Utilisateur:Aurore sterenn
~ Description générale ~
Nom : Sterenn.
Prénom : Aurore Caitlin Luna.
Taille : 1m67.
Poids : 55 kg.
Âge : 18 ans.
Date de naissance : 13 Décembre 495
Ville de Naissance et de vie : La Capitale
Croyance : Arbitrio.
Yeux : Bleu clair tirant sur le gris.
Cheveux : Cheveux mi-long de couleur châtain.
Peau : Pâle, tirant sur un rose pêche.
Main : Droitière.
Marques distinctives : Deux cicatrices entourées de brûlures de part et d'autres du ventre.
Allergies : Poissons et fruits de mer, excepté le poulpe.
Autre : Corps svelte mais endurci par la vie dans la rue.
Compétences
- Grâce à l'enseignement de son père :
Alchimie : Elle connait quelques rudiments d'alchimie bien que cela remonte à quelques années.
Minutie : Elle arrive à avoir des mouvements clairs et assurés lorsqu'elle fait un quelconque travail.
- Grâce à l'enseignement de sa mère :
Créativité : Elle possède, grâce aux romans et tableaux de sa mère, un bon capital de créativité.
Dessin : Elle sait dessiner et peindre.
- Grâce à l'enseignement de son précepteur :
Alphabétisation et calcul : Elle sait écrire, lire et compter. Elle connait également quelques notions en astrologie sommaire qu'elle a, pour la plupart, oubliées.
- Grâce à l'enseignement de Clelya :
Agilité : Son apprentissage dans la rue lui aura permis de développer une grande souplesse.
Description physique:
Maintenant qu'elle est une jeune adulte, on se rend vraiment compte de l’héritage de sa mère, elle est son portrait craché.
Comme elle, elle a des cheveux mi-longs lui tombant sur les épaules, légèrement ondulés, d’un châtain flamboyant tirant sur un roux discret.
De sa mère elle a également héritée sa silhouette fine et altière, quoique, sa mère était tout de même plus grande qu'elle.
Elle a aussi héritée sa peau claire, sublimée par des touches de rose pêche.
Elle a cependant héritée des yeux de son père, d’un bleu clair, tirant légèrement sur le gris.
Quand elle fronce les sourcils, on peut y revoir l'air concentré de celui-ci, presque grave, alors qu’il était plongé dans des bouquins, à faire ses sempiternelles recherches.
Elle a également deux cicatrices entourées de traces de brûlures de part et d’autre du ventre dû à l’incendie lors de « La Tragédie ».
Certaines nuits, elles la tiraillent encore, l’empêchant alors de trouver le sommeil.
Description psychologique:
« Ce qui ne te tue pas te rends plus forte ». Cette phrase prononcée jadis par son père fait échos dans tout son être. La mort, elle l’a frôlée à de nombreuses reprises et cela a forgé son caractère. Elle est rationnelle et ordonnée. Elle a apprit à ne pas être trop optimiste afin de ne pas être déçues et à ne pas être trop pessimiste afin de garder espoir et de continuer de vivre. Elle a tendance à cacher ses sentiments et ses pensées au plus profond d'elle, surtout depuis la mort de Clelya. Elle a peur d’ouvrir son cœur car elle a l’impression que ceux qui lui sont chers sont condamnés à un destin funeste.
Qualités & Défauts
Qualités
- Persévérante.
- Apprend vite.
- Bonne mémoire.
- Ordonnée.
Défauts
- Est méfiante envers la gente masculine.
- Laisse souvent des phrases incomplète en suspens.
- Lunatique : oscille entre l'optimiste et le pessimisme.
- Hésitante.
- Mal à l'aise lorsque la foule est trop importante.
~ Intérêts ~
Nourriture
Boisson
Phobie
: Depuis l'incendie de sa maison, elle a peur du feu. Elle panique rien qu'à son évocation.
35px : Aurore a une sainte horreur des abeilles.
Gouts
: La couleur favorite d'Aurore est le bleu ciel.
: Aurore, bien qu'elle en redoute la morsure, se sent particulièrement proche de la saison de Nivôse.
: L'animal préféré d'Aurore est sans conteste le chat. Elle ne pourra résister à l'envie d'aller en caresser un si elle en croise.
: Aurore aime l'escalade. Elle aime tout particulièrement grimper en haut des toits pour admirer la vue des alentours.
~ Histoire ~
Chronologie
- An 495 -
- Mercredi 13 Décembre de l'an 495 :
- Naissance de la fille de Forgant Sterenn et de son épouse Luna Sterenn dans La Capitale.
- Elle porte les noms Aurore, Caitlin et Luna.
- An 500 -
- Samedi 01 Janvier de l'an 500 :
- Naissance du fils de Forgant Sterenn et de son épouse Luna Sterenn dans La Capitale.
- Il porte les noms Heras et Forgant.
- An 501 -
- Dimanche 24 Juin de l'an 501 :
- Prise en charge de l'éducation d'Aurore par un précepteur, ami de Forgant : Ignatus Ordiil.
- An 503 -
- Samedi 13 Décembre de l'an 503 :
- Incendie de la Maison Sterenn.
- Mort des parents et du frère d'Aurore.
- Soin par Ignatus Ordiil.
- An 504 -
- Mardi 06 Janvier de l'an 504 :
- Mort d'Ignatus Ordiil.
- Jeudi 08 Janvier de l'an 504 :
- Capture par des bandits.
- Dimanche 18 Janvier de l'an 504 :
- Vente d'Aurore sur le "petit marché" au profit d'un habitant de la Petite République dénommé Maître Saigo.
- An 506 -
- Lundi 20 Mars de l'an 506 :
- Première "atteinte" de Maître Saigo sur Aurore.
- An 509 -
- Jeudi 16 Avril de l'an 509 :
- Meutre de Maître Saigo par Aurore.
- Fuite du Manoir.
- An 510 -
- Lundi 27 Septembre de l'an 510 :
- Rencontre avec Clelya.
- An 512 -
- Samedi 03 Novembre de l'an 512 :
- Premier baiser avec Clelya.
- An 513 -
- Vendredi 05 Juillet de l'an 513 :
- Début de l'apprentissage de la couture.
- Vendredi 01 Novembre de l'an 513 :
- Découverte de la lettre de Clelya.
- Dimanche 03 Novembre de l'an 513 :
- Rixe avec les mercenaires.
- Disparition de Clelya.
- Capture et mise dans un bateau à destination de Fort Lointain.
- Vendredi 15 Novembre de l'an 513 :
- Arrivée à Fort Lointain.
- Dimanche 17 Novembre de l'an 513 :
- Départ de Fort Lointain en direction d'Esperia.
- Mardi 19 Novembre de l'an 513 :
- Arrivée en tant qu'esclave à Esperia.
- Achetée par Pépi guðrækinn sta-Skÿrn Moscaw pour 70 Espers d'Or en tant que couturière.
- Vendredi 29 Novembre de l'an 513 :
- Soin d'Aurore au dispensaire. Les cicatrices sont rouvertes et des morceaux de verre en sont extraits.
- Aurore rencontre Lucie.
- Mercredi 4 Décembre de l'an 513 :
- Aurore fabrique sa propre tenue. Une tenue serrée en cuir noir.
- Dimanche 15 Décembre de l'an 513 :
- Lucie et Aurore s'avouent leurs attirances mutuelles et s'embrassent.
- Mardi 17 Decembre de l'an 513 :
- Aurore se fait libérée et devient donc une habitante d'Esperia.
Histoire
Cela fait de nombreuses années que sa vie à complètement basculée. Elle qui était née dans une famille aisée de la Capitale. Fille de Forgant Sterenn, un Patricien également Alchimiste de renom et de sa femme Luna, elle avait tout pour être heureuse, son père la prédestinait à le suivre dans sa carrière et elle a passé presque 4 années avec un précepteur, un ami de la famille, qui l'a alors appris à lire, écrire et compter, ce genre de choses. Le temps qu'elle passait chez elle, elle le passait à observer et aider son père dans son atelier et à dessiner avec son petit frère, Heras, dont elle était de 4 ans son aînée. Mais un beau jour, tout lui fut enlevé ...
« La Tragédie »
Le 13 décembre 501, elle venait de fêter son 8ème anniversaire avec sa famille au coin du feu, elle avait eu de son père un nécessaire à potion, de quoi jouer l’apprentie à ses côtés, et de sa mère quelques colorant afin de se consacrer à l’une de ses autres passion : la peinture.
Pour une fois, elle avait pu veiller tard étant donné que son précepteur avait un peu de retard pour venir le chercher et l’emmener chez lui.
Cependant, aux alentours de 23H, une effroyable explosion retentis dans le laboratoire de son père, provoquant alors un incendie terrible suivit d’un éboulement d'une partie de la maison. Elle fut alors ensevelie sous une pile de gravât incandescent, transpercée par un débris et elle commençait à s’évanouir. A mesure que sa vue se troublait et qu'elle sentait ses forces la quitter, elle entendait des pas s’approcher d'elle.
Lorsqu'elle s'est réveillée, elle était dans l’appartement de son précepteur, Ignatus Ordiil, qui lui avait sauvé la vie. Son corps était encore énormément endolori mais ses jours n’était plus compté contrairement à sa famille qui avait péri lors de l’incident. Elle avait dût passer au moins cinq jours entre la vie et le trépas et sans son aide elle aurait déjà rejoint ses parents et son frère. Mais ce n’était pas la fin de l’acharnement du destin pour autant ...
« L’Abandon »
Quelques semaines après son rétablissement, le vieux sage mourut pendant son sommeil. La rude saison de Nivôse aura eu raison de lui. N’ayant alors plus aucun moyen de subsister, elle a dût aller quérir de la nourriture hors de son logis. Bien mal lui en a prit, à peine quelques heure sorti qu'elle tombait nez à nez avec de dangereux malfaiteurs. Ils la capturèrent donc et la destinèrent au « petit marché ».
Elle fut donc enfermée dans une caravane piteuse où elle y est resté une bonne dizaine de jour, nourrie avec seulement du vieux pain moisi et une eau à la couleur douteuse. Arrivée à destination, ils l’exhibèrent, dans un quartier sombre du sud de la ville qu'elle ne connaissait pas, à une foule tout aussi mystérieuse.
Elle fut alors vendu à un dénommé "Maître Saigo". Elle fut alors contrainte de travailler à son service en tant que bonne à tout faire. Elle a récuré de fond en comble son manoir de la Petite République, préparé un millier de repas et satisfait les moindre désirs de ce rustre. Mais au moins elle était nourrie convenablement et logée, bien que dans une pièce assez insalubre, c’était tout de même mieux que la rue. Mais un jour, un événement qu'elle aurai aimé sortir à jamais de sa mémoire eu lieu ...
« Le Dégout »
Deux ans qu'elle était contrainte à la servitude d’un ivrogne qui ne pensait qu’à multiplier les conquêtes. Car des courtisanes elle en avait vu défiler. Au moins pendant ce temps il la laissait tranquille.
Mais un jour, alors qu’il avait un peu trop abusé sur la vinasse et qu’une fille de joie avait refusé ses avances, il essaya de venir souiller le corps de la fillette. Elle eu beau essayé de résister, mais sa force n’était pas suffisante et il réussi finalement à l'immobiliser pour assouvir ses pulsions.
Et le pire c’est qu’il revenait de temps à autre abuser d'elle, profitant de sa faiblesse et ce pendant 3 longues années. Mais un jour, il a fallu que cela cesse et elle était bien décidée à y mettre un terme ...
« La Fuite »
La mélodie funeste commençait à se répéter : il avait une fois encore bu plus que de raison, aucune courtisane n’était présente dans le Manoir, il ne restait plus qu'elle. Cette fois-ci, elle avait réussi à s’introduire à l'insu de son maître dans l’armurerie. C’est là où il entreposait les fers qu’il utilisait pour l’immobiliser pendant qu’il abusait d'elle. Elle disposait donc de l’effet de surprise.
Elle prit alors la première arme qu'elle trouvait et qui lui paraissait assez légère pour qu'elle puisse la manier. Son choix se porta sur une rapière sans garde. L’entendant alors s’approcher, elle pointa alors l’épée en direction de la porte, prête à agir.
Après une légère absence, elle le vit qui gisait à ses pieds, la lame plantée dans son cœur et cette même lame dans les mains de la jeune fille. Sans réfléchir, elle a alors prit ce qui lui passait sous la main, quelques émeraudes, des sacoches qu'elle accrocha à sa ceinture et un fourreau pour la lame d’argent.
Elle se mit alors à courir le plus loin du Manoir qu'elle le pouvait. Elle ne voulait pas passer d’une vie de servitude à une vie d’emprisonnement. Elle avait retrouvé sa liberté et ne souhaitait pas la perdre de sitôt. D’autant plus qu’une rencontre quelques mois plus tard lui redonna alors goût à la vie ...
« La Rencontre »
Un an après son échappée, elle s’étonnait que la garde de la ville n’ait pas cherché à la retrouver. Elle n'a compris que plus tard qu’étant une esclave achetée au marché noir, rien ne prouvais qu'elle existait au sein du manoir et encore moins qu'elle était là au moment du meurtre. Ils n’avaient donc aucune piste.
Il lui fallait cependant se nourrir. Elle essaya alors de faire quelques petits travaux, de quoi subsister. Cependant, à mesure que les saisons de Nivôse devenaient de plus en plus glaciale, il était vital pour elle de trouver un refuge. Un soir, elle s’introduisit alors dans une cabane, perchée au sommet d’un bâtiment abandonné dans le quartier de Belle-Roseraie.
Elle fut accueillie par un bâton de bois placé sur son propre cou et une jeune fille à son extrémité, prête à l’assommer. Elle n’en fit cependant rien. La jeune fille lui demanda alors ce qui l’amenait ici. C’est alors qu’après toutes ces années, sans trop savoir pourquoi, Aurore se mit à évacuer toute la souffrance qu'elle avait accumulée. La mort de ses parents, de son frère et d’Ignatus, la capture par les marchands d’esclaves, l’infâme traitement de l'ivrogne, son meurtre et sa fuite. Elle lui a tout raconté.
En guise de réponse, l'inconnue posa son bâton et la prit dans ses bras. C’était la première marque d’affection depuis plus de 6 ans ! Ce fut un réel choc pour elle. Ce jour, elle a surement évacuée toutes les larmes de son corps. La fille des rues lui raconta alors qui elle était.
Clelya de son prénom, elle avait toujours vécue dans cette cabane. Ses parents étant trop pauvres pour posséder une maison, ils vivaient reclus ici. Mais ils ont succombés au froid, la laissant livrées à elle-même. Cependant elle s’est très bien adaptée à la vie dans la rue, développant une grande agilité et de bons réflexes. Dans les mois qui ont suivi, elle a d’ailleurs enseignée tout ce qu’elle savait à Aurore. Elle lui a même apprit quelque chose qu'Aurore n’aurait jamais soupçonnée être capable ...
« La Lumière »
Ça faisait maintenant plus de 2 ans que Clelya et elle parcourraient la Capitale pour trouver de la nourriture et ainsi subsister. Un matin, alors qu'elles déambulaient au cœur d'un des marché, un homme qui tenait un stand de fruit et légumes les prit alors à part. Il proposa de leurs donner un peu de nourriture à la condition que Clelya et elle s'embrassent. Sans même qu'Aurore ai eu le temps de le remettre à sa place, Clelya avait déjà prise sa tête entre ses mains et posa ses lèvres sur celles d'Aurore.
Le marchand s’exécuta alors et donna un panier rempli de pain et de fruit aux deux adolescentes. A partir de ce jour et de plus en plus, Aurore nourrissait des sentiments à l'égard de Clelya sans pour autant lui en faire part.
Un jour, alors qu'elles venaient de trouver de beaux morceaux de tissus, Clelya voulut apprendre à Aurore à faire de la couture. Elle a d’abord commencé à prendre des mesures puis a ensuite découpé les tissus suivant des lignes qu’elle a alors tracé puis les a cousues ensemble, me faisant une jolie robe bleue. Après qu'Aurore l'ai enfilée, Clelya l'a prise dans ses bras, lui disant que c’était sa plus belle création.
Mais elles étaient loin de se douter qu’encore une fois tout allait virer au cauchemar ...
« La Chute »
Comment a-t'elle put être aussi naïve de penser que la mort de son ancien tortionnaire n’aurait aucune répercussion ? Même si elle avait toutes les raisons du monde de mettre fin à ce calvaire avec Maître Saigo, il faut toujours payer pour ses crimes ... mais pourquoi a-t’ il fallut que cela se passe de cette manière ?
Quasiment un an après le fameux baiser, Aurore finit par tomber par hasard sur une lettre que Clelya était en train de lui écrire alors qu'elle était partie en ville chercher de quoi soigner la douleur de ses cicatrices. Elle vis alors que Clelya aussi nourrissait des sentiments forts à son égard. Aussi fort que les siens si ce n'est plus. Ça lui donna alors du courage. Une fois rétabli, elle choisi alors de prendre le jour où Clelya et elle se sont embrassés pour lui faire sa déclaration : le 3 Novembre.
Elle a alors voulu l’emmener au niveau de l’échoppe du marchand, mais un petit groupe de personne a commencé à les suivre. Au départ, elles ne les avaient pas remarqué mais leurs présences s’est faite de plus en plus insistante. Elles ont alors essayés de s’éclipser mais ils se sont alors mis à les prendre en chasse. Elles ont réussis à monter jusqu’aux remparts, le long des falaises bordant le fleuve mais d‘autres les attendaient également là.
Elles furent rapidement encerclées. Ils se jetèrent alors sur les deux jeunes adultes, Aurore sorti alors son épée et Clelya son bâton. Elles se mirent alors à essayer de repousser leurs assaillants. Mais, profitant de l’avantage numérique et de l'inexpérience au combat des deux filles, ils réussirent à faire passer Clelya par-dessus les remparts.
Elle se mit alors à chuter dans le ravin, fonçant droit vers la falaise et ses pics escarpés. Un tourbillon de chagrin s’empara alors d'Aurore et la fit alors tomber à terre, sur ses deux genoux. Elle se laissa alors attraper par les brigands. Elle se retrouvait donc de nouveau dans une de ces horribles caravanes. Mais cette fois-ci, sa destination fut le port où elle fut embarquée dans un bateau en direction de Port Lointain. D’autres personnes étaient avec elle mais elle refusa de sortir un seul mot de tout le voyage...
« L'Espoir »
(W.I.P.)
~ Relations ~
Amis
- Première véritable amie d'Aurore en Esperia. Cette amitié progressa alors en quelque chose de plus fort. Elle se retrouve en Lucie comme elle retrouve Clelya dans l'une des amie disparue de Lucie : Corie. Leur passé si semblables unis les deux jeunes filles et les pousses à s'entraider.
- Aurore ne peut cependant pas s'empêcher de s’inquiéter pour Lucie depuis quelques jours.
Pépi guðrækinn sta-Skÿrn Moscaw
- Son ancienne maîtresse. Depuis qu'elle l'a rencontrée, elle à toujours sur se montrer prévenante et amicale envers Aurore voir même assez maternelle par moment. Depuis sa libération, elles sont donc amies.
Connaissances
- Aurore le trouve un peu trop à cheval sur le protocole mais met ça sur le dos de son age avancé. Elle le respecte en tant qu’aîné mais évite de rester trop prêt de lui.
- Aurore aime beaucoup cet enfant. Son insouciance ne peut empêcher Aurore de sourire quand elle la voit. Aurore semble un peu agir comme une grande-sœur auprès d'elle.
- Malgré son caractère particulier, elle respecte pas mal cet homme, notamment après la "petite leçon" qu'il lui a offerte. Il a décidé d’appeler Aurore "Petit oiseau".
- Un des membres du clan Skyrn avec lequel Aurore a le plus discuté. Il à l'air de partager quelques "cicatrices" semblables à celles d'Aurore mais ne semble pas très doué pour la réconforter.
- Aurore apprécie cette jeune femme, surtout après qu'elle l'ait consolée le jour de son anniversaire.
- Un homme ayant montré son intérêt pour l'escalade. Aurore lui a dispensé un bref cours à ce sujet. Sa compagnie lui plait.
Méfiances
- Après l'avoir vu ivre dans la boutique de Pépi, elle se méfie une peu de lui et préfère garder un œil dessus quand il est dans les parages.
- Pépi a mit en garde Aurore à son sujet. Il semblerait que ce soit une sorte de pirate assez peu fréquentable.
- Bien que ce soit parti d'un mal-entendu, le fait d'avoir été battue par cet homme fait de lui une personne qu'Aurore préfère garder loin d'elle.
Défunts/Disparus
Forgant Sterenn
- Père d'Aurore, mort pendant l'incendie de sa maison. Elle respectait énormément son père qui est et restera sûrement son plus grand modèle.
Luna Sterenn
- Mère d'Aurore, morte pendant l'incendie de sa maison. Elle admire sa beauté naturelle et son port altier. C'est la personne à qui elle aimerai le plus ressembler plus tard.
Heras Sterenn
- Frère d'Aurore, mort pendant l'incendie de sa maison. Bien qu'elle se chamaillait de temps en temps avec lui, elle aimait bien sa compagnie et son insouciance.
Ignatus Ordiil
- Précepteur d'Aurore, mort le 6 Janvier 504 de vieillesse et de froid. Elle avait énormément de respect pour la sagesse de cet érudit.
Clelya
- Plus grande amie d'Aurore. C'est également son premier et unique amour, bien qu'elle ne se soit jamais confessée à elle. Elle a disparu le jour où Aurore s'est faite capturée par les mercenaires et emmenée à Fort Lointain
Esbert Saigo
- Le Maître qui l'avait acheté au "petit marché". Elle ne regrette absolument pas cet homme aux mœurs plus que douteux. Ce serait même la personne qu'elle détesterai le plus au monde si il était, justement, toujours de ce monde.
~ Possessions ~
Tenues actuelles
Accessoires
: Une pochette en cuir rigide accroché sur la ceinture. Il y a un petit de place pour quelques bricoles. Elle la porte devant, à droite.
: Une belle petite bourse blanche recouverte de dentelle où un joli "A" est brodé en bleu foncé. Offert par Pépi lors de sa libération.