Utilisateur:Djafar
RolePlay :
Sommaire
Description
Physique:
-Physique : Le qadjarides n'est pas un homme fort et grand comme la plupart de ces comparses. En effet Djafar est un homme de petite taille qui plus est assez mince. Son corps est couvert a 90% d'étranges tatouages. Ces tataouges sont des symbôles personnel que lui seul à la possibilité de déchiffrer.
Malgré son physique mince, Djafar possède une bonne constitution au niveau de sa santé, rarement malade, le qadjarides prend soin de sa santé et évite soigneusement toute sorte de conflit pouvant lui entraîné blessures ou autre mutilations.
Il possède une peau très légèrement bronzé du à son origine. Des cheveux blond très souvent en bataille. Des cernes creusées marques son regard du à son manque de sommeil. Etant assez soucieux de son image, son hygiène corporel est toujours impeccable, mais possède une odeur de noix constante sur lui.
Mental:
Djafar est un homme calme de nature. Très attentionné et obsédé par les moindres détails, il est très méticuleux sur les choses qui touche ou produit. Il ne cherche généralement pas le conflit et obéira au plus fort/doué sur un situation qu'il ne maîtrise pas pour éviter les problèmes mais cependant, quand il est sur de ce qu'il croit savoir/faire, il ne démordra jamais, même si son intégrité et son honneur doit en pâtir.Véritable timide envers les femmes au point d'être furieusement mal à l'aise, il préfère la compagnie des hommes mais n'est pas pour autant attiré par eux. Il garde conscience qu'il trouvera la femme de sa vie le jour où il vaincra sa timidité maladive envers la gente féminine. Heureusement avec le temps djafar a su maitriser un minimum cette phobie. Tant que la femme en question n'est pas d’attitude étrange ou nymphomane, il saura gardé la tête froide
Fichier:Ed192.jpgDjafar en présence d'une femmeQuand il se fixe un objectif, il se donne pour but d'y arrivé et seulement à 100%. Le problème c'est qu'il se considère comme nul si il n'arrive pas à ce fameux 100%. Son principal défaut est d'avoir de bonne idée et volonté, mais du à cette obsession perfectionniste, il se dévalorise très facilement et abandonne si tout ne lui convient comme il le souhaite.
Très sympathique, il aime être entouré et encore mieux si le sujet de la conversation porte sur lui que ce soit en bien ou en mal. Si il est en conflit avec quelqu'un, il se donnera l’énergie nécessaire pour mettre un terme (de façon passive) avec l'opposant. Telle est la pratique que font les Qadjarides avec La tente du Rais. Généralement, le ton est à la connerie et à l'amusement avec lui. Mais il sait resté d'un sérieux quand il est concentré sur un travail
Cependant son bon caractère cache une toute autre personnalité complètement opposé qu'il essaye de ne jamais solliciter. Par certain moment, Djafar peut être un véritable "sans coeur" quand il ne se contrôle pas. Quand il est dans son état secondaire, c'est un tout autre homme qui est en lui. Cette personnalité préfère la solitude la plus complète que d'être entouré. N'éprouve aucune pitié pour quoi que ce soit mais pas pour autant violent, quand il est dans cette état, il pourrait voir mourir sa famille sans éprouver le moindre sentiment, et même en trouver une certaine satisfaction. Cette mentalité aime tout ce qui touche à la mort et au sang. Quand il est comme ça, il vaut mieux pas venir le côtoyer, car il fera tout pour vous mettre à bout de nerf par tout les moyens possible et sera content si il y parvient.
Compétences Principal
Alphabétisation
Calcul
Art [Peinture]
Escalade
Musique [Harpe]
Compétences Secondaire
Tatoueur
Cartographe
L'histoire à même la peau
Disclamer : Tout le récit est disponibles sur Esperia sur un document que seul djafar possède actuellement, il s'agit de sa peau et des étranges tatouages. L'intégralité du récit est écrit en Daolite, un langage que seul Djafar connait car il en est le créateur
==Le commencement==
Mon existence commença dans le clan Dorian le 21 juin 492. Une troupe Qadjarides spécialisé dans l'art du spectacle de rue. Alors que je viens à peine sortir du ventre de ma mère, un destin unique me tendait les bras. Les yeux bleux, des cheveux jaunes et une peau blanche. Ce genre de couleur chez les qadjarides est pour ainsi dire...rare. En temps normal, les miens ont la peau & cheveux foncés avec des yeux marrons. Mon existence même est le premier signe que je serais unique et...seul.
Les seuls personnes m'acceptant pleinement furent Oviyan & Lochana, mes parents de chairs et de sang.
----
Très tôt dans ma vie j'ai compris que je serais souvent seul, les autres enfants qadjarides du clan ne se sentait pas à l'aise avec moi à cause de mon apparence. Je ne supportais pas bien la chaleur contrairement à eux pendant les jours chaud et ensoleillé. J'était seul dans ma tente à m'occupé comme je le pouvais. C'est à partir d'ici que j'ai commencé avoir un certain intérêt pour le dessin. J'ai commencé comme je pouvais, un doigt et le sol poussiéreux. Les jours où le temps était couvert ou froid, j'en profitait pour sortir et observer de nouvelle choses mais sans sortir du clan hélas. Heureusement que nous voyageâmes beaucoup, car j'ai toujours pu satisfaire ma soif de curiosité sur le monde qui m'entoure.
----
A mon 6eme anniversaire, j'ai enfin eu l'autorisation de sortir du clan pour voir l'autre monde, celui des Kharedjis, des étrangés. C'était une nouvelle expérience pour moi, je dévorais du regard absolument tout ce que je voyais puis j'ai vu ce qui fera de moi l'homme que je suis aujourd'hui. Une vitrine décoré de somptueuse peinture à l'huile d'artiste peintre. La vérité m'a littéralement explosé au visage, c'est ça que je voulais faire...Je voulais devenir peintre !
----
Mon choix de carrière n'a absolument pas fait l'unanimité au clan. Un peintre n'a aucun n'avenir dans un clan qadjarides. Heureusement mes parents conciliant, ont su leurs faire entendre raison et me laissé choisir la voie de l'art pictural que j'affection tant
==L'éveil==
Le clan m'appris un savoir qadjarides ancestrale qui s'était un peu perdu avec le temps dans le clan. A mon 8eme anniversaire, on me fit la surprise de m'apprendre l'art du Tatouage. Ce jour était si important pour moi. Durant une semaine entière je fus mobilisé auprès de Anjumaan, le doyen du clan qui m'appris alors via la parole toutes les connaissances et subtilités de cette art hors du commun qu'ils maîtrisa autre-fois. Il m'offrit un ensemble complet de tatoueur que le clan gardait comme relique pour ce souvenir que cet art est né des qadjaride. Il ne pouvait malheureusement pas me montrer les gestes techniques à cause d'une cécité partielle et de ses mains tremblante. On me laissa m’entraîner dans un premier temps sur des petits carré de peaux animal que le clan chassa avant de manger. Ne pouvant laissé la viande pourir pour juste m'entrainé, j'ai fini par travailler avec une grande rapidité et avec une très grande précision grâce au dessin et à la peinture. Il ne m'a pas fallu longtemps pour enfin accomplir mon premier tatouage sur un humain, moi même. Malheureusement, malgré mes entraînements, j'ai échoué cette première fois. Je n'avais pas nettoyer mes instruments avant leurs utilisations et le tatouage que j'avais réalisé était un véritable nid à infection. J'avais le choix, soit mourir, soit me faire couper le bras pour me soigner. Je refusais de voir mon tatouage se faire découper et j'ai donc gardé mon bras et choisis de me battre. Je n'ai pas été en capacité de faire quoi que ce soit durant 1 mois, la fièvre, la douleur et les vertiges ont été mon quotidien durant ce temps, personne ne croyait que j'allais survivre, mais je faisait confiance à notre marabout. Il avait toute sorte de remède pour soigner nos artistes blessés ou malades. J'ai fini par vaincre là maladie et jusqu’à ce jour, je suis tombe rarement malade. Mais j'ai appris la selon de je devais prendre soin de mes instruments, aujourd'hui, ce tatouage à grandit et est devenu ce que vous lisez actuellement, mon récit en Daolite.
Ma passion pour l'art gagna du terrain aussi bien sur ma personnalité que sur le clan. Je savais dessiner des personnages et quelques paysage simple . Mes parents eurent une idée brillante pour que je sois enfin utile au clan. Devenir le dessinateur du clan et m'occupé de réaliser les affiches pour les futurs représentation pour le clan. L'effet fut immédiat. Mon début de savoir faire fut très apprécier et permit au clan de doublé ses recettes grâces aux affiches dont j'était déjà très fier à ce moment. Mes bout de charbons se transforma en fusains et les restes de papyrus inutilisable en papier blanc de très grande taille.
----
Bien que le clan m'apprécia beaucoup plus, je n'étais toujours pas ouvert à eux et mes parents firent le lien entre eux et moi. Je profitais des journées de représentation pour courir en ville voir toutes les belles choses qui m'attendais, les forgerons, les horticulteurs, des petits commerce humble comme luxuriant mais surtout....les atelier de peintres. Je les observait reproduire la vie sur une toile blanche immaculé avec toutes leurs couleurs qui se mélangeant sur leurs palettes souillé de plusieurs semaine de mélanges de peinture séchés. Combien de fois je me suis fait réprimandé par le clan pour être revenu en retard pour les aider. Quand nous étions en campagne lors d'un déplacement, je m’entraînais bille en tête à obtenir le meilleur résultat juste avec mes fusains et mon papier pour m'approcher au mieux des peintres que je voyais pendant nos arrêts dans les différentes ville de l'ancien monde. Les années passèrent et mon talent pour le dessin était presque parfait, je pouvais reproduire aisément ce que je voyais et le reproduire sur un papier avec du fusain, puis avec de l'encre dans les meilleur jours. Mes affiches firent une publicité en or au clan pour les grosses représentation dans des villes très animés. Mon talent pour le dessin fini par intéressé un des peintre que j'observait comme à mon habitude pendant un arrêt dans une ville. Messer Vladimiro. Le fait de revenir le voir sans jamais lui parler lui mit la puce à l'oreille et j'en profita pour lui montré ce que savais faire. Il comprit que j'étais seul pour apprendre et il me fit un cadeau inestimable, il m'offrit un ensemble de peinture constitué de plusieurs pinceaux, de 5 couleurs et d'une palette. Le tout était un peu usée et la peinture bien entamé mais pour moi, c'était une relique. Il m'apprit durant une petite journée les bases théorique de la peinture et la manipulation des couleurs. Il savait qu'avec le niveau actuel que j'ai réussi à développé en dessin, je pouvais saisir les bases de la peintures seul avec de l’acharnement.
----
Je m’entraîna durant de long jour à saisir la combinaison des couleurs subtile des couleurs, et la manipulation complexe de la peinture à l'huile. Malheureusement je n'avais pas de toile pour m’entraîné réellement une fois ces bases comprises. J'ai du peindre de petit objet en bois que les autres qadjarides acceptèrent bien de me laissé. Leurs admirations envers moi augmenta avec le temps au même rythme que je transformais des objet moche en quelque chose de décoré simplement mais efficacement. La peinture à l'huile et le dessin au fusain sont totalement différent. L'huile est noble mais difficile contrairement au fusain qui est instinctif mais primaire. Quel déception quand j'ai vu quand le cadeau que ce peintre m'avait confié fut finalement épuisé à cause de mon entrainement acharné. J'ai du retourné à mon bon vieux fusain durant de longue semaines.
----
==L'ascension==
La maladie vaincu, le clan me fit reprendre mon travail en douceur. Je leurs proposa une idée qui ne purent refuser, la création en direct de peinture, simple mais exécuté avec brio. Ma proposition marcha et j'ai pu avoir enfin mes premieres peintures et mes première toiles contre un investissement assez conséquent de la part de mes confrères, mais j'ai pu lever leurs doutes en vendant mes toiles à un très bon prix durant les foires auquel le clan participait quand l'occasion se présentait, j'y était presque ! je devenais petit a petit un peintre accomplit, mes toiles faisait parlé d'elle auprès des artistes peintres locaux. Un peintre qadjaride sortit tout droit de nul part. A chacune des foires que je participais dans les villes de l'ancien monde, je finissais par découvrir au moins un nouveau peintre où je pouvais échangé librement avec eux des idées et des techniques, le monde de l'art et des peintres est totalement différent de ce que j'aurais pu imaginé. Ils ne pensent pas comme les autres personnes de leurs nations, ils pensent surtout avec l'art et l'ouverture d'esprit. La barrière des origines où de la langues tombe littéralement entre eux, ils se comprenne avec l'art et communique avec l'art, qu'elle que soit sa forme. C'est donc pour cela que on les considère comme fou ou en dehors de la société. Ils ne l'était pas tous malheureusement, mais les meilleurs d'entre que j'ai pu rencontré l'était. Au fur et a mesure de mes rencontres, mes compétences en peintures évoluait prodigieusement.
Relations
Amour
Amitié
Apprécier
Connaissances
Dépréciées
Disparus ou Morts
