Piano

Le piano est un instrument de musique à clavier dont les cordes sont frappées par des marteaux. Il est le jumeau du Clavecin dont les cordes sont pincées.

Le piano à travers l'Ancien Monde

Le piano est un instrument relativement populaire au sein de la République Marchande de Caroggia (qui lui a donné naissance) et du Royaume Central. On le retrouve de façon moindre en Grande Huratelon et chez la Nation Adaarionne.

Il a l'avantage de pouvoir plaire à l'élite comme aux classes moyennes, mais il est peu présent pour les classes les plus pauvres de par l'encombrement et le coût de ce dernier.

C'est un instrument difficile à faire au même titre que le Clavecin.

Réputation et superstitions

Le piano, ou pianoforte peut jouer des sons doux (pianissimo) comme fort (forte). En solo ou dans un orchestre, il complète. Les Caroggians aimant les histoires d'amours fleurs bleues, le piano est apprécié pour jouer les sérénades à l'être aimé. Les plus classes n'ayant pas les moyens ou la place préfère utiliser le moyen d'autres instrument à corde pour faire la cour.

Le piano n'est pas un instrument facile à jouer (nécessite le complément Art : Piano/Clavecin, les deux correspondent). C'est un instrument qui prend de la place, et nécessite la coopération et la patience d'un ébéniste et d'un ingénieur.

Petite histoire

Le Clavecin et le Piano ont été créés à peu près au même instant. Pour la petite histoire, un couple né du Granamistat dont la femme (Dame Sylnoritch) venait de la Grande Huratelon et dont l'homme (Messire Sauviaggini) de la République marchande de caroggia ont inventé le concept ensemble, mais furent incapables de s'entendre sur les sonorités. Cordes frappées, ou cordes pincées ? Leur invention, pourtant géniale, mit fin aux couples, qui n'arrivait pas à se décider, et chacun reparti de son côté dans sa nation respective pour lancer sa trouvaille.

Ainsi, les deux nations ont des avis très différents sur "ce qui est le mieux", et tous connaissent cette histoire qui a divisé le couple. Mais... le charme du Granamistat est sans borne, et l'amour des deux nations, l'une comme l'autre, fût le même pour ce couple ; ils finirent par se retomber dans les bras mutuellement, épris d'un amour infini pour l'autre, et pour la musique !