Campagne de Zaraga : Différence entre versions

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Après les échecs dans le Nord et le retrait des populations impériales de ces régions, Golvandaar est accusé d’entretenir des liens et de soutenir les populations vaahvas à travers les marchés et foires se tenant le long de la ligne de la paix (il s’agit d’un évènement ayant lieu chaque année à la mi-septembre, ou Vaahvas et Adaarions se retrouvent pour commercer le long de cette frontière imaginaire). Suite à cette accusation, le Sovitelija du Monastère fût arrêté et conduit à la Capitale pour y être éxécuté. La Nation Adaarionne et la Terrenarchia Liure rompent leur protectorat sur l’empire, causant des troubles économiques et des tensions internes entre les partisans impériaux et les autonomistes.
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Après les échecs dans le Nord et le retrait des populations impériales de ces régions, Golvandaar est accusé d’entretenir des liens et de soutenir les populations vaahvas à travers les marchés et foires se tenant le long de la ligne de la paix (il s’agit d’un évènement ayant lieu chaque année à la mi-septembre, ou Vaahvas et Adaarions se retrouvent pour commercer le long de cette frontière imaginaire). Suite à cette accusation, le Sovitelija du Monastère fût arrêté lors d'une visite à la Capitale et fut exécuté. La Nation Adaarionne et la Terrenarchia Liure rompent leur protectorat sur l’empire, causant des troubles économiques et des tensions internes entre les partisans impériaux et les autonomistes.
  
  

Version du 17 juin 2015 à 23:14

Périodes de conquête et de colonisation de la Zaraga.

An 190: L’empereur entame une large campagne de conquête de la région de la Zaraga soutenu par l’ensemble des provinces impériales.


Avec le soutient des provinces impériales, l’empereur lança en 190 une campagne de conquête et de colonisation de la Zaraga, une région située au Nord du Continent, entre le Vahnamaa et Les Marches. Durant la campagne, les forces Phalangistes se montrèrent redoutables et efficaces. Elles reçurent d’ailleurs les faveurs des élites impériales, à l’instar du Monastère qui se montra plus discret lors de la conquête. La conquête est une réussite, les forces impériales parviennent à gagner du terrain facilement et s’empare peu à peu de la région. L'empire prend donc le contrôle de la région, bâtissant des villes et des forteresses telles que Septentrion ou bien encore Fort Prudence.


An 193: L’empereur revient victorieux de la campagne de la Zaraga, devenue province impériale.


L’empereur mena a bien son entreprise et revint victorieux trois ans après le début de la conquête et de la colonisation de la région. La fin de cette période marque aussi la création de l’ordre de la chevalerie Hura par le thème d’Huratelon, impressionné par l’efficacité des forces armées Phalangistes.


An 257 : Les clans vaahvas s’unissent sous une seule bannière à Krelm et envahissent la province de la Zaraga. Début de la guerre de la Zaraga.


Plusieurs séries d’affrontements entre forces impériales et forces vaahvas eurent lieu alors que les différents clans s’unissaient sous une seule bannière afin de reprendre la province Zaragane. Les forces impériales parviennent à repousser la tentative vaahva et à maintenir leur position, bien que secoués par cette nouvelle guerre.


An 311 : Fin de la guerre de la Zaraga avec la défaite vaahva de Khalkin. Le général Hura Jans de Lurer, présent à la bataille, se retira de la vie militaire la même année et écrira l’ode aux morts, un recueil de poèmes philosophiques majeur.


Les forces impériales brillèrent notamment lors de la bataille de Khalkin, durant laquelle ils vinrent à bout d’une immense force Vaahva. Un monument immense y commémore la victoire, incrusté d’un poème guerrier à double sens pacifiste écrit par le général Jans de Lurer, lui même présent à la bataille. Le monument a été laissé en place mais les armoiries impériales et les statues ont été remplacés par des pierres vahnamaates portant toutes la même inscription dans les dialectes vaahvas locaux : “victoire”. On y retrouve encore des morceaux d’armures, d’armes ou de cadavres ainsi que des charniers sur lesquels fleurissent quantité de fleurs. Les vaahvas la nomme “plaine des fleurs sanglantes”.


An 321: Golvandaar est accusé d’avoir soutenu les vaahvas à cause des foires annuelles sur la ligne de la paix. Le Sovitelija du Monastère est arrêté et exécuté à La Capitale. La Nation adaarionne rompt le protectorat. La Terrenarchia liure fait de même.


Après les échecs dans le Nord et le retrait des populations impériales de ces régions, Golvandaar est accusé d’entretenir des liens et de soutenir les populations vaahvas à travers les marchés et foires se tenant le long de la ligne de la paix (il s’agit d’un évènement ayant lieu chaque année à la mi-septembre, ou Vaahvas et Adaarions se retrouvent pour commercer le long de cette frontière imaginaire). Suite à cette accusation, le Sovitelija du Monastère fût arrêté lors d'une visite à la Capitale et fut exécuté. La Nation Adaarionne et la Terrenarchia Liure rompent leur protectorat sur l’empire, causant des troubles économiques et des tensions internes entre les partisans impériaux et les autonomistes.


An 327: La Zaraga obtient son indépendance. La population impériale déjà affaiblie dans la région entreprend un exode. La Zaraga redevient vaahva. Les tribus survivantes de la guerre se disputent La Capitale provinciale, Septentrion.


L’empire ne parvenant pas à maintenir l’ordre dans ses provinces périphériques suite à la guerre avec les Vaahvas et se voit contraint d'abandonner la région pour se recentrer sur l'empire en lui-même : les populations impériales quittèrent donc peu à peu la Zaraga, abandonnant les villages et laissant Septentrion derrière eux. Les tribus vaahvas se disputèrent alors pour savoir qui hériterait de la ville abandonnée.


An 328: Septentrion est renommée Baenum Sigur.

Septentrion devint en 328 Baenum Sigur. Ses chefs prennent le Nord de haut, se vantant d’avoir repris la ville aux impériaux et d’avoir uni tout le Nord. Les chefs de tribus étrangers à la région sont reçus très froidement. La tradition Zaragane veut que les chefs aient versés du sang capitalin, des jeunes hommes sont donc envoyés faire des escarmouches dans les marches.