Utilisateur:Diana zamora
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Diana Zamora
Je forge mes idées aux flammes de ma détermination.
Ma lame est la vérité, mon bouclier la raison.
Toi qui me regardes au loin, entravé par ta souffrance,
Soi sans crainte, tu peux pleurer sur mon épaule.
Rappelles toi que ton visage est de neige, le mien de cendres.
J’ai gagné l’expiation dans le contrôle.
Si vous ne faites pas l’effort d’apprendre l’histoire.
Vous vous destinez à la répéter.
Éloignez vos pas de l’avarice et de la gloire,
Ou par Arbitrio vous serez jugé.
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Portrait physique
Diana est une femme de grande taille, élancée et moyenne musclée. Elle possède de jolies formes sans pour autant capter tous les regards, juste mieux formée que la moyenne. Seule détail qui viendrait noircir le tableau : sa cicatrice.
Après un grave accident et malgré les soins méticuleux et rapide d’un grand médecin, Diana gardera une balafre marquée sur la joue gauche jusqu’à l’arcade. Faisant fuir de dégoût les moins indulgents, elle n’inspire pas vraiment la confiance au premier regard, pourtant souriante et sociable. Le tatouage présent sur son buste est comme un attrape regard : Désireuse de ne pas être représentée par son unique cicatrice, elle s’applique à bien travailler son image, quand elle n’est pas à la forge. Diana a également la grande habitude de masquer la partie rayée de son visage par des mèches de cheveux.
Les cheveux sombres aux reflets bruns et les yeux gris, Diana a également la peau un peu plus mate que la moyenne due à ses origines. Elle possède un visage ovale aux traits fins, sans caractéristiques originales. La demoiselle ne s’habille que rarement de robes et préfère les pantalons afin de pouvoir jongler entre travail et vie courante. Diana aime également les bijoux, portant avec elle des boucles d’oreilles en or plaqués offertes par sa grande sœur, seule richesse sur sa pauvre parure.
Portrait mental
Diana possède une caractéristique particulière, celle de s’adapter à ses interlocuteurs. Changeant de facette tel un miroir, la demoiselle agira différemment en fonction de ce qui se trouve en face d’elle, devenant tantôt plus timide, plus effrontée ou encore inexpressive.
Néanmoins, la carapace de la forgeronne est difficile à percer. Secrète quand il s’agit d’elle-même, elle comblera cette réserve par une attitude désinvolte et envahissante, allant facilement vers les autres avec le sourire. Elle préfère ainsi écouter les histoires plutôt que de les raconter, attentive à la moindre bride de conversation, au moindre ragot. Le savoir est la meilleure des armes, et son passé lui a permis de croire d’autant plus à ce dicton.
A l’extérieur donc, Diana semble travailleuse, n’hésitant pas à y aller à l’excès. Elle poussera le vice de l’effort toujours plus loin et bataillera pour ce qu’elle veut. Aux extrêmes, elle peut même paraître possessive et jalouse, ces vices étant vite ravalés derrière son masque de gentillesse quand ceux-ci s’échappent malencontreusement. Comme son passé, la demoiselle garde ses pensées enfouies.
Elle vous offrira toujours son sourire, mais prenez garde à ne pas confondre gentillesse et ignorance. Il se pourrait que vous soyez surprit.
Signes distinctifs :
• Les brulures : Sans doute la première chose que l’on remarque sur le corps de la demoiselle.
Diana voit la partie gauche de son visage altérée par un ancien passage de flammes. Ainsi, sa peau se voit recouvertes de striures sordides et répugnantes, la défigurant du menton à l’arcade. Les balafres se poursuivent et s’enfoncent dans sa chair de son épaule jusqu’au bout de ses doigts, coupant le haut de son corps en deux, un côté clair et un autre ravagé d’ombres.
• Le tatouage : Diana possède un tatouage formé d’un crâne de chien et de rosaces entre la
poitrine et le plexus. Plutôt imposant, il ne passe pas inaperçu quand ses vêtements le découvrent.
• La main gauche : Comme toute forgeronne, la demoiselle voit ses mains couvertes d’épais
gants en cuir. A l’inverse, Diana n’en porte qu’un seul, couvrant constamment sa main gauche. Elle ne le retire tout simplement jamais, qu’il neige, pleuve où que la température devienne insupportable, le conservant comme une partie d’elle-même.
Habitudes et manies.
∴ Diana a l’habitude de recouvrir la partie gauche de son visage de ses cheveux.
∴ La demoiselle semble éviter au maximum d’user de sa main gauche, la cachant également dans sa poche la plupart du temps.
∴ Diana s'humecte souvent les lèvres nerveusement ou se gratte la joue... particulièrement portée sur la gestuelle.
∴ La demoiselle ne parle jamais fort, se contentant de converser à voix basse et s'approchant toujours pour ne pas avoir à élever la voix.
∴ La forgeronne semble ne jamais rire aux éclats, se contentant de pouffer ou de rire discrètement, comme s’en empêchant.
∴ Diana triture souvent sa boucle d'oreille ou ses cheveux, se voyant obligée d'occuper ses mains pendant une conversation.
Capacités
Education
Diana ne semble avoir aucun mal à lire et à compter. Elle manipule aisément les chiffres et s’occupe avec attention des comptes de sa forge. La demoiselle va d’ailleurs plus loin, ayant fait naître une passion pour l’écriture depuis sa tendre enfance, remplissant des carnets entiers d’histoires fantasques, de poèmes et de morceaux de sa vie. Telle une porte de sortie, elle se sert de ce passe-temps pour enfouir ses pensées quelque part… cachant bien souvent ce don du regard des autres. Diana n’est pas poète… elle n’est que forgeronne. Enfin, c’est ce que l’on dit.
Forgeronne
La demoiselle passe le plus clair de son temps près des flammes et de l’enclume. Aussi ironique que cela puisse paraitre, la chaleur est sa maison. Le marteau, son gagne-pain. Diana n’hésitera jamais à faire passer la forge avant toute autre chose, ayant pour désir d’améliorer son art et de se faire valoir en Esperia. Elle est appliquée, minutieuse, et surtout courageuse. Pour elle, ceux qui ne travaillent pas ne méritent pas de manger. Ceux qui n le peuvent pas, doivent espérer le plus fort possible, jusqu’à ce qu’il puisse enfin se nourrir à la sueur de leur front.
Art de la gravure
Il est difficile de passer à côté du tatouage que porte la femme sur son plexus. Symbole de son amour les gravures et les tâches précises, Diana dessine quand elle ne forge pas, se baladant souvent avec une craie grasse ou un fusain dans sa poche et gribouillant sur le carnet de commande de sa forge en temps d’ennui. Tout ce qui est intéressant peut être un modèle et c’est dans son carnet de croquis que tout ceci se noie : Armes, paysages ou personnes sur qui son regard s’est posé.
Valya
- Taille : Pie de 56cm de long : grande.
- Robe : Plumage blanc et noir.
- Habitudes : Jacasse beaucoup, la voix perçante.
- Dressage : Ingvarr
- Obéissante : Se laisse approcher et peut grimper sur l’épaule de qui lui demande.
Relations.
Complices :
• Edgar : Je reconstruis enfin quelque chose.Complaisances :
• Silnoe : Ta lumière me guide.
• Aleksander : J’ai pu enfin choisir ma nouvelle famille.Connaissances :
• Ludvik : A la sueur de ton front, tu as gagné mon respect.
• Hans : Je garde la main tendue.
• Arcadio : J’ai peur qu’ils t’aient brisé les ailes.
• Adriano : Je sais que ce sourire est une façade.
• Nils : J’ai pu découvrir tes deux côtés… à regret.
• Driss : Il faut veiller sur les personnes comme toi.
• Présage : En espérant un futur prometteur.Équivoques :
• Docibilis : L’argent ne paye pas tout.
• Desrausiers : Tu as du sang sur les mains.
• Raphael : Il faut savoir voir plus loin que les chaines.
• Vacriliska : J’ai peur que tout ceci soit un mensonge.
• Manfred : La vieillesse ne pardonne pas tout.Pernicieux :
• Kirsten : Tu ne le mérite pas.
Ô toi, doux silence qui caresse mes tempes et virevolte avec le vent de la ville. Tu m’amènes les chants des oisillons qui tournent et se détournent de mes pas. Tu me murmures les paroles acerbes et acérées de ces inconnus qui pensent tout connaître de moi en une rencontre. Tu me chuchote les sifflements corrosifs de ces serpents qui se terrent sans jamais affronter la lumière du jour. Tu m’apportes les désirs malhonnêtes des vautours qui convoitent le peu que je possède.
Ô toi, doux silence qui nourrit mes lèvres scellées. J’écoute leurs complaintes sans jamais y déposer un avis, un regard ou un geste, par peur d’y laisser mon voile. Seules mes pensées se nourrissent de leurs mots. Je juge, je convoite et aiguise mon esprit sur leurs âmes errantes sans qu’ils ne s’en aperçoivent. J’y laisse une trace indélébile et discrète… peut être s’en rendront ils comptent. Ou peut-être leurs avis les pousseront à la cécité… j’attends leur appel.
Rediseuse, espionne, cherche compagnie.
Mais tout le monde se méfie de son langage d’esprit.
Personne ne se voit trompé par son costume,
Tantôt neige, charbon et plumes.
Elle offre d'avertir de tout ce qui se passe,
Sautant, allant de place en place.
Elle jacte, jase et babillarde à la cour,
Quitte à vexer les méchants caractères.
Tant mieux, on apprend aisément et toujours,
D’avantage, sur les grandes colères.
Elle repart donc, elle sautille et se pose.
Qu’importe si même le froid de nivôse l’ankylose.
Écouter est un rôle passionnant !
Images originales de la page ( de haut en bas) :
Pinterest (pas à jour)
Magdanela by 88grzes : http://88grzes.deviantart.com/art/Magdalena-314600567
Kat Vancil : https://fr.pinterest.com/pin/341569952970364314/
Poème de la pie inspiré par Jean de la Fontaine et Claude Monet.
Et quelques dessins de Diana sur ma page Deviant ! :
http://fantasystrage.deviantart.com/