Utilisateur:Ysis

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« Nous découvrons tous tôt ou tard dans la vie que le bonheur parfait n'existe pas, mais bien peu sont ceux qui s'arrêtent à cette considération inverse qu'il n'y a pas non plus de malheur absolu. »

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     Asaorsha Ysis
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de la famille







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Launcrach
Pseudo
Ysis
Prénom IRL
Dana













Portrait d'Ysis

Description

De son nom Asaorsha, Ysis est une jeune femme de 29 ans. Celle-ci n'a pas connu Rosalie, sa mère, elle est décédée en lui donnant la vie. Son père Esiroh est mort quelques années après, frappé par le décès de sa femme, mais aussi par les rides sur son visage qui commençaient à faire de lui un vieil homme. Ysis a continué de grandir aux côtés de sa tante Cillsia, une femme issue d'une famille riche. Comme sa tante, Ysis appartient à la classe sociale des riches. Ysis a été marié à un homme, Rubert qu'elle a tué. Elle fait partie du peuple Canatan.



Physiquement :

Ysis a de longs cheveux bruns. Elle a une peau légèrement bronzé et rosé, elle n'est pas métisse du fait qu'elle aime rester enfermée. Ses yeux sont marrons très clairs. Elle a une poitrine bien développée. Ysis est très grande, en chair et en os.

Compétences acquises

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32px-Grille_Boussole.pngMinutie : Sa tante était très minutieuse et Ysis en a prit de la graine.

32px-Grille_Tableau.pngCréativité : Ysis, naturellement est très créative.

32px-Grille_Or_Brut.pngOrfèvrerie : Passionnée par le verre et les pierres, pendant plusieurs années Ysis a apprit dans des livres l'art de l'orfèvrerie, elle a pratiqué chez elle toute seule, pour le plaisir.

32px-Grille_Alambic.pngAlchimie : Un père redoutable comme celui de Ysis n'a pas pu résister de lui retranscrire ses connaissances.

Défauts et qualités :

Joshua, un ami mort dans l'ancien monde quand elle avait 10 ans.

Ysis est une femme peureuse, qui en montre le contraire, mais qui ne le démontre jamais. Elle aime rencontrer du monde et sympathiser, mais n'aime pas se dévoiler entièrement aux autres. Bien qu'elle sait s'abstenir, elle a fort caractère et se laisse facilement emporter par les nerfs quand quelqu'un la contredit ou la vexe. Ysis est une femme persévérante qui aime avoir raison. Elle est souvent distraite pendant les discussions et est propriétaire d'un humour plat. Celle-ci a un tic agaçant qui est de hocher la tête vers la gauche à n'importe qu'elle moment. Elle est très ouverte d'esprit, mais ne porte pas toujours grande attention à ce qu'on lui raconte. Elle est compliquée et pas toujours compréhensible. Ysis est radine, mais est très créative.

C'est une séductrice cachée, amoureuse de la vie et aimant les relations plus ou moins bizarres ou encore étranges. Elle est attirée par l'inconnu.

Peurs et phobbies :

L'orage : Ysis est terrifiée lorsqu'il y a de l'orage.

Les pieds : Elle a horreur de voir des orteils bouger dans tout les sens, cela la met hors d'elle.

Ses relations

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Maîtres :

Extension:DynamicPageList (DPL), version 3.3.2: AVERTISSEMENT : Aucun résultat !

Utilisateur:Merilio: Ysis a été accueillie par Merilio lors du jours de son arrivée. Merilio est très sympathique et elle le respecte autant qu'elle ne le peut.


Azer Merilio: Ysis ne le connais pas vraiment, mais pense qu'il est gentil.

Novices :

Caldour: Homme sympathique avec qui Ysis aime discuter, bien qu'elle trouve qu'il soit assez bavard, elle l’apprécie.

De bonnes connaissances :

Illina Signaro: Femme bien sympathique ma foi, celle-ci a toutefois aidé Ysis à se confier lorsqu'elle en avait besoin et l'a fortement soutenu dans ses propos.

Juste des connaissances :

Balthazar Velutti: Homme mystérieux intriguant Ysis.

Ceux dont elle se méfie :

Argon: Homme qui semble exigeant sur lequel Ysis préfère prendre ses gardes.

Son histoire

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« Des valeurs quotidiennes »

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« Les jours passent et mon visage se dessine de jour en jour, je ne me reconnais plus, qui est cette femme ? Ce regard remplit d'amour et de haine me fait peur. Est-ce que ma mère, ressemblait elle aussi à cela ? Ses cheveux étaient-ils semblable aux miens ? Mère, ce jour où tu es devenu femme, tu as donné la vie, mais tu es lâche, tu as laissé la mort t'emporter. Mon père ne sera jamais celui que je dois connaître et mon mari est trop ringard sous ses airs d'homme modèle. Quel goût la vie va-t-elle prendre ? Mère, qui étais-tu ? »


Un bruit de porte retentit, c'était son mari qui rentrait de la chasse. Ysis cacha le carnet dans le vieux tiroir du placard et fit semblant de regarder à travers la fenêtre. Cette pièce de la maison dans laquelle Ysis dormait, était glauque et il y faisait toujours trop chaud.


« Bonjour ma douce » avait-il dit d'un air sur joué, « que fais-tu enfermé dans cette pièce ! Sors donc d'ici, tu es toute pâle, va donc reprendre des couleurs, regardes comme le soleil brille aujourd'hui ! ». Il devenait si grincheux en peu de temps ! « Et puis arrêtes de laisser tes vieux bouts de papier sur cette table, c'est agaçant, ouvres les fenêtres ! », « Rubert, calme-toi ! Je suis très bien comme cela, arrêtes de vouloir agir sur ma vie comme-ci tu étais celui qui pouvait tout changer, comme-ci tu étais le maître du temps, tu crois pouvoir tout me dire et tout faire, mais tu te trompes, parfois j'ai l'impression que notre amour est un cauchemar ! », ces derniers temps, Ysis laissait toujours son mari avoir le dernier mot, elle se sentait faible et pourtant la rage en elle était si intense, aujourd'hui elle n'avait pas pu se retenir de se taire. « Tu dis toujours n'importe quoi Ysis, notre amour n'est pas un cauchemar, c'est toi le cauchemar, tu n'es plus pareil ses derniers temps » avait-il enchaîné, « et toi tu n'es jamais à la maison » avait-elle dit en partant de cette pièce. »


C'était ce genre de disputes qui étaient l'objet du couple qu'ils formaient, personne ne pouvait imaginer au combien elle pouvait l'aimer, mais ils se détestaient autant qu'ils s'aimaient. Grâce à Rubert, Ysis a pu partir de chez sa tante Cillsia afin de devenir celle qu'elle était vraiment. Le temps a passé si vite, elle se rappelle encore de ces jours auprès de tante Cillsia, elle prenait toujours soin de la petite Ysis . Près d'elle, elle était une autre personne. Et, c'est cette autre personne qu'elle recherchait constamment.


Son enfance à quoi ressemblait-elle vraiment ? Elle se remémore cette vie qu'elle a menée courte-ment près de mon père, c'était un homme bon, il n'était pas toujours derrière elle pour l'éduquer, certes, c'est en grande partie grâce à lui qu'elle existe aujourd'hui.


« Ce matin, fermes tes bouquins et viens avec moi ! » avait-il lancé d'un air joyeux. « Je vais te montrer quelques trucs, suis moi », Esiroh sera désormais pour elle, le héros de tous les temps, « nous y voilà ! Regarde Ysis, c'est à cela que ressemble un vrai apothicaire » Esiroh durant cette journée avait enseigné son métier à sa fille. »


Auprès de son père Ysis aimait sortir de chez elle. Du haut de ses dix ans, elle aimait la nature, les pierres roulant sous ses pieds, le soleil chauffant les particules de sa peau, cela la rendait heureuse, tout deux adoraient se promener et aller au marché ensemble.

C'est ainsi que la petite Ysis aurait voulu continuer de vivre sa vie...

« Traumatisme parmi le réalisme »

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« - Papa, papa ! Regarde des biscuits ! On peut en prendre, s'il te plaît papa ! - Calme-toi Ysis, tu n'as pas besoin de ces cochonneries ! - Oh, mais papa... - Non, tu vas m'attendre ici, regardes les stands, moi je vais chercher du pain à côté. - D'accord papa ! » avait-elle répondu. »


On était samedi, le jour du marché, Ysis et son père Esiroh avaient l'habitude d'y aller ensemble. C'était un grand marché réputé pour sa bonne nourriture, mais aussi pour ses autres stands comme celui que Ysis adorait, c'était le stand d'un vieux monsieur qui vendait des livres aussi vieux que lui ! Ce jour là il faisait très chaud, les oiseaux semblaient libres comme l'air et le soleil brûlait ses jambes que sa robe laissait entrevoir. Elle s'était approchée de son stand préférée pour lire les résumés de livres quelconques à ses yeux... « Tu aimes les vieux livres ? » avait lancé le vieux monsieur, « Oui, j'adore ! » avait lancé Ysis, il tenait entre ses mains un livre jaunis par le temps, « C'est génial, tu sais petite, les pages d'un livre comme celui-ci sont le trésor d'un lecteur qui y a laissé une partie de lui. » 


Ysis était étonnée et n'osait pas répondre, « Tiens prends-le, je te l'offre ! » Ysis n'osait pas s'approcher, mais le vieil homme semblait si gentil, elle prit le livre et dit « Merci » avec un regard compatissant, puis se retourna le livre à la main et vit une femme très laide et un homme qui semblait la fixer comme-ci elle n'avait pas sa place ici.


La femme s'approcha, prit Ysis par le bras et l'emmena derrière une charrette, elle la saisit par le coup avec sa main droite et tenait l'autre en l'air prête à la frapper « Donne-nous ton argent sale gamine ! », terrorisée Ysis n'osait pas répondre elle sentait les sanglots monter à ses yeux, « fouilles ses poches ! » disait l'homme à la femme, Ysis  se mit à se débattre et à hurler de toutes ses forces, l'homme avait un couteau à la main, « laisse-toi faire et arrêtes de bouger fille de chien ! » avait craché salement la femme au visage de la petite en la giflant, mais Ysis continuait de se débattre, l'homme tira les cheveux d'Ysis et elle sentie la lame du couteau trancher le haut de son dos, comme si l'on écrivait quelque chose sur sa peau, elle hurlait et pleurait, mais la femme avait sa main sur la bouche de la petite, ses cris étaient étouffés, une fois que l'homme et la femme l'eut lâché elle cria : « Prenez ma sacoche ! » d'une voix sanglotante, la femme arracha la sacoche de la fille et la poussa par terre avant de s'échapper avec l'homme. Ysis ne cessait de pleurer.


Son père inquiet qui la cherchait depuis une dizaine de minutes, retrouva Ysis écroulé derrière la charrette sur le sol chaud. Il s'empressa de venir à elle afin de venir à son secourt et aperçut le numéro 29 dans le haut de son dos.

« Entre la haine et l'amour »

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La vie était la même quotidiennement, cette chambre dans laquelle elle dormait, était celle dans laquelle elle passait ses journées. Elle y sombrait, comme elle y songeait, la mort de son mari. Elle avait pensé une dernière fois au plan qu'elle avait établi pour l'assassinat qu'elle ferait le soir-même. Elle n'avait négligé aucun détail, elle était en stade de la récapitulation finale. A vingt heures quarante-cinq, elle serait libre, dans tous les sens du terme. Elle avait fixé ce moment parce que ce jour-là c'était l'anniversaire de Rubert, son mari et que c'était aussi l'heure de sa naissance (la mère de Rubert le radotait toujours au moment des repas de familles).


Elle avait pris sa décision. Le mobile était simple : elle le détestait. Après le meurtre, elle se suiciderait. Elle n'avait donc rien à perdre en laissant derrière elle un homme mort au lieu d'un homme en vie. Elle le planterait avec un couteau dès lors qu'il ouvrirait la porte, ce soir avait-il dit à Ysis : « j'ai beaucoup de travail ». Rubert était un pauvre libraire qui travaillait à ses heures perdues. Sa femme avait donc du mal à le croire.


« Toc-toc », c'était Rubert qui frappait à la porte. Le stress envahit Ysis, car le moment était enfin venu.


Ysis qui préparait le dîner du soir en plus de ce meurtre qu'elle allait faire, tenait le couteau en ses deux mains. Elle s'empressa d'ouvrir la porte et de tuer son mari, mais à la même seconde, au même moment de son acte, la famille que Rubert avait amenée par surprise à la maison, se tenait alors derrière le corps sans vie. Ysis choquée et bouleversée trébucha sur le tapis d'entrée et s'écroula le couteau à la main sur le corps de son mari.

Tous étaient témoins de l'horrible meurtre du mari de Ysis. Elle était prisonnière du regard de tous. La mort, ne serait pas l'échappatoire de Ysis.