Pocharde : Différence entre versions
(Page créée avec « <span style="color: #ffae00">'''Appellations courantes :'''</span> <span style="color: #ffae00">'''Facteurs de risques :'''</span> Inconnus. <span style="color: #ffae00"... ») |
|||
| (Une révision intermédiaire par un autre utilisateur non affichée) | |||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
| − | <span style="color: #ffae00">'''Appellations courantes :'''</span> | + | <span style="color: #ffae00">'''Appellations courantes :'''</span> La pocharde. |
<span style="color: #ffae00">'''Facteurs de risques :'''</span> Inconnus. | <span style="color: #ffae00">'''Facteurs de risques :'''</span> Inconnus. | ||
| − | <span style="color: #ffae00">'''Dangerosité :'''</span> Bien que non mortelle, la Pocharde est l’une des maladies à la plus sinistre réputation : sans soins efficaces, l’infection des yeux entraîne une diminution de l’acuité visuelle, puis la perte définitive de la vue. Sans prise en charge, l’infection peut se changer en nécrose et entraîner la mort. Contagieuse le plus souvent par contact physique, les guérisseurs doivent procéder avec une grande prudence en traitant les yeux infectés par la Pocharde. | + | <span style="color: #ffae00">'''Dangerosité :'''</span> Bien que non mortelle, la Pocharde est l’une des maladies à la plus sinistre réputation : sans soins efficaces, l’infection des yeux entraîne une diminution de l’acuité visuelle, puis la perte définitive de la vue. Sans prise en charge, l’infection peut se changer en nécrose et entraîner la mort. Contagieuse le plus souvent par contact physique, les [[apothicaire|guérisseurs]] doivent procéder avec une grande prudence en traitant les yeux infectés par la Pocharde. |
<span style="color: #ffae00">'''Symptômes :'''</span> Maux de gorge, larmoyance, paupières collées et infection des yeux. | <span style="color: #ffae00">'''Symptômes :'''</span> Maux de gorge, larmoyance, paupières collées et infection des yeux. | ||
| − | <span style="color: #ffae00">'''Trivia :'''</span> Aux alentours de l’an 300, les malades de la Pocharde étaient considérés comme impossibles à guérir et étaient le plus souvent bannis de leurs villages et envoyés sur les routes pour y mourir de leur lente infection. Il faut attendre le début du cinquième siècle, aux alentours de 415, pour qu’un monastère | + | <span style="color: #ffae00">'''Trivia :'''</span> Aux alentours de l’an 300, les [[maladie|malades]] de la Pocharde étaient considérés comme impossibles à guérir et étaient le plus souvent bannis de leurs villages et envoyés sur les routes pour y mourir de leur lente infection. Il faut attendre le début du cinquième siècle, aux alentours de 415, pour qu’un [[monastère kiertava]] en errance dans le Nord de la [[Grande Huratelon]] ne décide de faire étape dans l’[[ostat]] de [[Jihnava]] pour s’atteler à la tâche de lutter contre ce mal. Une dizaine de moines y perdirent la vue avant que le monastère ne mette au point un traitement efficace. Depuis, les moines-aveugles de Jihnava sont une série de figures héroïques pour les habitants, [[ostatnis]] comme [[Huras]], de Jihnava et des alentours dans le [[Gyllendal]]. |
[[Catégorie:Maladies]] | [[Catégorie:Maladies]] | ||
Version actuelle datée du 29 octobre 2022 à 18:12
Appellations courantes : La pocharde.
Facteurs de risques : Inconnus.
Dangerosité : Bien que non mortelle, la Pocharde est l’une des maladies à la plus sinistre réputation : sans soins efficaces, l’infection des yeux entraîne une diminution de l’acuité visuelle, puis la perte définitive de la vue. Sans prise en charge, l’infection peut se changer en nécrose et entraîner la mort. Contagieuse le plus souvent par contact physique, les guérisseurs doivent procéder avec une grande prudence en traitant les yeux infectés par la Pocharde.
Symptômes : Maux de gorge, larmoyance, paupières collées et infection des yeux.
Trivia : Aux alentours de l’an 300, les malades de la Pocharde étaient considérés comme impossibles à guérir et étaient le plus souvent bannis de leurs villages et envoyés sur les routes pour y mourir de leur lente infection. Il faut attendre le début du cinquième siècle, aux alentours de 415, pour qu’un monastère kiertava en errance dans le Nord de la Grande Huratelon ne décide de faire étape dans l’ostat de Jihnava pour s’atteler à la tâche de lutter contre ce mal. Une dizaine de moines y perdirent la vue avant que le monastère ne mette au point un traitement efficace. Depuis, les moines-aveugles de Jihnava sont une série de figures héroïques pour les habitants, ostatnis comme Huras, de Jihnava et des alentours dans le Gyllendal.
