Utilisateur:Klaus ershell mark

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher



     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Herr_Mark
Prénom IRL
Ludovick
Âge IRL
15 ans












Description

Ershell est un vieil homme, les cheveux grisonnants et le teint pâle, seul son regard et son esprit restent vifs sous sa peau flétrie par l'âge. Il est né d'une famille ordinaire Adaarionne, des gens sans histoires et sans grandes fortune, avec pour seul héritage la connaissance et l'éducation. C'est un homme d'esprit, il aime tout ce qui touche à la science où à la littérature, c'est un homme éloquent et intelligent, il maîtrise aussi les bases en ce qui concerne la médecine, des remèdes à utiliser à l'art de la chirurgie. Certes initié au milieu intellectuel, il n'aime pas le travail manuel et l'effort physique qu'il considère comme "des disciplines d'incultes et de gueux". Il est très couard ce qui fait de lui un bien piètre combattant.


Compétences

Grille Plume.png Alphabétisation et calculs

Il a passé le plus clair de son temps, le nez dans un livre.

Grille Fiole d'Eau.png Alchimie

L'alchimie est son domaine de prédilection. Il s'intéresse à chaque étapes de l'élaboration d'un remède, c'est, pour lui, un enrichissement personnel énorme, comme une ultime récompense après de longs mois d'érudition intense.

Grille Herbes Folles.png Connaissance de la flore

Il faut comprendre la nature avant de s'en servir, n'est ce pas?

Grille Livre.png Connaissance scientifiques

Le corps humain est une machine et Ershell veut en inspecter chaque rouage.

Grille Soupe de Champignons.png Sens du goût

C'est un véritable gastronome, pour lui, la nourriture n'est pas qu'un moyen de se remplir la pense mais plus un luxe qu'on s'offre de mêler les saveurs dans notre bouche et de sentir chacune comme un nouveau plaisir.

Grille Poudre de Pierre Lumineuse.png Créativité

Selon lui la créativité est un élément important des métiers de la science

Amis

Gadyen

Klaus considère Gadyen comme un très bon ami, il se rappelle du jour où ils avaient eu ensemble leur premiers espers, et il se souvient que, ce jour, Gadyen lui avait offert une grande partie de sa part, cet acte de générosité restera gravé dans la mémoire de Klaus à jamais. Depuis sa longue absence, Klaus n'a pas eu le temps de revoir Gadyen, mais il a remarqué, en lisant la pancarte prés de la porte de la "Lys Radieuse" qu'il s'était approprié la propriété, ancienne habitation de Ser Tudors.


Bjarndÿr Skÿrn dit l'Ours

Ours est un excellent ami, c'est aussi un des premiers patients de Klaus. Klaus apprécie sa compagnie et pense que Ours devrait veiller avec plus d'attention à sa santé le travail à la mine n'étant pas de tout repos.

Personnes de respect

Estrella-de-nieve

Bien qu'elle ait moins d'années dans le métier que Klaus. Dame Estrella est une soignante expérimentée et, de surcroît, la directrice du Dispensaire. Arriver à un rang si élevé à cet âge force naturellement le respect et l'admiration.


Lucie d'Arsonval Cadirissa

Dame D'Arsonval est celle qui a achetée Klaus alors qu'il n'était qu'un esclave. Klaus lui doit le respect, il sait que si il en est là aujourd'hui c'est, en très grande partie grâce à elle.


Dreaps Hae

Ser Dreaps est celui qui a libéré Klaus de ses chaînes. Il a gagné sa reconnaissance et son respect.

Histoire

Paragraphe Rôle-Play (taverne):

"-Si t'oses encore m'faire passer c't'eau de mer pour du rhum, j'te fait manger les pissenlits par la racine, gibier de potence ! Hurlait cette énergumène, assis à côté de moi et étalant ses postillons sur le tablier blanc du tavernier. Regardez-moi cet homme, il ne doit pas avoir plus de quarante ans et l'alcool, déjà, a transformé son cerveau en une sorte de bouillie confuse et maladroitement organisée. Regardez moi cette barbe qui s'étale facilement sur vingt centimètres de crasse et de nourriture mal digérée et précocement rejetée, cachant tant bien que mal ce gouffre sombre et malpropre qui crache des phrases enveloppées chacune de leur pesant de salive. Cet homme, et c'est malheureux à dire n'est pas qu'un cas isolé, non, voulez vous en voire d'autres? Il suffit de regarder autour de vous, cette taverne est un ramassis d'ordure dans son genre, tous renversent leur chope sur ces tables grasses et mal entretenues, tous vocifèrent ces paroles incompréhensibles. Tous, sauf un homme, cet homme, assis au fond de la taverne, les cheveux grisonnant, la face cachée par un vieux manuscrit poussiéreux, dans lequel s'est plongé son regard fasciné, c'est un vieux médecin, un homme qui n'a eu une vie que pour prolonger celle des autres. Cet homme c'est Sieur Klaus Ershell Mark, un homme de science considéré aussi bien comme un génie par certains que comme un fou à lier voir même un profane par d'autres. Ce n'est pas la première fois que je le croise, nous avons eu l'occasion de voyager ensemble à bord de "La Fierté", un riche navire marchant sous le commandement du capitaine. J'ai beaucoup voyagé mais je n'ai jamais vu d'homme aussi réfléchi. " Journal de Parceraï Esweck, explorateur des contrées lointaines

Paragraphe Rôle-Play (libre):

Je viens d'embarquer à bords de "La Fierté", un navire marchand appartenant au capitaine Boisdur Ents. Le luxe était omniprésent à bord, montrant à lui seul, toute la mégalomanie de cet homme narcissique et très vaniteux qu'était le capitaine Ents. Le repas, qui n'était qu'une sorte de bouillie infâme sur d'autres bateaux, était ici un véritable banquet dressé sur une grande table de chêne massif qui s'étendait le long du pont sur au moins vingt-cinq mètres et sur laquelle s'allongeait une grande nappe blanche. Cette table était chaque jour ornée de mets nouveaux, du fricassé de poulet aux gigots d'agneaux en passant par le veau à la casserole avec chacun son lot d'assaisonnements et toujours accompagnés de cette inlassable sauce au citron. Nous avions chaque jour la satisfaction de festoyer autour de ce banquet fourni que beaucoup n'avait vu qu'en rêves avant de mettre le pied à bord. Il faut dire que le repas aurait été plus maigre si le cuisinier avait été seul au fourneau. Car, en effet, autour des cuisines s'était constituée une véritable communauté. Des as des couteaux à ceux des confiseries caramélisées, ils étaient tous réputés dans leurs pays pour leurs mets d'une qualité exceptionnelle. "La Fierté" était le navire marchand par excellence, son ventre était profilé et à ne craindre aucuns temps, roulé sans cesse par les lames et le vent incessant, il gardait une incroyable stabilité et une manœuvrabilité à toutes épreuves. Le sel dont la mer abondait n'avait jamais arraché à sa coque la moindre écharde et n'altérait nullement sa riche peinture. Il creusait la mer en un large sillon, l'écartant en chacun de ses flancs par je ne sais quelle formidable mécanique. La stabilité à bord était telle que même la plus féroce des tempêtes eût peine à renverser un encrier posé dans une des cabines à l'intérieur de l'engin. De plus, sa capacité d'emport était impressionnante, même après avoir ingurgité plus de cinq cents tonneaux de vin et plus de deux cents d'hydromel, il y avait encore de la place pour y loger le triple. Sa coque était faite d'un bois massif, qui dégageait une odeur fraîche de conifère mais je ne me risquerais pas à le nommer car je n'ai jamais vu aussi résistant bois que celui-là. Il était d'une telle stabilité qu'on eut dit que les flots lui obéissaient. Ce bateau, fendant le vent comme le courant amènerait à coups sûr marchandises comme équipage à bon port. Bien qu'elle eu occupée beaucoup de mon temps à bord, la nourriture n'en fût pas le seul aspect, en effet, l'atmosphère, d'abord propice aux flâneries et à l'oisiveté se retrouva rapidement entachée par la répétitivité et l'ennui. Je passais des heures à regarder les flots défiler accoudé à la barrière qui traversait le pont et qui reposait sur des piliers de bois de hêtre posés à intervalle réguliers. J'entrais dans ma chambre, et, assis sur ma chaise, je griffonnais quelques lettres désordonnées, m'abandonnant à des réflexions inutiles mais si indispensables. Ces idées de nouveaux remèdes, de cataplasmes innovants, de méthodes plus fiables pour la suture ou le bandage, toutes ces idées me torturaient la tête pendant toute la durée du voyage.

Paragraphe Rôle-Play (raisons de l'esclavage):

Je me rappelle ces heures naïves où je regardais passer les bateaux sur les quais en enviant leurs passagers, eux qui partaient pour des contrées lointaines pleines d'images exotiques teintés de couleurs chatoyantes. Ces heures, où, assis sur un baril, j'admirais ces géants des mers s'élancer parmi les flots, ces seigneurs, plongeant parmi leur population de poissons, poulpes et autres fruits de mer, comme de bons monarques visitant leur peuple amical. Puis vint ce voyage où, de mon regard encore ingénu, j'observais cette vie à bord, où j'en inspectais chaque recoin, de la facture du bois de la coque à celle de la nourriture servie à bord. Notre bateau, à toute épreuve, bravant les vagues comme s'il gouvernait l'océan, domptant ces lames, ce courant et ce vent mutin comme si il n'était rien. Ce navire, bravant la tempête et sortant victorieux, se retrouva si démuni et si faible quand ils vinrent à nous, ces immondes charognes, ces hommes sans scrupules mais pleins de haine et corrompus par les paroles vides d'un homme qui prétendait être "le capitaine". Nous voyageons à présent sous un nouveau drapeau, oui, l'invincible géant des mers, la fierté du capitaine Ents, a sombré sous les coups des barbares. La moitié de l'équipage a été massacrée, et l'autre , dont je fais partie capturée et dévorée par la maladie, il faut dire que les conditions déplorables à bord ne sont pas dignes des mesures sanitaires draconiennes mises en place à bord de 'La Fierté", l'équipage et lavé à l'eau de mer, des sortes de nid de pailles, infestés par la vermine et imbibés par je ne sait quel matière visqueuse et immonde nous faisaient office de couchettes. Ce sont d'autres mets que nous dégustons à présents, des mets infâmes et amers avec un affreux goût de défaite, et de honte. Une nouvelle vie nous attend et elle n'est pas des plus nobles, et oui, c'est à l'esclavage qu'on nous réserves. Ô juste raison si tu avais attiré mon insouciant regard vers ce gouffre sans fin, dit moi que c'est pour qu'il se relève, dit moi que cette nouvelle vie qui m'attends dans cette terre inconnue n'est pas une vie de souffrance ou de servitude, dit moi qu'il reste un espoir, une once d'espoir, un espoir derrière ces chaînes lourdes et sales.