Utilisateur:Matalino : Différence entre versions
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Version du 27 mai 2015 à 15:17
RolePlay :
Matalino, LE Qadjaride
Description
Matalino est un jeune homme de 23 ans, son teint plutôt pâle ne rappel pas celui d'un Qadjaride. Il a les cheveux brun, épais et plutôt long, ses yeux sont fins et d'un marron clair. Son nez est fin et en forme de flèche, il a les mâchoires carrées et les oreilles légèrement décollées. Sur sa nuque, caché par ses cheveux devenue plus long que lorsqu'il quitta Esperia, un tatouage, un de ses quatre tatouages, en Qadjaride, le prénom de sa mère, Asawa. Sur l'épaule droite, un motif tribal, typique de ce que porte les Qadjarides. Enfin sur son son poignet gauche, le symbole du clan Raab et sur son poignet droit, le symbole du clan de La Flèche. Matalino, depuis son retour dans l'ancien monde porte désormais de nouveaux vêtements, toujours dans des tons noir et gris, à cela, il a ajouté un foulard qu'il accroche autour de sa taille, de couleur rouge et jaune. Les couleurs du clan Raab.
Tatouage
Matalino possède quatres tatouages, un à la nuque avec marqué le prénom de quelqu'un, Asawa. C'est le prénom de sa mère dont il était extrêmement proche, c'est un moyen de la sentir toujours à côté de lui, sans toutefois la voir. Le second est au bras droit, c'est un style tribal et assez typique de ce que porte des Qadjarides. Le troisième est au poignet droit, le symbole de La Flèche, signe qu'il fait parti et oeuvre pour cette famille. Le quatrième est au poignet gauche, du côté du cœur. C'est un corbeau au dessus d'arabesques, symbole de son ancien clan. Signe qu'il tient toujours à celui-ci malgré la distance et le fait qu'il ne souhaite plus les retrouver.
Description mentale
Il est d'un caractère plutôt calme et discret, ne cherchant pas forcément le conflit oral et écoute avant de prendre la parole, il a prit beaucoup plus d'assurance depuis Esperia et n'hésite pas à intervenir plus dans la vie du clan. Lorsque quelque chose l'énerve énormément, ce qui est rare, et qu'il souhaite intervenir, il change de comportement, et si l'on s'en prend à son peuple ou des personnes qui lui sont chère alors il peut perdre son sang froid et agir stupidement, dans ces cas là il est très difficile de le résonner car il est têtu et ne se laisse pas dire les choses. Il déteste avoir tort. Matalino est quelqu'un de très à l'écoute de ses phrals, et la peur des non-qadjaride qu'il ressentait en arrivant à Esperia s'est muée petit à petit en haine et lui qui d'habitude avait des facilités à converser avec eux, essaye désormais de les éviter. Très chauvin, il n'a pas peur de crier haut et fort qu'il est Qadjaride, quitte à avoir des ennuies.
Aptitudes
Escalade : Sa petite taille lui confère une agilité surprenante. Matalino depuis son plus jeune âge sait grimper et atteindre des endroits inaccessible pour d'autres personnes.
- Epée/Cimeterre : Normal
- Bouclier : Amateur
- Dague : Inexistant
- Hache/Hallebarde : Inexistant
- Arc : Inexistant
Talents
- Rusé. Il sait jouer de la parole pour influencer quelqu'un et n'hésite pas à s'en servir.
- Intelligent. Il est intelligent et à une assez bonne culture.
- Calme. Il ne s'énerve que très rarement et assez neutre dans son expression, il est très calme.
- Fidèle. Matalino est un homme fidèle que ce soit avec les femmes ou les membres de son clan. Il sera toujours là pour eux. Il est très loyal.
- Courageux. Son expérience en Esperia lui a prouver qu'il était capable de faire abstraction de la peur, désormais il se sert de cette peur comme énergie.
Défauts
Matalino à beaucoup évolué et à perdu nombres de défauts mais en récolté d'autres :
- Trop gros buveur. Matalino aime boire et parfois trop, il se jette sur l'alcool dès qu'il peut et ne se prive pas de tout boire trop rapidement. Il n'était pas comme ça avant Esperia. Il n'est pas alcoolique mais si il continue il va le devenir.
- Têtu. Dès qu'il a une idée dans la tête, vous pouvez toujours vous accrocher pour le faire changer d'avis.
- Chauvinisme. Matalino fait preuve de chauvinisme, son peuple, sa culture et ce qui s'en suit, il en est très fier. Et quiconque insulte ces derniers, recevra les foudres de Matalino. Il n'a pas peur de montrer à tout le monde de quel peuple il vient et si ça ne plaît pas, alors Matalino en viendra aux insultes voir aux mains. Vous n'avez jamais vu plus fier.
- Paresseux. Ne rien faire et prier est parfois ce qui plaît le plus à Matalino, lorsqu'il peut éviter de faire une tâche, il le fera.
- Curieux. Matalino à tendance à être curieux, même si ça doit le mettre en danger.
Intérêt culturels et goûts
Le culte Qadjaride est une chose très importante dans la vie de Matalino, il est extrêmement croyant.
- Il aime prier et être seul lorsqu'il le fait.
- Il aime boire et faire les diverses fêtes Qadjaride.
- Il aime parler avec ses phrals de leurs maux et résoudre les problèmes.
- Sa couleur préférée : le noir.
- Sa boisson préférée : le madyam.
- Sa plante préférée : le théier.
- Il déteste les Khâredjis qui méprisent son peuple.
- Il a peur des Khâredjis plus qu'il ne veut l'admettre.
- Il n'apprécie pas le mode de vie Sédentaire.
- Il déteste les formule de politesse (Messer, Ser, Mon Seigneur...)
L'avant Esperia
Sa vie au clan Raab
Le clan Raab est un clan Qadjaride nomade voyageant uniquement en Medeva. Matalino était très proche de chacun de ses membres. Des plus jeunes au plus âgés, il adorait converser et s'amuser avec eux. A la mort de Guro, le soignant du clan, Matalino prend sa place et à moins le temps pour lui de faire les choses qu'il aime. Son père était Rais et son Grand-père Telesmob. Les membres du clan l'appréciait beaucoup.
L'arbre généalogique de sa famille :
Sa relation avec Taskille
Matalino était amoureux d'une femme qu'il n'aurait jamais dû aimer, une magnifique femme, mais dépourvu de Souffle. Une Khâredji, fille d'un marchand d'esclave Caroggian. Une histoire secrète avec Taskille la très jolie jeune femme. Lorsque le père de Taskille, Hary, appris leurs relations il entra dans une colère noire et emmena Matalino à Fort Lointain.
Un souffle torturé
Mon seul crime est d'avoir aimé quelqu'un. Non, je n'avais pas le droit de l'aimé, car ce n'était qu'une Khâredji, une femme sans souffle, qui ne mérite pas de vivre au côté d'un Qadjaride. Ça, c'est ce que mon peuple voit, mais moi, je vois autre chose. J'ai vu en cette femme Caroggiane, un cœur d'or, prêt à aimer malgré nos différences de cultures. Une femme qui aurait tout fait pour me garder à ses côtés. Mais que voulez-vous faire face à un père qui hait mon peuple, qui voudrait tous nous voir mort. Que voulez-vous faire quand mon propre peuple, ne pourrait pas me comprendre. Qu'est-ce qui ma poussé à resté près d'elle malgré le danger ? L'amour tout simplement. Un amour si fort qu'on aurait pu mourir enlacé. Mon histoire est si peu banale pour un Qadjaride, que j'ai honte d'en parler. Qui peut me comprendre ? A Esperia, seule Eugenouria le pouvait. Je n'ai jamais cessé de penser à cette Caroggiane, cette femme que j'aimais tant. Personne ici ne pourrait la remplacer, j'ai besoin d'elle, je me sens seul, je me sens différent de mes phrals, je suis le seul qui ait des vrais sentiments pour une Khâredjis. Elle ne sort pas de ma tête et il ne passe une journée sans qu'elle hante mon souffle. Ai-je ma place parmi mes phrals, ai-je le courage d'aimer quelqu'un d'autre ? Une Qadjaride. Pourquoi ne me blâme-t-il pas ? Pourquoi il semble prendre bien, le fait que j'ai aimé une Khâredji alors que mon père m'aurait marqué au fer rouge ? Un H gravé sur ma paume, voilà ce qu'il m'attend si mon père sait.
Taskille, toi qui doit m'attendre, car je sais que tu m'attends, sache que je continue à t'aimer, même là. Et si un jour nos chemins doivent se croiser à nouveau alors ce sera ici et nul part ailleurs. Je finirai mes jours en Esperia, quoi qu'il arrive. Si tu dois par malheur arrivé sur cette île maudite, sache que je ferai tout pour te protéger. Oui, une île maudite, c'est ce qu'est Esperia. Malheur et souffrance, voilà vraiment ce qu'attend ceux qui y mettent les pieds. Je n'ai jamais vu quelqu'un de heureux encore. Ils ont tous des choses qui les font souffrir, tous trahi un moment ou un autre.
Je souffre, il manque quelque chose, quelqu'un qui n'est pas là. J'aurai préféré mourir que d'arriver là, au moins mon souffle ne serait pas torturé par des maux qu'aucun remède ne peut soigner. J'ai besoin d'aide, mais ça, personnes ne le voit.
Esperia
Son arrivée
Le bateau bougeait au grès des vagues. Tantôt agité, tantôt calme. Les chaînes autour de mes poignets et de mes chevilles me serraient et me faisaient mal. J'avais mal, j'étais silencieux et affaibli portant encore les marques de mon tabassage. Je pensais, à ma famille... à mon amour. Je me demandais si j'allais m'en sortir vivant. J'avais froid et faim. Il faisait humide et sombre dans la cale de ce tout petit bateau. J’étais là fixant les rats qui rongeaient la coque de noix qui servait de transporteur entre le continent et... et quoi d'ailleurs ? Je ne savais pas ou j'allais. Une légère entaille entre les bois du navire me laissait le luxe de voir encore le monde extérieur. Tout est de ma faute. Tout ça à cause de l'amour que j'ai porté à une khâredji. Elle aurait été ma femme si ma culture n'avait rien contre ça. Aujourd'hui elle n'est plus qu'un souvenir. Un très lointain souvenir.
Alors que je jetais un œil dans le trou qui me permettait encore de croire à la liberté, je la voyais enfin. La terre, des bâtiments se dressant a l'horizon. La fin de mon voyage ? Oui, et, je dois l'avouer, j'avais peur, peur de ce qui allait m'arriver. Moi le Qadjaride qui se ventait de ne pas avoir peur d'aller en forêt seul le soir, avait peur d'une forêt de pierre et de pavé. Plus le bateau approchait, plus je tremblais, et de froid, et de peur. Le bruit de la ville de rapprochait, celui des vagues diminuait et il était l'heure. L'on s'arrêta. Une femme entra dans la cale et nous devions sortir. J'avais du mal à avancer, tétanisé par la peur. Finalement je posa le pied sur le pont du bateau, aveuglé par la lumière, je mis mes mains devant mon visage. Et je les entendis à nouveaux, ces chaînes qui m'empêchaient d'être un homme libre, un Qadjaride.
"Voilà les esclaves", "Qu'est-ce qui nous apporte cette semaine ?". Je vis les gens me regarder. Pris de peur je ne pouvais bouger, écoutant ce que les Khâredjis disaient. Et parmi tout ces mots, j'entendis un homme demander "Il y a des Qadjarides cette semaine ?". Je le chercha du regard, cet accent n'était pas celui d'un khâredji, c'était un Qadjaride. Je le trouva et le fixa durant plusieurs minutes, ne pouvant pas détacher mon regard. L'esclavagiste se retourna devant la tripoté d'esclaves et ordonna « Si il y'a des Qadjarides, qu'ils se manifestent ». Un homme s'avança, mais moi, j'étais incapable de bouger, apeuré et hébété, je regardais le même homme depuis un moment. Je n'entendais alors plus ce que les gens autour de moi disaient. Encore une fois, l'esclavagiste se tourna et redemanda « Y'a encore des Qadjarides ? ». Je ne voyais plus que cet homme, vêtu de noir, n'entendais plus que la femme esclavagiste. Je ne réagissais pas. Ma tête m'ordonnait de me manifester mais mon corps en était incapable. Et après trente seconde qui me paraissait une éternité, alors que les Qadjarides allaient partir avec leur esclave, des mots sortirent de ma bouche, « Si, moi ! Je suis Qadjaride. » J'avançais alors vers l'homme et l'esclavagiste. Je les fixa, de peur et d'angoisse. « Ça fera 10 aussi pour lui ». Le Qadjaride habillé de noir donna alors 10 piécettes jaunes, troués au milieu, à l'esclavagiste. Celle-ci tourna les talons.
« Venez avec nous. » ordonna alors le Qadjaride. Je le suivis alors et nous passèrent dans les rues de cette cité que je ne connaissais pas, que je redoutais, elle et ses habitants. Mais... contre toute attente, il nous emmenèrent dans un endroit extérieur à la ville. Non loin des pierres moussues et des pavillons de la cité, se dessinait une plaine bombée, et jonchée de trous, l'on pouvait voir du bois, des poutres, du sable, de la boue et même de la pierre dans ces cavités. Et à côté de l'un de ses trous, se trouvait une entrée, des marches en pierre descendant jusque dans une gigantesque caverne. Après les escaliers nous tournâmes à droite, puis, une marche et encore à droite, des escaliers... toujours fait de pierres. Les pieds nus et la peur au ventre je montais ces marches. Et là, il fallait voir une plage de sable, et des murs de pierres se dresser, et, au dessus de nos tête, le ciel, à gauche, une forge, à droite encore des marches et devant, un endroit ou s’asseoir et une pièce taillée dans la roche. J'étais alors là, au côté de l'autre Qadjaride, au milieu de ce trou et j'attendais. L'homme en noir nous dit alors que l'on pouvait se mettre assit, et c'est ce que l'on fît. Je posa alors mes lourdes jambes contre le sable froid. La tête baissée, j'entendis, « Je suis Hafez, un Qadjaride de La Flèche, et ici, vous êtes libre. »
Merci les ancêtres, merci...
L'adaptation
Je ne savais pas trop comment réagir, tout est arrivé si vite, il y a encore deux semaines, je me trouvai avec ma famille, non loin d'Indubal. Et désormais me voilà, enchaîné à cette ville que je ne connais pas. Je n'ai ni repère, ni ami ici. J'ai peur, peur de ce que je vais trouver dans cette ville remplit de Khâredjis, je n'ai pas l'habitude de vivre avec eux et je ne sais pas de quoi ils sont capable. Je n'aurai jamais survécu une semaine sans les Qadjarides de La Flèche.
Ma seule obsession durant les premiers jours et les premières semaines étaient de retrouver des force et de repartir rejoindre ma famille. Pendant ce temps, je fît la connaissances des Qadjarides qui habitaient le Sans-Fond, en commençant par Shahab, le Rais, un Qadjaride plutôt froid et calme, raisonné, quand il est avec nous, un sentiment de nervosité et mêlé à un sentiment de rassurement. Il nous guide, quand il parle, tout le monde écoute et se tait. Bahadur, le Chabbod, un homme mystérieux et fier, moins raisonné que Shahab mais avec tout autant d'expérience, quelqu'un que j'ai très vite apprécié et regretté. Hafez, le Telesmdob, celui même qui est venue me chercher alors que j'étais terrifié sur le quai d'Esperia, un Qadjaride pur et dur, un homme bon et courageux. Et puis les autres que j'ai appris à connaitre, j'ai vite trouvé ma place au sein du clan, j'étais là pour les soigner. Et puis au fur et à mesure du temps, cloîtré dans le Sans-Fond, sans prendre contact avec les Khâredjis, je commence à faire partit du clan, j'aide et je me fais aidé, je conseille à mon tour, je rassure les nouveaux Qadjarides, je les accompagne comme La Flèche à pu faire pour moi.
Le temps passe et je me sens prêt à repartir chez moi, rejoindre mon clan. Seulement voilà, un soir, Bahadur voulait me parler, et je ne pensais pas que j'allais entendre ça de mon vivant...
Le dessein
[W.I.P]
Possessions
- Dague : *En possession de Farsan*
- Journal : Un journal qu'il garde à sa paillasse le plus souvent, un journal qui lui sert en cas de doute.
- Dé porte chance : Hafez lui a donné pendant le siège du Sans-Fond, ce dé, d’apparence normale, est très important pour lui. Il le protège lui et ses phrals il en est certain. Il le garde sur lui et ne prie jamais sans l'avoir dans sa main.
- Bâton de bois : Un bâton de bois qu'il a eu dès son arrivée sur Esperia, il l'avait perdu de vu avant de le retrouver. "Matalino" est gravé dessus.
- Dague : Une dague simple.
- Armure Qadjaride : Une armure qui était à un de ses phrals partit il y a longtemps. Elle lui va comme un gant.
- Bouclier en bois : En bois mais solide, le bouclier à de très nombreuses marques. Sur un des côtés du bouclier, des marques de crocs, il semble avoir été mangé par un animal.
- Cimeterre Qadjaride : Un cimeterre de très bonne qualité, orné d'arabesque Qadjaride.
- Manteau en fourrure Qadjaride : Un manteau très similaire au reste des manteaux des Qadjarides.
- Gants ouverts : Des mitaines courtes, confectionnées par Horphelia. Les gants sont usés et ils semblent avoir été très souvent recousu.
- Clé
- Tapisserie : Cette tapisserie représente les Qadjarides de La Flèche à leur apogée.
L'Histoire en date
Avant Esperia :
29 Décembre 491 - Naissance de Matalino (appartient de Naissance au clan Raab)
1 Août 498 - Rencontre avec Taskille
29 Décembre 500 - Début de l'apprentissage au métier de Soignant
Janvier 504 - Matalino assiste à sa première amputation sur un membre de son clan
Février 504 - Premier passage à Indubal, Matalino va adoré cette ville et va y revenir très souvent
14 Juillet 507 - Retrouvailles avec Taskille qu'il n'avait pas vu depuis le 1 Août 498
9 Septembre 507 au 8 juin 513 - Relation "interdite" avec Taskille
2 Novembre 507 - Première relation charnelle entre les deux amants
1 Mai 510 - Mort du Soignant du clan Raab, Matalino prend sa place
9 Septembre 510 - Cadeau de Taskille à Matalino, une feuille de Théier, une feuille symbolique pour le couple
8 Juin 513 - Mise en esclavage de Matalino par le père de Taskille, Hari, c'est la dernière fois que Matalino vit sa compagne
A Esperia :
15 Juin 513 - Arrivée à Esperia et racheté par des Qadjarides
30 Juillet 513 - Intégration officieuse à la famille La Flèche
20 Octobre 513 - Intégration officielle à la Famille la Flèche
26 Octobre 513 - Matalino fait accoucher Eugenouria qui donne naissance à Zéphyr. Matalino se sent étrangement proche du bébé et il espère que celui-ci aura le souffle d'un vrai Qadjaride.
3 Novembre 513 - Mort de Zéphyr
2 Décembre 513 - Matalino participe au Siège du Sans-Fond, il est prit au piège dans la taverne du chaudron.
3 Décembre 513 - Mort de Jaleed, Chabbod de La Flèche. Matalino fuit le Sans-Fond avec ses phrals et se réfugie dans la forêt profitant des incendies et du désordre.
8 Décembre 513 - Matalino rentre au Sans-Fond, après l'accord passé entre Bill et La Flèche.
17 Décembre 513 - Matalino apprend la mort d'Hafez.
21 Février 514 - Matalino devient Chabbod de La Flèche.
11 Mars 514 - Farsan quitte Esperia, rejoindre Horphélia dans l'ancien monde.
15 Mars 514 - Mort de Shahryar.
21 Mai 514 - Matalino quitte son rôle de Chabbod et devient Telesmbod.
Juillet 514 - Matalino quitte Esperia et retourne en Medeva.
14 Avril 515 - Retour de Matalino sur Esperia. Il apprend le même jour la mort d'Enockh.