque le père de Taskille, Hary, appris leurs relations il entra dans une colère noire et emmena Matalino à Fort Lointain.
Un souffle torturé
Mon seul crime est d'avoir aimé quelqu'un. Non, je n'avais pas le droit de l'aimé, car ce n'était qu'une Khâredji, une femme sans souffle, qui ne mérite pas de vivre au côté d'un Qadjaride. Ça, c'est ce que mon peuple voit, mais moi, je vois autre chose. J'ai vu en cette femme Caroggiane, un cœur d'or, prêt à aimer malgré nos différences de cultures. Une femme qui aurait tout fait pour me garder à ses côtés. Mais que voulez-vous faire face à un père qui hait mon peuple, qui voudrait tous nous voir mort. Que voulez-vous faire quand mon propre peuple, ne pourrait pas me comprendre. Qu'est-ce qui ma poussé à resté près d'elle malgré le danger ? L'amour tout simplement. Un amour si fort qu'on aurait pu mourir enlacé. Mon histoire est si peu banale pour un Qadjaride, que j'ai honte d'en parler. Qui peut me comprendre ? A Esperia, seule Eugenouria le pouvait. Je n'ai jamais cessé de penser à cette Caroggiane, cette femme que j'aimais tant. Personne ici ne pourrait la remplacer, j'ai besoin d'elle, je me sens seul, je me sens différent de mes phrals, je suis le seul qui ait des vrais sentiments pour une Khâredjis. Elle ne sort pas de ma tête et il ne passe une journée sans qu'elle hante mon souffle. Ai-je ma place parmi mes phrals, ai-je le courage d'aimer quelqu'un d'autre ? Une Qadjaride. Pourquoi ne me blâme-t-il pas ? Pourquoi il semble prendre bien, le fait que j'ai aimé une Khâredji alors que mon père m'aurait marqué au fer rouge ? Un H gravé sur ma paume, voilà ce qu'il m'attend si mon père sait.
Taskille, toi qui doit m'attendre, car je sais que tu m'attends, sache que je continue à t'aimer, même là. Et si un jour nos chemins doivent se croiser à nouveau alors ce sera ici et nul part ailleurs. Je finirai mes jours en Esperia, quoi qu'il arrive. Si tu dois par malheur arrivé sur cette île maudite, sache que je ferai tout pour te protéger. Oui, une île maudite, c'est ce qu'est Esperia. Malheur et souffrance, voilà vraiment ce qu'attend ceux qui y mettent les pieds. Je n'ai jamais vu quelqu'un de heureux encore. Ils ont tous des choses qui les font souffrir, tous trahi un moment ou un autre.
Je souffre, il manque quelque chose, quelqu'un qui n'est pas là. J'aurai préféré mourir que d'arriver là, au moins mon souffle ne serait pas torturé par des maux qu'aucun remède ne peut soigner. J'ai besoin d'aide, mais ça, personnes ne le voit.
Esperia
Son arrivée
Le bateau bougeait au grès des vagues. Tantôt agité, tantôt calme. Les chaînes autour de mes poignets et de mes chevilles me serraient et me faisaient mal. J'avais mal, j'étais silencieux et affaibli portant encore les marques de mon tabassage. Je pensais, à ma famille... à mon amour. Je me demandais si j'allais m'en sortir vivant. J'avais froid et faim. Il faisait humide et sombre dans la cale de ce tout petit bateau. J’étais là fixant les rats qui rongeaient la coque de noix qui servait de transporteur entre le continent et... et quoi d'ailleurs ? Je ne savais pas ou j'allais. Une légère entaille entre les bois du navire me laissait le luxe de voir encore le monde extérieur. Tout est de ma faute. Tout ça à cause de l'amour que j'ai porté à une khâredji. Elle aurait été ma femme si ma culture n'avait rien contre ça. Aujourd'hui elle n'est plus qu'un souvenir. Un très lointain souvenir.
Alors que je jetais un œil dans le trou qui me permettait encore de croire à la liberté, je la voyais enfin. La terre, des bâtiments se dressant a l'horizon. La fin de mon voyage ? Oui, et, je dois l'avouer, j'avais peur, peur de ce qui allait m'arriver. Moi le Qadjaride qui se ventait de ne pas avoir peur d'aller en forêt seul le soir, avait peur d'une forêt de pierre et de pavé. Plus le bateau approchait, plus je tremblais, et de froid, et de peur. Le bruit de la ville de rapprochait, celui des vagues diminuait et il était l'heure. L'on s'arrêta. Une femme entra dans la cale et nous devions sortir. J'avais du mal à avancer, tétanisé par la peur. Finalement je posa le pied sur le pont du bateau, aveuglé par la lumière, je mis mes mains devant mon visage. Et je les entendis à nouveaux, ces chaînes qui m'empêchaient d'être un homme libre, un Qadjaride.
"Voilà les esclaves", "Qu'est-ce qui nous apporte cette semaine ?". Je vis les gens me regarder. Pris de peur je ne pouvais bouger, écoutant ce que les Khâredjis disaient. Et parmi tout ces mots, j'entendis un homme demander "Il y a des Qadjarides cette semaine ?". Je le chercha du regard, cet accent n'était pas celui d'un khâredji, c'était un Qadjaride. Je le trouva et le fixa durant plusieurs minutes, ne pouvant pas détacher mon regard. L'esclavagiste se retourna devant la tripoté d'esclaves et ordonna « Si il y'a des Qadjarides, qu'ils se manifestent ». Un homme s'avança, mais moi, j'étais incapable de bouger, apeuré et hébété, je regardais le même homme depuis un moment. Je n'entendais alors plus ce que les gens autour de moi disaient. Encore une fois, l'esclavagiste se tourna et redemanda « Y'a encore des Qadjarides ? ». Je ne voyais plus que cet homme, vêtu de noir, n'entendais plus que la femme esclavagiste. Je ne réagissais pas. Ma tête m'ordonnait de me manifester mais mon corps en était incapable. Et après trente seconde qui me paraissait une éternité, alors que les Qadjarides allaient partir avec leur esclave, des mots sortirent de ma bouche, « Si, moi ! Je suis Qadjaride. » J'avançais alors vers l'homme et l'esclavagiste. Je les fixa, de peur et d'angoisse. « Ça fera 10 aussi pour lui ». Le Qadjaride habillé de noir donna alors 10 piécettes jaunes, troués au milieu, à l'esclavagiste. Celle-ci tourna les talons.
« Venez avec nous. » ordonna alors le Qadjaride. Je le suivis alors et nous passèrent dans les rues de cette cité que je ne connaissais pas, que je redoutais, elle et ses habitants. Mais... contre toute attente, il nous emmenèrent dans un endroit extérieur à la ville. Non loin des pierres moussues et des pavillons de la cité, se dessinait une plaine bombée, et jonchée de trous, l'on pouvait voir du bois, des poutres, du sable, de la boue et même de la pierre dans ces cavités. Et à côté de l'un de ses trous, se trouvait une entrée, des marches en pierre descendant jusque dans une gigantesque caverne. Après les escaliers nous tournâmes à droite, puis, une marche et encore à droite, des escaliers... toujours fait de pierres. Les pieds nus et la peur au ventre je montais ces marches. Et là, il fallait voir une plage de sable, et des murs de pierres se dresser, et, au dessus de nos tête, le ciel, à gauche, une forge, à droite encore des marches et devant, un endroit ou s’asseoir et une pièce taillée dans la roche. J'étais alors là, au côté de l'autre Qadjaride, au milieu de ce trou et j'attendais. L'homme en noir nous dit alors que l'on pouvait se mettre assit, et c'est ce que l'on fît. Je posa alors mes lourdes jambes contre le sable froid. La tête baissée, j'entendis, « Je suis Hafez, un Qadjaride de La Flèche, et ici, vous êtes libre. »
Merci les ancêtres, merci...
Possessions
- Dague : *En possession de Farsan*
- Cahier : Seul lui sait ce qu'il y a de marqué dans ce cahier. Il écrit ce qu'il ressent quand il en sent la nécessitée.
- Poussin en peluche : C'est la peluche que Matalino donnait à Zéphyr. Il la garde sur lui en permanence, pour ne pas l'oublier.
- Dé porte chance : Hafez lui a donné pendant le siège du Sans-Fond, ce dé, d’apparence normale, est très important pour lui. Il le protège lui et ses phrals il en est certain. Il le garde sur lui et ne prie jamais sans l'avoir dans sa main.
- Cimeterre de Jaleed : Matalino vient de le recevoir, il ne peut pas l'emmener en ville mais le garde précieusement.
- Radis : Un simple Radis que Matalino pourrait manger sans réfléchir. Mais non, il le garde précieusement...
L'Histoire en date
Avant Esperia :
29 Décembre 491 - Naissance de Matalino (appartient de Naissance au clan Raab)
1 Août 498 - Rencontre avec Taskille
29 Décembre 500 - Début de l'apprentissage au métier de Soignant
Janvier 504 - Matalino assiste à sa première amputation sur un membre de son clan
Février 504 - Premier passage à Indubal, Matalino va adoré cette ville et va y revenir très souvent
14 Juillet 507 - Retrouvailles avec Taskille qu'il n'avait pas vu depuis le 1 Août 498
9 Septembre 507 au 8 juin 513 - Relation "interdite" avec Taskille
2 Novembre 507 - Première relation charnelle entre les deux amants
1 Mai 510 - Mort du Soignant du clan Raab, Matalino prend sa place
9 Septembre 510 - Cadeau de Taskille à Matalino, une feuille de Théier, une feuille symbolique pour le couple
8 Juin 513 - Mise en esclavage de Matalino par le père de Taskille, Hari, c'est la dernière fois que Matalino vit sa compagne
A Esperia :
15 Juin 513 - Arrivée à Esperia et racheté par des Qadjarides
30 Juillet 513 - Intégration officieuse à la famille La Flèche
20 Octobre 513 - Intégration officielle à la Famille la Flèche
26 Octobre 513 - Matalino fait accoucher Eugenouria qui donne naissance à Zéphyr. Matalino se sent étrangement proche du bébé et il espère que celui-ci aura le souffle d'un vrai Qadjaride.
3 Novembre 513 - Mort de Zéphyr
3 Décembre 513 - Mort de Jaleed, Chabbod de La Flèche.
17 Décembre 513 - Matalino apprend la mort d'Hafez.
21 Février 514 - Matalino devient Chabbod de La Flèche.
11 Mars 514 - Farsan quitte Esperia, rejoindre Horphélia dans l'ancien monde.
15 Mars 514 - Mort de Shahryar