Utilisateur:Esterad : Différence entre versions
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+ | Quelques mois avant le cataclysme qui conduira les Esperiens à l'exil, il se fait construire une maison bourgeoise au bord du lac et est brièvement Intendant d'Adobe. Il participe aux débuts timides de la [[Archipel_des_Esperies|Nouvelle-Esperia]] aux côtés du dirigeant d'alors. Mais les dérives du régime le lasse et il se décide à prendre le large pour un tour du monde. | ||
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− | Esterad pose à nouveau le pied sur la Nouvelle-Esperia en juin 520, sans arrière pensée particulière. Il | + | Esterad pose à nouveau le pied sur la Nouvelle-Esperia en juin 520, sans arrière pensée particulière. Il veut y reconstruire une vie dans une ville marquée par l'instabilité politique. D'abord distant du pouvoir, sa rencontre avec [[Utilisateur:Cassien|Cassien Sulka]] change radicalement ses projets. Sincèrement convaincu par les projets de cet homme, il apportera une aide non négligeable à la rédaction de son [[Codex Esperien]]. Lorsque Cassien est élu premier [[Livre_1_:_Constitution_Esperienne#10.1_:_Du_Bourgmestre|Bourgmestre]] de ce tout jeune régime en septembre 520, Esterad est nommé Mestre et peut replonger dans l'architecture. Il reprend la fabrication d'alcools, démarre la rédaction d'un [[Précis sur la Législation]] et se fait construire une [[L'Idoine Ouvragée|nouvelle maison]]. |
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+ | En janvier 522, après quasiment un an au pouvoir, Esterad prend conscience de son âge. D'aucuns savent qu'il a déjà dû désamorcer deux frondes à son encontre, et la vieillesse et la fatigue ne lui permettront pas d'être aussi alerte dans le futur. Esperia a besoin d'un chef de file rajeuni et d'un dirigeant moins souple que lui pour aborder le choc de l'avenir. C'est avec le sentiment du devoir accompli qu'Esterad annonce sa démission au Concilium. C'est une surprise pour beaucoup car les dirigeants à passer eux-même le pouvoir se font rares sur Esperia. Il prend ainsi sa retraite pour se consacrer à son manoir et à ses bouteilles. Esterad laisse à la cité une [https://www.esperia-rp.net/wiki/index.php?title=Codex_Esperien_:_Constitution&oldid=102955 constitution]] et [https://www.esperia-rp.net/wiki/index.php?title=Livre_2_:_Lois_Organiques&direction=prev&oldid=104621 ses] [https://www.esperia-rp.net/wiki/index.php?title=Livre_3_:_Lois_Ordinaires&direction=prev&oldid=104730 lois] fonctionnelles mais éloignées de son [[...|projet idéal]]. | ||
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Après un début de vie bohème entre Pendil et La Capitale, Esterad débarque en Esperia en juin 517. Il commence par vivre au quartier Ouest, mais il porte ensuite rapidement son choix sur Adobe où il loue une taverne sans prétention, le Flamboyant, ainsi qu'une petite maison. C'est à ce moment qu'il débute sa carrière politique : d'abord Censeur, il devient ensuite Grand Intendant. Son mandat est entrecoupé de crises dont l'une des plus sanglantes de cette période, la Brumaire Noire, le marque durablement. Esterad brille par sa capacité d'adaptation, pas toujours sincère, au pouvoir en place, qu'il soit monarchique ou républicain.
Quelques mois avant le cataclysme qui conduira les Esperiens à l'exil, il se fait construire une maison bourgeoise au bord du lac et est brièvement Intendant d'Adobe. Il participe aux débuts timides de la Nouvelle-Esperia aux côtés du dirigeant d'alors. Mais les dérives du régime le lasse et il se décide à prendre le large pour un tour du monde.
Esterad pose à nouveau le pied sur la Nouvelle-Esperia en juin 520, sans arrière pensée particulière. Il veut y reconstruire une vie dans une ville marquée par l'instabilité politique. D'abord distant du pouvoir, sa rencontre avec Cassien Sulka change radicalement ses projets. Sincèrement convaincu par les projets de cet homme, il apportera une aide non négligeable à la rédaction de son Codex Esperien. Lorsque Cassien est élu premier Bourgmestre de ce tout jeune régime en septembre 520, Esterad est nommé Mestre et peut replonger dans l'architecture. Il reprend la fabrication d'alcools, démarre la rédaction d'un Précis sur la Législation et se fait construire une nouvelle maison.
Alerte et travailleur, Esterad a le sens du devoir et sert Cassien avec loyauté. C'est donc assez logiquement que celui-ci lui propose de prendre sa suite en mars 521. Après ce coup du destin qu'il n'attendait pas vraiment, Esterad, qui entre-temps est devenu Noble, redouble d'efforts pour former un système administratif précis, puissant et loyal. Pourtant, car certains de ses projets se heurtent à la réalité et certaines de ses positions sont trop timorées, il ne peut pas mener sa politique idéale. Bâtisseur, il dessine un nouvel Hôtel de Ville et achève le Fort-Louvoy. Il démarre enfin un plan d’embellissement des bâtiments publics et des avenues.
Esterad parvient à consolider son assise et à incarner une figure de bon dirigeant. Les mesures pragmatiques qu'il prend, son ouverture au dialogue et sa volonté de forger un État fort font de lui un Bourgmestre apprécié. Il s'entoure d'un gouvernement responsable et n'hésite pas à remplacer les têtes trop frileuses ou bien contestées. En parallèle, avec Cassien, il participe à la fondation de la Maison Ascensia - renommée Maison de l'Oiseau blanc - pour qui il bâtira un somptueux manoir, le Manoir Écarlate.
Vue de l'Îlot (au premier plan : le Manoir Ecarlate - à l'arrière plan : l'Hôtel de Ville et le Fort-Louvoy)
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En janvier 522, après quasiment un an au pouvoir, Esterad prend conscience de son âge. D'aucuns savent qu'il a déjà dû désamorcer deux frondes à son encontre, et la vieillesse et la fatigue ne lui permettront pas d'être aussi alerte dans le futur. Esperia a besoin d'un chef de file rajeuni et d'un dirigeant moins souple que lui pour aborder le choc de l'avenir. C'est avec le sentiment du devoir accompli qu'Esterad annonce sa démission au Concilium. C'est une surprise pour beaucoup car les dirigeants à passer eux-même le pouvoir se font rares sur Esperia. Il prend ainsi sa retraite pour se consacrer à son manoir et à ses bouteilles. Esterad laisse à la cité une constitution] et ses lois fonctionnelles mais éloignées de son projet idéal.
Le 28 mars 522, peu après 10 heures du soir, il rend son dernier soupir au terme d'une maladie fulgurante des poumons.
Côtes-du-Faravahnî Le Côtes-du-Faravahnî est un vin aimable qui commence à s'imposer comme un immanquable des vins de terroir Esperiens. Sa qualité augmente avec l'âge mais est réputé jeune dans le mois suivant sa confection. Il se réalise, dans l'idéal, avec deux cépages.
Bachique Noir Le Bachique Noir est un vin de cépage Noir Esperien qui vous évoquera la forêt de votre enfance ! Goûtez à toute l'essence du terroir Esperien dans ce bachique honnête. Vin primeur, il faut le boire jeune, avant 6 mois d'âge.
Coteaux-de-la-Flèche Et si nous goutions ce fleuve qui grandit entre La Pointe et le Kalafiskru ? L'ont dit que ses coteaux renferment de plus riches saveurs, et la preuve en est avec ce fameux vin blanc de nos caves. Ample en bouche, son corps onctueux ravira les plus raffiné de chez vous. Sa rondeur veloute son harmonie de notes sucrées.
La Fendeuse de Tonnelets La Fendeuse est une blanche de garde qui doit tout son charme à sa refermentation en tonnelets de chêne. Le folklore voudrait qu'un tonnelet mal muselé n'ait pu contenir cette blanche de caractère lors de sa refermentation, lui valant le surnom de "fendeuse". Sa belle teneur en alcool est subtilement mariée à des saveurs puissantes, caractéristiques des fûts de chêne vieillis, mais elle reste une bonne bière peu calorique.
La Pinacle Si l'on remonte aux origines de la Maison, la première demeure a avoir abritée nos fûts fut l'Acanthe Chevaleresque, à la Place Forte. Pourquoi ne pas lui rendre hommage en nommant ainsi notre bière de caractère ? Ce délice soyeux vous surprendra de ses nuances boisées, dignes des plus belles bières de ces régions.
Uisce Beatha "Source de Vie" est un distillat dont le procédé est gardé secret. C'est un spiritueux de deux types d'orges maltés, vieilli en fût de chêne durant une période allant de trois à six mois. Cette cuvée promet de s'inscrire dans l'histoire d'Esperia comme un spiritueux d'exception, véritable amalgame de savoir-faire et d'audace. C'est un spiritueux né de l'assemblage des meilleurs grains du terroir Esperien, fécondé par les mêmes barriques en chêne caractéristiques de notre fameux "Côtes-du-Faravahnî" puis embouteillé sans filtration. Il en ressort un alcool de qualité remarquable, aux notes de malt corsé dans une robe cuivrée/ambrée.