Utilisateur:Tremer

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Ahikigamiri
Pseudo
Ahikigamiri
Prénom IRL
Tremeur
Âge IRL
15





Description de Tremer Eliel

C'est un homme de 36 ans, il fait 1m78 et pèse 72 kilos. Il est né a Breithe dans le Canatan et parle le capitalin. il est artisan du bois et est passionné par son métier si bien qu'il s'est ruiné la santé à travailler et a le dos courbaturé. Il est assez imposant mais se tiens souvent courbé a cause de son dos ce qui ne lui permet pas d'être vu comme tel. Il a des cheveux grisâtres lissé vers l’arrière avec une grand mèche (noué a l’arrière du crâne) qui les retiens.

Aptitudes

Talents

-(?)-

Défauts

Pas très sociable aux premiers abords (assez froid), ne peut pas faire d'efforts physique sur le long terme, n'a pas vraiment une très bonne mémoire (surtout pour les noms et les visages).

Intérêts culturels et goûts

Vénère le culte d'Arbitrio, s’intéresse à toutes formes d'art. Apprécie la morue et le raisin.

Maîtres, connaissances, amis(es), ennemis(es)

Maître:


Daviel Daviel Un artisan du bois de la famille Dreher, froid aux premiers abords mais avec un fond sympathique.


Philip Androix Philip Androix Un homme gentil a qui a été confié Tremer le jour de son arrivé en tant qu'esclave. Ressemble beaucoup à Saltan.


Saltan Androix Saltan Androix Un homme gentil a qui a été confié Tremer le jour de son arrivé en tant qu'esclave. Ressemble beaucoup à Philip.

Connaissances:


Dagnir Dagnir Cette homme lui à confié son premier travail.


Quartus Quartus Un jeune homme qu'a rencontrer Tremer dans la rue.


Flavio Flavio Lui de même (Mais lui il m'a offert une bière héhé).


Kylian Kylian Un jeune homme sympathique rencontré dans la rue.

Ami(es):


Elyse Ladirus Elyse Ladirus Une jeune femme qui est arriver dans le même bâteau que Tremer, ils ont sympathisé.


Aamos Nkönen Aamos Nkönen Un homme du dispensaire qui a été assez accueillant envers Elyse et Tremer. Il est très gentil.

Histoire

Le foyer

C'était lors d'une nuit très lumineuse, peut être lors d'une pleine lune. Tremer essayait de dormir lorsqu'il entendit des bruits sourds, des crises de toux roques suivit d'étouffements courts. C'était Eliaz leur enfant, cela faisait déjà 4 ans qu'Ewen, la femme de Tremer l'avait mis au monde, leur seul et unique enfant, jamais il n'avait réussi à en avoir un autre. Ewen était la première à sauter du lit pour le rejoindre. Tremer ,lui, prenait plus de temps à se réveiller. Une fois arrivé, il ne se doutait pas que c'était si grave, du sang... Du sang ! Eliaz crachait du sang. Cette histoire s'était tassée pendant un certain temps, c'était devenu un tabou entre le couple. Mais bientôt les crises étaient de plus en plus fréquentes. Ewen faisait le tour des médecins de Breithe chaque jour tandis que Tremer gérait le magasin. Seulement aucune personne ne connaissait cette maladie, aucun remède ne marchait sur l'enfant. Si bien qu'Ewen fît sûrement la plus grosse erreur de sa vie. Un homme mystérieux lui proposait une solution, mais Ewen devait toujours être à la disposition d'une secte en échange. Tremer était si inquiété par l'état de son fils qu'il ne posait pas de question lorsqu'Ewen revenait à la maison le soir avec Eliaz comme si de rien n'était. Seulement, un mois plus tard, Ewen et le fils de Tremer ne revenaient pas, Tremer attendait, il attendit longtemps, mais quand il se fit nuit, c'était trop tard pour lui, il sortit en trombe de sa maison et courait partout dans la ville à la recherche de sa femme. Il criait de toutes ses forces dans les petites ruelles. Il ne les trouvait pas. Quand il fut devenu muet a force de crier, il se calma, il reprit son calme, se dit qu'en rentrant chez lui, il les retrouverait surement. Bien sur, rien, ils n'étaient pas là. Il attendait pendant la nuit, lorsqu'en plein milieu de la nuit quelqu'un toqua à la porte. Tremer ouvrit précipitamment et vit Ewen écrouler perdant tout son sang, elle était morte. Tremer choqué, pris tous ses outils et parti a la capitale pour travailler , niant les faits, plus de femme, plus d'enfant, il n'avait plus rien, il n'a plus rien, il n'a jamais rien eu... "Nié tout en bloc ne sert clairement a rien, mais on peut toujours se réfugier tant qu'on le peut... Se réfugier dans le silence."

Au travail.

À cette époque Tremer est à la Capitale, dans un atelier où il est simple ouvrier. Il entendait la voix du client et la voix doucereuse presque aiguë et crispante de son patron. Toutes les réactions, des plus énervantes aux plus imprévisibles, on aurait dit qu'il les avait prévues, comme s'il en tenait une liste. Il a toujours de quoi y répondre, si bien qu'il s'ai mis tous les bourgeois de la ville dans la poche. Jamais il n'a accepté de clients défavorisés. Il fait payer ses services minables à un prix démesuré, d'ailleurs seuls trois clients connaisseurs ne demandent seulement mes services. Parfois, mon patron me demande de faire son travail et cette fois-ci, ça ne va surement pas rater, je le vois à la manière de parler du client. Effectivement, ça n'a pas raté, je le vois qui entre en trombe dans l'arrière-boutique. Il me crie dessus :

Sur un ton froid, presque grisant "Hé, toi, au lieu de rêvasser. Mon client attend de nous une dizaine de meubles. Remets-toi au boulot"

Je ne lui répondais pas et me remis au boulot. Une fois au travail personne ne pouvait plus m'arrêter, j'étais passionné, c'est comme une habitude, un geste que j'aurais travaillé des milliers de fois. Mais les commandes se faisaient de plus en plus pressante, nous avions de moins en moins de libertés. Il fallait absolument que je parte, je ne pouvais plus supporter ce mode de vie.

La mise en esclavage.

Il fallait que je parte et je l'ai fait ! C'était insupportable alors je suis parti en pleine nuit avec des outils pour pouvoir me refaire. J'avais loué une chambre à l'auberge, j'allais y rester une semaine pour me faire oublier, partir me rendais fou de joie, mais faire quelque chose de moi-même après tout ce temps passer sous la botte d'un homme qui ne me laissait aucune liberté. Avant de me cloîtrer à l'auberge, je suis passé par le port, ça m'avait toujours ébloui. Tant de beautés dans ces grands engins en bois. Les voiles bombés des navires sculptés, du bois massif. Comment tout cela peut flotter ? Je suis resté encore quelque temps a admirer les navires.

Soudainement "Aïe!"

En déambulant, j'avais écrasé le pied d'un homme dans la vingtaine.

D'un ton acéré "Hé, vous là? Regardez devant vous quand vous marchez. Je travaille!"

C'était un contremaître. J'avais entendu parler du commerce d'esclave. Esperia cette île que l'on dit luxuriante. Ils achètent souvent des esclaves pour certains travaux. J'aimerais bien partir pour Esperia, peut être que l'on me jugerait à ma juste valeur. J'aurais peut-être une place parmi les artisans. Je pourrais me faire un nom...

Tremer est coupé soudainement "Monsieur, vous n'voyez pas que vous êtes juste devant moi? Laissez moi travailler!"

Je m'excusais en regardant le soleil, il se couchait, je devais aller à l'auberge. Pressé par l'heure et pensif, je courais dans la ville lorsque je bouscula quelqu'un. Nous tombions tous les deux par terre quand je me rendis compte que c'était mon patron. Quand j'y pense, je n'ai jamais eu beaucoup de chance... J'avais a peine eu le temps de me relever que je sentis une douleur dans mon ventre. Il n'y était pas allé de main morte et dès qu'il m'a vu avec ses outils, que j'avais bien sur voler, il m'a bien sur bastonner jusqu'à que je ne puisse plus comprendre ce qu'il m'arrivait. Quand je repris mes esprits, je n'avais plus d'outils sur moi et j'étais attaché. J'étais en prison. Un grand homme barbu s'assit et me dit :

Sur un ton grave "Tu sais ce que l'on fait aux voleurs? On leur coupe la main... Et je crois que toi tu n'vas pas y échapper mon beau."

Je ne voulais pas perdre ma main, mes mains, c'était tout mon métier et sans elles, je ne pouvais rien faire. Je commençais à paniquer lorsque je vis mon patron qui chuchotait à l'oreille de l'homme barbu... Et cet homme se reprit.

Après une légère toux "Mais visiblement ton patron a du cœur, et je lui doit bien ce service. Il dit que perdre une main serait terrible pour un artisan alors on va plutôt t'envoyer dans un coin paumé ou on ne pourra plus jamais te revoir!"

Ils rigolaient, mon patron repris "Si encore... Tu restes en vie!"

Je n'avais pas compris sur le moment, mais l'homme barbu était un ami de mon patron, cet homme s'occupait d'affaires, d'affaires dans l'esclavage... J'allais être mis en cale avec d'autres esclaves en partance pour Esperia. Bon, je voulais aller à Esperia, j'avais espéré pouvoir travailler là-bas en tant qu'artisan, mais je ne pensais pas y aller en tant qu'esclave ! Esclave, ce mot résonnait dans ma tête, l'homme barbu m'avait assommer... C'est tout ce dont je me rappelle maintenant, maintenant que je suis dans ce qui me parait être une cale, une cale pleine d'esclaves?

Et maintenant?

-(A venir)-