Konrad Ivarius

Konrad Ivarius
Informations
Nom	Konrad Ivarius
Sexe
Naissance	459
Famille
Famille de naissance	Ivarius
Père	Stradd Ivarius
Mère	Lorelle Ehardy
Fonction & Croyance
Fonction	Conseiller
Religion	Monachisme
Origines
Ville de Résidence	La Capitale
Ville d'origine	Estellaz
Région d'origine	Albunae
Nation d'origine	Royaume Central

Vieux bonhomme grincheux, Konrad exaspère en permanence son entourage de par ses remarques acerbes. Il semble ne se plaire de rien et passer son temps à compulser ses grimoires déjà emplis de notes, quand il ne dort pas en ronflant la bulle à la bouche.
Cependant sa cervelle étonnante n'arrêtant pas de produire mille et unes idées toutes plus inconcevables les unes que les autres fait de cet homme un personnage respecté, même si l'on raconte que sans ses inventions farfelues, il se serait déjà fait jeter hors de la ville, où il est grassement entretenu.

Jeunesse

Konrad est issu d'une famille aisée, c'est pourquoi, dès son plus jeune âge, il est envoyé auprès des meilleurs précepteurs. Il restera dans son bas-âge dans sa ville natale, mais, tant pour l'enseignement de qualité que pour l'expérience d'un voyage, il part en 475 pour Golvandaar dans les monts de la Nation Adaarionne.
Jusqu'à ses 30 ans, il reste dans le berceau du monachisme. Il passe par divers enseignements qui amènent son esprit à un niveau d'érudition à la pointe de la recherche.

Son retour à La Capitale

En 489, Konrad revient dans le cocon familial, mais son expérience si loin de sa famille le rend désireux de prendre son indépendance.
Il se présente alors aux notables de la ville comme un scientifique et va de place en place. Il observe son entourage et les personnes qu'il rencontre afin de produire toujours plus d'idées qu'il s'empresse de coucher sur le papier.

Son travail

Inventeur de la célèbre lampe à rougepierre, une source lumineuse étonnante, Konrad ne se penche pas sur un seul des nombreux pans de la science. Il améliore ainsi la mécanique des grues, augmentant leur capacité de charge. L'homme farfelus a également publié de nombreux traités scientifiques sur des sujets populaires, adorant se trouver sous les feux de la rampe.
On raconte qu'il est régulièrement visité par quelques généraux de la Légion, alimentant les rumeurs sur des inventions militarisées.