Vente aux Enchères du Bal Masqué de Thermidor

Le 16 mars 513

Les Sculptures

Avoir d'autres Pierres à Fouetter

Avoir d'autres Pierres à Fouetter, par Ingvar Chauvin

Artiste : Ingvar Chauvin

Matériaux utilisés : Pierre brute

Dimensions : Taille réelle d'un chat

Instruments utilisés : Un burin et une dague en alliage d'or et de fer

Qualité du détail : Médiocre

Histoire :

L'inspiration vint à l'artiste, Ingvar Chauvin, lors d'une matinée d'ennui. Ingvar passait régulièrement devant chez Abisse et Mors, quand il vit leur chat miauler à travers la fenêtre. C'est là qu'Ingvar eut cette idée. Il commença alors à tailler un premier chat, il était en début de formation de pierre, et il a vite compris que sa sculpture ne menait à rien. Il réessaya plus tard une deuxième fois une fois qu'il avait approfondi ses connaissance dans la sculpture. Étant bien partit, il préféra la laisser en pause pendant un moment. Il l'a reprise il y a peu, et a pu la finir.
Au total, Ingvar a réalisé cette sculpture en trois semaines. Au début il s'y mettait quand il en avait le temps, quand il s'ennuyait... Mais lors de la troisième semaine, il s'y est mit de manière plus appliquée, et plus régulièrement voyant qu'elle prenait forme.

Le Chien et Ses Occupations

Le Chien et Ses Occupations, par Thorkel Lesor

Artiste : Thorkel Lesor

Matériaux utilisés : Planches de sapin

Dimensions : Taille réelle d'un chien

Instruments utilisés : Une dague en fer et un burin (au début de la sculpture uniquement)

Qualité du détail : Bonne

Histoire :

L'artiste, Thorkel Lesor, tire son inspiration de Draghnar le chasseur et son chien. Agile de ses mains, Thorkel n'a passé qu'une semaine dessus, en revanche il y travaillait beaucoup délaissant ses autres occupations.

Les Peintures

Nouvelle Vie

Artiste : Asfir de Medeva

Dimensions (en cubes) : 1 sur 1

Peinture : Vynile

Style : Imaginaire

Description :

Au premier regard que l'on jette sur le tableau, on distingue immédiatement trois principaux plans qui se reconnaissent grâce aux différentes couleurs et grâce à une perspective qui s'éloigne de plus en plus:

Le premier plan est celui qui nous captive de suite. On y contemple une magnifique verdure, des arbres fleuris, une plage éclairée par les rayons chauds du soleil et un ciel teinté d'un bleu brillant. Les couleurs y sont très vives et variées. Mais au centre de ce premier plan, au milieu de cette faune splendide, on observe une tâche; une tâche d'un noir sombre et mélancolique.

En continuant le long de la toile, on arrive au deuxième plan. Celui-ci se relie au premier par cette plage, qui mène ensuite notre regard vers une mer de nuages. Cette mer est d'une couleur blanche et aveuglante, qui, au fur et à mesure que l'on s'éloigne dans l'horizon, se grise et s'obscurcit.

On distingue enfin, au bout de cette mer, une autre parcelle de terre, une autre rive. Mais celle-ci est différente: Ses couleurs y sont grisées, sa faune y est sèche, ses arbres y sont morts, son ciel est dominé par une effrayante masse nuageuse et ses côtes sont formées par de lourdes roches imposantes. Mais au milieu de cette atmosphère sombre et ténébreuse, on remarque une lumière. Une unique lumière, teintée d'un mélange de blanc et de bleu, que l'on aperçois depuis l'autre rives jusque là où nous sommes.

Signification:

Cette oeuvre est la première peinture d'Asfir en Esperia. Sur celle-ci il représente les sentiments, les impressions et les émotions qu'il ressent dans le Nouveau Monde.

Tout d'abord, Asfir a peint le premier plan:
Ce plan represente cette nouvelle terre, pleine de beauté, de couleurs, de nouveautés et de joie. Tout y apparaît comme un jardin d'Eden, SAUF cette tâche. Cette tâche représente un sentiment qui empêche Asfir de s'immerger pleinement dans ce paradis: La Nostalgie. Cette tâche nous empêche de voir une partie de cette faune, comme la nostalgie empêche Asfir d'être épanoui.

Ensuite le deuxième plan:
Ce plan nous apparaît comme flou. Rien d'essentiel y est représenté. Celui-ci est enfaîte le voyage de l'Ancien Monde jusqu'à Esperia. Un voyage dans l'inconnu: Nul sait vers où l'on se dirige et nul sait dans quel but, mais au fur et à mesure que l'on s'approche de notre destination, les vieux souvenirs s'assombrissent sous la curiositée et l'impatience de découvrir de nouvelles choses.

Enfin le dernier plan:
Celui-ci représente l'Ancien Monde, vieux et fatigué, dans lequel Asfir à puisé toutes sources d'inspirations.

Mais celui-ci est en contraste avec la lumière vive qui représente les anciens souvenirs et les vieux amis d'Asfir, qui lui tiennent encore à coeur et dont il se souvient dans la joie à chaque fois qu'il pense à son passé.

Les Livres

Le Sans-Fond de l'Aveugle

Auteur : Thémis Lunargent

Instrument utilisé : Plume de mouette

Supports utilisés : Livre, pages de qualité, couverture bleue nuit et épaisse, supporte plutôt bien les voyages.

Dimensions (en centimètres) : 28 sur 20

Histoire :

Il n'est pas mentionné comment l'auteur de ce récit, Thémis Lunargent, est parvenu à rassembler ces informations afin d'écrire son roman. Il semblerait que celui-ci raconte à travers ces pages la sombre histoire du vieux Sans-Fond, l'ancien quartier des esclaves, et il n'hésite pas à y fournir les noms de ces hommes qui auront marqué l'histoire d'Esperia. En ces pages réside le secret de cette crevasse située à proximité de la ville, et de tous les tristes évènements qui y ont eu lieu.

Les Objets

La Canne de L'Aveugle[1]

Vendue avec le livre "Le Sans-Fond de l'Aveugle" de Thémis Lunargent, cette canne finement taillée et très bien conservée semble plus vieille qu'elle n'en a l'air. Pour comprendre à quel point elle est unique, il faut avoir quelques connaissances au sujet de l'histoire du Sans-Fond.

Le Heaume du Champion de La Fosse

Ce heaume unique en alliage d'or et de fer est bien plus lourd que ce que l'on peut croire. Il possède des renforts de fer à l'intérieur pour une résistance plus grande qu'un heaume en or basique. Il s'agit d'un ornement impressionnant, forgé par un armurier de qualité désormais mort : Edval Maelor.

D'après ce qu'on en dit, il traîne une histoire très sombre derrière lui : il aurait servis à récompenser l'esclave qui serait parvenu du fait de sa brutalité au combat à gagner plus d'une dizaine de combats consécutifs dans La Fosse, arène du Sans-Fond sans fléchir ne serait-ce qu'un moment. Bien sûr, la légende doit être un peu exagérée... Toujours est-il que celui qui recevait ce heaume se faisait appeler le "Champion de La Fosse", et l'esclave qui parvenait à le détrôner prenait sur la tête de son ennemi mort sa récompense. Tous les combattants brutaux et sans une once de pitié qui l'ont reçu l'ont porté avec fierté : il était l'objet le plus convoité de tous les esclaves du Sans-Fond.

Certains affirment qu'Eraclys lui-même l'a porté, mais ce ne sont que des rumeurs...