Utilisateur:Esterad : Différence entre versions
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Esterad aime dire qu'il y a peu de différence entre l'architecture et la fabrication d'un bon vin, puisqu'il s'agit de création et de sensibilité. Ce sont ainsi ces deux activités qui rythment majoritairement ses journées. | Esterad aime dire qu'il y a peu de différence entre l'architecture et la fabrication d'un bon vin, puisqu'il s'agit de création et de sensibilité. Ce sont ainsi ces deux activités qui rythment majoritairement ses journées. | ||
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| + | C'est en Esperia qu'il débute sa carrière politique : d'abord Censeur, il devient ensuite Grand-Intendant. Son mandat est entrecoupé de crises, dont l'une des plus sanglantes de cette période, la Brumaire Noire, le marque durablement. Esterad brille par sa capacité d'adaptation, pas toujours sincère, au pouvoir en place. | ||
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| + | Quelques mois avant le cataclysme qui conduira les Esperiens à l'exil, il se fait construire une maison bourgeoise au bord du lac et est brièvement Intendant d'Adobe. Il participe aux débuts timides de la Nouvelle-Esperia avant de prendre le large pour quelques mois. | ||
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| + | Esterad pose à nouveau le pied sur la Nouvelle-Esperia en juin 520, sans arrière pensée particulière. Il doit y reconstruire une vie dans une ville marquée par l'instabilité politique. D'abord distant du pouvoir, sa rencontre avec Cassien Sulka le propulse comme conseiller législatif. Sous cette nouvelle casquette, il apportera une aide non négligeable à la reconstruction des institutions. Puis, c'est comme architecte et urbaniste qu'il brille enfin à compter de septembre 520. | ||
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| + | Alerte et travailleur, les Institutions évolue constamment sous son action. En mars 521, il est élu Bourgmestre et peut redoubler d'efforts pour réformer et stabiliser la Nouvelle-Esperia. Les mesures qu'il prend, son ouverture au dialogue et sa volonté de former un nouvel ordre administratif font de lui un législateur hors-pairs et un Bourgmestre à l'héritage unanimement salué. | ||
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| + | Après presque un an au pouvoir et à l'aube d'une prétendue crise politique, il prend sa retraite en janvier 522 pour se consacrer à son manoir et à ses bouteilles. Le 28 mars 522, peu après 10 heures du soir, il rend son dernier soupire au terme d'une maladie fulgurante des poumons. | ||
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| + | Si on lui doit une belle production d'alcools et des écrits administratifs, Esterad reste avant tout un architecte. Il a marqué durablement le paysage esperien en fournissant des plans couvrant les deux quartiers. On peut citer le Dispensaire, le Fort-Louvoy, l'Hôtel Pyhäsydän, le Manoir Écarlate, la Taverne de l’Étoile et diverses rénovations au Port dont les plans sont entre les mains de l'Intendance. | ||
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Version du 29 mars 2022 à 11:00
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Esterad aime dire qu'il y a peu de différence entre l'architecture et la fabrication d'un bon vin, puisqu'il s'agit de création et de sensibilité. Ce sont ainsi ces deux activités qui rythment majoritairement ses journées.
Après un début de vie bohème entre Pendil et La Capitale, Esterad débarque en Esperia en juin 517. Il commence par vivre au quartier Ouest, mais il porte ensuite rapidement son choix sur Adobe où il loue une taverne sans prétention, le Flamboyant, ainsi qu'une petite maison. Vie paisible et sans accroc particulier à l'horizon.
C'est en Esperia qu'il débute sa carrière politique : d'abord Censeur, il devient ensuite Grand-Intendant. Son mandat est entrecoupé de crises, dont l'une des plus sanglantes de cette période, la Brumaire Noire, le marque durablement. Esterad brille par sa capacité d'adaptation, pas toujours sincère, au pouvoir en place.
Quelques mois avant le cataclysme qui conduira les Esperiens à l'exil, il se fait construire une maison bourgeoise au bord du lac et est brièvement Intendant d'Adobe. Il participe aux débuts timides de la Nouvelle-Esperia avant de prendre le large pour quelques mois.
Esterad pose à nouveau le pied sur la Nouvelle-Esperia en juin 520, sans arrière pensée particulière. Il doit y reconstruire une vie dans une ville marquée par l'instabilité politique. D'abord distant du pouvoir, sa rencontre avec Cassien Sulka le propulse comme conseiller législatif. Sous cette nouvelle casquette, il apportera une aide non négligeable à la reconstruction des institutions. Puis, c'est comme architecte et urbaniste qu'il brille enfin à compter de septembre 520.
Alerte et travailleur, les Institutions évolue constamment sous son action. En mars 521, il est élu Bourgmestre et peut redoubler d'efforts pour réformer et stabiliser la Nouvelle-Esperia. Les mesures qu'il prend, son ouverture au dialogue et sa volonté de former un nouvel ordre administratif font de lui un législateur hors-pairs et un Bourgmestre à l'héritage unanimement salué.
Après presque un an au pouvoir et à l'aube d'une prétendue crise politique, il prend sa retraite en janvier 522 pour se consacrer à son manoir et à ses bouteilles. Le 28 mars 522, peu après 10 heures du soir, il rend son dernier soupire au terme d'une maladie fulgurante des poumons.
Si on lui doit une belle production d'alcools et des écrits administratifs, Esterad reste avant tout un architecte. Il a marqué durablement le paysage esperien en fournissant des plans couvrant les deux quartiers. On peut citer le Dispensaire, le Fort-Louvoy, l'Hôtel Pyhäsydän, le Manoir Écarlate, la Taverne de l’Étoile et diverses rénovations au Port dont les plans sont entre les mains de l'Intendance.
Côtes-du-Faravahnî Le Côtes-du-Faravahnî est un vin aimable qui commence à s'imposer comme un immanquable des vins de terroir Esperiens. Sa qualité augmente avec l'âge mais est réputé jeune dans le mois suivant sa confection. Il se réalise, dans l'idéal, avec deux cépages.
Bachique Noir Le Bachique Noir est un vin de cépage Noir Esperien qui vous évoquera la forêt de votre enfance ! Goûtez à toute l'essence du terroir Esperien dans ce bachique honnête. Vin primeur, il faut le boire jeune, avant 6 mois d'âge.
Coteaux-de-la-Flèche Et si nous goutions ce fleuve qui grandit entre La Pointe et le Kalafiskru ? L'ont dit que ses coteaux renferment de plus riches saveurs, et la preuve en est avec ce fameux vin blanc de nos caves. Ample en bouche, son corps onctueux ravira les plus raffiné de chez vous. Sa rondeur veloute son harmonie de notes sucrées.
La Fendeuse de Tonnelets La Fendeuse est une blanche de garde qui doit tout son charme à sa refermentation en tonnelets de chêne. Le folklore voudrait qu'un tonnelet mal muselé n'ait pu contenir cette blanche de caractère lors de sa refermentation, lui valant le surnom de "fendeuse". Sa belle teneur en alcool est subtilement mariée à des saveurs puissantes, caractéristiques des fûts de chêne vieillis, mais elle reste une bonne bière peu calorique.
La Pinacle Si l'on remonte aux origines de la Maison, la première demeure a avoir abritée nos fûts fut l'Acanthe Chevaleresque, à la Place Forte. Pourquoi ne pas lui rendre hommage en nommant ainsi notre bière de caractère ? Ce délice soyeux vous surprendra de ses nuances boisées, dignes des plus belles bières de ces régions.
Uisce Beatha "Source de Vie" est un distillat dont le procédé est gardé secret. C'est un spiritueux de deux types d'orges maltés, vieilli en fût de chêne durant une période allant de trois à six mois. Cette cuvée promet de s'inscrire dans l'histoire d'Esperia comme un spiritueux d'exception, véritable amalgame de savoir-faire et d'audace. C'est un spiritueux né de l'assemblage des meilleurs grains du terroir Esperien, fécondé par les mêmes barriques en chêne caractéristiques de notre fameux "Côtes-du-Faravahnî" puis embouteillé sans filtration. Il en ressort un alcool de qualité remarquable, aux notes de malt corsé dans une robe cuivrée/ambrée.
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