Utilisateur:Flavio
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Sommaire
Présentation :
- Nom : Flavio
- Âge : 23 ans
- Métier : Artisan du bois (ébéniste)
- Rang : Esclave
- Origine : République Marchande de Carrogia
- Taille : 1 mètre 70
- Poids : 60 kg
- Description physique : Flavio mesure à peu près 1m70 et fait environs 60 kg , il est blond, il a les yeux bleus, peu musclé. Il a un T-shirt gris assez sale, un pantalon noir qui commence à devenir gris. Ses cheveux et ses sourcils ne sont pas coiffés.
Apptitues :
: Flavio sait lire et écrire.
: Flavio était studieux en calcul a l'école, il sait calculer sans se tromper.
Qualitées :
- La Gentilesse : Flavio est toujours prêt à aider ses amis, et même parfois des personnes qu'il n'apprécie guère.
- Bourreau de Travail Flavio pourrait ne pas dormir pour finir certaines commande si elles sont importantes.
Défauts :
- Borné : Flavio n'en souvent qu'à sa tête, même si ce qu'on lui demande est important, il fait ce qu'il veut.
- La Franchise : Flavio à tendance à être franc avec certaines personnes, et des fois sans se douter des représailles.
Histoire :
- Comment suis-je devenu ébéniste.
Comme chaque matin depuis quelques mois, j'errais dans la capitale. Je n'avais plu de toit pour me couvrir, ni de famille pour s'occuper de moi, j'étais bel et bien seul, abandonné. Je vivais désormais dans la rue, habillé de loques déchirées et sales. Ne possédant qu'un simple couteau, je passais la plupart de mon temps à tailler des objets, des personnages fictifs ou bien des sculptures grâce dans du bois que je trouvais par-ci ou par-là.
Un jour, je suis passé devant une boutique d'un artisan du bois, et ce que je vis dans la vitrine me frappa, une magnifique sculpture ! Elle représentait un animal, un ours dressé sur ses pattes arrières. Je ne saurai dire pourquoi mais j'étais tombé sous le charme de cette merveille. Cependant, je suis vite revenu à la réalité lorsqu'en fouillant mes poches, je me suis aperçu que je n'avais pas d'argent. Si je voulais obtenir cette statuette, il ne me restait qu'une chose à faire, la sculpter. Immédiatement, je me suis mis à la recherche de bouts de bois, dans le but de sculpter. Pendant plusieurs heurs, j’enchaînais sculptures sur sculptures, morceaux de bois après morceaux de bois, sans succès. Je parvenais à m'approcher du résultat final mais ce n'était pas glorieux non plus, l'ours que je venais de réaliser n'aurait même pas été capable d'effrayer un enfant.
Le lendemain, lorsque je me suis réveillé en étant encore devant cette boutique, je m'étais retrouvé face à un homme qui fouillait parmi toutes mes sculptures. Voyant que je regardais ce qu'il faisait, il engagea la conversation.
- Excuse moi petit, est-ce bien toi qui a réalisé tout cela ?
- Oui Messer, c'est bien moi. Dis-je avec beaucoup de timidité.
- Je crois bien que tu as du talent petit ! Cela ressemble fortement à l'objet qui est placé dans ma vitrine. Ta technique ne semble pas mauvaise, entre je vais te montrer quelques petits conseils pour améliorer ton travail.
Après un petit moment d'hésitation, je l'ai suivi à l'intérieur de son échoppe. Il prit ses outils et commença à retoucher ma sculpture tout en m'apprenant quelques techniques. Peu de temps après, il me fournit le bois nécessaire pour m’entraîner, ainsi je passa le journée derrière son comptoir à tailler dans le bois, tout en essayant de m'améliorer. A la fin de la journée, il me proposait de revenir :
- Tu as réellement du talent, un don pour ça. Je te propose de revenir demain pour continuer notre travail, d'accord ? Il avait le sourire jusqu'aux oreilles.
- Avec joie Messer !
Le jour suivant, ainsi que tous les autres, je revenais non seulement sculpter des statuettes, mais aussi pour l'aider à réparer tel ou tel meuble, ou encore pour créer des armoires, placards, tables et je ne sais quoi d'autre. Finalement, au bout de quelques semaines, il me proposa de rester ici, de travailler pour lui. Je ne pouvais refuser, j'avais un manque évident d'argent, et je n'avais plus de maison non plus, c'est pourquoi il avait transformé un coin de l'arrière boutique en chambre, juste un lit et une table, mais c'était suffisant pour moi qui errait dans les rues. Comment décrire à quel point j'étais heureux ?! Après tant de souffrances, d'obstacles, et de mois de galère, j'étais logé, nourri, payé et je passais mes journées au chaud à faire quelque chose qui me plaisait.
Peu de temps après, je fournissais un travail formidable ! Il m'arrivait même de ne pas dormir la nuit car je continuais à travailler, mais sur des objets personnels. Je raffolais de ces nuits, seul dans un atelier, un nombre incroyable d'outils à ma portée, je pouvais y passer des heures. D'ailleurs, cela me rappelle la fois où...
- Comment suis-je devenu esclave :
Comme chaque premier mercredi du mois, Emanuele m'avait envoyé quérir du bois. Il nous fallait de tout, pommier comme sapin et encore une fois c'était moi qui était assigné à cette tâche. Je pris la charrette préparée à cet effet, puis je me dirigea vers la scierie habituelle. Comme à l'accoutumée, Emanuele m'avait préparé une bourse emplie d'or. Je savais pertinemment qu'à l'intérieur il y avait plus qu'il ne le fallait mais le bûcheron à qui nous achetions le bois était un bon ami d'Emanuele.
J'adorais faire ce trajet, chaque mercredi elle constituait ma petite sortie en dehors de la ville puisque la scierie se trouvait un peu plus loin. Je devais passer par un chemin qui coupait la forêt en deux, passer au dessus d'une petite rivière. Il m'arrivait bien souvent de m'arrêter un petit moment au bord de cette rivière pour me baigner un peu. Je ne nageais pas très bien mais au moins cela me permettait de me détendre un peu.
La transaction se fit sans aucun soucis ! Après qu'il m'ait pris la bourse avec le sourire jusqu'aux oreilles, il m'aida à charger tout le bois dans la charrette. Pendant quelques minutes, nous restâmes devant la scierie tout en échangeant quelques mots, notamment sur Emanuele. Il me demandait comment il allait, si la boutique tournait bien, bref la routine. Après ce court laps de temps, je repris la route, tout en prenant le soin de m'arrêter une nouvelle fois au bord de mon ruisseau préféré. Lorsque sur la route qui sépare la forêt, un petit groupe de quatre personnes se place sur la largeur de la route, je suis donc obligé de m'arrêter.
- Bonjour Messers, j'aimerai passer s'il vous plait. Dis-je avec un sourire forcé.
- Descend de là et vite ! Cria l'un des hommes
Il avait une dague à sa ceinture, tout comme les autres, je ne le fis donc pas attendre et je descendis de la charrette. J'avais à peine posé le pied sur le sol que l'un d'eux se ruait vers moi, heureusement que j'ai eu le réflexe de me décaler, esquivant ainsi un coup d'épée. Seulement, je n'eus le temps de me ressaisir, un homme s'était déplacé derrière moi, il put donc m'attraper, désormais j'étais pris au piège.
- Que contient cette bourse accrochée à ta taille ? s'enquit celui qui semblait être le chef de la bande.
- Elle est vide Messer.
Il s'agissait là de la bourse qui contenait l'argent pour le bûcheron. Emanuele avait demandé à un couturier de lui créer une bourse sur mesure, il y tient beaucoup c'est pourquoi à chaque fois je reprend la bourse même si elle est vide.
- Rien dis-tu ? Je n'en crois pas un mot.
D'un coup d'épée, l'un des hommes coupa le cordon qui reliait la bourse à ma ceinture. Il l'ouvrit et vit qu'elle était belle et bien vide.
- Que transportes-tu dans ta charrette ?
- Du bois Messer, je dois le livrer à une boutique en ville. Je viens tout juste de l'acheter, c'est pourquoi la bourse est vide.
- N'as tu donc aucun argent à me donner ?
- Non Messer, je n'ai rien sur moi. Revendez ce bois si vous le voulez, il y a de quoi remplir cette bourse !
L'homme se mit à rire, aussitôt ses hommes l'imitèrent.
- Ce n'est pas le bois que je vais revendre !
L'homme qui me tenait me noua les mains et les pieds avec une corde. Il me porta et me déposa à l'arrière de la charrette avec le bois. Le chef me regarda droit dans les yeux, sourit et me dit "Bienvenue dans le monde des esclaves mon ami !"
Relations :
- Famille :
Azer Merilio est pour Flavio l'une des seules personne à qui il peut faire confiance. Depuis le 1er Novembre, ils sont frères étant donné qu'Azer l'a fait rentré dans sa famille.
Astalmo Von-Herbert est un homme que Flavio trouve très gentil. Il l'a rencontré lors du bal.
Vàna Nawendë est une Dame qui ne doit surement pas connaître Flavio. En revanche, il la connaît, étant esclave il lui a rendu quelques services. Elle fait partie de Dorélys, c'est donc sa nouvelle soeur.
- Amis :
Evzen est arrivé en même temps que Flavio.
Hadyran travaille en face de l'Orme Altier.
Hydan est un compagnon de travail de Flavio.
Suna Adam avait sympathisé avec Flavio avant la bataille de boules de neiges, puis pendant et après ils ont fait un peu plus connaissances. C'est une personne que Flavio apprécie.
Melkyor était le Maître de Flavio, il lui a montré ou dormir et lui a payé un bon repas.
- Connaissances appréciées :
Sybelle Phareste l'a nourri quand son ventre gargouillé. Flavio l'apprécie malgré qu'elle ait voulu le mordre.
Cain Keryah Vuhori. Flavio mange souvent à sa taverne.
Tremer Eliel est un ami de Flavio, il l'a rencontré dans la rue, l'a aidé et lui a payé une petite bierre.
Kylian a sympathisé avec lui à la taverne.
- Personnes parti(e)s :
Eryka Deglass. Flavio est triste car il a sympathisé avec elle mais elle est partit sans le prévenir.
Ludwig-Diogène. Flavio en a entendu parlé quelques fois par Azer, il lui a dit qu'il était de la même famille que lui. Flavio sait qu'il est partit, mais il ne le connaît pas.
- Ennemies :
- Personnes méprisées :
Daviel était l'ancien Maître de Flavio.
Historique :
- Arrivée : 2 Septembre 514
- Acheté pour 20eO par la famille Dreher : 2 Septembre 514
- Travaille avec Daviel : 2 Septembre 514
- Vendu à la famille Dravek : 2 Septembre 514
- Vendu à la famille Dreher : 7 Septembre 514
- Travaille à l'Orme Altier avec Azer, Hydan et Melkyor : 9 Septembre 514
- Achète sa maison au Quartier Ouest : 19 octobre 514
- Libéré et reconnu comme Habitant : 19 octobre 514
- Rejoint la famille Dorélys : 1 Novembre 514
- Achète une maison au quartier d'Adobe : 05/02/515
