Utilisateur:Lucie

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Révision datée du 10 décembre 2014 à 15:59 par Lucie (discussion | contributions)
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Informations RP
Genre
Femme
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Pseudo
Lucie
Rôle


























Lucie Florence Felicia d'Arsonval Cadirissa

"L’oiseau en cage rêvera des nuages." (Thème de Lucie)

Informations générales
  • Nom : d'Arsonval Cadirissa
  • Prénoms : Lucie Florence Felicia
  • Âge : ~20 ans
  • Taille : ~1m70
  • Poids : ~55 kg
  • Cheveux : Sombre
  • Yeux : Bleu
Aptitudes
  • Encrier001.pngAlphabétisation
  • Calcul.pngCalcul
  • Grille Livre.pngLangue Adaarionne
  • Grille Corde.pngEscalade

Lucie02.png

Cercle de Connaissances

Famille

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Corie Disterns

(Thème de Corie)

[Passer sa vie à regretter un amour perdu prouve que l'on a aimé vraiment et que notre existence ne fut pas totalement vaine]

  • Noms : Disterns
  • Prénoms : Corie
  • Vie : 492-513, Age: ~20 ans
  • Taille : ~1m65
  • Cheveux : Sombre
  • Yeux : Bordeaux


Corie, était... rayonnante ! Abandonnée par les méandres de la vie a Andessa l'enfant grandit ainsi en son hospice. La même journée horrible qui se répète de jours en jours, les soignants qui passe, et repasse, qui tente de montrer leur intérêt pour vous. Mais rien n'avance, le mal est présent. Vous restez donc ici, éclairé par la simple lueur du ciel a travers les rideaux blanc de votre chambre. Des fois de nouvelle tête se montre a vous prétendant avoir le remède miracle a vos maux, ne désirant en réalité que le peu d'argent qu'il vous reste. De rares jours, vous avez la force de vous lever, de marcher. Vous profitez de ces rares moment ou vous pouvez vous sentir humain pour sortir vous aérer l'esprit, si toutefois vous ne chutez pas avant pour que l'on vous ramène en catastrophe dans votre chambre. Ainsi Corie vécue pendant une vingtaine d'année, plein de question auquel l'on ne puis apporter réponse, "L'enfance, qu'est-ce ? et le ciel, puis-je le voir ?". Tant de question aux quelles Corie n'arrivait pas à apporter de réponses.

Ce cycle interminable se répétait sans cesse, aujourd'hui je peux marcher, et demain ? Mon état ne fait que se dégrader selon les médecins mais je garde la tête haute et ose sortir de ma chambre. J'enchaine les couloirs sans fin, me tenant au mur, arriverai-je a voir les jardins aujourd'hui ? Ou est-ce que je m’écroulerai avant ? Je continue ma route mais mes pas se font plus lourd, mon coeur bat de plus en plus vite, je vais rechuter. Malgré la douleur qui s'empare lentement de mon corps je fais encore quelques pas avant de m'effondrer sur cette jeune fille a la bure qui aillait me croiser. Mes paupières se font lourdes puis se ferme. A nouveau le noir, rien ne se passe, c'est pire que dans la chambre, aucun bruit, le silence le plus total, et moi qui attend, les heures passent, et je reste au milieu de ce noir.

Enfin je me réveille avec cette douleur vive à la tête. Ce rayon m’éblouit alors, lorsque je me risque a ouvrir un oeil, il fait jour. Je reste un long moment ainsi, n'ayant que faire du temps qui c'est arrêté pour moi il y a des années de ça. Agacée par la positions je me tourne, faisant dos à cette vive lumière. J'ouvre alors les yeux endoloris, et, du haut de mon lit, les pose sur mon chevet. La, une multitude de formes, toutes faites de papier se repose, n'attendant que moi pour vivre. Je me redresse du peu de force que j'ai et me penche alors sur le chevet ou, je bloque. La jeune fille à la bure était la, a mon chevet, la tête basse les mains jointes, elle prie semblant imperturbable. Puis comme si Arbitrio lui eu signalé mon réveil, elle redresse ses grands yeux azur vers moi, et le fixe ainsi les yeux remplie d'une profonde tristesse, laissant perler leurs larmes.

~


Cela fait maintenant quelques mois que la jeune fille à la bure vient régulièrement me voir. Que me veut elle ? Je n'ai pourtant plus rien. Aujourd'hui encore, elle passe, elle toque a la porte, entre n'attendant pas de réponse puis s'incline de manière droite devant moi avant de se mettre a mon chevet, comme a chaque fois. Est-ce la une autre monotonie qui s'installe ? Je commence a croire que non. Elle... elle arrive a m'apporter de si grande chose qui semble pourtant si moindre pour elle, j'ai enfin mes réponses. Elle m'offre même des questions, elle m'apprend l'écriture, la lecture, à jouer les nombres. Elle me conte son histoire, enfin, si l'histoire qu'elle m'invente sans cesse. A chaque fois elle m'en offre de nouvelle facette. Et puis, a chaque fois... Cette homme, Valter, vient la chercher, me lançant ce regard remplie de haine comme si je lui causait le plus grand mal du monde. Je ne connais maintenant pas de plus profonde déchirure que ces départs de la jeune fille à la bure.

Avec elle j'oublie, c'est comme si elle avait le pouvoir d’apaiser ma maladie, hier j'ai même réussi a sourire. Le plus beau de tous selon elle. Mais aujourd'hui rien ne va, l'orage fouette de sa pluie les vitres de la chambres. Cette journée ne put se résumer que par le balai incessant des médecins et vacataires de l'hospice. Mais elle est resté là, a mon chevet, toute la journée, pendant que moi je ne faisais que cracher mon sang dans la bassine qu'on me tenait ou devait ingurgiter toutes sortes de remède aux gouts tous plus affreux les uns que les autres. Il y a moins d'une année j'aurais préféré mourir lors d'un de ces jours. Mais aujourd'hui je ne veux plus. Je veux rester auprès d'elle ! Il est maintenant tard, mon état est redevenu plus ou moins stable même si un soignant veille toujours de l'autre cotes de la porte. Il ne reste qu'elle et moi dans la pièce. Nous parlons de tout et de rien jusqu’à ce que je sente cette pression sur ma main. A l'autre bout, elle est la, elle veille sur moi ce soir, mais veillera-t-elle sur moi demain ? Elle entrouvre sa bouche, je sens ses mains qui tremble. Elle est a bout, mais pourquoi ? Elle n'est pas malade elle, je... je ne peux lui faire du mal. Pourquoi s’inquiéterait-elle pour moi malgré ce que je suis ? Je sens alors son front heurter nos mains, ses larmes chaudes en ruisselle lentement sur ces dernières. Elle bredouille alors de sa bouche de faible mot, des mots que je n'avais pu entendre depuis des années.

Kaylane Cadirissa d'Arsonval

[L'amour d'une soeur est peut-être invisible mais tellement fort...]


Kaylane Cadirissa d'Arsonval: Kaylane a su toucher Lucie, elle l'a aidée avec Cecily et l'aime énormément pour ce qu'elle est, elles ont décidées de devenir des sœurs après avoir passé de long moments ensemble, elles ont liées leurs sangs pour symboliser cela et partagent leurs nom. Elle veut la voir heureuse et la consoler de la mort de Vale coûte que coûte... Maintenant tout est en ordre même si elle a du mal a comprendre comment elle a pu tomber amoureuse de Phoenix. Maintenant que Phoenix l'a quitté elle essaie de la faire repartir encore une fois sur la bonne voie, celle de la vie. Mais Kaylane n'est plus des notre...

Alkymia

[Quand le petit oiseau devient grand, il faut qu’il cherche sa nourriture, et il trouve dans le désert bien des graines amères.]

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  • Prénoms : Alkymia
  • Age : Un peu prés un an, née en aux alentours 513
  • Taille : ~50cm
  • Plumage : Noir, bleuâtre. Ventre blanc


La Pie Jacasse est de vocalisations gémissantes, de natures méfiantes elle n'hésitera pas à pousser son cri d'alarme. Elle adopte comme beaucoup de son espèce une tendance récurrente au vol d'objets brillants, extrêmement curieuse. Elle peut partir un jour comme une heure elle ne manquera pas de retrouver sa demeure.