Utilisateur:Quirby

De Wiki'speria
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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
KirbyRock
Prénom IRL
Marilou
Âge IRL
18ans












*~ Quirby Rock ~*

~ Sa description ~

~ Quirby a de long cheveux blond ondulés qui tombe en cascade le long de son échine. Ses yeux en amandes sont de couleurs noisettes et au soleil, brillent de milles reflets verts. Malgré son temps passé dans les champs et les forets, elle a conservé une peau claire et ressemble, d'après son grand-père beaucoup à sa mère. Elle a une taille raisonnable, ni trop grande, ni trop petite et son corps est plutôt maigre et frêle, dû aux nombreuses famines ayant sévi ses dernières années dans la région, bien que relativement musclé dû à ses longues parties de chasses dans la foret.


~ Quirby n’est pas très bavarde, elle est plutôt discrète et presque timide. Elle est courageuse et ne supporte pas l’injuste, n’hésitant pas à faire savoir quand elle n’est pas d’accord ou à s’opposer à quelqu’un. Elle sais cependant quand elle doit se taire. Elle est assez naïve et bien que méfiante tombe facilement dans des pièges évidents. Son grand-père lui a enseigné la lecture et l’écriture mais elle a un peu de mal avec. Il lui a aussi enseigné les grandes valeurs tel que le travail, la bonté, l’honneur et l'honnêteté.


~ Ses compétences ~

  • Grille Plume.pngMinutie: Son grand-père lui a enseigné l’art de faire des pièges et il faut être très minutieux pour bien les réussir.
  • Grille Pousse de Pommier.pngConnaissance de la faune: Elle du apprendre a reconnait la plupart des espèces vivants dans la région ou elle a grandit, elle a apprit ou les trouver et comment les chasser.
  • Grille Eau.pngConnaissance météorologique: Son expérience lui a appris a reconnaître les nuages et à prévoir plus ou moins bien le temps qui arrive.
  • Grille Boussole.pngSurvie: Pour pouvoir passer de longues heures dans la forêt, il faut savoir se débrouiller. Son grand-pére lui a appris le minimum. Faire un feu, savoir s’orienter, et s’adapter aux différents climats.

~ Ses Amis ~

avatar.php?u=RikkuSama02&size=32&ext=.png Myla Ovesperia: Elles sont arrivé toute les dans le meme bateau. Elles ont appris à ce connaitre petit a petit, a partager des chasses et des secrets. Quirby a beaucoup d'affection pour elle.

avatar.php?u=Hiiagara&size=32&ext=.png Hiiagara S'Jet: Hiiagara est lui aussi esclave de l'abbaye, ils ont appris a galerer ensemble et a s'entre aider. Elle le trouve très intelligent, cultivé et a beaucoup d'admiration pour lui.

Personnage Uth.jpg

Uth Franchebrise: Quirby aime Uth, c'est incontestable. Elle passe la plupart de son temps avec lui sans pouvoir finalement ce passer de sa présence. Elle est touché pas ses attentions régulieres et fera tout son possible pour le préserver et être digne de lui.


avatar.php?u=dinatie&size=32&ext=.png Dinatie: Dinatie est arrivé il n'y a pas longtemps a Esperia. Quirby l'a prise en affection se sentant concerné par son sort et assaie de l'aider du mieu qu'elle peut.

~Ses ennemis~

~ Ses possessions/Animaux ~

Fichier:Statuette.jpg
Une statuette en bois

Uth lui a offert une jolie petite statuette en bois représentent une chasseresse en pleine chasse.Elle est entreposé a l'abbaye le temps que Quirby sois affranchie et ai sa propre maison. Elle a été réalisé par Thorkel un artisan de bois très doué.

Olympe est une petite chienne que Quirby a rencontré dans la foret. Celle ci semblait perdue (Certainement évadé d'une ferme alentours ou s’être perdue apres s'etre trop eloigné de son groupe de chasseur) et était affamé. Quirby lui a laissé une partie de ses chasses et au fur et mesure une confiance c'est creer instaurer. Olympe est une chienne tres joueuse et curieuse. Pas du tout méchante et presque peureuse. Elle n'écoute que tres rarement Quirby bien qu'elle ne s'éloigne jamais d'elle.

~ Son histoire ~

*~ Avant Esperia ~*

~ Un vent léger et frais agitait l'extrémité des blés, semblant leur donner vie. Le même vent qui filtrait à travers les lattes mal ajustés des murs de la petite ferme. Cet air froid, faisait vaciller la chandelle parant de mystère l'histoire racontée par le grand-père. La jeune fille frissonna, resserrant la petite couverture en laine contre elle, alors que son grand-père décrivait avec précision un terrible monstre. Soudainement, un éclair zébra le ciel semblant soutenir l'atrocité de la scène. Quirby se surpris à frissonner, même si elle avait déjà entendu cette histoire maintes et maintes fois et qu'elle la connaissait par coeur. De longues minutes s'égrenait, ponctués par le claquement du vent sur le bois et les battements du tonnerre au loin. Elle demeurait suspendu aux lèvres de son grand-père, jusqu'à qu'il finisse malicieusement la fin de son histoire, lorsque le monstre se transformait en ce qu'il avait été auparavant: un homme. La tête pleine d'histoires et de contes, Quirby se laissa reconduire dans sa chambre par son grand-père. Celui-ci la borda et lui fis un bisou sur le front comme quand elle était petite, puis s'éloigna dans la pénombre en s'appuyant sur sa vieille canne en bois.

Le lendemain matin, ce fut la faim qui la réveilla. Elle descendit dans le minuscule salon et trouva un mot sur la table sur lequel elle reconnaissait l'écriture maladroite de son grand-père. " Je suis parti au marché, je serai de retours pour le repas.s". Quirby prit son vieux chapeau de paille que lui avait confectionné sa grand-mère et un bout du pain blanc qui traînait sur la table. Elle profita de la matinée pour courir dans les champs de blé et fleurs afin de sentir le vent caresser ses cheveux et le soleil réchauffer son visage. Sur le chemin du retour, elle s'aventura un peu dans la forêt afin de relever les quelques pièges qu'elle avait posés la veille. Peut-être, qu'ils allaient enfin pouvoir manger de la viande ce soir. De retour à la maison, elle s'aperçut que son grand-père n'était toujours pas de retours. L'inquiétude la submergea au rythme des gargouillements de son ventre. Elle ne pouvait pas partir, il pouvait très bien arriver pendant qu'elle ne serait pas là et s'il lui était arrivé quelques choses elle ne serait pas là pour l'aider. Elle s'assit sur un petit tabouret en bois sur la terrasse les yeux rivés au loin et attendit.

Elle eut l'impression d'attendre de longues heures, jusqu'à ce qu'une silhouette apparaisse au loin. La personne avançait d'un pas décidé vers la ferme, une épée à la main. La jeune fille se redressa pour mieux voir, c'était un bandit. Elle devait fuir le plus vite possible. Elle entendit des bruissements et des pas à sa droite et à sa gauche. Il y en avait plusieurs et elle était encerclée. Elle retourna en vitesse dans le salon prendre son matériel de chasse, un arc abîmé et quelques flèches et la vieille épée de son grand-père, une épée en pierre qui ne devait plus couper grand-chose. Elle courut à l'étage et se dirigea vers le mur le plus fragile. Elle entendit les pas se rapprocher dangereusement et des voix s'élever. Elle commença à taper sur le bois et heureusement pour elle, la ferme était dans si mauvais état que le bois n'apporta pas vraiment de résistance à ses coups. Elle tapa de plus en plus fort. Les bandits étaient sur la terrasse et ils l'appelaient. Le bois céda enfin formant un trou assez large pour s'y faufiler. Elle s'y jeta et tomba juste à temps. Les bandits étaient montés à l'étage. Elle reprit ses esprits rapidement et commença à courir, n'écoutant plus que son instinct de survie. La peur lui nouait le ventre, alors qu'elle s'élançait désespérément vers le seul endroit qui pouvait lui offrir une protection dans la lande désolée: la forêt. Elle traversa un champ de blé et alors qu'elle atteignait sa vitesse de pointe, mût par la terreur, elle se pris le pied droit dans un terrier de taupe. Le bruit que fit sa cheville, un "crac" sonore, eut un effet bien pire sur le moral de la jeune femme que la douleur en elle-même. Inhibée par l'adrénaline propulsée dans son sang aux rythmes des pulsations de son coeur, elle recommença a courir. Elle atteignit en boitant, l'orée du bois où elle tombât sur le sol. La terre était fraîche sous ses doigts. Quirby aurais voulu rester allonger ici à jamais, profitant des doux rayons du soleil couchant, réchauffant un peu sa peau. Elle fut sortie de ses pensées par les cris des bandits qui se rapprochaient encore plus. Elle se fit donc violence et ordonnât à ses pauvres jambes, tremblante et réticentes de se lever et de recommencer a courir. Malgré sa douleur insupportable à la cheville, elle se redressa haletante sur ses jambes, jeta un rapide coup d'oeil en arrière et repartit en boitant du plus vite qu'elle put. Elle entendait les bandit derrière elle qui rigolaient et l'appelaient. Ils la trouvaient bien idiote de vouloir fuir, une cheville cassée, mais elle ne les écoutaient pas. Elle connaissait la forêt comme sa poche et espérait les garder à distance comme ça le temps de traverser la forêt et rejoindre la route. Peut-être qu'un fermier, ou un habitant du village passerai par là et pourrait l'aider. Elle se surprit à retrouver espoir. Bien sûr, cela faisait beaucoup de "si" et de "peut-être" mais c'était le seul espoir auquel elle pouvait se rattacher à ce moment-là et elle s'y accrochait de toutes ses forces. Elle continua encore de courir du mieux qu'elle ne put dans la forêt, mais bien qu'elle n'était pas très dense, des racines sortaient par-ci, par là et de nombreuses fois elle faillit retomber et signer son arrêt de mort. Elle approchait de la route et derrière elle les bandits se rapprochaient de plus en plus et continuaient de rigoler et de l'appeler. Ils commençaient à perdre patience et Quirby savait que s'ils se mettaient a courir, ils pouvaient très facilement la rattraper. Elle préférait garder en tête son objectif: atteindre la route.

Elle allait de plus en plus lentement, mais réussit tout de même à atteindre le chemin. Une fois sur le petit chemin en terre en cria et regarda dans tous les sens. La déception eut l'effet d'une douche froide. Personne n'était là et personne n'allait l'aider. Elle était prise au piège. Cependant, elle refusait de laisser tomber et voulait tenter sa chance jusqu'au bout. Si ce n'était pas pour elle, au moins pour son grand-père. Elle reprit sa route, les bandits toujours à ses trousses, plus qu'à un cube d'elle.


Soudainement... Une douleur aiguë. De la souffrance. Les paupières sont trop lourdes.



"Réveille-la" aboya l'un des hommes "On doit voir combien on peut encore en tirer." Quirby réussit à ouvrir les yeux au moment ou deux hommes ouvraient la porte, déversant un flot de lumière dans la salle. La jeune fille agressait par cette lumière les referma aussitôt. Des mains, puissantes et fermes la saisir et la relevèrent. Elle tenait à peine sur ses jambes, sa robe bleue était déchirée de toute part et était couverte de boue. Elle avait aussi perdu son chapeau.

Un des bandits l'examinât rapidement d'un coup d'oeil." Ammene la avec les autres." On l'a saisi et on l'amenât à travers un dédale de couloirs. On la posa avec brutalité par terre dans une autre cellule. D'autres personnes étaient dans la cellule, elle ne prit pas garde à eux. Elle se mit dans un coin en essayant de trouver une position qui ne la faisait pas trop souffrir malgré les chaînes à ses mains et pieds.

Comment la situation avait-elle put changer à ce point ? Hier encore son grand-père lui racontait une histoire à la ferme et maintenant elle était... Elle ne savait pas trop ou à vrai dire. Des bruits de pas lui parvinrent et la porte en fer s'ouvrit dans un grincement strident. Une silhouette fut jetée dans la cellule, une silhouette qu'elle aurait pu reconnaitre entre mille, même si elle était encore plus voutée que la dernière fois qu'elle l'avait vu: son grand-père. Il avait le teint pâle et des cernes sous les yeux mais, ses derniers restaient alertes et d'un vert vif. Elle se jeta dans ses bras du mieux. Elle sentit la chaleur de son corps et les battements de son coeur. Et à ce moment-là, elle ne souffrait plus, seul la présence de son grand-père compter à ses yeux. Ils restèrent là, quelques minutes avant que d'autres personnes ne soient jetés dans la cellule avec eux. C'était des habitants des villages voisins. Personne ne parlaient. Il y régnait un silence de mort, mélangé à une odeur de terre et de sang. Soudainement, un bandit ouvrir la porte de la cellule et entrât. Tous les prisonniers s'éloignèrent de lui. Il rigolât. Quirby sentait en elle la colère monter, mais elle ne pouvait rien faire. Le bandit leurs expliqua brièvement qu'ils allaient être transportés à Esperia et seraient vendus en tant qu'esclave. Il jeta un bref regard sur les prisonniers et fit une annonce qui glaça le sang de la jeune femme. Pas tout le monde ne survivrait au voyage. Les plus vieux et les plus blessés seront tués ici même juste avant le départ. Quirby serra la main de son grand-père. Quand il avait parlé des plus vieux, le regard de l'homme s'était dirigé vers lui. Le bateau partirai dans 3h.

Une fois la porte fermée et l'ombre du bandit effacé, la cellule semblât s'animer. Toutes les familles ici présentes pleuraient cherchant un moyen d'échapper a la sentence. Quirby se tournât vers son grand-père. Celui-ci semblait sereins. Elle le regarda, avec des yeux rond. Comment pouvait-il être aussi serein alors qu'il allait soit mourir soit être réduit à l'esclavage? Elle n'osait pas parler et se blottit juste contre lui, réfléchissant à de multiples tentatives de sauvetages au cas ou. Son grand-père rompit le silence qui régnait entre lui et sa petite fille. " Tu ne feras rien lorsqu'ils me tuerons." Surprise par sa soudaine prise de parole, elle se contentât de le regarder, abasourdie. " Tu me laisseras partir seul. Et tu ne diras rien et ne ferras rien. Promet-le moi." Elle ne savait pas quoi dire. Comment pouvait elle le laissait partir dire? Au moment où elle ouvrit la bouche pour protester, il l'a pris dans ses bras, lui disant qu'il l'aimait beaucoup et qu'il ne regrettait en rien sa vie. La jeune fille sentit les larmes monter à ses yeux et bien qu'elle eut horreur de pleurer devant les autres se laissa aller sans retenir aucunement ses larmes.

Le moment fatidique arriva. Le bandit qui était venu plus tôt entra dans la cellule, deux autres attendaient à l'extérieur de la cellule. "Levez vous!" Tous les prisonniers se levèrent sans bruit, la tête basse et le coeur lourd. Le bandit s'approchât du fond de la cellule. Il attrapa une femme et la tira vers lui. Elle avait un bras en moins et les malheureux morceaux de tissus avec lequel elle s'était bandés n'avait pas pu arrêter l'hémorragie. Sa pauvre robe n'était plus que des haillons qui lui couvraient à peine le corps et ses jambes étaient pleines de bleus et de griffure. Elle avait une jambe cassée et ne tenait pas debout. Le bandit l'examina, conclu qu'elle était invendable et la jeta dehors ou les bandit qui attendaient la tuèrent. Le bandit continua son examen. Quirby baissa les yeux pour ne pas regarder. Elle avait beau chasser et tuer des animaux, elle ne put regarder la mort des autres personnes.

Vient alors l'examen de son grand-père. Le bandit l'attrapa et le tira vers lui. Son grand-père avait du mal à se tenir droit et malgré tous les efforts qu'il faisait, la fatigue et l'âge avaient plus d'emprise sur lui que sa volonté et il ne donnait qu'une apparence faible. Le bandit l'examina rapidement et le poussa dehors.

Comme l'avait voulu son grand-père, Quirby ne fit rien et ne dit rien. Des larmes envahirent ses yeux et lui brouillaient la vue. Elle serrera les poins et elle sentit ses ongles s'enfoncer dans sa chaire. Le bandit annonça le départ. Les prisonniers se lèveraient et avancèrent dans les couloirs sombres. En sortant de la cellule, Quirby vu une marre de sang. Elle boitait mais, avançait du mieux qu'elle put, daignant de ne pas souffrir. Les couloirs semblaient infiniment longs. Ils débouchèrent soudainement sur l'extérieur. Le soleil était vif et violent. Il agressa les yeux de la pauvre femme et elle n'eut même pas le temps de se réhabituer à la lumière du soleil qu'à peine sortit sur le port, ils furent directement amenés sur un immense bateau et installer dans la soute.

Le voyage allait être long et douloureux.