Utilisateur:Caldour
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Sommaire
Caldour
Caldour
Description
Description Physique
Caldour est un garçon de taille et de poids moyen.C’est quelqu’un de faible, il n’est pas impressionnant et donne l’impression d'une personne que l’on peut le briser d’une seule main. De plus, il est né en étant aveugle de l’œil droit ce qui ne l’aide pas à se faire respecter, d’autant plus que son œil gauche est d’un bleu très profond ce qui l’aide pas non plus pour la virilité. Ces cheveux sont brun, un brun plutôt clair et ceci sont coiffées en arrière pour former un sorte de queue de cheval. Sa peau est plutôt blanche. Ce n’est pas un blanc pale mais passant toute ces journées en intérieur à préparer des alcools, son corps n’a pas vraiment le temps de prendre beaucoup le soleil.
Description morale
Caldour est une personne qui est très paranoïaque et qui a peur de la moindre chose la nuit. Il est d’une obéissance total envers les gens ayant plus de pouvoirs qu’eux. Caldour n’est pas très sociale et juge souvent les gens sur l’aperçut de leur visage. Caldour ne s’énerve jamais mais a aussi du mal à exprimer de la compassion car pendant son enfance, tout le monde se fichait de ce qui pouvait lui arriver. C’est quelqu’un qui est honnête et qui ne ment presque jamais sauf quand il s'agit de sauver sa vie ou celle d’un très bon ami. Il a tendance à être très naïf avec les femmes et sera très gentlemen avec toutes les femmes.
Compétence
L’habilité de Caldour à fabriquer de l‘alcool ou du vin ne lui est pas venu tout seul, son père adoptif lui a appris les bases de fabrication et avec l'habitude, l'alcool était de mieux en mieux réussi.
Sens du goût: À force de créer et de goûter des alcools, le goût d’un bon alcool ce sent facilement et le moindre petit manque de sucre réussir à se faire sentir rien qu’en buvant un petit peu de cette solution.
Alchimie: L’alcool ne se fabrique pas tout seul, de bonne connaissance en alchimie son nécessaire pour pouvoir fabriquer de ces boisons dont beaucoup de gens raffolent.
Connaissance de la flore: Il ne faut pas fabriquer de l’alcool avec n’importe quoi, heureusement un vieil ami du père adoptif de Caldour était horticulteur et lui a appris à reconnaitre les différentes plantes et les différents fruits qui existent (du moins, presque tous).
Œnologie: Caldour étant quelqu’un de très acharné mais très patient, il sait doser avec précision, connait parfaitement les ingrédients à utiliser et connait sur le bout des doigts les durées de fermentation de ses alcools.
Minutie: De caractère, Caldour est quelqu’un d’étonnamment précis qui respectera une recette au grain de sel près.
Alphabétisation et calcul : Sait lire et écrire de manière correcte.
Talents
Acharné : Caldour est une personne qui n’abandonne jamais, que ce soit pour un travail, ou même pour un combat même si celui-ci est perdu d’avance.
Patient : Etre aussi acharné demande beaucoup de patience pour pouvoir réussir.
Maîtrise sa colère : En théorie, Caldour s'énerve jamais. Jusqu'à un récent événement, il ne s'était jamais énervé peu importe les insultes, les engueulades qu'il a subit. Mais dernièrement, avec la libération de Caldour et de sa considération à égal des autres, il ne supporte pas qu'un esclave soit malpolie et pourrat s'énerver pour ça.
Défauts
Soumis : Caldour est quelqu’un de très soumis vis-à-vis d’une certaine catégorie de personne. Quand une personne dangereuse et menaçante ou bien quelqu’un de respecté et vénérable lui adresse la parole, il baissera souvent les yeux. Si cette personne donne un ordre, Caldour l’effectuera sans poser de questions (mis à part si il trouve cela suspect)
Paranoïaque : Caldour pendant sa plus jeune enfance a été maltraitée et enfermé. Depuis ce jour, il ne se sent nulle part en sécurité et cherchera sans cesse d’avoir plus de protection pour lui permettre de vivre tranquillement et en sécurité. Cependant, il n'a de tels sentiments d'insécurités uniquement la nuit.
Tendance à la déprime : Caldour est quelqu'un de très sensible malgré ces origines et peu partir très vite en déprime ce qui va le conduire à boire tout l'alcool qu'il trouvera et ce morfondre sur son sort jusqu'à l'évanouissement.
Une femme pour lui
Malgré que Caldour soit très gentil et ne cesse de dire aux femmes qu'elles sont belles et désirantes, celui-ci cherche à trouver une femme spéciale, une femme qui comprendrait sa douleur et ces problèmes, une femme qui pourrait le réconforter, mais malheureusement, ce genre de femme ne ce trouvent pas partout.
Les personnes qu'il connait
La famille
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Utilisateur:Merilio : A la base, Caldour à rencontré Merilio par un pur hasard dans la rue. Aux fils des discutions, ceci ont sympathisé et maintenant, Caldour fait partie de la famille.
Azer Merilio : Azer est une personne de la famille que Caldour apprécie beaucoup. Il apprécie discuter avec lui.
Alagor : Même si Caldour ne croise que très peu Alagor, Caldour lui porte confiance et le considère comme quelqu'un de bien.
Ailill Sveik Rackelson : Récemment esclave, Sveik est dorénavant libre et Caldour est content de voir ça. Caldour trouve que Sveik est très perspicace. Aujourd'hui de la famille et garde, il a pourtant l'impression que celui ci ne tient pas à lui.
Ses ancien maîtres
Hannah Skÿrn Moscaw : Phoenix était une des maîtresse de Caldour. Celle ci ne s'occupait presque jamais de Caldour mais cela n'empêche pas Caldour de la saluer à chaque fois qu'il la croise. Méfiant envers elle désormais, il est obnubilé par son estime personnelle.
Andrea Franzone : Fran etait le maître qui s'occupe le plus de Caldour. Aussi appelé Caladar par celui ci, Caldour pense qu'il commence à s'habituer et a l'apprécier. Aujourd'hui, il le voit régulièrement et eux deux s'apprecie malgré un brin de racisme dû aux origines de Caldour.
Bjarndÿr Skÿrn dit l'Ours : Ours, ou maître Bjarndÿr comme il être est appelé n'hésitait jamais à demander à Caldour d'aller faire des tours dans chaque quartiers pour vérifier quelque chose ou porter un message. C'était le maître qui faisait le plus bouger Caldour et qui lui donnait le plus de tâche à accomplir. Celui devient de plus en plus aimable avec Caldour et accepte de faire une demande à Pepi pour offrir lui offrir un cache œil. Aujourd'hui, Caldour le croise et aime lui parler. En apprenant sa mort, Caldour était vraiment triste, il lui avait promis quelque chose qu'il n'a jamais pût réaliser.
Ses amis
Eryka Deglass : Eryka est la première esclave que Caldour a rencontré. Il c'est très vite attaché à elle et n'hésite pas à trouver n'importe quelle excuse pour passer la voir a Rivelame. Malheureusement, celle-ci c'est fâché dernièrement et ne semble pas vouloir le pardonner. Caldour essaye tant bien que mal de ce faire pardonner.
Vlademar : La première fois que Caldour a rencontré Vlademar, c'était car son maitre Bjarndÿr lui a demandé de s'occuper de lui et d'un autre esclave appelé Raphael. Caldour a commencé à lier une relation d'amitié avec lui, même si il le trouve quelque fois un peu vulgaire. Bien qu'aujourd'hui Caldour n'approuve pas ce que Vlad' a fait, il reste la pour le soutenir en cas de coups durs. Très déçu de lui des événements récent, il à préféré tout faire pour l'humilier plutôt que de considérer leur amitiée. Il fait partie de ceux qui lui ont fait franchir une ligne qu'il hesitait.
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Utilisateur:Blopy : Blopy est un homme sympathique et généreux qui à montré les bases à Caldour et qui ce montre toujours sympathique avec lui. Il ne le traite pas comme un esclave mais comme un ami. Caldour lui est redevable.
Illina Signaro : Caldour trouve cette femme très mignonne, son petit côté timide la rend assez séduisante, elle est vraiment gentil et son humour est assez sympathique. Aujourd'hui Illina est triste des évemenements récent. Caldour essaye tant bien que mal de la faire aller mieux mais celui-ci n'y parvient malheureusement pas ce qui le désole.
Ses connaissances
Pytniss Vital : Vital est un esclave qui a été vendu en même temps que Caldour, ils ont tous deux été vendu dans un même lot. Malgré ça, Caldour n'a plus revu Vital depuis ce jour.
Ambroise de Nogaret : Caldour trouve cette homme vraiment très sympathique, il a l'impression de ce voir dans un miroir mais avec plus de caractère.
Hollykhan Franzone : Caldour croise souvent Holly' et trouve sympathique de discuter avec cette femme qui est vraiment très gentil.
Raphael D Lumione : Raphael est quelqu'un que Caldour apprécie beaucoup. Il trouve son métier assez intriguant mais trouve quand même qu'il ce surestime un peu trop.
Crystal : "j'lie dame" comme il l'appelle, Caldour aime beaucoup cette petite, il la trouve vraiment mignonne et innocente ce qui accentue son côté mignon. Caldour ne peux s'empecher de vouloir payer à sa place à chaque fois qu'il la voit dans une taverne par exemple.
Ses ennemis
Kemo Moscaw : Un homme horrible, il c'est moqué de Caldour et a tenté de l'humilier en public. Heureusement que son maitre Fran l'en a empêché. Le fait de le détester si rapidement viens du fait qu'il ce comportait comme les pirates qui l'avaient capturé a l'époque de sa jeunesse. Il à franchit la ligne qu'il ne fallait pas et les conséquences risques de ce faire voire.
Sulfaraz : Sulfaraz est première personne contre qui Caldour c'est énervé, et il n'y a pas de quoi en être fière. Celui si est d'un manque de politesse total, et comble de tout ça, celui-ci c'est énervé et a frappé Caldour a coup de marteau ce qui a eu pour effet de lui déboîter l'épaule gauche.
Les esclaves
Eron Amondor : Un esclave chasseure qui commence enfin a rapporter de l'argent. Plutôt malpolie à son arrivée, Caldour est content de voir qu'il devient poli avec le temps.
Asaorsha Ysis : Cette esclave...Caldour ne saurait pas dire pourquoi mais il eest très intéressé par elle. Il ne la considère pas du tout comme son esclave, loin de la. Caldour pense qu'elle la remarqué et que Merilio aussi d'ailleurs.
En sa possession
: Une écharpe basique donné par son maître Augure pour qu'il ne tombe pas malade durant la nivose.
Une tenue d'éthyliste offerte par son Maître Bjarndÿr:
: Vieux haut, sale et usé.
: Surveste sans manche usé.
: Pantalon sale et troué.
: Vielle paire de chaussure.
: Un cache-œil généreusement offert par son Maitre Bjarndÿr, Caldour est particulièrement content de l'avoir et ce dit que son père serait content de le voir porter ça.
Son histoire
Rencontre avec mon père adoptif
Il faisait sombre, j’étais surement encore enfermé dans la cale. Cela faisait des mois, des années que j’étais sur ce bateau, à force, j’ai vite perdu le fil du temps. Je ne me souvenais même plus comment j’ai atterris ici, je ne me souvenais plus non plus d’aucune chose sur moi ou ma famille. La seule chose dont je me souvenais c’était mon prénom : Caldour. Je ne savais pas quelle heure il était. J’étais assis, seul, dans le noir quand soudain, un homme ouvris. Le soleil m’éblouissait, j’étais resté dans le noir un certain temps et cela m’aveugla mon seul œil valide un moment. L’homme m’attrapa pour me sortir et me jeta sur le sol du bateau, un sol affreusement sale. L’homme me regarda me lever et me dit : « Yarrrr, T’a Intéré à avoir fini c’te tache rapid’ment, c’est clair ? -Oui, lui répondis-je en baissant les yeux ». J’étais donc encore une fois à faire les corvées, j’étais l’homme à tout faire de ce bateau, ils s’amusaient à m’humilier : je devais déplacer des caisses bien trop lourdes pour moi, nettoyer des sols affreusement sales qu’ils ont salis exprès, et ensuite de me frapper sans aucunes raisons alors que le travail a bel et bien été accomplis, je n’en pouvais plus ! Ils allaient finir par me tuer ! Ce jour la alors que j’étais en train de nettoyer, un des hommes s’approcha de moi pour je ne sais quelle raison mais par inadvertance il glissa dans une flaque de boue et tomba la tête la première. Tous ces amis étaient en train de rire tandis que j’étais toujours en train de nettoyer le sol, sans m’occuper davantage e ce qu’il ce passait. Il était en rage ; il se leva, vint vers moi et me frappa au visage ce qui me mis à terre. Ensuite, il me dit ces mots : « Grrr, alor’ com’ sa tu t’amuses à m’fair tomber ? Crois-moi rat de cale, tu rigol’ras moins quand t’s’ra enfermé pendant 2 jours, et sans bouffe ! » Je me sentais mal, je n’avais rien fait et j’allais être enfermé 2 jours sans pouvoir manger alors que je n’avais déjà que très peu de nourriture. Je me sentais effondré quand soudain, un détail attira mon attention : quelque chose était tombé dans la boue, on en distinguait à peine la forme. Quand l’homme partit et me laissa reprendre mon nettoyage, je suis allé voir l’objet. D’un coup, j’eu une nouvelle lueur d’espoir : l’homme avait fait tomber la clé de la cale ! Jamais je n’avais été aussi heureux. J’étais vraiment content car un grand nombre d’homme du bateau possédaient cette clé ce qui fait qu'ils ne remarqueraient peut être même pas sa disparition ! J’attendis la fin de la journée en subissant de nouvelle humiliation de la part de tous l’équipage avec en particulier l’homme qui était tombé qui ne cesser de me répéter : « T’verras c’que t’auras après c’deux jours s’tes encor’ en vie ! ». A la fin de la journée, un des hommes m’enferma, et me laissa seul dans le noir. Au bout d’un certain temps, tout le monde devaient dormir et j’ai donc décidé d’ouvrir la cale et de m’enfuir. J’ai pris une des barques du bateau, et laissa les vague m’emporter étant donné que je ne savais pas naviguer. Malheureusement, le brouillard monta, les éclairs ce mirent à surgir et la mer ce déchaina. J’avais beau m’accrocher, je finis par lâcher, et ne savant pas nager je dû me laisser couler. J’étais en train de me noyer, j’avais de l’eau dans les poumons, je perdis connaissance. Plus tard, j’ouvris les yeux, j’étais sur un lit, regardant autours de moi je vis que j’étais sur un bateau, ce qui m’écroula. J’étais affalé et en désespoir quand j’entendis quelqu’un hurler : « Cap’tain, y’a l’gamin qu’es révéillé ! » Quelques instants après ces mots, un homme imposant entra dans la pièce. J’étais terrorisé, il s’approchait de moi, mais fini par s’arrêter et s’assoir sur une chaise. Il me fixa et me dit : « -Bonjours cher enfant, peux tu m’expliquer qui est tu et pourquoi nous t’avons repêché en train de te noyer ? Je ne répondais pas. -Ecoute, je ne vais pas te faire de mal, tu peux avoir confiance. Commence par me dire ton nom. -Je m’appelle Caldour. Vous n’avez pas l’accent, vous n’êtes pas un écumeur ? -Si j’en suis un, je n’ai juste pas grandi ici, dit moi, quel âge as-tu ? -Je n’en ai aucune idée. Les marins disaient que j’avais surement 8 ans. -Mais qui étaient ces marins ? -Des écumeurs, je ne sais plus comment j’ai atterris sur leur bateau et je ne me souviens plus non plus qui je suis et d’où je viens. Par contre, je me rappelle que ces hommes passaient leurs temps à m’humilier et à me frapper. Est-ce que vous allez me faire pareil ? -Non, bien sûr que non, tu vois, actuellement nous sommes en train de rentrer sur Lig Ocolide, je prends ma retraite et je vais me faire construire une taverne, toi, tu seras libre de faire ce que tu veux. -Mais, je n’ai nulle part ou allez ! -Oh, et bien dans ce cas tu viendras avec moi !
Mon premier vin
Cela fait déjà 7 ans que j’ai rencontré mon père adoptif. Je suis à nouveau en forme et j’apprécie d’avoir enfin un père comme famille et un travail qui me plait pour m’occuper. Quand nous sommes arrivés il y a 7 ans, mon père a commencé à faire construire sa taverne. Dans le laps de temps de construction, il m’a appris tout ce qu’il savait sur la préparation de ces boissons alcoolisées, et en a profité pour e remettre un carnet contenant diverses recettes pour pouvoir bien commencé. Bien sûr, ses connaissances avaient une limite et c’est pour cette raison qu’un ancien membre de son équipage, un horticulteur, m’apprit tous ce qu’il fallait savoir sur les plantes et les fruits à utiliser ou à ne pas utiliser. Aujourd’hui, du haut de mes 15 ans, je fabrique toutes les boissons dont mon père a besoin et je l’aide à servir les gens comme un bon enfant. Les clients que nous recevions n’étaient pratiquement que des écumeurs, cela me dérangeais aux débuts mais je finis par m’y faire et à ne plus prêter attention à ça. Cette journée commençait plutôt bien ; les clients étaient calmes, il y en avait un certain nombre qui reprenaient sans cesse à boire, c’était une journée de bénéfice ! Cependant, au milieu de l’après-midi, une personne entra dans le bar. Cette personne ne passait pas inaperçue : à peine fut elle rentré que tout le monde se demandaient qui cela pouvais bien être. C’était un homme assez grand, surement aux alentours d’un mètre quatre-vingt et d’environ quarante ans. Il possédait un costume vraiment très élégant qui le distinguait vraiment dans la foule de toute la taverne. L’homme s’approcha de mon père et lui dit : « - Bonjours, je suis Compte Delaterre, je suis ici car j’aurais besoin de plusieurs bouteilles de vin d’ici deux semaines. -Du vin ? -Oui, exactement, peu importe de quel vin il s’agit, assurez-vous juste qu’ils soient près pour dans deux semaines. Si ceux-ci sont appréciés par mes invités, je vous paierais à prix d’or. Sur ceux, au revoir ». Sur ces mots, il sortit de la pièce avec élégance. Mon père été abasourdie, il était content d’une telle demande mais en même temps il était très effrayé, et ceci était bien normal vu que je n’avais jamais expérimenté la création de vin. Dès que la journée tomba et que la taverne ferma, mon père vint me voir pour discuter : « -Ecoute Caldour, là il va falloir faire fort, dit moi, est ce que tu es débordé par la fabrication de la bière en ce moment ? -Non cela peut allez, les clients ne sont pas si nombreux que sa et cela me laisse du temps pour préparer des réserves. --Très bien, et dit moi, est ce qu’il y aurait par hasard une recette de vin dans le carnet que je t’es remis ? -Oui en effet mais.... -Mais quoi ? -Nous n’avons pas du tout les ingrédients nécessaires pour le fabriquer ! -Ce n’est pas grave, demain, je vais allez au marché, toi pendant ce temps, tu vas étudier la recette de fabrication, il faut absolument faire le vin pour ce Compte ! » Mon père était vraiment très stressé, il n’arrêtait pas de parler de cette histoire, d’ailleurs, il ne réussit pas à fermer l’œil de la nuit à cause de cette histoire. Le lendemain, à la première heure d’ouverture du marché il était déjà debout, il partit rapidement avec une liste de tous ce qui m’étais nécessaire pendant que je scrutais mon carnet. La recette était incroyablement précise, et il me fallait bien les deux semaines pour pouvoir le fabriquer. Au bout de plusieurs heures, mon père rentra à la maison et me passa tous ce qu’il avait achetés. J’étais assez content car il avait acheté de quoi produire cinq ou six bouteille. Après avoir tout observé, je me mis immédiatement à commencer mon travail. Mon père était derrière moi en train de m’observer mais cela me dérangeais grandement. Je lui demandai donc gentiment d’aller se détendre, ce qu’il fit. J’ai passé un bon moment sur le travail mais il fallait finalement laisser le vin fermenter. Au bout de 10 jours, la fermentation est terminée et je décidai donc de m’occuper de la macération étant donné qu’il s’agit d’un vin rouge. Une fois cela terminé, je le mis en bouteille, et attendit avec mon père le jour fatidique. Cela fait aujourd’hui exactement deux semaine que le compte est venu nous demander la fabrication du vin. Nous étions très stressés mais nous nous occupions de notre travail sans trop le montrer. C’est en début d’après-midi que l’homme arriva. Il portait le même costume que la dernière fois et ce fit encore une fois bien remarquer. L’homme s’approcha de mon père et lui dit : « -Avez-vous le vin ? -Oui bien sûr ! répondit fièrement mon père. Nous avons cinq bouteilles à disposition. -Oh, trois bouteilles me suffiront largement, je vais les prendre. Je reviendrais demain pour vous dire si il a été apprécié ». Il partit en laissant de la monnaie pour les bouteilles. Mon père n’avait jamais été aussi stressé, il se demandait si le vin allez lui plaire ou non, il était dans un état que je n’avais jamais vu, il avait même beaucoup de mal à prendre les commandes et mes tentatives pour le réconforter ont échoué. La seule chose qui pouvait le calmer était le verdict. La nuit fut extrêmement courte. A peine nous eûmes le temps de nous en rendre compte qu’il était déjà le matin. Ce matin était extrêmement calme, il n’y avait presque pas de client et cela n’était pas si mal pour rester tranquille. L’après-midi arrive. La taverne est vide. Je voulu faire un tour pour nettoyer un peu quand l’homme ouvrit la porte. Le visage de mon père se figea. Je n’arriverais pas à distinguer si l’homme était ou non content de ces boissons. Il s’approcha lentement de mon père. Arrivé au comptoir il le fixa quelque instant, puis dit à mon père en sueur : « Ce vin était un pur délice, je suis heureux de l’avoir acheté chez vous, j’espère que vous en aurez toujours quelques bouteilles de réserves au cas où j’en aurais besoin. Sur ces mots, il sortit une bourse de sa poche et la posa sur la table. Nous avions les yeux grand ouvert et nous ne pouvions pas nous détacher de cette bourses remplit. Avant de partir mon père remercia l’homme et lui dit de repasser quand il le souhaiterait. J’étais vraiment content de moi, mon père aussi l’était d’ailleurs. Pour moi cela était une grande étape pour moi, j’avais préparé mon premier vin, et je compte bien en préparer d’autre !
18 août, un jour maudit
Aujourd’hui, le 18 aout 513 est un jour très particulier. En effet, cela fait exactement 10 ans jours pour jours que j’ai rencontré mon père adoptif. Tous les ans, le 18 aout, nous avions pris pour habitude de célébrer un anniversaire étant donné que j’ignorais ma date de naissance. Aujourd’hui cela me fait donc 18 ans. A la taverne, il y avait comme une grande fête toute la journée. La taverne n’avait jamais été aussi pleine, et ceci pour une bonne raison : chaque clients avaient en ce jour une boisson offerte gratuitement. L’ambiance était à son comble, il n’y avait plus assez de chaises pour tout le monde et les gens se disputaient pour avoir leur boisson gratuite. Mon père avait même engagé des musiciens pour l’ambiance, j’étais aux anges ! Au fur et à mesure de la journée, les gens passaient régulièrement pour me souhaiter un bon anniversaire, et certain petit malin essayer aussi d’avoir d’autres boissons ce que je devais cependant refuser. La journée me paraissait exceptionnelle et je pensais que rien ne pourrait gâcher cette ambiance. Malheureusement, quand le soleil était à son zénith, des gens commencèrent à partir en groupe. Cela faisait de la place pour d’autres clients qui voulaient se reposer. Au bout d’une dizaine de minute j’ai remarquai un homme qui c’était installé à une table, la tête baissé mais qui n’avait rien commandé. Je m’étais donc décidé à aller le voir pour lui demander ce qu’il désirait. Je l’abordai : « -Bonjours monsieur, j’ai remarqué que vous êtes là depuis un certain temps, vous désireriez quelque chose à boire ? -Yarrr, non c’bon, mes homm’sont l’bas tranquil’, moi j’déprime un peu -Vous savez, aujourd’hui nous offrons une boisson gratuite par client, vous pouvez donc prendre une petite bière ci cela peut vous détendre -Hummrrr, très bien alors je prendrais… Il se retourna vers moi et arrêta net sa phrase. Il me regardait, les yeux ébahis, comme si il avait un trésor devant lui, puis d’un coup sec, il m’attrapa au bras et hurla : -Toi ! T’es l’gamin qu’s’est enfui d’mon bateau y’a dix ans, uh ! » Tout le monde avait réagi et c’était retourné ; des gens regardez sans comprendre, les membres de son bateau parlaient entre eux et ce disaient des choses du style « C’est le garçon qui c’est barré », « Qu’est-ce qu’il fou ici ? » ou encore « Il faisait déjà de l'alcool ? ». Mon père lui ne semblait pas avoir entendu ce qu’il avait dit mais regardait cet homme qui me tenait avec insistance. L’homme rajouta : « -Yrrr, on a gagné l’gros lot les gars, maint’nant qu’il est assez grand, ‘va pouvoir l’vendre ‘tant qu’esclave ! Sa remboursera not’ butin perdu ! Sur cette phrase, mon père vient vers lui et l’attrapa par la nuque en lui disant : -Ne touche pas à mon fils toi ! Je suis en ancien écumeur et je te conseil de ne pas lui faire de mal ! -Le règl’ment m’dit en effet que j’dois pas t’faire d’mal. C’pendant, t’pas son vrai père, donc j’peux faire c’que j’veux d’lui ! » Mon père était fou de rage, il était prêt à frapper l’homme mais des membres de l’équipage le retenu. L’homme était en train de me trainer en dehors de la taverne. Mon père était en train de ce débattre de toutes ces forces mais malheureusement, les hommes commencèrent à le ruer de coups. Je hurlais pour que l’on m’aide mais personne ne venait m’aider, surement par peur de se faire tuer. Il m’amena dans son bateau et me jeta dans une cale, comme il le faisait il y a dix ans. L’écumeur rigola et me dit : « J’vais rap’ler mes hommes, maint’nan t’doit bien avoir 18 ans, on va pouvoir t’vendre a bon prix malgré tn’oeil aveugle ! » J’étais atrocement triste, cela faisait dix ans que je m’étais échappé de cette bande de fou et me voilà à nouveau dans cette situation. Pire même, maintenant ils ont l’occasion de me vendre en tant qu’esclave, moi qui pensait que j’allais pouvoir passer une vie sans repenser a tout ce qu’il c’était passé, je me suis bien trompé. Au bout d’environ une heure, nous arrivâmes quelque part, je n’entendais pas et j’étais enfermé ce qui m’empêchait de voir. L’écumeur fini par m’ouvrir, une bourse pleine encore dans la main et me donna à un homme vieux. Je n’avais aucune idée de qui il s’agissait. En s’éloignant, l’homme me glissa à l’oreille : « Ne t’inquiète pas, tu seras revendu en tant qu’esclave à très bon prix malgré ton œil ». Après ces mots, nous sommes entré dans une salle avec d’autre personne autour. L’homme me jeta dedans et accidentellement je me suis cogné la tête. J’étais en train de perdre connaissance quand j’entendis l’homme hurler : « Allez, direction Fort Lointain ! »
A Esperia
.Caldour est vendu en tant qu'esclave le 19/09/513 au Clan Skÿrn pour le prix de 35eOs.
.Caldour travail désormais à temps partiel au Chat Noir depuis le 27/09/513
.Le 29/09/513, Caldour découvre Alexander inconscient dans la rue, fait de son possible pour le sauver mais finit par le voir décéder.
.Le 03/10/513, Ours offre de nouveaux vêtements à Caldour.
.Le 05/10/513, Caldour reçoit un travail pour créer du rhum avec Estevan
