Soie : Différence entre versions
| (2 révisions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées) | |||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
| − | La soie est une fibre textile extrêmement précieuse et dont il n' | + | La soie est une fibre textile extrêmement précieuse et dont il n'a longtemps existé qu'une seule source sur l'ensemble du continent : le [[latifundio]] [[Vencesli]]. Le secret de sa production était jalousement gardé et les [[Vencesli]], une famille d'[[oligarques]] [[République marchande de Caroggia|caroggians]] en possédaient le monopole et imposaient des prix exorbitants. |
| − | + | Dans le courant des années 510, le secret s'est révélé et l'élevage du ver à soie a commencé dans de nouvelles manufactures de la République Marchande de Carroggia. La rumeur veut que ce soit le [[nomade dionian]] [[Zuco Utamani]] qui en ait dérobé le secret et qu’il l’ait revendu de nombreuses fois pour constituer sa fortune. La soie Vencesli reste la meilleure qualité connue, mais des moins onéreuses et de moindre qualité sont désormais à la vente dans les villes marchandes réputées de la République. | |
| − | [[Category: | + | L'augmentation de la production a permis aux grandes villes de la [[Grande Huratelon]] ou du [[Royaume Central]] un meilleur approvisionnement, moyennant un coût toujours prohibitif. Porter un vêtement de soie reste donc la marque d'une grande richesse. Cependant, les soies de moindre qualité sont accessibles à la petite bourgeoisie. |
| + | |||
| + | [[Category:Couture]] | ||
Version actuelle datée du 23 juillet 2023 à 23:55
La soie est une fibre textile extrêmement précieuse et dont il n'a longtemps existé qu'une seule source sur l'ensemble du continent : le latifundio Vencesli. Le secret de sa production était jalousement gardé et les Vencesli, une famille d'oligarques caroggians en possédaient le monopole et imposaient des prix exorbitants.
Dans le courant des années 510, le secret s'est révélé et l'élevage du ver à soie a commencé dans de nouvelles manufactures de la République Marchande de Carroggia. La rumeur veut que ce soit le nomade dionian Zuco Utamani qui en ait dérobé le secret et qu’il l’ait revendu de nombreuses fois pour constituer sa fortune. La soie Vencesli reste la meilleure qualité connue, mais des moins onéreuses et de moindre qualité sont désormais à la vente dans les villes marchandes réputées de la République.
L'augmentation de la production a permis aux grandes villes de la Grande Huratelon ou du Royaume Central un meilleur approvisionnement, moyennant un coût toujours prohibitif. Porter un vêtement de soie reste donc la marque d'une grande richesse. Cependant, les soies de moindre qualité sont accessibles à la petite bourgeoisie.
