Utilisatrice:Alice

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Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
gtq322
Pseudo
Alice
Prénom IRL
Lucie
Âge IRL
12












Description

Alice est fine, de taille moyenne et jeune, elle est âgée de 19 ans. Sa mère est décédée lors de sa naissance et son père à été tué par un bandit. Bien quelle puisse se montrée paresseuse,elle est agile, forte et douée au combat. Elle est illettrée et charismatique. Elle est couramment à la recherche de l'aventure, elle est courageuse et même un peu imprudente, elle est rebelle. Elle porte des vêtements atypiques à la fois rebelle et féminin.

Compétences

Force

Agilité, elle aimait grimper aux arbres pour chasser où pour le loisir

Combat, elle s’entraînait avec son père après la chasse

Survie, elle à sut vivre seule à partir de 7 ans

Talents

Charismatique et courageuse

Défauts

Imprudente et paresseuse

Intérêts culturels et goûts

Aime le lait.

Histoire

RP libre :

J'ai 7 ans, père et moi chassons le gibier, je suis cachée dans l'arbre, père dit toujours que je suis aussi agile qu'un singe, ça me fait rire. Quant à père il est caché derrière un buisson, patiemment nous attendons le gibier. Ah, un lapin approche, je l'entend. Je me prépare à sauter de l'arbre, mon opinel à la main. Je saute sur le lapin et lui tranche le cou. C'est une belle prise, le lapin doit peser dans les 2400 g, père me félicite et je laisse apparaître un sourire de fierté. Nous rentrons dans notre maison bien que pas très grande, chaleureuse avec du petit gibier, mais vu la quantité, aujourd'hui notre faim sera rompue. Nous mettons le gibier au frais puis père sort mon épée en fer, l'épée qu'il a forgé de ses propres mains et qu'il m'a offert pour mes cinq ans, depuis chaque jours après avoir chassé et avoir récolté le bois pour le feu nous nous entraînons à l'épée. Avec le temps je suis devenue forte et j'arrive presque à battre père. Après notre combat nous passons à table. Je découpe le gibier, père allume le feu et nous nous nourrissons à notre faim, ce qu'il reste comme viande nous le revendrons au marché. Pendant quelques temps nous contemplons le feu et nous nous amusons à voir des animaux et d'autres choses dedans.

- Dites père, pourriez vous me raconter encore une fois comment était mère ? Demanda-je.

J'aime savoir comment était ma mère et me l'imaginer, souvent je regrette qu'elle ne soit plus de ce monde.

- Bien sûre, il regarde le feu et réfléchit, ta maman était la plus belle des femmes du peuple de Grande Huratelon. Elle avait tes yeux, ta bouche et tes magnifiques cheveux. Chaque jour elle me cuisinait de bons petits plats, qui, de jours en jours étaient de plus en plus meilleurs. Des fois, elle allait chasser à ma place, elle était même plus douée que moi. Me raconte-t-il. Je le regarde, l'admire et je m'imagine mère tel qu'il la décrit.

- Dites père pouvez-vous m'expliquer la fois où vous vous êtes rencontré ? Dis-je.

Père me regarde un bref instant retourne son regard vers le feu et explique :

- Ta mère était serveuse dans une taverne, presque chaque jour je venait y boire un verre et c'est là que je l'ai rencontrée. J'ai appris à mieux la connaitre puis elle a emménagée avec moi et ensuite nous t'avons mise au monde.

Il se tut pendant quelques secondes puis s'exclama :

- Allez, il est temps que tu ailles dormir, il est tard.

J'obéis et me rend dans ma chambre je me déshabille puis me couche. Père vient et m'embrasse le front puis part se coucher. Je m'endors l'image de mère dans la tête. Mais pendant la nuit je me réveille, j'ai entendu du bruit, j’aperçois une silhouette et, terrorisée je me déplace vers la fenêtre de ma chambre pour fuir mais avant de passer par la fenêtre j'entends un "Arg !" strident, je n'ose pas me retourner, passe la fenêtre, cours vers la forêt et grimpe dans un arbre afin de me cacher et pouvoir observer ma maison. Après avoir longtemps attendu, je vois la silhouette sortir de chez moi, elle porte un sac sur les épaules, elle doit avoir volé notre argent, le peu d'argent qu'on a. Après que j'aie estimée que la silhouette soit assez éloignée je rentre chez moi afin de voir ce qui c'était passé. Après m'être introduit dans la chambre de père j'ai vu ce que je ret doutais le plus, lui, gisant sur le sol un couteau enfoncé dans on cœur. Après l'avoir soigneusement enterré dans le cimetière du village, je me suis jurée que plus tard je ferai respecter la loi en devenant garde afin q'une chose pareille ne puisse plus se reproduire.


RP imposé ( la taverne ) :

J'ai 18 ans. Aujourd'hui comme chaque jour, après avoir chasser et récolter le bois, je me suis rendu à la taverne. La serveuse arrive avec mon lait chaud. Je lui donne son argent, l'argent que j'aie eu en vendant le gibier chassé la veille. A la table d'en face, deux hommes discutent. Le premier à une longue barbe brune, le deuxième à de courts cheveux blancs.

- ... J'ai entendu dire qu'il cherchait à embaucher des matelots. Explique l'homme en se caressant la barbe.

La discussion m'intéresse, j'arrête de boire mon lait afin d'entendre tout ce qu'ils racontent.

- Eh bien voyons, un vieillard comme lui... Et pour quel raison ? Demande l'autre

- Bah... Le barbu réfléchit puis dit, ça doit être pour pêcher je suppose.

Je me suis levée et me suis approchée de leur table puis je leur aie demandé :

- Excusez-moi de vous dérangez mais je vous ai surpris en train de discuter, pourriez-vous me dire de qui vous discutiez ?

- Bien sure jeune demoiselle, c'est le vieil Etienne, il habite le port. M'informe l' homme à barbe.

Après avoir l'avoir remercié j'ai quitté la taverne et je suis rentrée chez moi. Là-bas j'ai fait mes bagages pour aller vers le port car je me suis dit que sa pourrais peut-être être plus palpitant que ma vie ennuyante et banale de maintenant.


RP; Comment je suis devenue esclave :

Cela fait presque un an que je vogue en compagnie du vieil Etienne, j'ai donc 19 ans. Ma vie ici est restée très banale, mais elle est quand même un peu plus palpitante. Aujourd'hui, le ciel est noir ce qui n'annonce que de l'orage. Comme chaque jour nous nous levons très tôt et partons déjeuner. Il se résume à une tartine à la confiture et un verre d'eau. Ensuite nous sortons le matériel de pêche et pêchons. Etienne ayant remarque mon agilité m'a donné la tache de monter assez souvent en haut du mat afin de vérifier qu'il n'y ai aucun danger à l’horizon. Nous sommes censés pêcher pendant des heures, voire même toute la journée excepté lorsqu'on mange, mais, comme je l'avais prévue, la foudre est tombée, nous sommes donc obligés de ranger notre matériel et de nous réfugier à l'intérieur. Nous attendons, notre visage collé aux vitre en regardant si le tonnerre cesse. Mais il ne cesse pas, nous nous voyons donc obligés de rester à l'intérieur. A midi il n'y a presque plus poisson et la portions qui nous est attribuée est minuscule. Certains marins râlent et d'autres se volent la nourritures, au final tous se battent. Le repas se passe de la même manière mais nous avons encore moins de poissons. Nous devons nous coucher le ventre vide, ce qui n'est pas chose agréable. Dehors, le tonnerre ronronne toujours. Ayant le sommeil léger, cette nuit, je me réveille car j'ai entendu un cris, des pirates nous ont assaillis. Par terre gisent les corps des autres matelots qui baignent dans leur sang. J'ai à peine le temps de bouger qu'un pirate m'attrape et me bâillonne puis crie à ses camarades :

- Celle là on la garde, elle est assez jolie pour qu'on la revende au vendeur d'esclaves.

Il me tire par le poignet jusqu’à leur navire puis il m'enferme dans la cale. L'orage s'est arrêté. Après avoir longtemps attendu nous avons atteint la terre ferme où il m'ont échangé contre quelques pièces d'or au vendeur d'esclaves qui m'a conduit à son tour dans sa cale avec les autres esclaves. Dans la cale il y a une vitre, de là je vois vers où nous allons. Soudain j'aperçoit la terre ferme au loin, un endroit qui à l'aire magique. Et la petite étincelle dans mes yeux qui s'était éteinte lors de la mort de mon père est réapparue, je me suis alors dit que c'était peut-être un début pour une nouvelle vie.